La blowjob machine

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La blowjob machine
Vu le titre, je sais ce que vous vous dites : je suis une machine à sucer. Pas faux. Sauf que la « blowjob machine » du titre fait référence à une machine d’un autre genre.
En fait, il s’agit d’une fuck machine appliquée sur la tête.
J’explique.
Normalement, au lieu de fixer un gode au bout de la tige métallique, on fixe une pièce en forme de coupe munie de deux sangles. Fixée à l’arrière de la tête, cette pièce est maintenue par une première sangle sur le front et une seconde sur le menton, obligeant la soumise à garder la bouche ouverte. L’idéal, pour s’assurer qu’elle la gardera vraiment ouverte est de lui enfoncer aussi un large bâillon o-ring. Ainsi, elle est impuissante à fermer la bouche et à protester, chose que les instructeurs ne supportent pas. La soumise étant à genoux, jambes attachées pour l’empêcher de se relever, la machine est posée (et sécurisée) sur une table à hauteur de tête. Ainsi, seule sa tête bouge d’avant en arrière sous l’effet des va-et-vient de la machine.
La soumise ainsi arrimée est prête à recevoir n’importe quelle queue pour un entraînement intensif, sans possibilité de se dégager ni de ralentir le rythme, rythme qui est contrôlé au moyen d’une télécommande actionnée par l’instructeur.
Marc, mon Maître, m’a payé une semaine d’entraînement intensif à la fellation dans un camp spécialisé. Le camp propose plusieurs programmes mais Marc estimait qu’il me fallait améliorer grandement ma technique. Le contrat stipulait que les hommes à sucer étaient tous, sans exception et de manière sûre, exempts d’IST. Il stipulait aussi que je sucerais des ptits vieux, des ptits jeunes, des beurs, des renois, des travs, des grosses queues, des moins grosses, des précoces, des mariés, des (très) endurantes, des vicieuses, des dominantes, des circoncises, des non circoncises, des pressées, des gentilles, des prévenantes… mais que je ne les verrais pas car je porterais un blindfold en permanence, m’obligeant à me concentrer sur leur engin. J’ai donc été envoyée me « frotter » à cet instrument impitoyable. Le matin même de mon arrivée, j’ai tout de suite été jetée dans le bain. De l’excitation d’essayer au désespoir de ne pouvoir y échapper, en passant par la volonté d’y être soumise, je suis passée par tous les stades.
Je ne sais pas combien de queues j’ai sucées, combien de fois j’ai tenté de supplier d’arrêter, de manière incompréhensible bien sûr, combien de litres de sperme j’ai ingurgités, combien de litres de salive j’ai bavés sur moi, combien de haut-le-cœur j’ai eus, combien de cris interrompus et de gémissements gargouillés j’ai fait entendre. En général, je poussais des petits cris à chaque poussée de la machine et je remarquais que cela excitait les mecs que je suçais pour les faire éjaculer plus vite. Alors j’en rajoutais, parfois volontairement, mais le plus souvent c’était involontaire.
J’ai passé une semaine le plus souvent attachée la bouche pleine, avec quelques minutes entre chaque session et les nuits pour me reposer. Quand je dis « me reposer », en fait, les instructeurs venaient dans ma chambre la nuit, alors que j’étais endormie, pour me surprendre et m’obliger à les sucer, toujours à deux ou trois. Ils ont fait ça toute la semaine, et je ne savais jamais quand ils allaient débarquer. Les yeux encore ensommeillés, je devais ouvrir la bouche, ils me mettaient sur le dos, tête au bord du lit pour exiger des pipes inversées, ce qui facilite la gorge profonde. Et une fois qu’ils étaient partis, je n’arrivais plus à me rendormir. Ce qui fait que les nuits étaient courtes. Heureusement, le stage n’a duré qu’une semaine car je ne sais pas si j’aurais tenu plus longtemps à ce rythme. Car bien sûr, l’entraînement reprenait tôt le matin suivant.
Je me demande encore où ils ont trouvé toutes ces queues volontaires… vous me direz, en général, les hommes ne se font pas prier. Mais quand même, de 8h à 20h, au rythme d’une fellation toutes les heures, soit douze sessions par jour pendant sept jours. Peut-être étaient-ce les mêmes qui revenaient un jour sur deux ? Honnêtement, je ne sais pas car j’avais un blindfold qui m’empêchait de voir qui je suçais et m’obligeait à me concentrer sur l’engin. Évidemment, chaque fellation ne durait pas une heure : de trois ou quinze minutes en moyenne à trois quarts d’heure pour les plus endurants ou les peine-à-jouir. Quand le mec était précoce, j’avais droit à une ou plusieurs fellations de plus dans la même session.
