C'est l'histoire d'un mec

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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C'est l'histoire d'un mec
RENCONTRE...
Je t'imaginais Éventuel mais, agréablement surpris, t'envisage Régulier.
J'espère ne pas être percé à jour, d'emblée, comme un petit pédé.
Je te serre la main en l'imaginant sur ma nuque.
Déjà déshabillé par ton regard appuyé sur mon uc.
Je sens darder mes tétons,
Troublé, je dis : « où en était-on? »
Je m'assieds face à toi en m'imaginant m'asseoir sur toi.
Tu me donnes soudain envie d'avoir la bouche pleine de toi.
Sans le vouloir, j'écarte les jambes, m'imaginant déjà te recevoir
Passif, contrôlé, dominé, enculé, à quatre pattes, dans le noir.
PREMIÈRE NUIT...
Je découvre ton impressionnante intimité,
25 centimètres de belle, de puissante virilité.
Tu as ouvert ta braguette, « elle » est dressée, pas le choix,
Je vais effectivement l'avoir, la bouche pleine de toi.
Mais tu ne jouis pas, tu me prends par la main,
moi qui suis encore à genoux, qui reste sur ma faim,
tu m'emmènes dans ta chambre, me déshabilles pour de vrai
et me couches sur ton lit : me voilà enfin prêt.
Tendre au début, tu me fais voir l'amour en rose
et réveilles en moi tout plein de choses.
Puis tu me fais mordre l'oreiller,
moi qui croyais encore en ma dignité.
Tu me défonces comme un fou,
à la fois endurant et doux.
Je crie tantôt « arrête! », tantôt « continue! »,
tu me fais parler une langue inconnue...
...
Cette nuit, tu m'en as fait voir de toutes les couleurs
dans toutes les positions, j'ai chanté en lope majeur.
Ma voix, pourtant grave, est montée dans les aigus
à chacun de tes va-et-vient profonds dans mon cul.
Il t'a suffi d'une nuit pour faire de moi une femelle,
de "il", que je croyais masculin, tu m'as fait devenir "elle".
AU PETIT MATIN...
J'ai l'anus béant d'avoir été tant chevauché,
et la mâchoire endolorie de t'avoir tant sucé.
Tu m'as fait jouir plusieurs fois, je ne croyais pas cela possible.
Ta flèche a mis plusieurs fois dans le mille de ma cible.
Je ne peux retenir ton sperme qui dégouline de moi.
Tu m'as révélé qui je suis, et c'est que je suis à toi!
À présent tu t'apprêtes à partir travailler, mon beau chevalier,
Mon Seigneur tout-puissant qui monopolise déjà mes pensées.
Il va me falloir la matinée pour me remettre de mes émotions.
Je reste donc dans ton lit, épuisé mais encore frétillant du fion.
Puis, rentré pour ta pause de midi, tu exiges une nouvelle fellation,
La gorge tapissée de ton sperme, je réalise le sérieux de notre relation.
Je crois que je tombe amoureux, je te le dis, c'est con,
Essoufflé et surpris, tu t'assieds, et puis nous discutons.
PREMIERS PAS...
Tu me dis : "tu tombes déjà amoureux
alors que tu n'aimes que ma queue,
tu adores être enculé, comme une lope tu suces,
alors si tu es sérieux, moi, de toi j'exige bien plus.
À la soumission, tu présentes de bonnes dispositions.
Aussi je te propose de t'éduquer à ma façon".
Ainsi je te découvre doucement autoritaire,
je rougis que tu m'envisages soumis.
Un peu apeuré, je ne sais ce que cela implique,
mais rien que le mot me donne déjà la trique.
Du bout des lèvres j'accède à tes envies,
résistant pour la forme mais déjà volontaire.
Mon souhait de me faire désirer
n'aura pas longtemps duré,
car bien vite, jouant à être effarouché,
je me laisse attacher et bâillonner.
Abandonné sur ton lit tout un après-midi
incapable de bouger je gigote, puis je jouis.
Pas possible, je suis un soumis né, me dis-je,
amoureux des cordes, esclave de la tige...
PRISE EN MAIN
Sans me et te l'avouer, j'ai adoré
Être pour un temps soumis à l'essai.
