Cruelle réalité, impossible de résister - histoire érotique

Pour cette anecdote, je précise que je devais avoir un peu plus de 35 ans.
C'était une période étrange pour moi.

Bizarrement, je ne ressentais plus l'envie de baiser avec d'autres hommes.
On ne m'a plus baisé depuis au moins un an, et ça ne me manque pas.

D'ailleurs, je me met à penser que sans le vouloir, je suis devenu un vrai hétéro !
Et je m'en vente auprès de ma femme, qui connait mon secret.

"Non ! J't'assure ! J'ai plus envie ! Moi aussi, ça m'étonne !".
"Ouais ! Bizarre ! Moi, je pense que c'est pas normal ! T'en as trop besoin !".

Ce qui est étonnant aussi, ce sont les circonstances de ma rechute.
J'ai vécu deux tentations, avec deux hommes différents, et dans les mêmes circonstances.

La première fois, c'était à cause d'un besoin urgent.
A cause d'une forte pluie, je suis pris d'une forte envie d'uriner.
Je cours précipitamment vers des anciennes toilettes publiques, au fond d'un jardin boisé, peu fréquenté.

Je suis surpris par la présence d'un homme, devant un urinoir.
Le type me dévisage d'un air lubrique et vicieux.
Son mouvement sur le coté, me fait voir qu'il se branle la bite.
C'est sûr, il a fini de pisser !

Un grand silence règne, couvert par le bruit de la pluie à l'extérieur.
Il glisse sa langue sous sa lèvre supérieure.
Je connais ce message ! Il veut que je le suce.

Malheureusement pour lui, ça ne me dit plus rien. Et en plus, sa bite est d'une banalité affligeante.
Je capte vite la présence d'un cabinet ouvert, dans lequel, je me glisse pour uriner, sans en fermer la porte.
Le type se colle à moi, et me palpe le cul.
Putain, j'ai pas fini de pisser !

"Hummmm ! Tu m'excites ! Viens ! J'te baise !".
"Quoi ? Non ! Laisses-moi ! J'en ai pas envie ! Désolé !".
"Allez ! Laisse moi te baiser ! Je sais que t'aime la bite, ça se voit !".
"Non ! Branles toi ! Ca va te calmer ! Bye !".

Je suis ressorti, en courant pour me mettre au sec.
J'ai raconté l'anecdote à ma femme, fier de ma réaction, mais en rajoutant.

"En plus, il avait pas une belle bite ! Il risquait pas de me baiser !".

3 à 4 mois après, m'est arrivé quasiment la même chose.
Une grosse envie encore, j'ai une sale manie de me retenir trop longtemps.
Mais après, c'est impossible de tenir, il faut que j'y aille.

Putain, ma vessie va éclater, il faut que je me soulage.
Je viens de quitter mon boulot, et je suis coincé dans le bus.
Je pense au jardin public, où il y a plus de 2 ans, je me faisais enculer couramment.
Il est un peu déserté, en ce moment, ce sera parfait.

En plus, on ne me verra pas avec les arbustes et la nuit qui tombe.
Dès que les portes s'ouvrent, je marche d'un pas rapide, gêné par ma vessie pleine.

J'enjambe la barrière, puis, je m'engouffré derrière le baraquement, et m'y cache des regards indiscrets.
Je peux enfin déballer ma queue, et me libérer de mon besoin.
Je parle à voix basse:

"Orhhhhhhhhhhhh ! Putain, ça fait du bien !".

La lumière du réverbère le plus proche, me permet de voir parfaitement mon jet d'urine, qui forme une énorme tache contre le mur, et sur le sol.
Ca me parait interminable, c'est ma faute, j'aurai pas du me retenir aussi longtemps.

Un bruit de brindilles écrasées, me fait sursauter.
Un homme très, très grand, est à 3 mètres de moi.

Je suis tétanisé, il m'impressionne.
Il s'approche de moi, avec sa braguette ouverte.
Nom de dieu ! Putain ! Il a une bite énorme !
J'ai déjà encaissé plus large, mais quand même, pas aussi long !
Vraiment, elle est super longue ! On dirait un rouleau a pâtisserie !

Qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi, j'ai envie de la sucer ? Non, je vais pas craquer maintenant ?
Allez ! Résistes, Pascal !
Le grand type m'attrape par la nuque, et me plie devant lui.

Il guide sa longue verge entre mes lèvres.
J'hésite un court instant avant d'ouvrir ma bouche, puis en sentant le contact chaud de son gland, j'écarte mes lèvres.

Tout de suite, j'ai un soupir de plaisir en la recouvrant de ma gorge chaude, lui aussi, il aime ça.

"Hummmm ! Orhhh ! C'est bon ! Ouais ! Suces moi bien ! Vas-y !".
"Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm...".

Je crois que j'ai rarement sucé un homme, avec autant de plaisir et d'envie.
J'en suis goulu, gourmand à l'extrême !
Tout me revient, le plaisir pervers de sucer une bite, lécher un gros gland, avaler du foutre ! Tout !

Il craque sous tant d'ardeur.

"Orhhhh ! Putain ! Doucement ! Tu me dévores la queue ! Orhhhh !".
"Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm... J'aime trop ça ! Mmmmmm...".
"Orhhhh ! Stop ! J'ai envie de te baiser !".

Il m'écarte de sa verge.
Je suis pris de doute, putain, il est vraiment long ! J'ai plus l'habitude !
Je vais surement avoir mal au coccyx, quand il va cogner dans le fond de mon cul.

