Jour de débauche 1

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Jour de débauche 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jour de débauche 1
Jour de débauche 1


Édouard, Édouard, veuf depuis quelques années. Décide de refaire sa vie. Il a un coup de foudre pour Flore, une femme beaucoup plus jeune que lui. Ils se fréquentent un long moment avant de se marier. Flore est jeune, donc ses envies de sexe sont fréquentes. Au fil des jours, elle devient de plus en plus perverse. La différence d'âge, qui n'est pas négligeable, fait qu'Édouard a beaucoup de mal à suivre le rythme que lui impose sa jeune épouse. Bien qu'il utilise la petite pilule bleue, il ne peut suivre les demandes pressantes de sa femme, et perd peu à peu la raideur de sa queue.

Il rumine, se pose beaucoup de questions, va voir de nombreux médecins, mais rien n'y fait, sa verge ne dresse que péniblement la tête. Il finit par se résigner, et opte pour une autre solution. Pour que Flore ne soit pas laissée sexuellement, Edouard très fortuné, pour parer aux envies de sa femme et comme il l'aime, il achète une maison en retrait de la ville.
Avec les conseils éclairés de Flore, il l'a fait aménager en un lieu de débauche. Comme il a l'invagination fertile, il la voit déjà se donner corps et âme à ses amants. Cela provoque des fourmillements dans son membre, et cela le réjouit, car il espère que cela va provoquer un choc, et qu'il va pouvoir enfin branler à nouveau.

La pièce est joliment garnie d'outils de plaisirs triés sur le volet. Un cheval d'arçon sans pieds, muni d'un gode vibrant de bonne taille, interchangeable, ne peut qu'intéresser les jouisseuses. Dans un râtelier, pour stimuler le clito, des badines en bambou très fines. Pour le mélange de plaisir et de douleur, un chat à neuf queues est mis à disposition. Pour le plaisir maso, un fouet et une lanière de cuir sont accrochés au mur. Un banc doté de menottes à chaque pied, et fait pour bien immobiliser les soumis volontaires. Enfin, sur une table, une panoplie de godes plus redoutables les uns que les autres sont alignés.

Flore veut tester certains des objets. Elle enjambe le cheval d'arçon et s'empale sur l'énorme gode, et active la vibration. Son corps se cambre, elle grimace, serre les dents, gémit. Rapidement, une jouissance la fait hurler. Avec l'aide de son mari, elle essaie l'un après l'autre les godes. Ses jouissances sont bruyantes, quelques coups de badine sur son clito augmentent son excitation, elle remonte sur le cheval pour avoir une nouvelle jouissance. Elle est satisfaite des objets, qu'elle enlace son mari et l'embrasse fougueusement.
Flore et Édouard sélectionnent sur le net quelques beaux spécimens. Le bougre lui suggère même de choisir la femme qui se trouve avec les deux hommes. La cause est que cela pourrait le débloquer. L'idée ne déplaît pas à Flore, qui accepte sans rechigner.

Flore flashe sur deux hommes de couleur, particulièrement montés comme des poneys. Édouard approuve son choix, il la regarde en souriant et lui dit :

— Je vois que madame est attirée par de gros manches, cela va être un plaisir des yeux !

Une femme mûre est également sur la liste. Une date est convenue entre les partenaires. Plus le jour approche, plus Flore devient intenable. Elle se masturbe sauvagement en gémissant, ses orgasmes sont atroces et souvent répétés. Édouard assiste, en ravalant sa salive, quelques frétillements parcourent sa verge. Il a hâte de voir sa femme se faire exploser par les inconnus. Enfin, le jour tant attendu arrive. Deux hommes noirs se présentent, ils sont accompagnés par une femme aux formes quasi parfaites. Les présentations se font devant un verre. La femme se prénomme Violette, un des hommes Madou et l'autre Mango.

En buvant les langues se délient, les inconnus ne vivent que de sexe, ils se donnent en spectacle sur scène, et fréquemment comme aujourd'hui chez des particuliers. Ils montrent sur leur smartphone quelques facettes de leurs talons.