En rentrant, constatant que j'ai joui,
tu t'écries : « Mais que voilà un vrai soumis!
Puisque tu jouis dans tes liens,
je vais rendre l'exercice quotidien
et de ce pas en adapter les règles.
La soumission te rend espiègle?
Tu porteras donc tous les jours plug et cage.
Ainsi investi et interdit, tu resteras bien sage!"
Je n'ai d'autre choix que celui d'accepter,
d'autant que j'en suis tout excité!
Je te propose naturellement de Te voussoyer
et de passer pour moi au féminin singulier.
Vous acceptez, conforté dans Votre pressentiment
d'avoir vu en moi beaucoup plus qu'un amant.
Encouragé par mon désir de participer
Vous me dites "Ce n'est que le début,
Je sais qu'avoir un Maître tu vas aimer.
La preuve, à ton éducation déjà tu contribues!"
NÉGOCIATION
Toute relation D/s reposant sur des bases consenties,
des règles, des rituels, des limites, je l'ai lu,
rien à voir avec une banale histoire de cul,
nous entrons en négociation en mode « et si...? »
Et si, sissy? Non, je tiens à ma masculinité.
Mais lope, oui, si c'est ce que Vous voulez.
Et si j'étais intégralement épilée,
autre symbole de ma soumission?
J'accepte la perte définitive de ma pilosité,
mais je conserve barbe et cheveux,
Pour accepter ma nouvelle condition
je formule encore deux vœux :
- ma soumission devra rester dans notre intimité,
aucune exhibition en dehors du cadre privé ;
- j'accepte Votre contrôle, Votre douce domination
à condition qu'elle exclue violence, brutalité et humiliation.
Vous me dites que Vous n'êtes pas comme ça
et que Votre recherche ne se situe pas là.
« Pour le cadre privé, cela inclut les amis à dîner? »,
me demandez-Vous, me tendant une perche à saisir.
J'accepte cette exception, je veux Vous faire plaisir.
LES CHOSES SÉRIEUSES COMMENCENT
Je crois encore avoir le choix mais Vous me disciplinez,
en Votre présence, à obéir Vous m'entraînez.
Vous avez une façon si irrésistible de m'éduquer
que j'obéis de bonne grâce et ne peux rien Vous refuser
(il faut dire que, la plupart du temps, je suis strictement bâillonnée!)
Si bien que, même en Votre absence, je me sens mentalement cadenassée.
Et très vite, je suis excitée de me trouver,
en mode régulier,
à genoux,
collier au cou,
tête baissée,
attachée,
bâillonnée,
pluggée.
Pluggée pour Vous remplacer quand Vous n'êtes pas là.
En chasteté pour m'interdire de bander, je n'en ai plus le droit!
C'est bien, être encagée me permet d'être centrée sur mon cul
et sur ma soumission, en oubliant l'homme que je fus.
J'entre désormais en terre inconnue,
tel un nouveau-né, je me présente nue
à Votre bon vouloir, à Votre regard coquin.
Qu'à cela ne tienne : j'adore être prise en main.
SOUMISE OU ESCLAVE?
Soumise ou esclave? Qu'importe!
J'aime déjà le collier que je porte.
Je suis déjà Votre Propriété, c'est comme une évidence,
tout à coup notre rencontre à ma vie donne du sens.
Avec un gode, quand Vous êtes absent,
Je dois m'entraîner à la gorge profonde,
matin, midi et soir, à horaire régulier,
ce sur quoi le statut de bonne lope dressée se fonde,
à Vous prendre en entier et à tout avaler,
J'y arriverai, je le sais, je le sens.
Puis, la gorge de Votre sperme tous les jours tapissée,
j'apprends comme toute bonne lope à être dilatée,
par Votre fuck machine à être quotidiennement baisée,
afin d'être naturellement et en tout temps disposée
à oublier ma queue, à ne plus jouir que pénétrée.
À la maison, j'apprends à marcher sur des hauts talons,
à ne plus porter que de la belle lingerie (frissons!).
Peu d'accessoires, mais rien que du sexy,
Vous m'offrez d'ailleurs une petite panoplie.
