Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1337)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1337)
Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1337) -
Je m’appliquais avant tout parce que je souhaitais satisfaire le Maître et ne surtout pas Le décevoir à une de Ses fameuses soirées ... Je continuais donc mon travail de fellation sur la queue du Commandant avec application et vigueur en mettant mes mains derrière le dos comme il avait été exigé car n’ayant, bien sûr, pas reçu l’autorisation d’utiliser mes mains pour cette mise en bouche. Je me hâtais ainsi de sucer sa verge et de lécher ses couilles afin de faire monter son excitation pour faire durcir son vit. Plus le temps passait et plus je sentais la bite du Commandant commencer à gonfler et durcir dans ma bouche de chienne salope soumise. Après un petit moment, je sentis sa main appuyer sur ma tête, quand j’entendis la voix mélodieuse, claire et autoritaire du Maître Vénéré d'un ton sans réplique :
- Ma chienne Maera, tu avaleras toute la semence de mon ami le Commandant quand il éjaculera dans ta bouche de chienne salope sans en laisser couler la moindre goutte au sol, sinon tu seras sanctionnée. Considère et apprécies cet honneur à sa juste valeur, ma salope, m’ordonna Monsieur le Marquis pour conclure cet ordre.
Seulement quelques minutes que le Maître Vénéré eut fini de me donner sa directive, je sentis venir le sperme chaud de Monsieur le Commandant. En effet, les soubresauts de sa queue, un léger coup de reins profond, un ferme maintien derrière ma nuque de ses deux puissantes mains, son souffle qui s’accélérait me firent comprendre qu’il allait gicler sa semence. J’entendis alors, en plus de ces indications annonciatrices de son orgasme, ses râles de jouissance et de plaisirs alors qu’il éjaculait dans ma cavité buccale prenant ma bouche comme un simple trou vide couilles. Je m’empressais alors de tout avaler pour ne pas laisser couler la moindre goutte de ce précieux nectar et souhaitant par-dessus satisfaire l’Exigence que m'avait donné précédemment le Maître auquel j’avais l’immense chance d’appartenir. Une fois que j’eus fini d'avaler, j’attendais la prochaine directive et me mettais ainsi en position d’attente les bras derrière le dos à genoux, baissant la tête. J’entendis alors d’un ton laconique l’ami du Noble, m’ordonner :
- Nettoie Ma verge, chienne Maera, je ne veux voir plus aucune trace de ma semence sur ma queue.
Je nettoyais avec entrain, harde et application sa verge qui s’était ramollie suite à l’éjaculation. Je m'appliquais sentant le regard profond et Dominant du Maître Vénéré, scrutant le moindre de mes faits et gestes. Une fois que cette tâche fut finie, je me remis en position d’attente et j’attendis... Un moment après, un claquement de doigts de Monsieur le Marquis d’Evans me fit presque sursauter. J’étais si heureuse d’entendre ce son et m'empressai d'aller le rejoindre à Ses pieds là où était ma place. Je me déplaçais à quatre pattes et une fois à Ses nobles et vénérables pieds, je me remis en position d’attente, les jambes bien écartées et j’attendis de nouveau, les sens en éveil, soumise à Son bon vouloir... Je sentis alors la main du Maître fouillant à l’intérieur de ma chatte à la recherche d’une trace d’humidité. Je gardais ainsi la tête baissée pendant tout ce temps. Je vis que le Châtelain Vénéré approchait Sa main de ma bouche pour me dire d’un ton calme et à la fois si Dominant :
- Nettoie et lèche ta mouille, Ma chienne salope, je ne veux voir plus aucune trace ni goutte de ta cyprine sur ma main. J’exige qu'elle soit propre, conclut le Maître de Sa voix charismatique montrant toute Sa prestance.
Je me mis alors à lécher et à nettoyer avec ma langue de salope et chienne en chaleurs Ses doigts un par un consciencieusement, voire méthodiquement ainsi que Sa main, n’occultant aucune parcelle ni le moindre centimètre de celle-ci. Je m’appliquais à le faire avec adoration, vénération, entrain, reconnaissance envers le Maître tant vénéré et adoré, bien consciente de l’honneur de pouvoir nettoyer et lécher Sa main et ainsi lui montrer toute ma gratitude. Je savourais ainsi être à Ses nobles et vénérables pieds, cette immense chance de m’y trouver. Je continuais n’ayant pas reçu l’ordre de stopper. Quand cette tâche fut finie, j’entendis le claquement de doigts du Seigneur qui me présenta alors Sa main propre vers mes lèvres, instantanément.