Flore et Édouard sont émerveillés par ce qu'ils voient, les scènes sont torrides et très explicites. Les yeux ne quittent pas la femme qui se fait défoncer puissamment par les deux blacks. Les gémissements non simulés qu'elle pousse prouvent qu'elle prend un pied pas possible. Flore mouille sa culotte, en regardant le trio en action. Édouard, lui, commence à s'impatienter. Il serre un autre verre et entraine les invités vers la pièce des plaisirs. Madou, en souriant, dit :

— Ouah, je vois que l'on n'a pas lésiné sur le matériel, c'est magnifique !

La femme manipule les godes, en teste la texture, et en regardant Flore dit :

— Je sens que l'on va se faire beaucoup de bien !


Les acteurs s'effeuillent lentement, Flore regarde les corps musclés, des deux hommes et admire les courbes parfaites de Violette, qui sait faire monter la pression en ondulant du bassin comme une danseuse orientale. Elle taquine du bout des doigts les verges encore endormies, qui paraissent redoutables même au repos. Les acteurs s'effeuillent progressivement, Flore regarde les corps musclés, des deux hommes et admire les courbes parfaites de Violette, qui sait faire monter la pression en ondulant du bassin comme une danseuse orientale. Elle taquine du bout des doigts les verges encore endormies, qui paraissent redoutables même au repos. Violette s'approche de Flore et avec lenteur lui déboutonne le corsage, et d'un geste habile, lui dégrafe le soutien-gorge. Ses seins, bien que pas très volumineux, s'affaissent lourdement sur son buste. Les mamelons épais, plantés au centre d'aréoles brunes fortement grenelées, font saliver Violette.


Elle bascule doucement Flore sur le banc, et commence à lui pétrir les seins. Ses longs doigts fins, s'enfoncent dans les chairs tendres, malaxent les lobes qui durcissent sous les attouchements bien dosés de l'experte Les bouts se dressent en s'épaississant davantage.

Violette les saisit et les roule longuement entre ses doigts. Elle les étire, les presse pour les stimuler. Flore grimace, mais lorsque la femme lui gobe les mamelons, elle se cabre en gémissant. Les succions féroces que fait la femme sur les bouts gonflés, font réagir la soumise, qui agite son bassin en geignant de plus en plus fort. La femme vorace suce et aspire avec force les tétons qui sont devenus énormes. Enfin l'amante douée, cesse. Elle embrasse chaque parcelle de peau en descendant prudemment vers le puits d'amour. Le corps de Flore se parcourt de frissons, elle souffle fortement, en serrant les poings. La langue agile, en passant sur le nombril, le fouille un court instant, avant de repartir vers le temple de l'Amour, qui ne cesse de ruisseler de cyprine.

Violette hume les effluves odorantes que rejette la vulve en fusion. Elle donne quelques coups de langue sur la fente, qui à chaque lèche rejette plus de jus. Flore gémit en agitant lentement son bassin. La langue s'enfonce profondément dans son vagin, Flore s'arc-boute en poussant un long râle. Son amante lui fouille le vagin sans omettre un recoin. Édouard est sans voix, c'est la première fois que sa femme s'adonne aux plaisirs lesbiens, et cela ne semble pas lui déplaire, car elle agite sa croupe en gémissant comme une bête tombée dans un piège.

Sa chatte est un volcan qui ne va pas tarder à entrer en éruption. La langue de Violette est très efficace, elle fouille le vagin baveux en arrachant à Flore des :

— Oh que c'est bon, que c'est bon, oui, encore, encore !

L'explosion est déclenchée lorsque Violette lui aspire le clito, et le suce comme une enragée. La jouissance très bruyante de Flore fait sursauter son mari. Son amante se redresse fière de son exploit et s'empare de la badine de bambou. Elle commence à tapoter le clito avec de plus en plus de violence. Flore se contorsionne comme un ver en grimaçant et en geignant comme une bête blessée. La boule de chair, très sollicitée, devient douloureuse, énorme et violacée. Violette la reprend en bouche et la suce comme un bonbon, en arrachant à sa proie de longs râles rauques. Une seconde jouissance plus violente que la première fait cabrer Flore.

L'amante se redresse et, en regardant les deux mâles en érection, dit :

— Je vous la confie, mes chéris, ce n'est plus une femme, c'est un braséro !

