Chez mon meilleur ami, encore. - histoire érotique

Inutile de préciser qu'après cette humiliation anale, imposée par le père de mon ami, je ne cherche pas à rester trop longtemps chez lui.
Je n'échappe pas à quelques retours chez mon ami, mais je ne reste presque jamais seul avec son père.

Jusqu'à ce jour où mon ami veut me montrer leur nouvelle maison en campagne.
J'ai un an de plus, donc 22 ans.
L'endroit est isolé, loin de tout.

Cette période d'un an, sans qu'il me touche, m'a rassuré, je n'ai même pas eu peur d'accepter de passer le Week end chez mon pote.

Mais, quand la mère et mon ami nous laissent pour faire les courses du Week end, à la zone commerciale de la ville la plus proche, je suis pris de doutes.

Je ne peux pas les accompagner, ils y vont en Renault 5 express, donc avec 2 places uniquement !
Je les vois s'éloigner et disparaitre dans le chemin de terre, alors qu'une main vient me toucher le cul.

"Ah ! Enfin, on est que tous les deux ! Ca fait longtemps que j'attends ça ! Putain ! je commence à bander comme un âne !".
"Monsieur M... ! Vous allez pas recommencer ? S'il vous plait ! Je m'en veux d'avoir fait ça avec vous ! Je commençais à l'oublier !".

"Bien sûr que si, ma p'tite salope ! Fais pas ta vierge effarouchée. Allez pompe moi la bite ! Arrêtes de rechigner ! Tu va bien couiner encore, quand je te baiserai ta p'tite chatte !".

Il m'entraine dans le fond de la cuisine, et m'impose d'assister au déballage de sa grosse verge.

"Allez, vas-y ! Et applique toi ! Comme avant !".
"Monsieur M... !".

Il m'imprime une puissante poussée sur l'épaule, me faisant tomber sur mes genoux d'un coup.

"Suces moi, je te dis ! On perd du temps !".

C'est bon, j'ai compris, c'est pas la peine de lutter, et puis, ce sera meilleur de toute façon, si j'y met du mien !
Je pose ma petite main sur sa base, en englobant ses couilles, puis présente ma bouche au bout de sa verge.
Je lui lèche le gland, en tournant longuement autour.
Je m'en veux, mais c'est une réalité, j'adore lui sucer la bite.
Je me rassure en me disant qu'on les seuls à connaitre ce secret pervers ce qui nous lie.

Il m'attire par la nuque pour me l'enfoncer contre la glotte.
Je commence alors à coulisser sur son gros membre foncé.

"Voilà ! Comme ça, c'est bien ! Tu te régales ! Pas vrai ?".

Je ne veux pas répondre, je m'en veux de bander en lui pompant la bite.

"Réponds moi, p'tite salope !".
"Mmmmmmmm ! Mmmoui ! Monsieur M...! Ca m'excite !".

"Ca se voit ! Tu me suces bien la queue ! Je vais te défoncer ta p'tite chatte après ça ! Tu le sais ?".
"Mmmmm ! Mmmmmmmmm ! Oui ! Je sais ! Il faudra faire vite alors !".

"Oh ! On a le temps, ils reviendront pas avant 1h et demi, voire deux heures ! Je vais bien te casser ton p'tit cul ! Tu vas bien te régaler !".

Il se fait patiemment sucer, en agrémentant de passages dominateurs et pervers.
Je m'en veux encore d'avoir mal à la verge, tellement ça me fait bander.
Puis.

"Bon ! Allez ça suffit ! Je vais t'éclater la chatte ! Maintenant !".

Il me penche sur l'évier en me dénudant avec précipitation.
Il crache vulgairement et abondamment sur mon anus imberbe.

Son énorme gland surgonflé me masturbe l'œillet anal, qui s'ouvre grâce au plaisir que cela m'apporte.

"Ecartes toi les fesses ! Laisses-moi entrer ! P'tite salope !".

J'obéis pour l'aider à me posséder plus aisément.
Puis, il pousse plus fort et plus loin, mon sphincter lâche pour le laisser m'investir.

Je râle longuement et sans retenue, sous cette conquête anale profonde.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Vas-y ! Tu peux gueuler cette fois, on t'entendra pas !".

Il attaque aussitôt ses assauts destructeurs.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh !...".
"Putain ! C'que j'aime te faire couiner ! P'tite salope ! Vas y, gueules encore !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Monsieur M...! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh...".

Je ne sais si il l'a fait exprès, mais ma queue frotte contre le flan de l'évier.
Ce qui entretient mon érection, mais par effet naturel, ça comprime aussi mon sphincter sur sa grosse verge.
Je vis ainsi deux puissants orgasmes anaux, puis un troisième qui me fait crier, et éjaculer mon sperme un peu partout, devant et entre mes cuisses.

"T'as pris ton pied, ma p'tite chienne ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! ...".

Il m'entraine dans le salon, sans déculer, pour me placer en femelle soumise, contre le canapé.
Ca dure quelques minutes dans cette position, puis il me couche sur le ventre, et plonge entre mes cuisses.
Il me laboure comme une femelle, il n'y a pas d'autre mot.

