Plaisir
Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Ce soir, les voisins, Ava s’en fout. De toute façon, elle ne peut rien faire d’autre que crier son plaisir. Et puis, quand on est une lope soumise, on obéit et on jouit. Un précepte immuable que Marc, son amant, lui a appris, le premier homme (et le seul) qui lui ait jamais fait atteindre l’orgasme et qui la fasse jouir comme il le fait en cet instant. Il faut dire qu’il lui travaille le cul comme jamais personne n’avait osé le faire jusqu’à présent.
Ce soir, en général un par semaine, elle a décidé de lâcher prise et de se plonger dans son subspace, cette sorte d’état second qu’une soumise se conditionne à atteindre pour profiter à 300% de ses sensations. D’habitude, elle y entre d’autant plus facilement qu’elle est stressée et a besoin de se détendre. Mille fois meilleur qu’un bon bain chaud. Pour elle, c’est un relâchement bénéfique, une pause jouissive dans ses journées surchargées.
Donc, ce soir, elle ferme sa gueule et se soumet... tout en gueulant tout ce qu’elle peut, tant son Régulier lui donne du plaisir.
Car ce soir, Il la sodomise tout en la pénétrant en alternance avec un gode vibrant. Il la sait très anale. En fait, c’est la seule lope qu’il connaisse capable de jouir analement. Et il sait aussi que cette « double-pénétration » va la rendre folle. C’est le deuxième orgasme consécutif qu’il lui procure, imperturbable, avec des mouvements de bassin d’une régularité méticuleuse, quasi métronomique. En fait, pour elle, le plaisir est tel qu’elle ne sait plus où aller dans sa tête pour y échapper.
C’est qu’elle a un amant créatif, particulièrement intense et en même temps très en contrôle, qui la surprend à chaque fois. Elle ne sait jamais à quoi s’attendre avec lui. Et elle adore ça. Toute sa vie, elle avait cherché « quelque chose de plus », sans bien savoir quoi au juste. Elle avait essayé le libertinage, l’échangisme, mais il lui manquait… l’essentiel. Et puis elle l’avait rencontré, lui, et l’avait « reconnu », au premier regard, comme « le bon ». Avec lui, elle s’épanouit au-delà même de ses espérances.
Ce soir, elle est attachée en croix et à plat ventre, les membres en extension maximale, fixés aux quatre coins du lit, aveuglée par un blindfold, bâillonnée par un ballgag, incapable de bouger ou, plus exactement, d’esquiver quoi que ce soit.
Et lui adore alterner plaisir et douleur. Il s’est retiré et a remplacé sa queue par le gode vibrant. Presque dans le même mouvement, il s’est saisi du martinet et commence à lui fouetter les fesses. Là aussi, les coups s’abattent à un rythme ni trop rapide ni trop lent. Si bien qu’elle n’a pas le temps de reprendre ses esprits. Et dans sa tête, la jouissance qui vient à peine de la secouer se mêle subtilement à la morsure qui désormais meurtrit implacablement sa chair. Mais la sensation n’est pas encore claire. Pour l’heure, elle ne sait pas s’il faut continuer de jouir ou commencer à crier de douleur. Le martinet l’a surprise dans son plaisir.
La bouche bien remplie par ce bâillon en caoutchouc dur, elle ne peut ni parler ni crier comme elle le voudrait. Tout ce qu’elle peut faire, c’est proférer des sons un peu informes et de loin pas aussi puissants qu’elle le voudrait. Elle a même presque envie de s’arrêter de crier, fatiguée d’entendre sa propre voix résonner dans son crâne. Mais voilà, l’action inexorable et conjuguée du martinet et du gode vibrant ne lui en donne pas la permission.