Immédiatement je sus ce que j’avais à faire et me mis à embrasser Sa main en signe totale d’adoration, de reconnaissance de ce que le Maître daignait bien m'offrir. Quand le Maître jugea que cela suffisait, il éloigna sa main de ma bouche de chienne. Je restais ainsi immobile dans la position qu'il avait exigée de moi sentant par moment Ses caresses dans mes cheveux comme pour me féliciter face à mon comportement exemplaire à cette soirée... Le repas était déjà bien avancé et les festivités allaient bon train lors de cette soirée dans notre monde de la Domination/soumission… C’est alors que j’entendis la voix du préfet, un vieil ami de Monsieur le Marquis qui s’élevait dans la salle de réception s’adressant ainsi directement au Maître des lieux :
- Mon très cher Édouard, je viens te demander si je puis profiter pleinement et tester personnellement ta nouvelle chienne en prenant possession de son corps de salope surtout au niveau de sa chatte qui me semble des plus accueillante. Je voudrais avoir ton accord, bien entendu, de prendre pleinement possession de ce qui t'appartient car cela est et restera Ta Propriété la plus absolue.
- Mon cher Louis, répondit Monsieur le Marquis d’un ton aimable et amicale, n'oublies pas que tu es mon invité ce soir à cette soirée de notre cercle D/s et donc que toutes Mes chiennes et Mes chiens de Mon Cheptel sont à ta disposition et que tu peux en disposer comme bon te semble... Alors, je te prête bien volontiers Ma chienne Maera mais elle n’aura le droit de jouir uniquement si tu lui en donnes l’autorisation… Chienne Maera, va rejoindre mon ami Monsieur le Préfet et arrête-toi seulement quand tu seras à ses pieds à quatre pattes comme la chienne salope que tu es, m’ordonna-il en concluant d’un ton autoritaire et froid Ses paroles, suite au son si distinct d’un claquement de doigts.
Je me mis immédiatement en mouvement et passais ainsi de la position agenouillée à celle de quadrupédie et me mis en mouvement à quatre pattes pour me diriger vers Monsieur le Préfet. Je progressais ainsi de manière aussi féline et séduisante que je le puisse pour satisfaire le Maître Vénéré. Une fois arrivée à la hauteur et aux pieds du Préfet, je me stoppais immédiatement et attendis ainsi alors patiemment immobile et silencieuse ses prochaines instructions. Ce qui ne tarda pas à venir d’ailleurs, quelques instant après j’entendis distinctement la voix du Préfet, s’adressant à moi :
- Bien, chienne Maera, mets-toi en levrette, les jambes bien écartées et reste ainsi immobile et silencieuse.
Comme je me devais de l’être, je me mis ainsi dans la position exigée et ne bougeais plus, me préparant ainsi à la pénétration vaginale en levrette. Il devait déjà bien bander d’excitation à me prendre car je sentis d’abord son gros gland se frotter contre mes lèvres intimes ainsi que l’ensemble de sa grosse verge à l’entrée de mon vagin déjà très humide voire fortement mouillé et trempé comme une chienne en chaleurs. Monsieur le Préfet me baisait pleinement, je me sentais bien pénétrée profondément dans une cadence puissante et rapide. Je sentais ses va-et-vient de plus en plus vite dans ma chatte et cela m’excitait encore plus, sentant aussi sa verge dure et épaisse en moi. Je tentais tant bien que mal de contrôler mon excitation, mon envie de jouir qui ne faisait qu’augmenter plus le temps passait. Je me concentrais donc pour faire abstraction du monde qui nous entourait et me focalisait ainsi à retenir et contrôler ma subite montée d’excitation, ainsi que mon envie de jouir. Le rythme de ses va-et-vient augmentait ainsi que l’intensité de ce moment. J’étais comme suspendue dans le temps ainsi que dans l’espace, je me focalisais encore et encore pour ne pas jouir et donc ne pas désobéir à l’exigence (de jouir uniquement si Monsieur le Préfet m’en donne l’ordre) du Maître absolu et ne surtout pas le décevoir.
