Camélia au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Camélia au Château
Camélia au Château -
Je m’appelle Camélia, je réside dans la région lyonnaise et je suis une jeune femme d’une vingtaine d’années ayant créé ma propre entreprise de conseils pour les affaires et autres conseils de gestion. Une holding de renommée internationale, dont le siège est à Lyon, m’a récemment contacté pour prendre un rendez-vous. J’avoue ma grande surprise qu’une telle société fasse appel à mes services alors que c’est le genre d’entreprise qui ne doit pas manquer de spécialistes relatifs à mon domaine professionnel. Bref, après m’être interrogée, je me décide à me rendre à ce rendez-vous, une démarche indispensable dans mon métier si je veux tout simplement gagner ma vie. Je me rends donc dans le premier quartier d’affaires lyonnais, le fameux quartier de la Part-Dieu. Une fois arrivée à l’adresse indiquée sur le mail me donnant le RDV, je me trouve devant un impressionnant et cylindrique immeuble moderne de béton et de verre que les lyonnais appellent ‘’le crayon’’ qui en fait est le surnom de La Tour Part-Dieu. Je me rends au 26ème étage et sortant de l’ascenseur pour me rendre à la porte de la société ‘’MDE Internationale Corporation’’ laquelle je cherche de mon regard attentif. Je marche dans un long couloir à l'épaisse moquette cramoisie...
Il y a apparemment très peu de bureaux à cet étage, me semble-t-il... Juste un couloir, avec trois portes capitonnées de cuir rouge. Mais je marche directement vers la porte tout au bout et me voici face à l'ultime porte où une magnifique plaque de cuivre mentionnant le nom de la société... Je n'ai même pas le temps de frapper à la porte, celle-ci s'ouvre dans un mouvement souple et silencieux. Une jeune femme brune et souriante me fait signe d'entrer sans un mot et s'écarte pour me céder le passage. Je ne l'ai jamais vue. Je suppose qu’il s’agit d’une secrétaire. Une jolie brune dont les formes sont parfaitement mises en valeur par une jupe droite en cachemire gris, qui s'arrête au-dessus du genou... Un chemisier en soie d'un gris un peu plus clair, très fluide, montée sur des escarpins à hauts talons. Malgré ses cheveux plaqués et tirés en un chignon très strict, elle ne manque pas de charme. Le bureau de la secrétaire est immense. Au moins trois fois plus que le mien. Et d'un luxe ! Je jette un bref coup d'œil sur les tableaux accrochés aux murs et, sans être une experte, je m'y connais un peu, je suis quasiment sûre que ce ne sont pas des copies !
- Monsieur Le Marquis d'Evans vous attend, dit-elle en se dirigeant vers la porte qui donne je suppose sur son bureau. Monsieur le Marquis ? Je devais rencontrer d’après le RDV un certain Monsieur Walter Wilson. Et là, je comprends tout ! Je comprends enfin le véritable but de ce RDV. Tout s’éclaircit dans mon esprit. Sachez pour info que dans ma vie privée, je suis très attirée par les relations de Domination/soumission et ainsi je corresponds virtuellement depuis longtemps avec un certain Monsieur Le Marquis d'Evans qui est de la même région lyonnaise que moi… Je ne l’ai encore jamais rencontré, mais celui-ci m’inspire confiance. Confiance instaurée au fil de nos correspondances et je dois l’avouer, le rencontrer en réel ne me laissera pas indifférente… Celui-ci m’a donc invité à le découvrir en réel par ce moyen détourné d’un prétexte professionnel. Et ce Walter Wilson, je suppose que ce n’est autre que le fameux Majordome de Monsieur le Marquis, j’avoue que je n’avais pas du tout fait le rapprochement quand j’ai reçu le RDV… La secrétaire interrompt mes pensées. Elle m’invite à entrer dans le bureau du Noble. Je m'avance et je passe la porte... La secrétaire s'efface pour me laisser entrer et je pose mon premier pied dans le fameux bureau. Le trac me prend ! Je m'avance, le bureau est immense… Enfin, je ne sais pas si ce mot est suffisant pour évoquer l’espace le plus luxueux que je n'ai jamais vu ! Un carré gigantesque. Sur la droite, il y a une espèce de salon privé, en cuir fauve