"Allez tourne-toi ! J'ai trop envie !".

On dénude mon fessier à quatre mains.
Il me palpe le cul à pleines mains, se baisse pour le mordre, puis me crache sur l'œillet, à plusieurs reprises.

"Putain ! T'as un cul magnifique ! J'en ai encore plus envie ! T'es trop excitant, comme mec !".

J'arrive pas à répondre, encore étonné de la tournure des choses.
Je suis dépassé par les évènements.

Il se relève en collant sa verge contre mon anus.
Il se baisse pour être à la bonne hauteur, vu sa grande taille.
En attente que j'encaisse sa bite, pour être plus à l'aise.

Mes hanches sont coincées par ses mains puissantes, pendant qu'il gagne en profondeur à chaque nouvelle tentative d'insertion.
Puis, mon œillet cède sous la pression, il glisse alors, dans un mouvement interminable, jusqu'à venir toucher mon coccyx.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! J'avais oublié comme c'était bon ! Orghhhhhhhhh ! Oui ! Vas y, encules moi !".
"Elle te plait ma bite ? Salope ! Elle est bonne, hein ? Orhhhh ! La vache ! Il est bon ton cul, aussi ! Orhhh ! J'me régale ! Tiens ! Orhhhh ! C'est bon...".
'Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Continues ! Arghhhhhhhhhhhhhhh...".

A cet instant précis, je ne pense qu'au plaisir que je vis, je ne me pose aucune question.

L'orgasme anal me prend rapidement.
Il pousse dans mon cul avec puissance, m'obligeant à me tenir sur la pointe des pieds.
Je me sens comme un pantin, sur sa grosse et longue bite, ca me rend dingue d'excitation.
Mon orgasme atteint son point culminant, un peu après qu'il ai franchi le cap de mon coccyx, et coulisse dans mes profondeurs, sans retenue.

"Arhhhh ! Putain ! Tu m'encaisses trop bien, je te mets toute ma bite, dans la chatte ! C'est trop bon !".

Je joui du cul en ayant une érection, ma verge se tend davantage, à chaque coup de queue profond.
J'atteins encore l'orgasme anal, le second ! Encore plus intense que le premier.

Ma verge est au bord de l'explosion, puis mon anus comprime fortement sa bite, en même temps que je crache mon sperme en râlant.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouaaaaiiis... Je jouiiiiiiiiiiiiiiii ! Argggggggggggggggggggggg !".
"Putain, j'adore t'entendre jouir ! Tu couines bien ! Salope ! Vas y, craches tout ! J'te baise bien ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Tu m'encules bieeeeeeen ! Arhhhhhhhhhhh !".

Avec l'éjection des derniers jets, ma chatte se détend complètement, et il en profite pour me limer comme une chienne, en gagnant plus d'aisance.

"Orhhhh ! A mon tour maintenant ! Tu vas bien bien me vider les couilles ! D'accord ?".
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !...Oui ...Vas y ! ...Vides toi les couilles ! Arhhhhhhhhhhh !...".

Il se met à grogner comme un animal, tout en m'embrochant à l'extrême.
Je m'étrangle de plaisir.

"Grhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !... Grhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !'.
"Rhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Rhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Orgggghhhhhhhhhhhhhh ! Orghh ! Je me vide ! C'est trop bon ! Arggggggggggggggggggg !".

Je suis pris de respirations rapides de récupération, le mec m'a déglingué !
Mais putain, qu'est ce que c'était bon ! Et c'est pas fini, je veux profiter de chaque instant.

Il m'asséne ces derniers coups de verge.

"Hummmm ! Orhhh ! Putain, tu m'as bien vidé, j'adore ta chatte, mec ! Orhhh ! Tu viens souvent ici ?".
"Ourhhhhhhhhhhh ! Non, plus trop ! Mais, si tu veux, on peut se revoir !".

"J'pourrai pas, je pars à la fin de la semaine, je suis pas de Toulon ! Ca m'fout trop les boules ! J'ai adoré t'enculer !".
"Ouais, c'est dommage, moi aussi, j'ai aimé ça ! Tant pis !".
"Je peux revenir demain, si tu veux ? On pourrai recommencer !".
"OK, merci ! Oui, j'aimerai bien !".

Finalement, on s'est revu les deux soirs suivant, avec autant d'intensité.

Malheureusement, ou heureusement, je sais pas, il a relancé mes besoins homosexuels.
J'ai mis du temps, avant de l'avouer à ma femme, mais je ne sais pas lui mentir.
C'est elle qui a remis le sujet sur la table.

"Au fait ? Et toi ? Tu te fais plus baiser par des hommes ?".

J'ai penché la tête vers le sol, rempli de honte.

"Euh... Si... J'ai recommencé...".
"Pourquoi, tu m'as rien dit ! C'est super ! Moi, ça m'plait que tu te fasses enculer ! Ca m'excites !".

"Tu te rends compte de ce que tu dis ?".
"Et alors ? Je m'en fous de ce que pensent les autres, moi j'aime ça !".

J'ai du lui raconter mes trois défonces anales en soirées avec l'inconnu, elle a voulu que je l'encule après ça !

Et j'ai repris ma vie de salope pour hommes, avec encore plus de vice et de soumission.

Moins d'un mois plus tard, à la demande d'un amant, je me suis mis dans la peau d'une pute de chantier, déguisé en travesti prostitué.
Il y avait plus de 25 participants, beaucoup plus ! J'ai pas compté.