(A suivre …)
Je m’appliquais avant tout parce que je souhaitais satisfaire le Maître et ne surtout pas Le décevoir à une de Ses fameuses soirées ... Je continuais donc mon travail de fellation sur la queue du Commandant avec application et vigueur en mettant mes mains derrière le dos comme il avait été exigé car n’ayant, bien sûr, pas reçu l’autorisation d’utiliser mes mains pour cette mise en bouche. Je me hâtais ainsi de sucer sa verge et de lécher ses couilles afin de faire monter son excitation pour faire durcir son vit. Plus le temps passait et plus je sentais la bite du Commandant commencer à gonfler et durcir dans ma bouche de chienne salope soumise. Après un petit moment, je sentis sa main appuyer sur ma tête, quand j’entendis la voix mélodieuse, claire et autoritaire du Maître Vénéré d'un ton sans réplique :
- Ma chienne Maera, tu avaleras toute la semence de mon ami le Commandant quand il éjaculera dans ta bouche de chienne salope sans en laisser couler la moindre goutte au sol, sinon tu seras sanctionnée. Considère et apprécies cet honneur à sa juste valeur, ma salope, m’ordonna Monsieur le Marquis pour conclure cet ordre.
Seulement quelques minutes que le Maître Vénéré eut fini de me donner sa directive, je sentis venir le sperme chaud de Monsieur le Commandant. En effet, les soubresauts de sa queue, un léger coup de reins profond, un ferme maintien derrière ma nuque de ses deux puissantes mains, son souffle qui s’accélérait me firent comprendre qu’il allait gicler sa semence. J’entendis alors, en plus de ces indications annonciatrices de son orgasme, ses râles de jouissance et de plaisirs alors qu’il éjaculait dans ma cavité buccale prenant ma bouche comme un simple trou vide couilles. Je m’empressais alors de tout avaler pour ne pas laisser couler la moindre goutte de ce précieux nectar et souhaitant par-dessus satisfaire l’Exigence que m'avait donné précédemment le Maître auquel j’avais l’immense chance d’appartenir. Une fois que j’eus fini d'avaler, j’attendais la prochaine directive et me mettais ainsi en position d’attente les bras derrière le dos à genoux, baissant la tête. J’entendis alors d’un ton laconique l’ami du Noble, m’ordonner :
- Nettoie Ma verge, chienne Maera, je ne veux voir plus aucune trace de ma semence sur ma queue.
Je nettoyais avec entrain, harde et application sa verge qui s’était ramollie suite à l’éjaculation. Je m'appliquais sentant le regard profond et Dominant du Maître Vénéré, scrutant le moindre de mes faits et gestes. Une fois que cette tâche fut finie, je me remis en position d’attente et j’attendis... Un moment après, un claquement de doigts de Monsieur le Marquis d’Evans me fit presque sursauter. J’étais si heureuse d’entendre ce son et m'empressai d'aller le rejoindre à Ses pieds là où était ma place. Je me déplaçais à quatre pattes et une fois à Ses nobles et vénérables pieds, je me remis en position d’attente, les jambes bien écartées et j’attendis de nouveau, les sens en éveil, soumise à Son bon vouloir... Je sentis alors la main du Maître fouillant à l’intérieur de ma chatte à la recherche d’une trace d’humidité. Je gardais ainsi la tête baissée pendant tout ce temps. Je vis que le Châtelain Vénéré approchait Sa main de ma bouche pour me dire d’un ton calme et à la fois si Dominant :
- Nettoie et lèche ta mouille, Ma chienne salope, je ne veux voir plus aucune trace ni goutte de ta cyprine sur ma main. J’exige qu'elle soit propre, conclut le Maître de Sa voix charismatique montrant toute Sa prestance.
Je me mis alors à lécher et à nettoyer avec ma langue de salope et chienne en chaleurs Ses doigts un par un consciencieusement, voire méthodiquement ainsi que Sa main, n’occultant aucune parcelle ni le moindre centimètre de celle-ci. Je m’appliquais à le faire avec adoration, vénération, entrain, reconnaissance envers le Maître tant vénéré et adoré, bien consciente de l’honneur de pouvoir nettoyer et lécher Sa main et ainsi lui montrer toute ma gratitude. Je savourais ainsi être à Ses nobles et vénérables pieds, cette immense chance de m’y trouver. Je continuais n’ayant pas reçu l’ordre de stopper. Quand cette tâche fut finie, j’entendis le claquement de doigts du Seigneur qui me présenta alors Sa main propre vers mes lèvres, instantanément.