autour d'une table basse en bois flotté, vernis... une espèce de tronc énorme, superbe ! Et en face, j'oserai dire, loin en face, il y a Son Bureau... un volumineux quadrilatère d'un bois luxueux et d'une épaisseur ! Derrière Son bureau, flanqué contre toute la surface du mur du fond, un immense poster, aux belles couleurs naturelles, représentant la magnifique façade et le parc verdoyant du luxueux Château des Evans que je n’ai vu que virtuellement. Cette gravure donnant à la pièce une tout autre dimension d’espace et de profondeur par un jeu d’optique bien étudié. On se croirait poser devant le fameux Château. D’immenses baies vitrées sur les côtés donnant une lumière naturelle à l’ensemble. Monsieur Le Marquis d'Evans est assis derrière son bureau, dans un fauteuil de cuir brun... Il lève un bras et me fait signe d'avancer vers lui, ce que je fais, bien sûr... deux fauteuils sont installés côté visiteur. Il m'en désigne un du geste : - Assis toi, Camélia, nous avons à parler
Je m’assis dans le fauteuil en faisant attention de ne pas croiser les jambes devant lui. Son charisme n’avait d’égal que sa prestance et j’avoue que j’étais fort impressionnée d’être enfin en Sa présence. Il me regarda et me jaugea des pieds à la tête de haut en bas et inversement dans un parfait silence, on n’entendait aucune mouche voler ! Le simple fait qu’il me scruta ainsi provoqua en moi une réaction m’incitant à baisser la tête instinctivement. Mais aussi mon bas-ventre ressentait une forte excitation en Sa présence et commençait à s’humidifier face à cette situation. Je n’osais briser ce silence sachant que toute parole sera malvenue sans avoir reçu l’autorisation au préalable de parler. Je gardais le regard rivé au sol et ressentait, sans le voir, Son regard si profond et dominant me détailler telle une œuvre d’Art. C’est à ce moment précis, plongé dans mes pensées, qu'il décida de briser le silence :
- Camélia, est-ce une façon de se tenir, avachie sur un fauteuil ?, accuse le Noble d’un ton sévère et dominant. Donc redresse-toi, dos droit, jambes écartées et les mains posées sur les deux accoudoirs du fauteuil et garde la tête baissée et le regard rivé au sol. N’oublie jamais devant qui tu es…
Pendant ce temps, alors que je me redressais et adoptais la position demandée comme envoûtée par Ses mots et Ses paroles, Son charisme, Sa voix calme et puissante mais sans concession, je ressentais alors encore une plus forte excitation en pensant à nos nombreux échanges sur Skype ainsi qu’à la chance et l’honneur que j’avais enfin me retrouver en Sa présence. C’est à ce moment qu'il décida de se lever son fauteuil pour s’approcher de moi silencieusement tel un prédateur fonderait sur sa proie. Il commença à tourner autour du fauteuil, me jaugeant de la tête aux pieds. Je ne sais combien de temps a duré ce manège avant qu’il ne rompe de nouveau ce silence mais je peux vous le dire ce temps m’a paru comme suspendu ou une éternité :
- Camélia, ça fait longtemps même très longtemps que je t’observe et que je ne te quitte plus des yeux si je puis dire. Il y a longtemps que j’ai deviné qui tu es, ce que tu es, par tes mots, tes réactions et ton assiduité sur mes récits ainsi que nos nombreuses discussions. Ta véritable Nature ne fait aucun doute. A l’évidence, il y a une soumise, profondément soumise, qui sommeille en toi et qui ne demande qu’à se réveiller, qu’à s’épanouir. Ca fait bien longtemps que je l'ai compris et je compte te faire devenir Ma chienne, Ma soumise… Si tu l’acceptes, bien entendu, car sache que je n’ai jamais forcé personne et que ce n’est pas aujourd'hui que ça commencera. Donc je te laisse réfléchir, maintenant que tu sais pourquoi tu es là. Je vais quitter ce bureau 5 minutes et quand je reviens si je te retrouve dans ce fauteuil assise, je comprendrais que tu déclines ma proposition qui ne se reproduira pas car je ne donne jamais une deuxième chance d’être sous Mon joug. Et tu pourras partir sans aucun souci. Si à contrario, tu adhères à ma proposition, je veux te retrouver à genoux, là, au milieu de cette pièce, dénudée totalement, mains croisées derrière le dos, tête baissée, comme la salope que tu es…