Pour finir, après cette semaine d’entraînement quotidien intensif, je suis fière de dire que je suis devenue une suceuse de compétition. La blowjob machine m’a transformée en vraie machine à sucer. Ainsi, plus aucune queue ne m’impressionne, même les monstres.
Vingt-sept centimètres (la taille de la queue de mon Maître) ? Même pas peur ! Pipes forcées ? Je ne les envisage plus que comme ça. Sous une table de restaurant, au cinéma, sur canapé ou à l’arrière d’une voiture, dans une cave, par surprise, de jour comme de nuit, n’importe, pourvu que des mains me tiennent la nuque et la tête pour m’empêcher de dévier de ma course et me forcer à avaler, avaler et avaler encore, de préférence en portant, pour mon Maître, lingerie, collier, pinces à seins et cage de chasteté, comme une bonne lope soumise.
Vers la fin du stage, j’étais devenue tellement accro que j’en voulais toujours plus. Je suis allée remercier les trois instructeurs en me mettant à genoux volontairement pour des gorges profondes, ce qu’ils ont grandement apprécié en me traitant de pute à bites et de bon sac à foutre…
Mais, déjà que j’aimais sucer avant, cet entraînement a créé chez moi une véritable addiction dont je peux difficilement me passer aujourd’hui.
Mon Maître ayant de gros besoins à satisfaire, depuis que j’ai terminé mon stage, je le suce une à deux fois par jour, le matin au réveil et le soir avant ou après le dîner. Parfois pendant le déjeuner quand son emploi du temps lui permet de rentrer à la maison. Et il me félicite à chaque fois, se déclarant très satisfait de mes progrès, me gratifiant à chaque fois de bons shots de sperme.
Mais avec ma nouvelle addiction, j’ai évidemment cherché à négocier : puis-je sucer encore plus, m’inscrire sur des sites ou réactiver mes ex ? Mon Maître n’est pas contre, mais uniquement sous son contrôle et en sa présence. Il m’a d’ailleurs promis d’inviter régulièrement quelques amis bien choisis à des soirées pipes (et plus si affinités) à la maison.
La première aura lieu la semaine prochaine. J’ai hâte.
En fait, il s’agit d’une fuck machine appliquée sur la tête.
J’explique.
Normalement, au lieu de fixer un gode au bout de la tige métallique, on fixe une pièce en forme de coupe munie de deux sangles. Fixée à l’arrière de la tête, cette pièce est maintenue par une première sangle sur le front et une seconde sur le menton, obligeant la soumise à garder la bouche ouverte. L’idéal, pour s’assurer qu’elle la gardera vraiment ouverte est de lui enfoncer aussi un large bâillon o-ring. Ainsi, elle est impuissante à fermer la bouche et à protester, chose que les instructeurs ne supportent pas. La soumise étant à genoux, jambes attachées pour l’empêcher de se relever, la machine est posée (et sécurisée) sur une table à hauteur de tête. Ainsi, seule sa tête bouge d’avant en arrière sous l’effet des va-et-vient de la machine.
La soumise ainsi arrimée est prête à recevoir n’importe quelle queue pour un entraînement intensif, sans possibilité de se dégager ni de ralentir le rythme, rythme qui est contrôlé au moyen d’une télécommande actionnée par l’instructeur.
Marc, mon Maître, m’a payé une semaine d’entraînement intensif à la fellation dans un camp spécialisé. Le camp propose plusieurs programmes mais Marc estimait qu’il me fallait améliorer grandement ma technique. Le contrat stipulait que les hommes à sucer étaient tous, sans exception et de manière sûre, exempts d’IST. Il stipulait aussi que je sucerais des ptits vieux, des ptits jeunes, des beurs, des renois, des travs, des grosses queues, des moins grosses, des précoces, des mariés, des (très) endurantes, des vicieuses, des dominantes, des circoncises, des non circoncises, des pressées, des gentilles, des prévenantes… mais que je ne les verrais pas car je porterais un blindfold en permanence, m’obligeant à me concentrer sur leur engin. J’ai donc été envoyée me « frotter » à cet instrument impitoyable. Le matin même de mon arrivée, j’ai tout de suite été jetée dans le bain. De l’excitation d’essayer au désespoir de ne pouvoir y échapper, en passant par la volonté d’y être soumise, je suis passée par tous les stades.