Immédiatement je sus ce que j’avais à faire et me mis à embrasser Sa main en signe totale d’adoration, de reconnaissance de ce que le Maître daignait bien m'offrir. Quand le Maître jugea que cela suffisait, il éloigna sa main de ma bouche de chienne. Je restais ainsi immobile dans la position qu'il avait exigée de moi sentant par moment Ses caresses dans mes cheveux comme pour me féliciter face à mon comportement exemplaire à cette soirée... Le repas était déjà bien avancé et les festivités allaient bon train lors de cette soirée dans notre monde de la Domination/soumission… C’est alors que j’entendis la voix du préfet, un vieil ami de Monsieur le Marquis qui s’élevait dans la salle de réception s’adressant ainsi directement au Maître des lieux :
- Mon très cher Édouard, je viens te demander si je puis profiter pleinement et tester personnellement ta nouvelle chienne en prenant possession de son corps de salope surtout au niveau de sa chatte qui me semble des plus accueillante. Je voudrais avoir ton accord, bien entendu, de prendre pleinement possession de ce qui t'appartient car cela est et restera Ta Propriété la plus absolue.
- Mon cher Louis, répondit Monsieur le Marquis d’un ton aimable et amicale, n'oublies pas que tu es mon invité ce soir à cette soirée de notre cercle D/s et donc que toutes Mes chiennes et Mes chiens de Mon Cheptel sont à ta disposition et que tu peux en disposer comme bon te semble... Alors, je te prête bien volontiers Ma chienne Maera mais elle n’aura le droit de jouir uniquement si tu lui en donnes l’autorisation… Chienne Maera, va rejoindre mon ami Monsieur le Préfet et arrête-toi seulement quand tu seras à ses pieds à quatre pattes comme la chienne salope que tu es, m’ordonna-il en concluant d’un ton autoritaire et froid Ses paroles, suite au son si distinct d’un claquement de doigts.
Je me mis immédiatement en mouvement et passais ainsi de la position agenouillée à celle de quadrupédie et me mis en mouvement à quatre pattes pour me diriger vers Monsieur le Préfet. Je progressais ainsi de manière aussi féline et séduisante que je le puisse pour satisfaire le Maître Vénéré. Une fois arrivée à la hauteur et aux pieds du Préfet, je me stoppais immédiatement et attendis ainsi alors patiemment immobile et silencieuse ses prochaines instructions. Ce qui ne tarda pas à venir d’ailleurs, quelques instant après j’entendis distinctement la voix du Préfet, s’adressant à moi :
- Bien, chienne Maera, mets-toi en levrette, les jambes bien écartées et reste ainsi immobile et silencieuse.
Comme je me devais de l’être, je me mis ainsi dans la position exigée et ne bougeais plus, me préparant ainsi à la pénétration vaginale en levrette. Il devait déjà bien bander d’excitation à me prendre car je sentis d’abord son gros gland se frotter contre mes lèvres intimes ainsi que l’ensemble de sa grosse verge à l’entrée de mon vagin déjà très humide voire fortement mouillé et trempé comme une chienne en chaleurs. Monsieur le Préfet me baisait pleinement, je me sentais bien pénétrée profondément dans une cadence puissante et rapide. Je sentais ses va-et-vient de plus en plus vite dans ma chatte et cela m’excitait encore plus, sentant aussi sa verge dure et épaisse en moi. Je tentais tant bien que mal de contrôler mon excitation, mon envie de jouir qui ne faisait qu’augmenter plus le temps passait. Je me concentrais donc pour faire abstraction du monde qui nous entourait et me focalisait ainsi à retenir et contrôler ma subite montée d’excitation, ainsi que mon envie de jouir. Le rythme de ses va-et-vient augmentait ainsi que l’intensité de ce moment. J’étais comme suspendue dans le temps ainsi que dans l’espace, je me focalisais encore et encore pour ne pas jouir et donc ne pas désobéir à l’exigence (de jouir uniquement si Monsieur le Préfet m’en donne l’ordre) du Maître absolu et ne surtout pas le décevoir.
(A suivre …)
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