Parfois, il me fait un peu mal, quand sa bite ne trouve pas mes profondeurs, et cogne contre mon coccyx.
Mais ça lui arrive peu de fois.

C'est ainsi qu'il remarque avec moi que je commence à me couler sur le ventre.

"Monsieur M... ! Vous me faites couler ! Stop !".

Il me pose au sol.

"Vas y, ma p'tite chienne ! Ca craint plus rien ! Tu peux pisser autant que tu veux !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Nonnnnnnnnnnnnnnn ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

"Putain, je me régale ! A t'éclater la chatte ! Si j'avais su que t'aimerai autant ça, j't'aurais baisé depuis longtemps ! T'es une vraie p'tite pute ! Si mon fils voyait ce que je mets !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiii... Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

Je joui si puissamment, que je suis surpris par des bruits de râles et grognements.
C'est lui qui se déverse en moi. Je ne l'ai pas vu venir.

Il est vouté en arrière, avec sa grosse verge collée contre mon anus béant.
Tout son corps est crispé, avec plusieurs secousses que je prend encore dans ma jeune chatte.

"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Orhhhh ! Monsieur M... ! C'est bon de vous faire jouir ! J'aime vous recevoir comme ça ! Arhhhhhhhhhh... ! J'ai honte, mais vous m'enculez tellement bien ! Argggggggggghhhhhhh !...".

Il ne dit plus un mot, il se concentre sur sa jouissance.
Enfin, il dit:

"Putain ! Tu m'éclates la bite ! Minot ! J'ai joui comme une bête ! Elle est trop bonne ta p'tite chatte !".
"M... M... Merci Monsieur M... !".

"Ca t'as plu ! Dis pas le contraire ?".
"Ou... Oui ! Mais je m'en veux quand même ! Ca se fait pas !".

"Pourquoi ? Tu baises avec des hommes, non ?".
"Oui !".

"Tu les aimes comment ? Jeunes ou vieux ?".
"Vieux ! Comme vous ! Je me sens plus dominé, quand ils ont votre âge ! Ca m'excite davantage, mais...".

"Ben alors ! Où est le problème ?".
"Vous êtes le père de B... !".

Il s'est retiré de mon trou poisseux.

"On s'en fout de ça, ça reste notre secret ! Tiens ! Fais toi plaisir ! Laves-moi la queue !".

Je n'ai même pas rechigné, je me suis appliqué à lui sucer, lécher et pomper la verge avec un bonheur évident.
J'ai pris l'initiative de lui lécher et gober les couilles, ce qu'il a beaucoup aimé.

On a effacé les traces de nos ébats pervers, il nous restait plus d'une heure à attendre.
J'arrêtai pas de subir des flatulences anales humides et gluantes.
Est-ce c'est, ce qui l'a remotivé ?

Toujours est-il qu'il m'a penché en avant sur la table de la cuisine, et m'a repris la chatte d'un coup.

"Putain ! Ca rentre tout seul ! C'est excellent !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh !... C'est bon ! Encore ! Monsieur M...".

Il s'est branlé dans ma p'tite chatte sans se retenir, cette fois !
Il s'est écroulé sur moi ensuite, on appréciait ce dernier moment de plaisir.
Il s'amuse longtemps avec ma béance anale, entrant et sortant, pour un plaisir partagé.

Puis, on a entendu la voiture qui roulait dans le chemin !
Il a vite rangé sa verge, et je me suis couvert les fesses, en courant aux toilettes.

Il les a accueilli, pendant que je me vidais l'anus, le plus discrètement possible.
J'ai eu du mal à rester naturel après ça !

Il m'a encore rejoint dans la nuit, puis m'a imposé une fellation le lendemain, alors que sa femme et son fils était occupés dans le jardin.
J'ai encore eu honte de moi, de ressentir du plaisir cérébral en ayant son puissant gout de sperme dans la gorge, et en étant proche d'eux.

De retour chez moi, mes scrupules m'ont repris.
Il me coincera quelques fois de plus, puis il est décédé d'un cancer.

Enfin, un jour, son fils m'a parlé de lui, en me révélant qu'il a découvert ses vices cachés grâce à un autre ami, et m'a demandé:

"Dis moi ? T'as pas fait partie de ses victimes ? Rassures-moi ! Parce que je me souviens qu'il t'adorai ! Il t'appelai "Le mignon p'tit Pascal" ! Alors ?".

Comme j'avais le dos tourné, j'ai caché mes larmes de honte, en répondant:

"Non ! Ca va ! Ne t'inquiètes pour ça ! J'en fais pas partie ! Mais je reste étonné, de ce que tu me dis !".

Je ne pouvais pas lui dire !
Comment lui révéler qu'il m'a baisé plus de 12 fois sur plus de 5 ans, sans lui avouer que j'y ai pris du plaisir à la longue ?
Mon ami aussi est décédé, bien plus jeune que son père, c'est bien qu'il n'ai rien su !