Valériane retrouve son premier amour 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Valériane retrouve son premier amour 2
Valériane retrouve son premier amour 2
Val dit en souriant :
— Alors on prend son pied, sans nous inviter ?
Isabelle, un peu irritée, répond en rageant :
— Nous faisons comme vous, bande de traitres !
Thomas voit qu'il y a de l'eau dans le gaz, pour détourner l'attention dit :
— Continuez, ne vous occupez pas de nous. Oh la vache, ma chérie, Isabelle t'a détruit la chatte avec son gode énorme, tu aimes ça !
En ravalant sa salive, Lisette répond :
— Oh Thomas, c'est fantastique, il nous faut un engin pareil à la maison !
Valériane, en souriant, ajoute :
— Laisse terminer Isabelle, elle n'a pas fini son travail de destruction !
Sans dire un mot, Isabelle enduit l'anus de Lisette de lubrifiant et place le gode contre la petite ouverture ridée. Thomas écarquille les yeux et, en bafouillant, demande :
— Isabelle, tu, tu ne vas pas l'enculer avec cette monstruosité ?
C'est Valériane qui réplique :
— Et pourquoi pas, l'anus est un muscle souple qui peut s'adapter à tous les diamètres, laisse faire ma chérie !
Isabelle pousse, Lisette se cambre en grimaçant. Lentement, le gode prend possession de son rectum. Elle a la bouche entrouverte, un rictus affreux déforme son visage. Le gode Dilate le conduit anal en faisant geindre la soumise. Progressivement la douleur s'estompe et laisse la place au plaisir. Isabelle commence un va-et-vient de plus en plus rapide. L'engin agit comme un piston dans son cylindre, Lisette gémit, Valériane dit en souriant :
— Thomas, zyeute comme elle est ouverte, je crois que ta chère et tendre aime ça, regarde-la agiter son popotin, bourre-la bien Isabelle, fais-lui connaitre la jouissance anale avec notre jouet !
Bien qu'elle comprenne son écart, Isabelle jette un regard méprisant à Valériane, elle lui en veut terriblement de l'avoir trompée, et s'est vu contrainte de faire de même pour se venger. A chaque poussée, Isabelle tire sur les hanches de Lisette pour enfoncer l'engin au maximum. La partie du gode qu'elle a dans son vagin produit autant d'effet sur elle qu'à Lisette. C'est elle qui jouit la première. Elle grince des dents, grimace mais continue de déglinguer Lisette avec violence. Valériane, caresse la croupe de son amour en marmonnant :
— Tu as joui, ma chérie, c'est bon de jouer le rôle de l'homme avoue !
En faisant une moue pour ne pas hurler de jouissance, Isabelle répond toujours avec rancœur :
— Toi ma salope, tu vas me le payer !
Comme par vengeance, Isabelle défonce Lisette en marmonnant des mots inaudibles, son amante pousse de longs gémissements, se cabre et s'expose, sa jouissance est terrible, jamais elle n'a joui comme ça. Isabelle se retire, regarde méchamment sa chérie. Elle fixe sur le gode un fourreau garni de picots. L'engin parait redoutable, les deux femmes l'ont déjà utilisé. Pour Valériane, bien qu'à chaque fois elle soit distendue fortement, c'est de la jouissance assurée. Thomas regarde le mandrin, puis demande :
— Je me pose la question : comment peut-on avoir du plaisir avec des machins aussi monstrueux ?
Lisette est scotchée devant le gode armé de son fourreau, c'est en bégayant qu'elle dit :
— Je veux bien l'essayer, Isabelle, vas-y, éclate-moi la chatte avec !
Isabelle répond :
— Je veux d'abord en faire profiter Thomas, il a bien ouvert ma chérie, donc je pense que j'ai le droit de lui dilater le cul !
Thomas sursaute, et en écarquillant les yeux réplique :
— Mais, tu es folle, jamais je ne me ferais sodomiser par un truc pareil, je ne suis pas gay !
Isabelle, en souriant, demande :
— Lisette, ne le dis pas que tu n'as jamais enculé ton mari avec un gode, j'aurai du mal à le croire ?
En se raclant la gorge bruyamment, et en soupirant fortement, elle répond :
— Oui, je le sodomise avec de belles carottes, c'est son côté féminin qui le réclame !
Thomas baisse la tête honteusement, Isabelle répond :
— Il n'y a pas de mal à se faire du bien, Val et moi nous aimons aussi cette pratique, allez montre nous comment tu jouis du cul, ta femme va te préparer !
Pas très rassuré, Thomas regarde sa femme, puis le gode et dit avec des trémolos dans la voix :
— Jamais ce truc n'entrera dans mon cul, c'est de la folie !
