La croisière - Les cinq derniers jours
Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La croisière - Les cinq derniers jours
Eva passa l’épreuve des cinq premiers jours avec enthousiaste et abnégation. Elle eut à cœur de plaire à John et de lui montrer qu’elle aimait lui être soumise. Quelles que soient les positions et les longues heures de bondage qu’il lui imposait, elle s’y pliait sans rechigner même si, les liens étant serrés, ses membres étaient souvent vite ankylosés. Au-delà de cela, elle apprit – elle apprenait vite en général – à respecter son Homme et à Lui obéir, deux aspects qu’elle n’avait pas envisagés avec John, mais qui, à sa grande surprise, allaient s’ancrer durablement dans son esprit, son corps et surtout sa manière d’être. Respect et obéissance… deux mots qu’elle avait presque envie de se faire tatouer sur son pubis. Mais, les relations étant ce qu’elles sont, c’est-à-dire imprévisibles et souvent éphémères, elle s’abstint d’en proposer l’éventualité à John.
Durant les cinq derniers jours, Eva fut autorisée à sortir de la cabine pour découvrir le bateau, se baigner dans les piscines installées sur les derniers ponts et prendre le soleil. Mais elle devait en tout temps être pluggée et en chasteté. Aussi, elle devait porter un pendentif – une flèche pointant vers le haut dans un cercle fermé – qui signifiait « soumis appartenant à un homme » et ne parlait qu’aux initiés. Le soir, elle devait en outre porter des pinces à seins sous sa chemise ou son t-shirt. Un soir, elle vit une femme qui regardait son pendentif avec insistance, un petit sourire aux lèvres. Celle-là devait sûrement avoir un soumis ou une soumise car à l’évidence, elle en connaissait le sens et les implications.
Mais ce qui marqua surtout ces cinq derniers jours fut le sexe débridé auquel John et Eva se livrèrent. La frustration de la période précédente avait décuplé le désir des deux amants et, de fait, leur plaisir. Eva apprit à faire l’amour en cage, attachée et bâillonnée. Le bondage était beaucoup plus léger qu’auparavant car le but n’était pas de lui apprendre l’immobilité, ça elle l’avait appris, mais de faire d’elle une soumise sexuelle. Là encore, Eva n’eut pas de mal à en intégrer les préceptes, se sentant, ainsi dominée, plus lope que jamais. Elle découvrait qu’être entravée pour sucer ou se faire prendre avait pour effet d’exciter davantage John qui, en retour, lui donnait davantage de plaisir. Un cercle vertueux, en somme.
En journée, elle ne se baladait qu’en maillot et en tongs, pluggée et en cage, se demandant si les passagers remarquaient quoi que ce soit. Par hasard, elle recroisa la femme qui baissa son regard vers le maillot d’Eva et, de nouveau, sourit. Eva remarqua à son tour que cette femme portait elle aussi un pendentif, mais en forme de bouclier avec au milieu une croix, signe qu’elle était la Maîtresse d’un ou d’une soumise. Eva lui rendit son sourire, sans baisser le regard.
Parfois, elle devait porter un plug de dilatation verrouillable qui l’empêchait de s’asseoir. Mais elle ne pouvait le porter qu’en short car l’objet est protubérant et n’est donc pas discret. Quand ils allaient déjeuner et dîner, sa démarche était différente de l’habitude, son anus ressentant encore le « passage » de John ou parce que, même après une longue sodomie, elle devait porter un plug de six centimètres de large, qui continuait de lui dilater l’anus, et qui restait bien en place car sécurisé par une crotchrope ultra-serrée. Le soir, en revanche, elle portait un plug « de circonstance », c’est-à-dire « habillé » d’un faux diamant rouge ou rose, selon l’envie. Comme à cette soirée-spectacle où ils avaient trouvé deux places au dernier rang pour être tranquilles et où Eva avait discrètement masturbé John jusqu’au bout. Elle avait recueilli son sperme dans sa main qu’elle avait ensuite porté à sa bouche pour le lécher et l’avaler.
Rentrés de voyage, John se révéla un Maître exigeant, mais bienveillant et toujours à l’écoute. Sans surprise, Eva devint une soumise enthousiaste et obéissante. Elle conserva de cette croisière un souvenir mitigé, non parce qu’elle l’avait vécue sous emprise totale et qu’elle vivrait désormais sa relation sous le contrôle exclusif et permanent de John, ce qui la ravissait, mais parce qu’elle ne vit rien des escales et peu de choses du bateau. C’était un « mal » pour un bien, expression quelque peu inappropriée car elle eut beaucoup de plaisir à découvrir ce territoire inconnu qu’elle ressentait sans jamais l’avoir exploré jusque-là, et se donna par la suite sans réserve à cet Homme qui l’avait révélée à elle-même.