Bas stay-up, bracelets, pendentifs, culottes transparentes
et petits tops qui laissent mon intimité et ma poitrine apparentes.
Si tout cela est nouveau pour moi, même les chaînes à mon cou,
même les pinces à tétons, je les accepte avec un plaisir fou.
Progressivement, je découvre adorer
être pour Vous un peu féminisée,
J'en arrive d'ailleurs à mouiller dans ma cage, à frétiller du fion,
affolée rien qu'à l'idée d'avoir la bouche pleine, d'être baisée à fond.
Puis Vous m'apprenez les gestes qui Vous évitent de parler.
La nuit, je dors dans une cage, parfois dans Votre lit,
et quand c'est le cas, c'est pour continuer d'être éduquée
mais aussi, Vous êtes très puissant, me faire baiser toute la nuit.
LE PREMIER DÎNER
Puis un jour Vous avez parlé d'un premier dîner...
Le jour dit, en soubrette Vous m'avez habillée :
entravée, cagoulée de lycra pour respecter mon intimité,
ouverte à la bouche et aux yeux, et en chasteté.
Je devais servir à table Vos invités,
à petits pas, comme une geisha évoluer,
puis à la fin du repas, accompagner le pousse-café
avec mon cul et ma bouche dispo en simultané.
J'étais anxieuse, j'avais l'impression de me faire prostituer.
Certes j'avais accepté, mais réalisais à présent mon erreur.
Vous m'avez rassurée « Tu dois le voir comme un rite de passage,
tu leur enverras par ta fière attitude un puissant message :
accorder à ta condition la plus haute valeur,
faire la fierté de mon Maître, Le servir avec dignité. »
Le fameux soir est arrivé, les invités étaient au nombre de deux.
J'ai assuré le service, comme prévu, selon mes instructions.
Les regards étaient appuyés, les commentaires élogieux.
L'un des invités m'a invité sous la table pour une fellation.
Je Vous ai lancé un regard, de la tête Vous m'avez fait « oui! ».
J'étais là pour servir, je suis donc passée sous la table, il a joui.
À la fin du repas, je me suis tenue à quatre pattes, à disposition
de ces hommes qui devisaient gaiement, sans me prêter attention.
Puis Vous avez donné le coup d'envoi des réjouissances.
J'ai mis toute mon éducation au service de leur jouissance.
Ils avaient de grosses queues, l'une longue l'autre épaisse,
je leur ai donné du plaisir, et pas seulement avec mes fesses,
sans ménagement l'un me fourrait le cul, l'autre me baisait la bouche,
puis ils échangeaient leur place, plus rien ne m'effarouche.
J'avais chaud sous ma cagoule, mais j'ai tenu le coup,
Je voulais être la meilleure, je voulais les rendre fous!
Après de très longs coïts, ils ont joui en même temps
en longues giclées de sperme, d'un orgasme puissant.
À la fin, Vous les avez raccompagnés, ils semblaient satisfaits,
Pendant que moi, nourrie au sperme, je reprenais mes esprits.
Puis Vous êtes revenu, m'avez décagoulée et dit Votre fierté,
Vous m'avez embrassée et complimentée sans flatterie.
Puis Vous m'avez détachée et guidée jusques à Votre lit
Pour me faire l'amour longuement, tendrement, toute la nuit.
Ce soir-là, un cap a été franchi, Vous m'avez dit « Je t'aime ».
J'ai su alors que jamais plus je ne serais la même.
Je me suis rendu compte qu'en seulement quelques mois
ma vie a totalement changé, Vous avez fait de moi
une lope au service de son Maître, amoureuse et aimée,
une condition dont jamais plus je ne pourrais me passer.
NOUVELLE VIE...
Puis un jour, fini le jeu, fini la plaisanterie,
Pour le premier anniversaire de notre rencontre,
Le soir au dîner Vous m'avez offert de la lingerie,
Pour ce genre de présent, je n'ai jamais rien contre.
Puis Vous m'avez fait mettre à genoux et quand Vous avez joui,
Vous m'avez dit « Acceptes-tu que Je sois ton Maître et mari? »
La bouche pleine de sperme, je me suis sentie flattée.
Vous avez fait de moi une soumise bien éduquée,
une lope obéissante et docile, en un mot dressée.