Isabelle secoue la tête et répond :
— Ne fais pas ta chochotte, sois un homme !
Sa femme insiste :
— Fais-le mon chéri, imagine que c'est une carotte !
En déglutissant bruyamment, il réplique :
— Tu parles d'une carotte, c'est plutôt un concombre, un défonce-cul, que je dirai même !
Mais sous l'insistance de sa femme, Thomas se soumet. Il prend la pose, Lisette, commence à œuvrer. Elle enduit l'anus de son mari avec de la salive, enfonce lentement deux doigts dans le rectum et le fouille en faisant des demi-rotations. Elle accompagne le mouvement d'un léger va-et-vient qui provoque la réaction de Thomas, le coquin ondule doucement du bassin en gémissant. Lusette réussit à y introduire un troisième visiteur. Thomas souffle comme un bœuf, entre deux respirations, dit faiblement :
— Ma chérie, ouvre-moi bien, dilate mon anus le plus que tu peux, tu as vu ce qu'il va recevoir, tes doigts me font du bien, va plus loin ma chérie, c'est bon !
Lisette pense que son mari est prêt à utiliser le mandrin dilatateur, qui, selon Isabelle, procure de grandes sensations de plaisir, et des jouissances extraordinaires. En ravalant sa salive, Thomas se cambre en présentant sa croupe à Isabelle. Elle regarde l'anus entrouvert, et se dit que c'est le moment de se venger de l'homme qui a défoncé sa Valériane chérie.
Elle place le gode contre l'anus, et en s'accrochant aux hanches de Thomas pousse. Une grimace affreuse déforme son visage, une très longue plainte sort de sa gorge. Isabelle effectue la pénétration en continu, sans se soucier des lamentations de Thomas. Une fois que le mandrin est totalement dans le rectum, Isabelle le ressort de quelques centimètres avant de donner un violent coup de reins pour le réintroduire jusqu'à la garde dans la gaine anale.
Le visage de Thomas, déformé par un rictus, est une marque de souffrance. Isabelle commence un va-et-vient brutal, les picots raclent le conduit sensible en arrachant au soumis des râles. Mais au fil des minutes les gémissements d'agonie changent de ton. Thomas semble maintenant prendre du plaisir, bien que distendu, il agite doucement sa croupe en émettant des grognements de bête en rut. Lisette regarde, émerveillée, l'engin qu'Isabelle s'évertue à faire coulisser dans le rectum de son homme. Elle dit en déglutissant bruyamment :
— Ouah comme tu es ouvert, mon chéri, Isabelle ne te ménage pas, j'espère qu'elle te donne du plaisir !
Entre deux gémissements, Thomas répond :
— Oh la vache, elle me casse le cul, mais c'est trop bon, je vais jouir, ça monte, oui ça vient, ça vient !
Isabelle s'acharne, elle fait payer à l'homme qui l'a cocufié, même s'il y prend du plaisir, cela la soulage de le dominer. La partie du gode qui est en elle s'enfonce à chaque poussée dans son vagin, elle se baise elle-même, en gérant le rythme. Elle grimace, la tension monte dans son corps autant que dans celui de son amant, Valériane sait que son amour va jouir aussi, elle l'encourage :
— Vas-y ma chérie, donne de bons coups de reins pour bien t'empaler sur notre jouet, je sens que tu vas exploser, tape, tape, fort !
Mais c'est Thomas, le premier, qui hurle de jouissance. Il envoie sur le sol plusieurs jets de sperme. En haletant, il pose brusquement sa tête sur ses avant-bras, en offrant ainsi à Isabelle encore mieux sa croupe. Soudée à lui, elle le défonce sans lui laisser le temps de reprendre son souffle. Soudain, elle se raidit, pousse un long gémissement et jouit à son tour. Valériane, souriante, dit :
— Ouah quelle jouissance ma chérie, tu t'es surpassée là !
Elle se retire du fondement, Lisette les yeux écarquillés regarde le trou béant et ne peut s'empêcher de dire :
— Oh la vache, c'est monstrueux comme elle t'a élargi le cul !
Elle pose ses doigts sur l'anus dévasté, et commence à le caresser. Ses doigts tournent sur le trou ouvert, et mécaniquement s'enfoncent un à un dans le rectum sans difficulté. La coquine y a introduit quatre doigts et les fait voyager dans la gaine encore bien dilatée. Thomas reprend ses gémissements sans repousser l'agresseur. Lisette fouille, de plus en plus profondément le rectum. Son mari approuve le toucher rectal, en donnant des signes de plaisir. Il gémit, agite doucement sa croupe, en marmonnant :
— Oh que c'est bon ma chérie, Isabelle m'a tellement ouvert le cul que je suis sûr que tu peux y enfoncer ta main !
