Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1288) - histoire érotique

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1288) -
Ce moment dura quelques instants, jusqu’à que Monsieur le Marquis décida de briser ce silence en me disant :
- Bien, Ma petite chienne, le Seigneur et Maître Vénéré que Je suis est heureux de te retrouver tout en sachant que Mes exigences aient été suivies et respectées à la lettre, comme je l’avais ordonné au préalable dans Mon message, il y a moins d’une semaine... Reste dans cette position aussi longtemps que cela me plaira et tant que tu n’auras pas reçu d'ordre contraire de Ma part. J'ai envie de profiter du spectacle qui s’offre devant Moi et de la magnifique chute de tes reins mais aussi de ta belle croupe arrondie de femelle que tu me présentes face à Moi, en cette position agenouillée. Je vois ainsi la belle chienne comme la petite salope que tu es. Je constate que Ma seule présence et cette position de soumission t’excite et te fait mouiller… En effet, tes cuisses et tes jambes sont trempées de ta cyprine de salope. Et donc, il n’y a pas de doute, ni aucune ambiguïté possible, tu aimes cette situation à être traitée de la sorte. Je peux même affirmer, sans Me tromper, que tu y prends beaucoup de plaisir car ta nature de chienne soumise est une Evidence… Bien !… Reste en cette position car tu y es très bien à ta place, celle qui te sied et ne bouge surtout pas, ne fait aucun bruit… Je vais aller visiter ton appartement et je te conseille vivement de rester immobile durant ma petite visite, si tu ne souhaites pas vivre Mon courroux ou pire encore pour toi, Ma déception... J’espère ainsi avoir été clair dans Mes exigences… Reste ainsi je reviens, Ma belle petite chienne…
Je vis les pieds de Monsieur le Marquis avec Ses chaussures en cuir toujours impeccablement lustrées et entretenues se déplacer. J’entendis les bruits de Ses pas se mouvoir sur le carrelage ainsi que sur le parquet. Il se déplaçait ainsi avec classe et raffinement détaillant et observant ainsi tout ce qui s'offrait devant lui de Son noble regard inquisiteur. Il prenait ainsi le temps de jauger l'appartement sous toutes les coutures et je l’entendis ouvrir et fermer les portes. Après plusieurs minutes de visite, le Noble revint et se dirigea vers la cuisine, salon qui n’était qu’une seule et même pièce. Il s’arrêta un instant devant la pièce et sourit. En effet, je lui avais préparé une surprise peu avant qu'il arrive lui préparant une bonne bouteille de Morgon car je savais qu'il aimait tant ce délicieux Beaujolais tout en ne laissant bien sûr rien transparaître dans mon message pour que la surprise puisse être la plus totale possible. J'avais préparé à côté de ce bon cru AOC également quelques charcuteries ainsi que certains fromages posés sur un plateau accompagnés de quelques tranches de pain frais. J’avais aussi déposé un verre à pied. Je savais que le Noble adorait les surprises et j'espérais pouvoir lui faire plaisir.

Monsieur le Marquis sourit et resta un instant silencieux, certainement surpris, presque touché par ma surprise. Le Châtelain prit quelques instants pour se remettre de son émotion, puis je le vis se rapprocher de ma personne avec un large sourire jovial tout en attendant silencieux et un instant afin de me faire patienter encore un peu. Après cinq bonnes minutes, le Noble me regarda avec une douceur infinie et une bienveillance dans Ses yeux d’un bleu azur magnifique. Il avait un regard que je ne lui connaissais pas encore. En effet, je ne l'avais jamais vu me regarder avec autant de douceur et de bonté. Après un petit moment, Monsieur le Marquis me prit délicatement le visage entre Ses larges mains me forçant à relever la tête me forçant à soutenir Son regard, lequel j’avais bien du mal à soutenir tant celui-ci était Dominant et aussi tellement profond à la fois. Un regard qu’on ne l’oublie pas, si intense et tellement puissant de sens. Après un bref instant où j’eus toutes les peines du monde à soutenir ces yeux bleus profonds, le Châtelain relâcha enfin mon menton, m'autorisant enfin à baisser mon propre regard. En effet, j’avais toutes les peines du monde à le regarder ne me sentant pas en position de regarder un Dominant tel que Lui, dans les yeux, même si bien sûr cela était Sa volonté. Puis après quelques minutes sans geste ni bruit de Sa part, Monsieur le Marquis me dit de Sa voix si charismatique et si suave, qui me faisait aussi bien frémir que m'exciter :
- Ma belle petite chienne … je tiens à t’exprimer ma sincère gratitude pour la surprise que tu m’as faite. J’apprécie ô combien celle-ci qui me touche... Je veux que tu sois à Mes pieds à quatre pattes pendant que je prendrais le temps de déguster ce bon vin et ce qui l’accompagne… Allez, viens Ma salope, ne me fais pas plus attendre et rejoins-Moi à cette belle table pour être à Mes nobles pieds comme la petite chienne que tu es... Et si tu te comportes bien, tu auras le droit à becqueter quelques miettes de Mon repas que je te donnerai de Ma propre main, ce qui reste un privilège et un honneur pour toi… D'ailleurs, j’exige que tu Me présentes ta croupe, je la trouve beaucoup trop blanche à Mon goût. Je vais faire rougir tes fesses de petite chienne, mais attention ce n’est pas une sanction. Ceci est juste pour Mon bon plaisir et Ma satisfaction, et sache que ton avis M'importe peu. Je veux que tu te présentes en quadrupédie en bonne la chienne sous la table, face à moi, tête baissée, regard rivé sur Mes chaussures. Aller, exécution !...