Votre semence avalée, la surprise passée,
- Vous être mariée?, puis m'empressai-je d'ajouter :
"épouse", comme une femme avec un paquet?
« "Épouse", bien sûr, m'avez-Vous répondu,
Ne nous arrêtons en si bon chemin,
Je t'éduque depuis un an à ne plus être masculin,
à passer progressivement de la cage au fufu.
Il est donc hors de question de reculer,
c'est ta vie désormais, Ma belle enculée! »
Confortée dans mon statut, esclave en devenir, fière de Vous appartenir,
pour Vous remercier, je Vous ai pris en bouche et Vous ai fait venir
une seconde fois, ce qui m'a rendue fière de Vous donner tant de plaisir.
À cet instant, je me suis juré de ce bonheur tous les jours entretenir.
La date de la cérémonie "officielle" a été arrêtée.
Les témoins, les amis qui m'avaient baisée, ont été invités.
Le jour J, j'ai prononcé mes vœux de vous être mariée.
Vous m'avez passé au cou, non la corde, mais le collier
qui disait "tu M'es désormais soumise pour l'éternité".
Quant à moi, j'ai passé l'alliance à votre annulaire
qui disait "Vous êtes mon seul et unique Propriétaire".
De Vos initiales sur le pubis à présent tatouée,
en permanence sous collier et en chasteté,
j'entame à Vos pieds ma nouvelle vie de lope mariée.
Qui aurait dit que ce qui ne devait être qu'un plan cul mènerait
un an plus tard à cette condition que d'aucuns critiqueraient?
Qu'importe! Les gens peuvent bien me juger,
je suis, dans tous les sens du terme, comblée
d'être devenue ce dont sans le savoir j'avais toujours rêvé :
être d'un Homme l'inconditionnelle Propriété.
Je t'imaginais Éventuel mais, agréablement surpris, t'envisage Régulier.
J'espère ne pas être percé à jour, d'emblée, comme un petit pédé.
Je te serre la main en l'imaginant sur ma nuque.
Déjà déshabillé par ton regard appuyé sur mon uc.
Je sens darder mes tétons,
Troublé, je dis : « où en était-on? »
Je m'assieds face à toi en m'imaginant m'asseoir sur toi.
Tu me donnes soudain envie d'avoir la bouche pleine de toi.
Sans le vouloir, j'écarte les jambes, m'imaginant déjà te recevoir
Passif, contrôlé, dominé, enculé, à quatre pattes, dans le noir.
PREMIÈRE NUIT...
Je découvre ton impressionnante intimité,
25 centimètres de belle, de puissante virilité.
Tu as ouvert ta braguette, « elle » est dressée, pas le choix,
Je vais effectivement l'avoir, la bouche pleine de toi.
Mais tu ne jouis pas, tu me prends par la main,
moi qui suis encore à genoux, qui reste sur ma faim,
tu m'emmènes dans ta chambre, me déshabilles pour de vrai
et me couches sur ton lit : me voilà enfin prêt.
Tendre au début, tu me fais voir l'amour en rose
et réveilles en moi tout plein de choses.
Puis tu me fais mordre l'oreiller,
moi qui croyais encore en ma dignité.
Tu me défonces comme un fou,
à la fois endurant et doux.
Je crie tantôt « arrête! », tantôt « continue! »,
tu me fais parler une langue inconnue...
...
Cette nuit, tu m'en as fait voir de toutes les couleurs
dans toutes les positions, j'ai chanté en lope majeur.
Ma voix, pourtant grave, est montée dans les aigus
à chacun de tes va-et-vient profonds dans mon cul.
Il t'a suffi d'une nuit pour faire de moi une femelle,
de "il", que je croyais masculin, tu m'as fait devenir "elle".
AU PETIT MATIN...
J'ai l'anus béant d'avoir été tant chevauché,
et la mâchoire endolorie de t'avoir tant sucé.
Tu m'as fait jouir plusieurs fois, je ne croyais pas cela possible.
Ta flèche a mis plusieurs fois dans le mille de ma cible.
Je ne peux retenir ton sperme qui dégouline de moi.
Tu m'as révélé qui je suis, et c'est que je suis à toi!