Puis il quitta la pièce sans aucun autre mot, me laissant seule avec mes mille pensées qui tournaient en boucle dans mon esprit. Je pesais le pour et le contre, mais comment lutter quand la Nature de ce que l’on est nous rattrape ! J’étais à la fois troublée, trempée et un bonheur jamais ressenti me submergeait. Alors ma décision fut vite prise et je quittais donc le fauteuil en cuir dans lequel j’étais installée et me mis dans la position qu'il avait exigé, agenouillée, une fois que je me fus déshabillé. Je restais là silencieuse à attendre son retour et je l’avoue dans un bien-être intérieur total que rien ne pourrait venir troubler… Le Châtelain revint, claquant la porte, et il me vit ainsi positionné. Il comprit donc le sens de ma réponse et s’approcha. Il prit mon menton de sa main pour me relever le visage et me forcer à le regarder droit dans Ses yeux bleus et profonds et à soutenir son regard. C’est alors qu’il me dit :
- Regarde-moi bien dans les yeux quand je te parle et je te dirais alors seulement quand tu pourras les baisser.
Je le regardais donc dans les yeux ayant bien du mal à soutenir Son regard si dominant :
- Ainsi donc, je ne m'étais pas trompé, dit-il d’un ton imposant et fier. Maintenant que les choses sont claires entre toi et moi. Il est temps que tu vives ta condition de soumise à Mes pieds. Mets-toi à quatre pattes et viens me nettoyer les chaussures avec ta langue. Je veux qu’elles soient brillantes et applique toi …
(A suivre …)
Je m’appelle Camélia, je réside dans la région lyonnaise et je suis une jeune femme d’une vingtaine d’années ayant créé ma propre entreprise de conseils pour les affaires et autres conseils de gestion. Une holding de renommée internationale, dont le siège est à Lyon, m’a récemment contacté pour prendre un rendez-vous. J’avoue ma grande surprise qu’une telle société fasse appel à mes services alors que c’est le genre d’entreprise qui ne doit pas manquer de spécialistes relatifs à mon domaine professionnel. Bref, après m’être interrogée, je me décide à me rendre à ce rendez-vous, une démarche indispensable dans mon métier si je veux tout simplement gagner ma vie. Je me rends donc dans le premier quartier d’affaires lyonnais, le fameux quartier de la Part-Dieu. Une fois arrivée à l’adresse indiquée sur le mail me donnant le RDV, je me trouve devant un impressionnant et cylindrique immeuble moderne de béton et de verre que les lyonnais appellent ‘’le crayon’’ qui en fait est le surnom de La Tour Part-Dieu. Je me rends au 26ème étage et sortant de l’ascenseur pour me rendre à la porte de la société ‘’MDE Internationale Corporation’’ laquelle je cherche de mon regard attentif. Je marche dans un long couloir à l'épaisse moquette cramoisie...
Il y a apparemment très peu de bureaux à cet étage, me semble-t-il... Juste un couloir, avec trois portes capitonnées de cuir rouge. Mais je marche directement vers la porte tout au bout et me voici face à l'ultime porte où une magnifique plaque de cuivre mentionnant le nom de la société... Je n'ai même pas le temps de frapper à la porte, celle-ci s'ouvre dans un mouvement souple et silencieux. Une jeune femme brune et souriante me fait signe d'entrer sans un mot et s'écarte pour me céder le passage. Je ne l'ai jamais vue. Je suppose qu’il s’agit d’une secrétaire. Une jolie brune dont les formes sont parfaitement mises en valeur par une jupe droite en cachemire gris, qui s'arrête au-dessus du genou... Un chemisier en soie d'un gris un peu plus clair, très fluide, montée sur des escarpins à hauts talons. Malgré ses cheveux plaqués et tirés en un chignon très strict, elle ne manque pas de charme. Le bureau de la secrétaire est immense. Au moins trois fois plus que le mien. Et d'un luxe ! Je jette un bref coup d'œil sur les tableaux accrochés aux murs et, sans être une experte, je m'y connais un peu, je suis quasiment sûre que ce ne sont pas des copies !