Pour Lisette, c'est comme une demande. Elle joint le cinquième doigt et doucement pousse en faisant des demi-rotations. Elle dit, étonnée :
— Oh mon chéri, oui ça rentre, putain j'y suis presque !
Thomas grimace mais accepte la pénétration. Avec précaution, Lisette parvient à faire pénétrer dans le rectum de son mari sa main entière. Isabelle et Valériane restent bouche bée devant le spectacle. Sans brusquerie, Lisette tourne sa main, et commence un va-et-vient de plus en plus profond. Son mari couine de bonheur en découvrant de nouveaux plaisirs, il ne cesse de répéter :
— Oh ma chérie, comme tu me fais du bien, vas-y, vas-y, c'est extraordinaire cette pénétration, je vais mourir, oh comme je sens bien ta main !
Lisette accélère, son mari gémit, des phrases inaudibles, il se cabre et pousse un hurlement de bête blessée. Lisette ferme le poing et défonce son mari avec férocité. Les grognements que pousse le jouisseur sont presque inhumains. Sa verge expulse plusieurs jets de sperme. Valériane dit en souriant :
— Oh la vache, il en a de semence dans les couilles ton mari, Lisette, c'est incroyable comme il gicle !
Thomas s'écroule sur le sol dans un état comateux, sa femme retire sa main de l'antre, et admire un instant sans dire un mot l'ouverture béante. Isabelle désangle le gode, retire de sa vulve la partie qui lui était destinée et déclare en regardant Valériane :
— J'ai la chatte en feu tellement le gode m'a ramoné, demande-moi pardon, et viens éteindre le feu qui me brûle les entrailles ma chérie !
Valériane bascule son amour sur le sol, et en déplorant son infidélité, commence à lui dévorer la chatte, sa langue connait chaque recoin de la vulve de sa chérie, elle n'en omet aucun. Les gémissements d'Isabelle prouvent qu'elle prend beaucoup de plaisir à se faire dévorer le temple de Vénus. Son clito n'est pas oublié, Val se jette dessus et le suce jusqu'à ce que son amour jouisse. Isabelle apaisée enlace Valériane et l'embrasse fougueusement.
Val dit en souriant :
— Alors on prend son pied, sans nous inviter ?
Isabelle, un peu irritée, répond en rageant :
— Nous faisons comme vous, bande de traitres !
Thomas voit qu'il y a de l'eau dans le gaz, pour détourner l'attention dit :
— Continuez, ne vous occupez pas de nous. Oh la vache, ma chérie, Isabelle t'a détruit la chatte avec son gode énorme, tu aimes ça !
En ravalant sa salive, Lisette répond :
— Oh Thomas, c'est fantastique, il nous faut un engin pareil à la maison !
Valériane, en souriant, ajoute :
— Laisse terminer Isabelle, elle n'a pas fini son travail de destruction !
Sans dire un mot, Isabelle enduit l'anus de Lisette de lubrifiant et place le gode contre la petite ouverture ridée. Thomas écarquille les yeux et, en bafouillant, demande :
— Isabelle, tu, tu ne vas pas l'enculer avec cette monstruosité ?
C'est Valériane qui réplique :
— Et pourquoi pas, l'anus est un muscle souple qui peut s'adapter à tous les diamètres, laisse faire ma chérie !
Isabelle pousse, Lisette se cambre en grimaçant. Lentement, le gode prend possession de son rectum. Elle a la bouche entrouverte, un rictus affreux déforme son visage. Le gode Dilate le conduit anal en faisant geindre la soumise. Progressivement la douleur s'estompe et laisse la place au plaisir. Isabelle commence un va-et-vient de plus en plus rapide. L'engin agit comme un piston dans son cylindre, Lisette gémit, Valériane dit en souriant :
— Thomas, zyeute comme elle est ouverte, je crois que ta chère et tendre aime ça, regarde-la agiter son popotin, bourre-la bien Isabelle, fais-lui connaitre la jouissance anale avec notre jouet !
Bien qu'elle comprenne son écart, Isabelle jette un regard méprisant à Valériane, elle lui en veut terriblement de l'avoir trompée, et s'est vu contrainte de faire de même pour se venger. A chaque poussée, Isabelle tire sur les hanches de Lisette pour enfoncer l'engin au maximum. La partie du gode qu'elle a dans son vagin produit autant d'effet sur elle qu'à Lisette. C'est elle qui jouit la première. Elle grince des dents, grimace mais continue de déglinguer Lisette avec violence. Valériane, caresse la croupe de son amour en marmonnant :
— Tu as joui, ma chérie, c'est bon de jouer le rôle de l'homme avoue !
