Les seins d'Eva

- Par l'auteur HDS envie2gay -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les seins d'Eva Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2025 dans la catégorie Fétichisme
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Les seins d'Eva
Depuis quelque temps déjà, les tétons d’Eva devenaient sensibles à chaque fois qu’elle pensait à une queue, ou plus précisément qu’elle imaginait avoir une queue lui remplir la bouche ou le cul. Pas seulement ses tétons, mais aussi ses seins, qui étaient devenus une zone érogène qu’elle n’avait jamais soupçonnée auparavant.

Pourtant, Eva était une lope, un homme qui devenait femme quand elle pensait aux hommes. Ses seins étaient ceux d’un homme, c’est-à-dire très peu développés. Et ses tétons étaient petits. Aussi, régulièrement, elle sortait ses pompes et tentait de les développer. Mais l’effet ne durait pas et ses tétons reprenaient vite leur taille habituelle.

Cela dit, ce n’est pas parce que les seins sont petits qu’ils ne peuvent pas être sensibles, se disait-elle quand elle pensait à une queue. Elle ne désespérait pas de pouvoir atteindre un jour un orgasme par les tétons, le fameux « nipplegasm » à propos duquel hommes comme femmes fantasment depuis que l’on a identifié les zones érogènes du corps humain.

Un soir, alors qu’elle s’offrait un repos bien mérité dans son bain, après que son merveilleux amant du moment, un alpha très puissant, lui avait fait l’amour quasiment tout l’après-midi, elle se mit à se caresser nonchalamment les seins, sans vraiment y penser, se remémorant le plaisir que son Homme lui avait donné en la sodomisant sans relâche, jouissant plusieurs fois en elle (par moments, lorsqu’elle se détendait dans son bain, elle avait beau contracter son sphincter, elle avait du mal à contenir le sperme de son amant qui dégoulinait de son anus encore sensible, mais elle adorait ça).

Jamais Eva n’avait été sodomisée de la sorte. Elle n’avait jamais eu de problème à se faire pénétrer et était capable de prendre à peu près n’importe quel calibre. Mais en général, ses amants ne « tenaient » pas plus de 45 minutes, pour les plus endurants. Celui-là était un champion du monde toutes catégories : et attentionné avec ça. Une fois, il lui avait fait l’amour toute une journée. Elle avait eu l’anus en chou-fleur le soir venu, mais avait découvert des sensations qu’aucun homme ne lui avait procurées jusque-là.

« Préliminaires » était son deuxième prénom, prenant tout son temps pour mettre Eva en condition, pensant à son bien-être et à son plaisir avant le sien. Il la manipulait, parfois comme une poupée de chiffon – clés de bras, étirements, breath control… –, lui titillait les tétons (il savait qu’elle aimait ça) avec ses doigts, tantôt par effleurements, tantôt par pincements, et sa bouche, tantôt en les humectant avec la langue par petits cercles sur les aréoles, tantôt en les aspirant goulûment, ce qui produisait systématiquement le même effet : la respiration de sa lope s’accélérait et elle rejetait sa tête en arrière. Eva aimait qu’on s’occupe de ses petits seins de lope. Mais son amant ne s’arrêtait pas là, il adorait l’embrasser sur tout le corps, s’attardant sur ses zones érogènes, le souffle sur le cou, les mots murmurés à l’oreilles, le mordillement des lobes, les caresses sur le haut du crâne, les lèvres sur le pli des fesses, la langue sur, autour et dans l’anus bien sûr, avec lequel il jouait en prenant tout son temps, pas seulement pour l’assouplir, mais aussi pour projeter tout un film de sensations sur l’écran de l’oreiller qu’elle allait mordre à coup sûr tout à l’heure, un peu comme la bande-annonce de leurs ébats à venir.

Eva avait appris à prendre du plaisir autrement que par sa queue, qui était de toute façon toujours en cage quand elle se donnait à un homme. La chasteté était pour elle un moyen comme un autre de développer son désir sexuel de « femme », c’est-à-dire de se convertir définitivement au sexe oral et anal. Elle se disait que, plus longtemps elle serait en cage, plus grande serait son envie de queue. Certains diront que point n’est besoin d’être en chasteté pour ça, mais pour Eva, c’était une sorte de mantra. Et ça marchait, à tel point qu’elle n’envisageait plus du tout ses relations avec les hommes qu’en chasteté. Sans compter que c’était, aux yeux de ses amants, un signe évident de soumission. Une petite lope en cage apparaît comme vulnérable et sans défense, et donc utilisable à l’envi, « abusable » à souhait. Une position, et même une condition, qu’Eva recherchait dans son rapport aux Hommes.

Donc elle avait appris à aimer la sodomie et, avec l’expérience et les différents calibres qu’elle avait engloutis, à jouir analement. Parfois même le membre qui la pénétrait, lui massant la prostate, la faisait éjaculer dans sa cage, et les ébats se terminaient par une explosion de sperme, le sien et celui de son amant, lui remplissant le cul et dégoulinant de son anus béant. Ces moments-là, où elle mordait l’oreiller pour étouffer ses cris, parfois de douleur quand le membre était trop gros ou qu’il la prenait par surprise, mais cette douleur, qui ne durait jamais longtemps, se changeait en gémissements, puis en cris de plaisir.

Ce soir-là, dans son bain, alors qu’Eva se caressait les seins, en repensant à cet après-midi de sexe frénétique, les sensations ne tardèrent pas à refaire surface. Elle ferma les yeux pour mieux les vivre et c’est alors que, à sa grande surprise, le plaisir vint. Une forme très différente d’un orgasme sexuel ou anal, mais un plaisir inconnu et cependant puissant, venant de très loin et envahissant toute la partie supérieure de son corps. Une grande première. Cette vague incontrôlable la fit entrer dans un subspace totalement silencieux qui la coupa du monde et qui lui fit perdre la notion du temps. Quand elle « revint à elle », elle regarda l’heure sur son smartphone et s’aperçut qu’il s’était écoulé quinze minutes. Curieux, se fit-elle la remarque, elle avait l’impression que cet orgasme avait duré quinze secondes. Quoi qu’il en soit, ce plaisir inattendu la laissa pantelante pendant encore un bon quart d’heure.

Bête de sexe, insatiable comme elle était, ce « nipplegasm » redonna à Eva envie d’être prise avec force, sans ménagement ni pitié. Elle appela son amant dans l’espoir qu’il serait libre ce soir-là pour revenir s’occuper d’elle, mais elle n’obtint aucune réponse. Elle savait qu’il était rentré chez lui, auprès de sa femme (les amants d’Eva étaient à 99 % des hommes bisexuels mariés, ce qui lui convenait parfaitement).

Aussi, elle sortit du bain et deux de ses plus gros joujoux, un gode de 22 cm et un braquemart de 28 cm, et passa le reste de la soirée à se satisfaire. Devinez lequel elle suça et lequel la pénétra ? Bien sûr que vous avez deviné. Parfois le besoin de se faire baiser est si fort que seul un braquemart peut faire l’affaire.

Et ce soir-là, Eva eut besoin de se faire défoncer.

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Histoire Erotique
Extra, tellement juste...



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