La croisière - Les cinq premiers jours

- Par l'auteur HDS envie2gay -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La croisière - Les cinq premiers jours Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La croisière - Les cinq premiers jours
Il y a quelques années, à la faveur d’une rencontre gay, Léo découvrit qu’il aimait être l’objet du désir d’un homme. Il aimait qu’un homme « l’entreprenne » et fasse de lui ce qu’il voulait. Au gré des rencontres, il avait aussi réalisé qu’il mouillait à chaque fois qu’un homme l’entreprenait et n’avait aucun mal à le faire bander. Bonne lope, en somme.

Puis un jour, il a commencé à porter une cage de chasteté, d’abord pour lui-même, puis pour son amant du moment, qui l’avait incité à le faire « pour se concentrer sur l’essentiel », lui avait-il dit pour le convaincre, c’est-à-dire sur son cul en oubliant sa petite queue. Son plaisir devait se résumer à donner du plaisir. Cela convenait parfaitement à Léo qui, sous la coupe de cet amant, devint Eva, ce que Léo, tout émoustillé, accepta sans rechigner. Du coup, Eva se mit à porter sa cage régulièrement, même quand elle n’avait pas d’homme dans sa vie, et resta Eva, surnom qui lui plaisait et la maintenait dans sa féminité. Bonne soumise, en somme.

L’histoire commence en août 2022. John, expat’ américain à Genève, était son mec depuis un peu plus d’un mois. Ils s’étaient rencontrés sur un site VIP sur lequel Eva s’était inscrite pour rencontrer un homme riche et vivre mon rêve de lope oisive et entretenue. Issu d’une famille aisée et parfaitement bilingue, John la couvrait déjà de bijoux, de lingerie et de cadeaux. Entre eux, ça avait matché direct et John considérait un peu Eva comme un trophée qu’il présentait à ses amis gays et sortait dans les soirées chic. Elle était ravie et jouait le jeu, y trouvant son intérêt. Un peu cynique de dire ça comme ça, car même si leur relation était encore « jeune », des sentiments commençaient à poindre entre eux. Elle appréciait vraiment la compagnie de son amant, et pas seulement sa manière de lui faire l’amour, comme il appréciait la sienne, et pas seulement sous la couette. Mais ce « bénéfice » eut un prix.

John avait fait la surprise à Eva de l’emmener en croisière. Pas très écolo, il le savait, mais il en avait très envie, et encore plus de la vivre avec sa nouvelle conquête. Eva, flattée d’une telle attention et adorant les voyages, avait accepté avec enthousiasme, imaginant, outre le sexe qu’elle aimait déjà avec John, le dépaysement, les excursions, les spectacles, les repas de fête, la prise en charge et la détente absolues.

Arrivés à Marseille, ils avaient embarqué le lendemain matin pour une croisière de dix nuits avec escales à Malaga, Cadix, Lisbonne, Alicante, Mahon, Olbia, Gênes et retour. Organisation parfaite, prise de possession de la cabine à 11h, sur le 14e pont, vers l’avant du navire. Pas immense, la cabine était néanmoins suffisamment confortable et possédait un balcon. Cela promettait une semaine à la fois cool et hot.

En fait d’excursions, Eva passa l’essentiel de la semaine cloîtrée dans la cabine, car le nouvel homme de sa vie avait d’autres idées en tête, dont il voulait aussi lui faire la surprise, et qu’elle n’allait pas tarder à découvrir.

Les cinq premiers jours

Peu de temps après le départ, qu’ils suivirent de manière romantique sur le pont supérieur, ils redescendirent en cabine pour se préparer à explorer cet immense bateau.

Eva se déshabilla pour enfiler son maillot de bain, pensant aller barboter dans l’une des piscines à disposition, mais au lieu de ça, John lui ordonna de rester nue. Surprise – n’était-ce pas un peu tôt pour commencer les réjouissances ? – mais excitée à la perspective d’une séance de baise pour étrenner ce voyage, Eva s’exécuta sans mot dire. Puis John sortit de sa valise tout un matériel qu’Eva n’avait jamais vu auparavant : cordes, bâillons, plug, cage de chasteté.

Une fois mise en chasteté, John lui (im)posa un gros ballgag dont il sécurisa la boucle ardillon à l’aide d’un petit cadenas. C’était la première fois qu’elle était réduite au silence (de cette manière). Elle trouva cela excitant. Puis il lui attacha consciencieusement les poignets derrière le dos, la poussa gentiment à plat ventre sur le lit, et lui attacha les chevilles qu’il relia serré à ses poignets.

Pendant qu’il l’attachait, il l’informa qu’il avait décelé en elle une soumise et que cette semaine serait un test pour confirmer son intuition. Pour elle, cette semaine serait donc consacrée à son éducation et le programme venait d’ailleurs de commencer. Surprise devant le soudain changement d’attitude de John, qui se révélait plus autoritaire que d’habitude, Eva ne put répondre, avec ce ballgag de 5 cm de diamètre dans la bouche. Puis John prit quelques photos avec son smartphone et quitta la cabine en la laissant impuissante sur le lit pendant plus d’une heure.

Les « réjouissances » commençaient, elles n’allaient pas s’arrêter de toute la croisière.

John commença par enseigner à Eva la base pour toute soumise : la frustration. Bouger, parler, bander et jouir lui seraient donc interdits pendant l’essentiel des cinq premiers jours et nuits. Eva émit un gémissement mi-triste, mi-paniqué à cette perspective. Cela signifiait que son anus et sa prostate ne seraient pas sollicités pendant cinq jours entiers, mais pire encore, qu’elle vivrait en bondage permanent, cloîtrée sans aucune pitié dans la cabine. Le port de la cage, désormais obligatoire et permanent, ne lui fit pas peur, elle qui bandait de manière très occasionnelle. Au contraire, elle avait presque hâte de se prêter à cette contrainte qui n’en était pas une. Par contre, la perspective de n’être libérée que pour les repas, tout en restant silencieuse en toutes circonstances, lui fit redouter des heures difficiles.

- Et la nuit ?, demanda-t-elle timidement à John quand il lui retira brièvement son bâillon.

Elle passerait ses nuits dans des liens plus légers pour ne pas entraver la circulation et lui permettre de dormir. L’idée d’être bâillonnée quasiment en permanence contribuait à sa frustration, elle qui parlait beaucoup avec John. John s’en était rendu compte et se dit qu’il pourrait en plus profiter d’un peu de silence. Il adorait sa lope, son corps et sa manière de faire l’amour, mais elle avait selon lui un côté bimbo qui parlait décidément beaucoup trop, souvent pour ne rien dire ou pour dire des inepties. Les bâillons lui apprendraient à se taire...

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