En faisant une moue pour ne pas hurler de jouissance, Isabelle répond toujours avec rancœur :
— Toi ma salope, tu vas me le payer !
Comme par vengeance, Isabelle défonce Lisette en marmonnant des mots inaudibles, son amante pousse de longs gémissements, se cabre et s'expose, sa jouissance est terrible, jamais elle n'a joui comme ça. Isabelle se retire, regarde méchamment sa chérie. Elle fixe sur le gode un fourreau garni de picots. L'engin parait redoutable, les deux femmes l'ont déjà utilisé. Pour Valériane, bien qu'à chaque fois elle soit distendue fortement, c'est de la jouissance assurée. Thomas regarde le mandrin, puis demande :
— Je me pose la question : comment peut-on avoir du plaisir avec des machins aussi monstrueux ?
Lisette est scotchée devant le gode armé de son fourreau, c'est en bégayant qu'elle dit :
— Je veux bien l'essayer, Isabelle, vas-y, éclate-moi la chatte avec !
Isabelle répond :
— Je veux d'abord en faire profiter Thomas, il a bien ouvert ma chérie, donc je pense que j'ai le droit de lui dilater le cul !
Thomas sursaute, et en écarquillant les yeux réplique :
— Mais, tu es folle, jamais je ne me ferais sodomiser par un truc pareil, je ne suis pas gay !
Isabelle, en souriant, demande :
— Lisette, ne le dis pas que tu n'as jamais enculé ton mari avec un gode, j'aurai du mal à le croire ?
En se raclant la gorge bruyamment, et en soupirant fortement, elle répond :
— Oui, je le sodomise avec de belles carottes, c'est son côté féminin qui le réclame !
Thomas baisse la tête honteusement, Isabelle répond :
— Il n'y a pas de mal à se faire du bien, Val et moi nous aimons aussi cette pratique, allez montre nous comment tu jouis du cul, ta femme va te préparer !
Pas très rassuré, Thomas regarde sa femme, puis le gode et dit avec des trémolos dans la voix :
— Jamais ce truc n'entrera dans mon cul, c'est de la folie !
Isabelle secoue la tête et répond :
— Ne fais pas ta chochotte, sois un homme !
Sa femme insiste :
— Fais-le mon chéri, imagine que c'est une carotte !
En déglutissant bruyamment, il réplique :
— Tu parles d'une carotte, c'est plutôt un concombre, un défonce-cul, que je dirai même !
Mais sous l'insistance de sa femme, Thomas se soumet. Il prend la pose, Lisette, commence à œuvrer. Elle enduit l'anus de son mari avec de la salive, enfonce lentement deux doigts dans le rectum et le fouille en faisant des demi-rotations. Elle accompagne le mouvement d'un léger va-et-vient qui provoque la réaction de Thomas, le coquin ondule doucement du bassin en gémissant. Lusette réussit à y introduire un troisième visiteur. Thomas souffle comme un bœuf, entre deux respirations, dit faiblement :
— Ma chérie, ouvre-moi bien, dilate mon anus le plus que tu peux, tu as vu ce qu'il va recevoir, tes doigts me font du bien, va plus loin ma chérie, c'est bon !
Lisette pense que son mari est prêt à utiliser le mandrin dilatateur, qui, selon Isabelle, procure de grandes sensations de plaisir, et des jouissances extraordinaires. En ravalant sa salive, Thomas se cambre en présentant sa croupe à Isabelle. Elle regarde l'anus entrouvert, et se dit que c'est le moment de se venger de l'homme qui a défoncé sa Valériane chérie.
Elle place le gode contre l'anus, et en s'accrochant aux hanches de Thomas pousse. Une grimace affreuse déforme son visage, une très longue plainte sort de sa gorge. Isabelle effectue la pénétration en continu, sans se soucier des lamentations de Thomas. Une fois que le mandrin est totalement dans le rectum, Isabelle le ressort de quelques centimètres avant de donner un violent coup de reins pour le réintroduire jusqu'à la garde dans la gaine anale.
Le visage de Thomas, déformé par un rictus, est une marque de souffrance. Isabelle commence un va-et-vient brutal, les picots raclent le conduit sensible en arrachant au soumis des râles. Mais au fil des minutes les gémissements d'agonie changent de ton. Thomas semble maintenant prendre du plaisir, bien que distendu, il agite doucement sa croupe en émettant des grognements de bête en rut. Lisette regarde, émerveillée, l'engin qu'Isabelle s'évertue à faire coulisser dans le rectum de son homme. Elle dit en déglutissant bruyamment :
— Ouah comme tu es ouvert, mon chéri, Isabelle ne te ménage pas, j'espère qu'elle te donne du plaisir !