Les yeux remplis de larmes de Flore se posent sur les membres d'ébène, elle les écarquille tellement elle est surprise par la grosseur des manches qui semblent la menacer. Les deux engins sont presque de même dimension. 23 cm de long pour un diamètre de 8 cm. Mango se place entre les cuisses de Flore, et frotte un moment son gland contre la fente dégoulinante de cyprine. Madou, lui, offre le sien aux lèvres charnues de son hôte.


Elle saisit d'une main le membre épais, se déboite quasiment les mâchoires pour le prendre en bouche. Bien que cela soit douloureux, elle suce comme elle peut le gland marbré, qui lui obstrue la cavité buccale. De l'écume s'échappe à la commissure de ses lèvres. Les succions font un bruit étrange, Flore les yeux révulsés, fait de son mieux pour téter le gland. Madou, saisit son amante par les cheveux, et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans la bouche. Flore a des haut-le-cœur, bave abondamment, et manque d'air, elle croit mourir tellement c'est brutal et asphyxiant. Une puissante décharge de sperme l'étouffe.
Elle repousse son agresseur, un filet de sperme s'échappe aux coins de ses lèvres. Elle regarde son mari en ne sachant que faire. Lui tout excité commence à avoir un début d'érection. Il dit d'un ton sec :


— Avale, avale !


En grimaçant, Flore déglutit plusieurs fois et avale à petites gorgées la crème abondante que lui a offert son amant généreux. Madou stabilise sa verge contre la vulve, attend un instant que Flore récupère, puis en s'accrochant à ses hanches, pousse. Les grandes lèvres s'écrasent, s'ouvrent et le manche d'ébène s'enfonce lentement dans la gaine qu'il dilate atrocement.


Flore a la bouche grande ouverte, et les yeux pleins de larmes. Un gémissement continu sort de sa gorge. Édouard regarde le membre monstrueux distendre la chatte de sa femme. L'effet produit est miraculeux, sa bite qui était endormie devient dure comme du béton. Il la sort de son pantalon et la serre très fort avant de l'agiter férocement, sans rien perdre du spectacle. Il serre les dents, puis s'avance vers le couple. Il regarde sa femme prendre dans le mamba noir dans le ventre, Flore s'accroche au banc en grognant. Elle a l'impression que sa chatte va s'ouvrir en deux tellement la verge qui s'enfonce en elle est énorme. Enfin les couilles viennent en contact avec sa chatte, cela signifie que le membre est entièrement en elle.



Le gland monstrueux, qui bute contre le col de son utérus, provoque dans son corps comme des décharges électriques. Son ventre est secoué de frissons agréables, mais incontrôlables. Madou commence à faire un très lent va-et-vient. Flore s'agrippe au banc en gémissant, la verge épaisse lui racle fortement les parois distendues du conduit, Flore souffle comme un taureau qui va charger. Des perles de sueur roulent sur sa peau laiteuse. Madou accélère un peu le rythme. Flore lâche le banc et s'accroche à son amant fortement basané, en marmonnant :

— Oh mon Dieu, mon Dieu, regarde Edouard comme il m'ouvre, je vais mourir !

Son mari, en continuant de se masturber, lui répond entre deux souffles :

— Oh ma chérie, c'est merveilleux de te voir ainsi offerte à ce monstre qui te dilate la chatte. Regarde, je bande, c'est fantastique ma chérie, suce-moi, suce-moi !

Flore saisit d'une main le membre de son mari et le gobe, elle suce, le tète, comme si elle cherchait à oublier la queue qui lui distend la chatte, commence à prendre de la vitesse dans son ventre. La pression monte dans son corps à un rythme fou. Soudain elle recrache la queue de son mari, se cabre, et c'est en hurlant qu'elle explose de jouissance.

Madou se lâche, il donne maintenant des coups de reins dévastateurs qui font couiner Flore de plaisir. Toujours agrippée à son amant, elle se met à donner des coups de bassin terribles, pour que l'empalement soit le plus profond possible. Édouard est émerveillé par la détermination de sa femme qui, à chaque coup qu'elle donne, dit :

— Remplis-moi, remplis-moi, donne-moi ta semence, vas-y, vas-y lâche tout !

En rugissant comme un fauve, Madou envoie dans le ventre de son amante plusieurs jets de sperme épais. l'effet et immédiat, Flore jouit une seconde fois en plantant ses ongles dans le corps de son amant. Le râle qu'elle pousse est impressionnant.

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Texte coquin : Jour de débauche 1
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