À présent tu t'apprêtes à partir travailler, mon beau chevalier,
Mon Seigneur tout-puissant qui monopolise déjà mes pensées.
Il va me falloir la matinée pour me remettre de mes émotions.
Je reste donc dans ton lit, épuisé mais encore frétillant du fion.
Puis, rentré pour ta pause de midi, tu exiges une nouvelle fellation,
La gorge tapissée de ton sperme, je réalise le sérieux de notre relation.
Je crois que je tombe amoureux, je te le dis, c'est con,
Essoufflé et surpris, tu t'assieds, et puis nous discutons.
PREMIERS PAS...
Tu me dis : "tu tombes déjà amoureux
alors que tu n'aimes que ma queue,
tu adores être enculé, comme une lope tu suces,
alors si tu es sérieux, moi, de toi j'exige bien plus.
À la soumission, tu présentes de bonnes dispositions.
Aussi je te propose de t'éduquer à ma façon".
Ainsi je te découvre doucement autoritaire,
je rougis que tu m'envisages soumis.
Un peu apeuré, je ne sais ce que cela implique,
mais rien que le mot me donne déjà la trique.
Du bout des lèvres j'accède à tes envies,
résistant pour la forme mais déjà volontaire.
Mon souhait de me faire désirer
n'aura pas longtemps duré,
car bien vite, jouant à être effarouché,
je me laisse attacher et bâillonner.
Abandonné sur ton lit tout un après-midi
incapable de bouger je gigote, puis je jouis.
Pas possible, je suis un soumis né, me dis-je,
amoureux des cordes, esclave de la tige...
PRISE EN MAIN
Sans me et te l'avouer, j'ai adoré
Être pour un temps soumis à l'essai.
En rentrant, constatant que j'ai joui,
tu t'écries : « Mais que voilà un vrai soumis!
Puisque tu jouis dans tes liens,
je vais rendre l'exercice quotidien
et de ce pas en adapter les règles.
La soumission te rend espiègle?
Tu porteras donc tous les jours plug et cage.
Ainsi investi et interdit, tu resteras bien sage!"
Je n'ai d'autre choix que celui d'accepter,
d'autant que j'en suis tout excité!
Je te propose naturellement de Te voussoyer
et de passer pour moi au féminin singulier.
Vous acceptez, conforté dans Votre pressentiment
d'avoir vu en moi beaucoup plus qu'un amant.
Encouragé par mon désir de participer
Vous me dites "Ce n'est que le début,
Je sais qu'avoir un Maître tu vas aimer.
La preuve, à ton éducation déjà tu contribues!"
NÉGOCIATION
Toute relation D/s reposant sur des bases consenties,
des règles, des rituels, des limites, je l'ai lu,
rien à voir avec une banale histoire de cul,
nous entrons en négociation en mode « et si...? »
Et si, sissy? Non, je tiens à ma masculinité.
Mais lope, oui, si c'est ce que Vous voulez.
Et si j'étais intégralement épilée,
autre symbole de ma soumission?
J'accepte la perte définitive de ma pilosité,
mais je conserve barbe et cheveux,
Pour accepter ma nouvelle condition
je formule encore deux vœux :
- ma soumission devra rester dans notre intimité,
aucune exhibition en dehors du cadre privé ;
- j'accepte Votre contrôle, Votre douce domination
à condition qu'elle exclue violence, brutalité et humiliation.
Vous me dites que Vous n'êtes pas comme ça
et que Votre recherche ne se situe pas là.
« Pour le cadre privé, cela inclut les amis à dîner? »,
me demandez-Vous, me tendant une perche à saisir.
J'accepte cette exception, je veux Vous faire plaisir.
LES CHOSES SÉRIEUSES COMMENCENT
Je crois encore avoir le choix mais Vous me disciplinez,
en Votre présence, à obéir Vous m'entraînez.
Vous avez une façon si irrésistible de m'éduquer
que j'obéis de bonne grâce et ne peux rien Vous refuser
(il faut dire que, la plupart du temps, je suis strictement bâillonnée!)
Si bien que, même en Votre absence, je me sens mentalement cadenassée.