Soudain, les coups s’arrêtent, la laissant presque sur sa faim. Paradoxe suprême: elle voudrait qu’il s’arrête, et quand il s’arrête, elle voudrait qu’il continue. Quelques secondes passent (elle entend son amant fouiller dans son sac, ce fameux sac noir qui contient tous ses instruments de plaisir), puis un coup sec s’abat subitement sur la plante de son pied droit. Il a pris la cravache et s’est posté hors du lit, au milieu de ses jambes, de façon à pouvoir frapper sans se déplacer. Les coups sont secs et bien assenés. L’effet est immédiat et la réaction ne se fait pas attendre: elle pousse un nouveau cri, plus de surprise que de douleur. Tout du moins pour le premier. Car pour la suite, c’est une autre histoire. Elle déteste ce jeu-là, car avec ses jambes tendues au maximum, elle peut difficilement éviter les coups qui pleuvent maintenant sur ses deux pieds gainés de bas noirs à couture, qu’il aime particulièrement. Et pour créer la surprise, il ne frappe jamais en alternance.
Deux minutes, deux petites minutes à ce rythme-là sont pour elle une torture digne de l’Inquisition.
Et puis tout s’arrête, les coups font place à un silence qui n’est troublé que par ses halètements.
Il détache ses poignets sans les rattacher, lui laissant la liberté de se relever sur les coudes afin de respirer un peu. Qu’elle croit. Car à peine a-t-elle changé de position qu’il est monté sur le lit pour s’agenouiller devant son visage. L’attrapant fermement par les cheveux, il lui ôte le bâillon et lui enfourne prestement sa queue le plus profondément possible dans la bouche. Si bien qu’elle n’a le temps ni de crier ni de dire le moindre mot. Tout juste peut-elle laisser échapper un bruyant soupir, immédiatement étouffé par le membre de son amant qui s’enfonce en elle de toute son amplitude. Comme à son habitude, elle est prise de haut-le-coeur qui ne semblent pas le perturber car, sourd à ses réactions, il continue tranquillement son va-et-vient. De plus, il a pris soin de se placer le plus près possible de son visage, ses jambes repliées sur ses bras, pour s’assurer, si besoin était, qu’elle ne bougera pas. Si bien que pour sortir de sa bouche, il lui faudrait reculer. Elle est décidément à sa merci.
Ainsi cambrée et bloquée dans cette position, elle n’a d’autre choix que de subir. Incapable d’avaler sa salive, elle bave abondamment et avale ce pieu comme une marionnette sans fil.
Et, pendant qu’elle se fait baiser la bouche à un rythme qu’elle ne peut contrôler, elle sent le martinet s’abattre à nouveau sur ses fesses. Certaines lanières se frottent même par moments à sa chatte de lope écartée par la position imposée par les liens au pied du lit. Elle sursaute deux fois. Une première fois de surprise. Une seconde sous l’effet du gode qui la pénètre toujours et qu’il a veillé à maintenir solidement en place par une crotchrope. Mais il y a d’autres coups et voilà qu’elle se remet à crier, de ces cris la bouche pleine interrompus par une queue qui s’insinue au fond d’une gorge, ne lui permettant de s’exprimer que par intermittence.
Cris étouffés, haut-le-cœur et bruits de succion baveux, plus une vue plongeante sur un cul de déesse, rouge et sans défense… il adore ça.
Mais pas autant qu’elle.
Soudain, il se retire sans avoir joui. Encore une fois, elle n’a pas le temps de réagir que sa bouche est de nouveau remplie par le ballgag. Sa mâchoire commence à être sérieusement endolorie.
Il se place alors derrière elle et la sodomise de nouveau mais cette fois sans ménagement. Elle croit défaillir sous les assauts incessants de son infatigable amant. Elle a un orgasme, puis deux, puis perd de nouveau le compte. Car il lui a pris les cheveux et les tire en arrière pour la forcer à se cambrer et à avoir les bras un peu tendus qu’ils ne le sont déjà. Tout en la chevauchant, il la fesse d’une main comme une pouliche qu’il monterait à cru. Elle, tentant vainement de résister aux vagues de plaisir qui l’emportent, ne sent plus les coups. Elle ne fait désormais plus qu’un avec son amant.
Il respire de plus en plus vite, son corps se tend, ses yeux se ferment, son buste se rejette vers l’arrière et enfin, à son tour, il va pour se libérer, non sans avoir eu l’élégance d’attendre qu’elle ait joui une dernière fois. Les deux amants se rejoignent dans le plaisir, en se moquant comme de leur première culotte de l’avis des voisins.