- Monsieur Le Marquis d'Evans vous attend, dit-elle en se dirigeant vers la porte qui donne je suppose sur son bureau. Monsieur le Marquis ? Je devais rencontrer d’après le RDV un certain Monsieur Walter Wilson. Et là, je comprends tout ! Je comprends enfin le véritable but de ce RDV. Tout s’éclaircit dans mon esprit. Sachez pour info que dans ma vie privée, je suis très attirée par les relations de Domination/soumission et ainsi je corresponds virtuellement depuis longtemps avec un certain Monsieur Le Marquis d'Evans qui est de la même région lyonnaise que moi… Je ne l’ai encore jamais rencontré, mais celui-ci m’inspire confiance. Confiance instaurée au fil de nos correspondances et je dois l’avouer, le rencontrer en réel ne me laissera pas indifférente… Celui-ci m’a donc invité à le découvrir en réel par ce moyen détourné d’un prétexte professionnel. Et ce Walter Wilson, je suppose que ce n’est autre que le fameux Majordome de Monsieur le Marquis, j’avoue que je n’avais pas du tout fait le rapprochement quand j’ai reçu le RDV… La secrétaire interrompt mes pensées. Elle m’invite à entrer dans le bureau du Noble. Je m'avance et je passe la porte... La secrétaire s'efface pour me laisser entrer et je pose mon premier pied dans le fameux bureau. Le trac me prend ! Je m'avance, le bureau est immense… Enfin, je ne sais pas si ce mot est suffisant pour évoquer l’espace le plus luxueux que je n'ai jamais vu ! Un carré gigantesque. Sur la droite, il y a une espèce de salon privé, en cuir fauve autour d'une table basse en bois flotté, vernis... une espèce de tronc énorme, superbe ! Et en face, j'oserai dire, loin en face, il y a Son Bureau... un volumineux quadrilatère d'un bois luxueux et d'une épaisseur ! Derrière Son bureau, flanqué contre toute la surface du mur du fond, un immense poster, aux belles couleurs naturelles, représentant la magnifique façade et le parc verdoyant du luxueux Château des Evans que je n’ai vu que virtuellement. Cette gravure donnant à la pièce une tout autre dimension d’espace et de profondeur par un jeu d’optique bien étudié. On se croirait poser devant le fameux Château. D’immenses baies vitrées sur les côtés donnant une lumière naturelle à l’ensemble. Monsieur Le Marquis d'Evans est assis derrière son bureau, dans un fauteuil de cuir brun... Il lève un bras et me fait signe d'avancer vers lui, ce que je fais, bien sûr... deux fauteuils sont installés côté visiteur. Il m'en désigne un du geste : - Assis toi, Camélia, nous avons à parler
Je m’assis dans le fauteuil en faisant attention de ne pas croiser les jambes devant lui. Son charisme n’avait d’égal que sa prestance et j’avoue que j’étais fort impressionnée d’être enfin en Sa présence. Il me regarda et me jaugea des pieds à la tête de haut en bas et inversement dans un parfait silence, on n’entendait aucune mouche voler ! Le simple fait qu’il me scruta ainsi provoqua en moi une réaction m’incitant à baisser la tête instinctivement. Mais aussi mon bas-ventre ressentait une forte excitation en Sa présence et commençait à s’humidifier face à cette situation. Je n’osais briser ce silence sachant que toute parole sera malvenue sans avoir reçu l’autorisation au préalable de parler. Je gardais le regard rivé au sol et ressentait, sans le voir, Son regard si profond et dominant me détailler telle une œuvre d’Art. C’est à ce moment précis, plongé dans mes pensées, qu'il décida de briser le silence :
- Camélia, est-ce une façon de se tenir, avachie sur un fauteuil ?, accuse le Noble d’un ton sévère et dominant. Donc redresse-toi, dos droit, jambes écartées et les mains posées sur les deux accoudoirs du fauteuil et garde la tête baissée et le regard rivé au sol. N’oublie jamais devant qui tu es…