Et très vite, je suis excitée de me trouver,
en mode régulier,
à genoux,
collier au cou,
tête baissée,
attachée,
bâillonnée,
pluggée.
Pluggée pour Vous remplacer quand Vous n'êtes pas là.
En chasteté pour m'interdire de bander, je n'en ai plus le droit!
C'est bien, être encagée me permet d'être centrée sur mon cul
et sur ma soumission, en oubliant l'homme que je fus.
J'entre désormais en terre inconnue,
tel un nouveau-né, je me présente nue
à Votre bon vouloir, à Votre regard coquin.
Qu'à cela ne tienne : j'adore être prise en main.
SOUMISE OU ESCLAVE?
Soumise ou esclave? Qu'importe!
J'aime déjà le collier que je porte.
Je suis déjà Votre Propriété, c'est comme une évidence,
tout à coup notre rencontre à ma vie donne du sens.
Avec un gode, quand Vous êtes absent,
Je dois m'entraîner à la gorge profonde,
matin, midi et soir, à horaire régulier,
ce sur quoi le statut de bonne lope dressée se fonde,
à Vous prendre en entier et à tout avaler,
J'y arriverai, je le sais, je le sens.
Puis, la gorge de Votre sperme tous les jours tapissée,
j'apprends comme toute bonne lope à être dilatée,
par Votre fuck machine à être quotidiennement baisée,
afin d'être naturellement et en tout temps disposée
à oublier ma queue, à ne plus jouir que pénétrée.
À la maison, j'apprends à marcher sur des hauts talons,
à ne plus porter que de la belle lingerie (frissons!).
Peu d'accessoires, mais rien que du sexy,
Vous m'offrez d'ailleurs une petite panoplie.
Bas stay-up, bracelets, pendentifs, culottes transparentes
et petits tops qui laissent mon intimité et ma poitrine apparentes.
Si tout cela est nouveau pour moi, même les chaînes à mon cou,
même les pinces à tétons, je les accepte avec un plaisir fou.
Progressivement, je découvre adorer
être pour Vous un peu féminisée,
J'en arrive d'ailleurs à mouiller dans ma cage, à frétiller du fion,
affolée rien qu'à l'idée d'avoir la bouche pleine, d'être baisée à fond.
Puis Vous m'apprenez les gestes qui Vous évitent de parler.
La nuit, je dors dans une cage, parfois dans Votre lit,
et quand c'est le cas, c'est pour continuer d'être éduquée
mais aussi, Vous êtes très puissant, me faire baiser toute la nuit.
LE PREMIER DÎNER
Puis un jour Vous avez parlé d'un premier dîner...
Le jour dit, en soubrette Vous m'avez habillée :
entravée, cagoulée de lycra pour respecter mon intimité,
ouverte à la bouche et aux yeux, et en chasteté.
Je devais servir à table Vos invités,
à petits pas, comme une geisha évoluer,
puis à la fin du repas, accompagner le pousse-café
avec mon cul et ma bouche dispo en simultané.
J'étais anxieuse, j'avais l'impression de me faire prostituer.
Certes j'avais accepté, mais réalisais à présent mon erreur.
Vous m'avez rassurée « Tu dois le voir comme un rite de passage,
tu leur enverras par ta fière attitude un puissant message :
accorder à ta condition la plus haute valeur,
faire la fierté de mon Maître, Le servir avec dignité. »
Le fameux soir est arrivé, les invités étaient au nombre de deux.
J'ai assuré le service, comme prévu, selon mes instructions.
Les regards étaient appuyés, les commentaires élogieux.
L'un des invités m'a invité sous la table pour une fellation.
Je Vous ai lancé un regard, de la tête Vous m'avez fait « oui! ».
J'étais là pour servir, je suis donc passée sous la table, il a joui.
À la fin du repas, je me suis tenue à quatre pattes, à disposition
de ces hommes qui devisaient gaiement, sans me prêter attention.
Puis Vous avez donné le coup d'envoi des réjouissances.
J'ai mis toute mon éducation au service de leur jouissance.
Ils avaient de grosses queues, l'une longue l'autre épaisse,
je leur ai donné du plaisir, et pas seulement avec mes fesses,
sans ménagement l'un me fourrait le cul, l'autre me baisait la bouche,
puis ils échangeaient leur place, plus rien ne m'effarouche.