Ce soir, les voisins, Ava s’en fout. De toute façon, elle ne peut rien faire d’autre que crier son plaisir. Et puis, quand on est une lope soumise, on obéit et on jouit. Un précepte immuable que Marc, son amant, lui a appris, le premier homme (et le seul) qui lui ait jamais fait atteindre l’orgasme et qui la fasse jouir comme il le fait en cet instant. Il faut dire qu’il lui travaille le cul comme jamais personne n’avait osé le faire jusqu’à présent.
Ce soir, en général un par semaine, elle a décidé de lâcher prise et de se plonger dans son subspace, cette sorte d’état second qu’une soumise se conditionne à atteindre pour profiter à 300% de ses sensations. D’habitude, elle y entre d’autant plus facilement qu’elle est stressée et a besoin de se détendre. Mille fois meilleur qu’un bon bain chaud. Pour elle, c’est un relâchement bénéfique, une pause jouissive dans ses journées surchargées.
Donc, ce soir, elle ferme sa gueule et se soumet... tout en gueulant tout ce qu’elle peut, tant son Régulier lui donne du plaisir.
Car ce soir, Il la sodomise tout en la pénétrant en alternance avec un gode vibrant. Il la sait très anale. En fait, c’est la seule lope qu’il connaisse capable de jouir analement. Et il sait aussi que cette « double-pénétration » va la rendre folle. C’est le deuxième orgasme consécutif qu’il lui procure, imperturbable, avec des mouvements de bassin d’une régularité méticuleuse, quasi métronomique. En fait, pour elle, le plaisir est tel qu’elle ne sait plus où aller dans sa tête pour y échapper.
C’est qu’elle a un amant créatif, particulièrement intense et en même temps très en contrôle, qui la surprend à chaque fois. Elle ne sait jamais à quoi s’attendre avec lui. Et elle adore ça. Toute sa vie, elle avait cherché « quelque chose de plus », sans bien savoir quoi au juste. Elle avait essayé le libertinage, l’échangisme, mais il lui manquait… l’essentiel. Et puis elle l’avait rencontré, lui, et l’avait « reconnu », au premier regard, comme « le bon ». Avec lui, elle s’épanouit au-delà même de ses espérances.
Ce soir, elle est attachée en croix et à plat ventre, les membres en extension maximale, fixés aux quatre coins du lit, aveuglée par un blindfold, bâillonnée par un ballgag, incapable de bouger ou, plus exactement, d’esquiver quoi que ce soit.
Et lui adore alterner plaisir et douleur. Il s’est retiré et a remplacé sa queue par le gode vibrant. Presque dans le même mouvement, il s’est saisi du martinet et commence à lui fouetter les fesses. Là aussi, les coups s’abattent à un rythme ni trop rapide ni trop lent. Si bien qu’elle n’a pas le temps de reprendre ses esprits. Et dans sa tête, la jouissance qui vient à peine de la secouer se mêle subtilement à la morsure qui désormais meurtrit implacablement sa chair. Mais la sensation n’est pas encore claire. Pour l’heure, elle ne sait pas s’il faut continuer de jouir ou commencer à crier de douleur. Le martinet l’a surprise dans son plaisir.
La bouche bien remplie par ce bâillon en caoutchouc dur, elle ne peut ni parler ni crier comme elle le voudrait. Tout ce qu’elle peut faire, c’est proférer des sons un peu informes et de loin pas aussi puissants qu’elle le voudrait. Elle a même presque envie de s’arrêter de crier, fatiguée d’entendre sa propre voix résonner dans son crâne. Mais voilà, l’action inexorable et conjuguée du martinet et du gode vibrant ne lui en donne pas la permission.