Je ne sais pas combien de queues j’ai sucées, combien de fois j’ai tenté de supplier d’arrêter, de manière incompréhensible bien sûr, combien de litres de sperme j’ai ingurgités, combien de litres de salive j’ai bavés sur moi, combien de haut-le-cœur j’ai eus, combien de cris interrompus et de gémissements gargouillés j’ai fait entendre. En général, je poussais des petits cris à chaque poussée de la machine et je remarquais que cela excitait les mecs que je suçais pour les faire éjaculer plus vite. Alors j’en rajoutais, parfois volontairement, mais le plus souvent c’était involontaire.
J’ai passé une semaine le plus souvent attachée la bouche pleine, avec quelques minutes entre chaque session et les nuits pour me reposer. Quand je dis « me reposer », en fait, les instructeurs venaient dans ma chambre la nuit, alors que j’étais endormie, pour me surprendre et m’obliger à les sucer, toujours à deux ou trois. Ils ont fait ça toute la semaine, et je ne savais jamais quand ils allaient débarquer. Les yeux encore ensommeillés, je devais ouvrir la bouche, ils me mettaient sur le dos, tête au bord du lit pour exiger des pipes inversées, ce qui facilite la gorge profonde. Et une fois qu’ils étaient partis, je n’arrivais plus à me rendormir. Ce qui fait que les nuits étaient courtes. Heureusement, le stage n’a duré qu’une semaine car je ne sais pas si j’aurais tenu plus longtemps à ce rythme. Car bien sûr, l’entraînement reprenait tôt le matin suivant.
Je me demande encore où ils ont trouvé toutes ces queues volontaires… vous me direz, en général, les hommes ne se font pas prier. Mais quand même, de 8h à 20h, au rythme d’une fellation toutes les heures, soit douze sessions par jour pendant sept jours. Peut-être étaient-ce les mêmes qui revenaient un jour sur deux ? Honnêtement, je ne sais pas car j’avais un blindfold qui m’empêchait de voir qui je suçais et m’obligeait à me concentrer sur l’engin. Évidemment, chaque fellation ne durait pas une heure : de trois ou quinze minutes en moyenne à trois quarts d’heure pour les plus endurants ou les peine-à-jouir. Quand le mec était précoce, j’avais droit à une ou plusieurs fellations de plus dans la même session.
Pour finir, après cette semaine d’entraînement quotidien intensif, je suis fière de dire que je suis devenue une suceuse de compétition. La blowjob machine m’a transformée en vraie machine à sucer. Ainsi, plus aucune queue ne m’impressionne, même les monstres.
Vingt-sept centimètres (la taille de la queue de mon Maître) ? Même pas peur ! Pipes forcées ? Je ne les envisage plus que comme ça. Sous une table de restaurant, au cinéma, sur canapé ou à l’arrière d’une voiture, dans une cave, par surprise, de jour comme de nuit, n’importe, pourvu que des mains me tiennent la nuque et la tête pour m’empêcher de dévier de ma course et me forcer à avaler, avaler et avaler encore, de préférence en portant, pour mon Maître, lingerie, collier, pinces à seins et cage de chasteté, comme une bonne lope soumise.
Vers la fin du stage, j’étais devenue tellement accro que j’en voulais toujours plus. Je suis allée remercier les trois instructeurs en me mettant à genoux volontairement pour des gorges profondes, ce qu’ils ont grandement apprécié en me traitant de pute à bites et de bon sac à foutre…
Mais, déjà que j’aimais sucer avant, cet entraînement a créé chez moi une véritable addiction dont je peux difficilement me passer aujourd’hui.
Mon Maître ayant de gros besoins à satisfaire, depuis que j’ai terminé mon stage, je le suce une à deux fois par jour, le matin au réveil et le soir avant ou après le dîner. Parfois pendant le déjeuner quand son emploi du temps lui permet de rentrer à la maison. Et il me félicite à chaque fois, se déclarant très satisfait de mes progrès, me gratifiant à chaque fois de bons shots de sperme.
Mais avec ma nouvelle addiction, j’ai évidemment cherché à négocier : puis-je sucer encore plus, m’inscrire sur des sites ou réactiver mes ex ? Mon Maître n’est pas contre, mais uniquement sous son contrôle et en sa présence. Il m’a d’ailleurs promis d’inviter régulièrement quelques amis bien choisis à des soirées pipes (et plus si affinités) à la maison.
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