Après que Monsieur le Marquis m'ait rougit le fessier, comme il le voulait, je me glissais sous la table dans le but de suivre Ses exigences et ainsi Le satisfaire. Je me mettais donc en position face à la chaise sur laquelle il allait s'asseoir. Après que le Châtelain ait vérifié que Ses directives soient suivies, il prit le temps de s'asseoir et je l’entendis rapprocher le plateau pour commencer à déguster son contenu. Au bout de quelques minutes, il se mit à me caresser, le cuir chevelu et mon visage de manière affectueuse. Parfois, il prenait quelques petits morceaux de fromage et de charcuterie qu'il découpait Lui-même et me le tendait avec Sa main au niveau de ma bouche pour que je lape ceux-ci, avec bien sûr interdiction d'utiliser mes mains telle une véritable chienne animale. J’étais bien trop flattée de l’honneur que Monsieur le Marquis me faisait en daignant bien vouloir partager Son repas avec la chienne soumise que je suis et qui Lui appartient, trop comblée de ce moment de partage entre le Maître Vénéré et moi, Sa petite chienne….

J’appréciais ce moment de plénitude où chacun était à sa place qui lui convenait à l’évidence par rapport à nos Nature respective et pour notre plus grand plaisir et bonheur aussi bien à l'un qu'à l'autre. Après avoir goûté la charcuterie et le fromage, Monsieur le Marquis me fit l'honneur de me tendre son verre rempli de Morgon au niveau de ma bouche. Après avoir obtenu l’autorisation du Seigneur et Maître Vénéré de finir Son verre de Beaujolais, je lapais, comme la chienne que je suis, jusqu’à la dernière goutte dans son verre à pied ce si bon vin. Avec ma langue m'appliquant n'en laissant bien sûr pas couler et échapper la moindre goutte aussi bien au sol qu’en dehors du verre. Une fois fini, je me mis en position à quatre pattes comme je l’étais précédemment et attendit patiemment qu'il finisse sa dégustation... Quand tout à coup, le Maître me dit de Sa voix claire :
- Bien Ma belle petite chienne, je suis fier de toi pour le moment mais ceci n’est pas une raison pour toi pour te relâcher et commettre d’éventuelles fautes par la suite… Pour remercier le Maître Vénéré et Seigneur d’avoir partagé Son repas avec la chienne soumise que tu es, j'exige que tu viennes Me présentes tes hommages à Mes pieds. Pour se faire, tu vas venir me lécher et nettoyer Mes chaussures en bonne chienne que tu es. Tu arrêteras seulement quand tu entendras un claquement de doigts de Ma part. Puis, tu attendras agenouillée, tête baissée, mains derrière le dos, le temps que j’aurai décidé Ma prochaine exigence… Ne perdons pas plus de temps exécution !, dit-il d’un ton extraordinairement autoritaire, particulièrement dominant, je dois bien l’avouer.

Je commençais à lui lécher et lui lustrer Ses chaussures alternant de l’une à l'autre avec application et soin tellement heureuse et reconnaissante d’être à Ses nobles pieds et ainsi de pouvoir vivre, être l'une de Ses chiennes soumises. Je m’appliquais donc à Le satisfaire du mieux que je le pouvais en lavant avec ma langue le cuir qui me semblait de haute qualité et m'employais à faire briller Ses chaussures. Etant excitée par la situation, ma cyprine commença à couler légèrement sur mes cuisses ayant bien sûr toutes les peines du monde à contenir mon excitation grandissante comme la chienne en chaleur que je suis. Je continuais ainsi à Lui lécher les chaussures avec une totale dévotion et adoration et m'appliquant pour mieux Lui plaire et Le satisfaire par la même occasion. Je ne savais pas encore combien de temps Monsieur le Marquis exigerait que je Lui lèche Ses chaussures et je m'abstenais pourtant de toute remarque sachant bien que cela serait mal venu et provoquerait sans en douter le mécontentement et l'insatisfaction du Maître Vénéré et du Seigneur.

Au bout d'un moment, je sentis que Monsieur le Marquis se mit à bouger et j’entendis le bruit distinct du claquement de Ses doigts. Je m’arrêtais donc de lécher Ses chaussures et me redressa pour rester agenouillée, immobile, le regard baissé, attendant la moindre exigence qui allait venir de Sa noble personne. J'attendais dans le plus grand des silences le moindre signe, geste ou bien une parole venant de Sa noble personne. Cette attente dura une petite quinzaine de minutes. Après ce long et intense moment de silence et d'immobilité, Monsieur le Marquis me prit par le menton avec Ses larges doigts avec une douceur infinie pour me relever la tête que j'avais gardé baisser durant tout ce temps. Il exigea de moi, Sa chienne soumise que je le regarde de nouveau dans Ses yeux bleus, ce qui me mit encore mal à l’aise de soutenir Son regard si Dominant. Après un bref instant, le Seigneur et Maître Vénéré prit la parole pour me dire d’un ton très doux, presque mélodieux :
- Bien, Ma belle petite chienne soumise, je suis fier de toi et de ta soumission. Tu as su suivre Mes exigences à la lettre. C’est pourquoi, je vais t’autoriser l’orgasme en pénétrant seulement deux de tes trois trous. Je vais en effet pénétrer seulement ton anus et ta chatte de salope. Et tu auras le droit de jouir mais à la condition de me demander l'autorisation à chaque fois avant et que cette demande soit acceptée par Ma noble personne... En ce qui concerne ton troisième trou, ta cavité buccale, sache que Ma bite est réservée aux bouches expérimentées et à celle qui maîtrise l'art de la fellation. Tu ne mérites pas cet honneur pour le moment…
(A suivre …)