Soudain, les coups s’arrêtent, la laissant presque sur sa faim. Paradoxe suprême: elle voudrait qu’il s’arrête, et quand il s’arrête, elle voudrait qu’il continue. Quelques secondes passent (elle entend son amant fouiller dans son sac, ce fameux sac noir qui contient tous ses instruments de plaisir), puis un coup sec s’abat subitement sur la plante de son pied droit. Il a pris la cravache et s’est posté hors du lit, au milieu de ses jambes, de façon à pouvoir frapper sans se déplacer. Les coups sont secs et bien assenés. L’effet est immédiat et la réaction ne se fait pas attendre: elle pousse un nouveau cri, plus de surprise que de douleur. Tout du moins pour le premier. Car pour la suite, c’est une autre histoire. Elle déteste ce jeu-là, car avec ses jambes tendues au maximum, elle peut difficilement éviter les coups qui pleuvent maintenant sur ses deux pieds gainés de bas noirs à couture, qu’il aime particulièrement. Et pour créer la surprise, il ne frappe jamais en alternance.
Deux minutes, deux petites minutes à ce rythme-là sont pour elle une torture digne de l’Inquisition.
Et puis tout s’arrête, les coups font place à un silence qui n’est troublé que par ses halètements.
Il détache ses poignets sans les rattacher, lui laissant la liberté de se relever sur les coudes afin de respirer un peu. Qu’elle croit. Car à peine a-t-elle changé de position qu’il est monté sur le lit pour s’agenouiller devant son visage. L’attrapant fermement par les cheveux, il lui ôte le bâillon et lui enfourne prestement sa queue le plus profondément possible dans la bouche. Si bien qu’elle n’a le temps ni de crier ni de dire le moindre mot. Tout juste peut-elle laisser échapper un bruyant soupir, immédiatement étouffé par le membre de son amant qui s’enfonce en elle de toute son amplitude. Comme à son habitude, elle est prise de haut-le-coeur qui ne semblent pas le perturber car, sourd à ses réactions, il continue tranquillement son va-et-vient. De plus, il a pris soin de se placer le plus près possible de son visage, ses jambes repliées sur ses bras, pour s’assurer, si besoin était, qu’elle ne bougera pas. Si bien que pour sortir de sa bouche, il lui faudrait reculer. Elle est décidément à sa merci.
Ainsi cambrée et bloquée dans cette position, elle n’a d’autre choix que de subir. Incapable d’avaler sa salive, elle bave abondamment et avale ce pieu comme une marionnette sans fil.
Et, pendant qu’elle se fait baiser la bouche à un rythme qu’elle ne peut contrôler, elle sent le martinet s’abattre à nouveau sur ses fesses. Certaines lanières se frottent même par moments à sa chatte de lope écartée par la position imposée par les liens au pied du lit. Elle sursaute deux fois. Une première fois de surprise. Une seconde sous l’effet du gode qui la pénètre toujours et qu’il a veillé à maintenir solidement en place par une crotchrope. Mais il y a d’autres coups et voilà qu’elle se remet à crier, de ces cris la bouche pleine interrompus par une queue qui s’insinue au fond d’une gorge, ne lui permettant de s’exprimer que par intermittence.
Cris étouffés, haut-le-cœur et bruits de succion baveux, plus une vue plongeante sur un cul de déesse, rouge et sans défense… il adore ça.
Mais pas autant qu’elle.
Soudain, il se retire sans avoir joui. Encore une fois, elle n’a pas le temps de réagir que sa bouche est de nouveau remplie par le ballgag. Sa mâchoire commence à être sérieusement endolorie.
Il se place alors derrière elle et la sodomise de nouveau mais cette fois sans ménagement. Elle croit défaillir sous les assauts incessants de son infatigable amant. Elle a un orgasme, puis deux, puis perd de nouveau le compte. Car il lui a pris les cheveux et les tire en arrière pour la forcer à se cambrer et à avoir les bras un peu tendus qu’ils ne le sont déjà. Tout en la chevauchant, il la fesse d’une main comme une pouliche qu’il monterait à cru. Elle, tentant vainement de résister aux vagues de plaisir qui l’emportent, ne sent plus les coups. Elle ne fait désormais plus qu’un avec son amant.
Il respire de plus en plus vite, son corps se tend, ses yeux se ferment, son buste se rejette vers l’arrière et enfin, à son tour, il va pour se libérer, non sans avoir eu l’élégance d’attendre qu’elle ait joui une dernière fois. Les deux amants se rejoignent dans le plaisir, en se moquant comme de leur première culotte de l’avis des voisins.
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Les avis des lecteurs
Superbe, encore ! C’est trop bon !
