Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1371) - histoire érotique

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1371) -
Je fus mainte fois sollicitée durant la nuit en étant réveillée et à chaque fois avant de me faire prendre par un de mes orifices, je me mis à sucer avec gourmandise et avidité Son noble Joyau... Je fus réveillée le matin par Monsieur le Marquis et je me mis de nouveau à Le sucer. Je savourais l’immense honneur qu’Il m’avait accordé d’être autorisée à Le réveiller ainsi en prenant Sa noble Verge en bouche et en Lui prodiguant une fellation comme il m’avait si bien appris à le faire, il y'a de cela seulement quelques mois. Je m'appliquais ainsi à alterner les va-et-vient sur Sa hampe, Son gland en l’aspirant et suçant pour le faire durcir et Lui donner du plaisir avec ma bouche et ma langue de salope en chaleur s'activant ainsi à la tâche qui m’avait été ainsi confié, faisant ainsi tout mon possible pour Le satisfaire pleinement. Après quelques minutes à sucer avec gourmandise plaisir et avidité Son noble Joyau, l’éjaculation n’allait pas tarder à venir... Par la suite, le Maître Vénéré et Seigneur plaça Sa main droite derrière ma tête et empoigna ma chevelure pour enfoncer plus profondément Sa noble queue déjà bien dressée dans le fond de ma gorge de salope…
Seulement quelques instants après, Monsieur le Marquis d’Evans éjacula dans ma bouche de chienne et je sentis la noble semence du Maître Vénéré coulant avec abondance dans ma gorge et je l’avalais avec félicité et bonheur savourant ainsi ce moment intense, faisant très attention de ne pas en perdre une seule goutte, ce qui serait un très grand sacrilège… Après quelques minutes, je me mettais presque instantanément à nettoyer Son noble Joyau. Je n’oubliais pas de lécher la moindre parcelle tout en passant par la hampe, le gland, les bourses et nettoyant le moindre centimètre de Son intimité. Ensuite, j’entendis un claquement de doigts, et je me mis en position d'attente à genoux, ma tête baissée, mes mains dans le dos et mes jambes légèrement relevées et ne touchant pas mes fesses, attendant le bon vouloir du Maître à Ses pieds. J’attendis ainsi en toute docilité me préparant à obéir à Sa prochaine Exigence. C’est alors que le Maître Vénéré claqua de nouveau des doigts puis m’ordonna de Sa voix si suave et si excitante :
- Hum Ma bonne salope et Ma bonne chienne MDE, tu M’as pleinement satisfait ce matin et continue à le faire. Rends-toi à la cuisine vers ma chère cuisinière Marie pour aller chercher Mon plateau qui doit déjà être préparé. Tu dois t’y rendre en quadrupédie tout en adoptant le comportement d'une chienne, c'est-à-dire la tête baissée avec la croupe qui se déhanche de manière féline… Et sans traîner car je t'attends ce plateau et j’ai horreur de patienter trop longtemps et je te sanctionnerais si tu Me fais trop attendre... Aller, va Ma chienne, va !, conclue-t-il d’un claquement de doigts…
Je me mis instantanément en mouvement en descendant du lit et me mis à quatre pattes avec mon collier et ma laisse autour du cou, je sortis de la chambre, je me levais pour ouvrir la porte de la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans et la referma, puis je me remis à me déplacer de manière féline en arpentant les luxueux couloirs capitonnés et les escaliers, à quatre pattes. Je me hâtais donc d’arpenter les couloirs et les escaliers du Château multi centenaire sans perdre de temps, afin ne pas trop faire attendre le Maître Vénéré... Après quelques instants, j’arrivais enfin vers la cuisine du Château et j’entendis alors des éclats de voix provenant de cette immense salle. Je pense que c’est Marie la cuisinière en train de réprimander des frères et/ou des sœurs de soumission. Je rentrais dans la pièce et me fis apostropher par Madame Marie, qui me dit d’un ton sec et cassant :
- Eh bien la chienne, que fais-tu ici ?, me dit Madame Marie d’un ton dédaigneux, sec et autoritaire - Je suis venue chercher le plateau repas du petit déjeuner de Monsieur le Marquis d’Evans, répondis-je d’un ton humble, tout en gardant la tête baissée pour je pas croiser son regard sadique- Ah oui c’est vrai ! Le plateau de Monsieur le Marquis est prêt, il est posé sur la table en face de toi ! Dépêche-toi, je n’aimerais pas qu'il ait à manger froid Ses œufs-bacon, me dit Madame Marie d’un ton directif puis tourna la tête sans plus s’occuper de moi.

Je pris le plateau sans demander mon reste et partis rejoindre en bipédie le Seigneur et Maître Vénéré, tout en me hâtant dans les couloirs et les escaliers pour ne pas le faire trop attendre. Après quelques minutes, j’arrivais dans la chambre du Maître Vénéré, je frappais et attendis Son ordre avant d’entrer. Je rentrais puis Monsieur le Marquis s’adressa à moi et me dit d’un ton calme et si excitant :
- Pose le plateau sur la table basse ici, me montrant celle-ci d'un geste de la main… Et attend ainsi prosternée Mon bon vouloir, me dit-il
Une fois que le plateau fut posé sur la table basse, je me prosternais telle une statue et attendis Son bon vouloir. Je ressentais ainsi pleinement Son regard pesant sur moi et Sa forte Dominance. J’entendis au bout de quelques instants un claquement de doigts :
- Bien, Ma chienne, reste ainsi, tu es très bien dans cette position pendant que je vais manger Mon petit déjeuner et tu seras à Mes Nobles pieds ! Savoure ce suprême honneur que je daigne bien vouloir t’accorder, Me dit Monsieur le Marquis de Sa voix si charismatique
J’attendis ainsi en position agenouillée savourant ce moment passé aux pieds du Maître Vénéré. Je sentais par moment des caresses sur ma crinière de salope et j'en ressentais bun profond bonheur empli de tant de reconnaissance, de plénitude... J’avais parfois la joie de pouvoir picorer dans Sa main quelques miettes de Son repas et de pouvoir Lui embrasser du bout de mes lèvres Ses doigts en signe d’adoration et de reconnaissance.
Après que le Maître Vénéré eut fini Son petit déjeuner, je l’entendis claquant de nouveau des doigts :
- Bien je vais aller prendre Mon bain, tu vas m’attendre ainsi agenouillée que je revienne et ne bouges pas surtout. Je veux te retrouver dans la même position que je t'ai quittée, m’ordonna Monsieur le Marquis.

J’entendis le bruit des pas du Noble s’éloignant. J’attendis ainsi pendant environ trente minutes. Quand Il revint, Il m’ordonna de Le regarder et me fixa les yeux dans les yeux avec intensité. J’eus toutes les peines du monde à soutenir Son regard si intense.

- Bien, Ma chienne Maera MDE, je suis fier de toi et de ton weekend passé en Mon Château.
Tu as fait honneur à Mon éducation et de plus sans fauter. Continue à Me satisfaire pleinement et à toujours honorer Mon éducation et le Maître que je suis. Je te laisse rentrer chez toi et j’attends avec hâte ton compte-rendu sur ton weekend au Château. Tu auras de Mes nouvelles très prochainement pour une prochaine rencontre, mais je ne t’en dis pas plus tu auras la surprise, comme ça. Tu trouveras tes habits dans la voiture, les clés sont sur le contact. Viens que je t’enlève ton collier et ta laisse, tu pourras ensuite rejoindre ta voiture en bipède mais toujours de manière humble avec la tête baissée, conclut le Maître Vénéré en m’embrassant de manière Dominante mais aussi aimante…
(A suivre …)