J'avais chaud sous ma cagoule, mais j'ai tenu le coup,
Je voulais être la meilleure, je voulais les rendre fous!
Après de très longs coïts, ils ont joui en même temps
en longues giclées de sperme, d'un orgasme puissant.
À la fin, Vous les avez raccompagnés, ils semblaient satisfaits,
Pendant que moi, nourrie au sperme, je reprenais mes esprits.
Puis Vous êtes revenu, m'avez décagoulée et dit Votre fierté,
Vous m'avez embrassée et complimentée sans flatterie.
Puis Vous m'avez détachée et guidée jusques à Votre lit
Pour me faire l'amour longuement, tendrement, toute la nuit.
Ce soir-là, un cap a été franchi, Vous m'avez dit « Je t'aime ».
J'ai su alors que jamais plus je ne serais la même.
Je me suis rendu compte qu'en seulement quelques mois
ma vie a totalement changé, Vous avez fait de moi
une lope au service de son Maître, amoureuse et aimée,
une condition dont jamais plus je ne pourrais me passer.
NOUVELLE VIE...
Puis un jour, fini le jeu, fini la plaisanterie,
Pour le premier anniversaire de notre rencontre,
Le soir au dîner Vous m'avez offert de la lingerie,
Pour ce genre de présent, je n'ai jamais rien contre.
Puis Vous m'avez fait mettre à genoux et quand Vous avez joui,
Vous m'avez dit « Acceptes-tu que Je sois ton Maître et mari? »
La bouche pleine de sperme, je me suis sentie flattée.
Vous avez fait de moi une soumise bien éduquée,
une lope obéissante et docile, en un mot dressée.
Votre semence avalée, la surprise passée,
- Vous être mariée?, puis m'empressai-je d'ajouter :
"épouse", comme une femme avec un paquet?
« "Épouse", bien sûr, m'avez-Vous répondu,
Ne nous arrêtons en si bon chemin,
Je t'éduque depuis un an à ne plus être masculin,
à passer progressivement de la cage au fufu.
Il est donc hors de question de reculer,
c'est ta vie désormais, Ma belle enculée! »
Confortée dans mon statut, esclave en devenir, fière de Vous appartenir,
pour Vous remercier, je Vous ai pris en bouche et Vous ai fait venir
une seconde fois, ce qui m'a rendue fière de Vous donner tant de plaisir.
À cet instant, je me suis juré de ce bonheur tous les jours entretenir.
La date de la cérémonie "officielle" a été arrêtée.
Les témoins, les amis qui m'avaient baisée, ont été invités.
Le jour J, j'ai prononcé mes vœux de vous être mariée.
Vous m'avez passé au cou, non la corde, mais le collier
qui disait "tu M'es désormais soumise pour l'éternité".
Quant à moi, j'ai passé l'alliance à votre annulaire
qui disait "Vous êtes mon seul et unique Propriétaire".
De Vos initiales sur le pubis à présent tatouée,
en permanence sous collier et en chasteté,
j'entame à Vos pieds ma nouvelle vie de lope mariée.
Qui aurait dit que ce qui ne devait être qu'un plan cul mènerait
un an plus tard à cette condition que d'aucuns critiqueraient?
Qu'importe! Les gens peuvent bien me juger,
je suis, dans tous les sens du terme, comblée
d'être devenue ce dont sans le savoir j'avais toujours rêvé :
être d'un Homme l'inconditionnelle Propriété.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un vrai poète sur ce site, c'est exceptionnel !
Exceptionnelle aussi la qualité de ton écriture, autant le fond que la forme !
Je ne suis habituellement pas fan de la soumission, mais ton histoire est tellement belle, sans violence, avec un vrai amour réciproque, que j'en tombe sous le charme...
1000 bravos, en attendant tes autres histoires !
Exceptionnelle aussi la qualité de ton écriture, autant le fond que la forme !
Je ne suis habituellement pas fan de la soumission, mais ton histoire est tellement belle, sans violence, avec un vrai amour réciproque, que j'en tombe sous le charme...
1000 bravos, en attendant tes autres histoires !