Entre deux gémissements, Thomas répond :
— Oh la vache, elle me casse le cul, mais c'est trop bon, je vais jouir, ça monte, oui ça vient, ça vient !
Isabelle s'acharne, elle fait payer à l'homme qui l'a cocufié, même s'il y prend du plaisir, cela la soulage de le dominer. La partie du gode qui est en elle s'enfonce à chaque poussée dans son vagin, elle se baise elle-même, en gérant le rythme. Elle grimace, la tension monte dans son corps autant que dans celui de son amant, Valériane sait que son amour va jouir aussi, elle l'encourage :
— Vas-y ma chérie, donne de bons coups de reins pour bien t'empaler sur notre jouet, je sens que tu vas exploser, tape, tape, fort !
Mais c'est Thomas, le premier, qui hurle de jouissance. Il envoie sur le sol plusieurs jets de sperme. En haletant, il pose brusquement sa tête sur ses avant-bras, en offrant ainsi à Isabelle encore mieux sa croupe. Soudée à lui, elle le défonce sans lui laisser le temps de reprendre son souffle. Soudain, elle se raidit, pousse un long gémissement et jouit à son tour. Valériane, souriante, dit :
— Ouah quelle jouissance ma chérie, tu t'es surpassée là !
Elle se retire du fondement, Lisette les yeux écarquillés regarde le trou béant et ne peut s'empêcher de dire :
— Oh la vache, c'est monstrueux comme elle t'a élargi le cul !
Elle pose ses doigts sur l'anus dévasté, et commence à le caresser. Ses doigts tournent sur le trou ouvert, et mécaniquement s'enfoncent un à un dans le rectum sans difficulté. La coquine y a introduit quatre doigts et les fait voyager dans la gaine encore bien dilatée. Thomas reprend ses gémissements sans repousser l'agresseur. Lisette fouille, de plus en plus profondément le rectum. Son mari approuve le toucher rectal, en donnant des signes de plaisir. Il gémit, agite doucement sa croupe, en marmonnant :
— Oh que c'est bon ma chérie, Isabelle m'a tellement ouvert le cul que je suis sûr que tu peux y enfoncer ta main !
Pour Lisette, c'est comme une demande. Elle joint le cinquième doigt et doucement pousse en faisant des demi-rotations. Elle dit, étonnée :
— Oh mon chéri, oui ça rentre, putain j'y suis presque !
Thomas grimace mais accepte la pénétration. Avec précaution, Lisette parvient à faire pénétrer dans le rectum de son mari sa main entière. Isabelle et Valériane restent bouche bée devant le spectacle. Sans brusquerie, Lisette tourne sa main, et commence un va-et-vient de plus en plus profond. Son mari couine de bonheur en découvrant de nouveaux plaisirs, il ne cesse de répéter :
— Oh ma chérie, comme tu me fais du bien, vas-y, vas-y, c'est extraordinaire cette pénétration, je vais mourir, oh comme je sens bien ta main !
Lisette accélère, son mari gémit, des phrases inaudibles, il se cabre et pousse un hurlement de bête blessée. Lisette ferme le poing et défonce son mari avec férocité. Les grognements que pousse le jouisseur sont presque inhumains. Sa verge expulse plusieurs jets de sperme. Valériane dit en souriant :
— Oh la vache, il en a de semence dans les couilles ton mari, Lisette, c'est incroyable comme il gicle !
Thomas s'écroule sur le sol dans un état comateux, sa femme retire sa main de l'antre, et admire un instant sans dire un mot l'ouverture béante. Isabelle désangle le gode, retire de sa vulve la partie qui lui était destinée et déclare en regardant Valériane :
— J'ai la chatte en feu tellement le gode m'a ramoné, demande-moi pardon, et viens éteindre le feu qui me brûle les entrailles ma chérie !
Valériane bascule son amour sur le sol, et en déplorant son infidélité, commence à lui dévorer la chatte, sa langue connait chaque recoin de la vulve de sa chérie, elle n'en omet aucun. Les gémissements d'Isabelle prouvent qu'elle prend beaucoup de plaisir à se faire dévorer le temple de Vénus. Son clito n'est pas oublié, Val se jette dessus et le suce jusqu'à ce que son amour jouisse. Isabelle apaisée enlace Valériane et l'embrasse fougueusement.
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