Avec John, Eva devint enfin ce dont elle rêvait, une lope oisive et entretenue… avec toutefois un « petit » truc en plus.
Durant les cinq derniers jours, Eva fut autorisée à sortir de la cabine pour découvrir le bateau, se baigner dans les piscines installées sur les derniers ponts et prendre le soleil. Mais elle devait en tout temps être pluggée et en chasteté. Aussi, elle devait porter un pendentif – une flèche pointant vers le haut dans un cercle fermé – qui signifiait « soumis appartenant à un homme » et ne parlait qu’aux initiés. Le soir, elle devait en outre porter des pinces à seins sous sa chemise ou son t-shirt. Un soir, elle vit une femme qui regardait son pendentif avec insistance, un petit sourire aux lèvres. Celle-là devait sûrement avoir un soumis ou une soumise car à l’évidence, elle en connaissait le sens et les implications.
Mais ce qui marqua surtout ces cinq derniers jours fut le sexe débridé auquel John et Eva se livrèrent. La frustration de la période précédente avait décuplé le désir des deux amants et, de fait, leur plaisir. Eva apprit à faire l’amour en cage, attachée et bâillonnée. Le bondage était beaucoup plus léger qu’auparavant car le but n’était pas de lui apprendre l’immobilité, ça elle l’avait appris, mais de faire d’elle une soumise sexuelle. Là encore, Eva n’eut pas de mal à en intégrer les préceptes, se sentant, ainsi dominée, plus lope que jamais. Elle découvrait qu’être entravée pour sucer ou se faire prendre avait pour effet d’exciter davantage John qui, en retour, lui donnait davantage de plaisir. Un cercle vertueux, en somme.
En journée, elle ne se baladait qu’en maillot et en tongs, pluggée et en cage, se demandant si les passagers remarquaient quoi que ce soit. Par hasard, elle recroisa la femme qui baissa son regard vers le maillot d’Eva et, de nouveau, sourit. Eva remarqua à son tour que cette femme portait elle aussi un pendentif, mais en forme de bouclier avec au milieu une croix, signe qu’elle était la Maîtresse d’un ou d’une soumise. Eva lui rendit son sourire, sans baisser le regard.
Parfois, elle devait porter un plug de dilatation verrouillable qui l’empêchait de s’asseoir. Mais elle ne pouvait le porter qu’en short car l’objet est protubérant et n’est donc pas discret. Quand ils allaient déjeuner et dîner, sa démarche était différente de l’habitude, son anus ressentant encore le « passage » de John ou parce que, même après une longue sodomie, elle devait porter un plug de six centimètres de large, qui continuait de lui dilater l’anus, et qui restait bien en place car sécurisé par une crotchrope ultra-serrée. Le soir, en revanche, elle portait un plug « de circonstance », c’est-à-dire « habillé » d’un faux diamant rouge ou rose, selon l’envie. Comme à cette soirée-spectacle où ils avaient trouvé deux places au dernier rang pour être tranquilles et où Eva avait discrètement masturbé John jusqu’au bout. Elle avait recueilli son sperme dans sa main qu’elle avait ensuite porté à sa bouche pour le lécher et l’avaler.
Rentrés de voyage, John se révéla un Maître exigeant, mais bienveillant et toujours à l’écoute. Sans surprise, Eva devint une soumise enthousiaste et obéissante. Elle conserva de cette croisière un souvenir mitigé, non parce qu’elle l’avait vécue sous emprise totale et qu’elle vivrait désormais sa relation sous le contrôle exclusif et permanent de John, ce qui la ravissait, mais parce qu’elle ne vit rien des escales et peu de choses du bateau. C’était un « mal » pour un bien, expression quelque peu inappropriée car elle eut beaucoup de plaisir à découvrir ce territoire inconnu qu’elle ressentait sans jamais l’avoir exploré jusque-là, et se donna par la suite sans réserve à cet Homme qui l’avait révélée à elle-même.
Avec John, Eva devint enfin ce dont elle rêvait, une lope oisive et entretenue… avec toutefois un « petit » truc en plus.
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