Pendant ce temps, alors que je me redressais et adoptais la position demandée comme envoûtée par Ses mots et Ses paroles, Son charisme, Sa voix calme et puissante mais sans concession, je ressentais alors encore une plus forte excitation en pensant à nos nombreux échanges sur Skype ainsi qu’à la chance et l’honneur que j’avais enfin me retrouver en Sa présence. C’est à ce moment qu'il décida de se lever son fauteuil pour s’approcher de moi silencieusement tel un prédateur fonderait sur sa proie. Il commença à tourner autour du fauteuil, me jaugeant de la tête aux pieds. Je ne sais combien de temps a duré ce manège avant qu’il ne rompe de nouveau ce silence mais je peux vous le dire ce temps m’a paru comme suspendu ou une éternité :
- Camélia, ça fait longtemps même très longtemps que je t’observe et que je ne te quitte plus des yeux si je puis dire. Il y a longtemps que j’ai deviné qui tu es, ce que tu es, par tes mots, tes réactions et ton assiduité sur mes récits ainsi que nos nombreuses discussions. Ta véritable Nature ne fait aucun doute. A l’évidence, il y a une soumise, profondément soumise, qui sommeille en toi et qui ne demande qu’à se réveiller, qu’à s’épanouir. Ca fait bien longtemps que je l'ai compris et je compte te faire devenir Ma chienne, Ma soumise… Si tu l’acceptes, bien entendu, car sache que je n’ai jamais forcé personne et que ce n’est pas aujourd'hui que ça commencera. Donc je te laisse réfléchir, maintenant que tu sais pourquoi tu es là. Je vais quitter ce bureau 5 minutes et quand je reviens si je te retrouve dans ce fauteuil assise, je comprendrais que tu déclines ma proposition qui ne se reproduira pas car je ne donne jamais une deuxième chance d’être sous Mon joug. Et tu pourras partir sans aucun souci. Si à contrario, tu adhères à ma proposition, je veux te retrouver à genoux, là, au milieu de cette pièce, dénudée totalement, mains croisées derrière le dos, tête baissée, comme la salope que tu es…
Puis il quitta la pièce sans aucun autre mot, me laissant seule avec mes mille pensées qui tournaient en boucle dans mon esprit. Je pesais le pour et le contre, mais comment lutter quand la Nature de ce que l’on est nous rattrape ! J’étais à la fois troublée, trempée et un bonheur jamais ressenti me submergeait. Alors ma décision fut vite prise et je quittais donc le fauteuil en cuir dans lequel j’étais installée et me mis dans la position qu'il avait exigé, agenouillée, une fois que je me fus déshabillé. Je restais là silencieuse à attendre son retour et je l’avoue dans un bien-être intérieur total que rien ne pourrait venir troubler… Le Châtelain revint, claquant la porte, et il me vit ainsi positionné. Il comprit donc le sens de ma réponse et s’approcha. Il prit mon menton de sa main pour me relever le visage et me forcer à le regarder droit dans Ses yeux bleus et profonds et à soutenir son regard. C’est alors qu’il me dit :
- Regarde-moi bien dans les yeux quand je te parle et je te dirais alors seulement quand tu pourras les baisser.
Je le regardais donc dans les yeux ayant bien du mal à soutenir Son regard si dominant :
- Ainsi donc, je ne m'étais pas trompé, dit-il d’un ton imposant et fier. Maintenant que les choses sont claires entre toi et moi. Il est temps que tu vives ta condition de soumise à Mes pieds. Mets-toi à quatre pattes et viens me nettoyer les chaussures avec ta langue. Je veux qu’elles soient brillantes et applique toi …
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