Le vieux dominateur 2

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Le vieux dominateur 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le vieux dominateur 2
Le lendemain de ma séance avec le vieux, je prend une douche en matinée.
En pratiquant un lavement anal, je constate que mon anus est encore un peu douloureux.
Je ne fais pas durer l'opération, c'est mieux comme ça.

J'en suis pas à ma première augmentation, de mes capacités d'insertion anale.
Il faut l'accepter, il faut en passer par là, et c'est même très excitant.

Je me détends ensuite sur mon canapé, en écoutant un vinyle.
J'avoue que j'en ai un peu marre d'être au chômage, je m'en veux que ma femme soit la seule à bosser.
Mais je ne m'inquiète pas, je sais que c'est temporaire, ma boite intérim va surement me contacter. C'était un passage obligé, pour trouver du boulot dans les années 80.

On sonne à l'interphone. Tiens ? C'est probablement le facteur !
Je réponds, et j'entend:

"C'est Jean ! Ouvres !".

C'est l'homme qui m'a envoyé chez le vieux, il n'a pu attendre ! Putain ! Ca m'arrange pas ! Il ne faut pas qu'il me baise ! J'ai encore un peu mal au cul !
J'appuie sur le bouton, en pensant: (Pourvu que ça se passe bien !)
Quand il frappe pour entrer, je suis encore plein d'inquiétude.

"Salut ! Mon p'tit chéri ! J'avais hâte que tu me racontes ! Alors ? C'était bon ?".

Je lui lance un regard de colère, intrigué.

"Tu savais ce qui m'attendait ?".
"Tu parles de quoi ? De lui, ou de sa bite ?".
"Les deux, il est horrible, le vieux ! Il pue la cigarette en plus ! Et sa bite ! Je m'attendais pas à ça !".
"Ha ! Dommage ! Il a pas pu te baiser, alors ! C'est pas grave, vous vous êtes amusés, quand même ? Racontes !".

En disant cela, il déballe sa verge, et m'emmène à m'accroupir devant lui.
Ceci, afin que je le suce, en lui contant ma rencontre.
Je décide de le faire attendre, pour me venger, avant de lui révéler la vérité.

Qu'est-ce que c'est bon de lui passer ma langue, de bas en haut de sa queue épaisse.
Lui laper le gland, pendant qu'il gémit son plaisir, en me caressant les cheveux.
Ouvrir mes lèvres pour lui permettre de s'enfoncer le plus profondément possible, jusqu'à me faire tousser, et cracher ma salive sur sa bite.

Finalement, le fait de lui lécher la verge, me réconcilie avec lui, ça me détend.
Je ne lui en veux plus, j'aime trop ça !

"Hummmm ! J'en peux plus, racontes ! Tu l'as sucé ?".
"Mmmmmmmm.... mmmmoui, j'ai eu du mal, elle est trop grosse ! Mais malgré ça, j'y suis arrivé ! J'ai adoré !".

"Salope ! Tu t'es régalé ! Avoues !".
"Mmmmm... slllrrp ! Oui ! J'étais excité, c'est vrai ! J'adore les grosses bites".
"Tu la fait gicler ! Il t'a tout mis dans la bouche ? Pas vrai ?".

"Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm...".
"Orhhhh ! Putain ! Tu me suces bien ! Hummmmm... Alors ? Il t'a rempli la bouche ? Dis-moi ?".

"Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm... Non... Mmmmmm...".
"Hein ? Pourquoi ?".

"... Parce que... Parce qu'Il m'a ... Il m'a... enculé !".
"Oh, putain ! Vous avez réussi ! Trop bon ! Vite, lèves toi, il faut que je te fourre ! J'ai trop envie !".

Je proteste, pendant qu'il m'entraine dans ma cuisine, pour me pencher sur la table, et me dénuder les fesses.
Il recule, et se baisse pour me cracher sur la rondelle.

"Jean ! Non ! J'vais avoir mal ! Il m'a déchiré le cul ! Le vieux !".
"Je vais faire doucement ! J'en ai trop envie !".
"Bon ! Je te fais confiance, alors ! Tu fais attention !".
"Comme d'habitude, ma p'tite salope !".

"Orghhh ! Aîe ! Oui, comme ça, pas trop vite !".

Il se retire pour me cracher sur l'anus, puis, il force à nouveau contre mon œillet salivé.
Son gland commence à me transpercer.

"Arghhhhhhhhh ! Salaud ! Ca t'excite ! Orhhhh ! Doucement !".
"Orhhhh ! Putain ! Tu sais que t'as une chatte géniale ! J'espérais trop qu'il arrive à te la mettre ! Putain, ça m'excite trop ! Salope !".

Il a peu attendu, avant de se lancer dans une saillie assumée.
Mais ça m'arrange, ça augmente les bonnes sensations anales.
Il me possède avec puissance, sans se contrôler.

"Orhhhh ! T'es né pour te faire défoncer la chatte ! Tu le sais, salope ? Putain, c'est bon...".
"Orghhhhhhhhhhhhhhhhhhh..., Jean... Ouiiiiiiiiiiiii ! C'est booonnnnnnnnn !".

J'atteins l'orgasme anal, malgré les picotements, au niveau de ma corolle.
C'est sûr, j'aurai besoin d'un jour de plus, pour m'en remettre !
Je relève mon visage pour encaisser ses dernières secousses violentes et profondes.

"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Jean ! Tu vas encore me faire jouir !... Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Orghhhhhhhh ! Moi aussi, je joui... Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! J'suis trop excité ! ...Putain ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".

Sa main m'attrape la bouche pour s'y agripper, alors qu'il s'enfonce le plus profondément possible, pour me féconder la chatte.
Je gémis, en salivant sur ses doigts.

"Argllllllllllhhhhhhhhhhh ! ...".

Il se libère de toute sa semence, puis me lâche le visage.
Je peux m'étendre pour souffler, toujours allongé, et empalé par sa verge.

J'attend patiemment qu'il se lasse de bouger dans mon cul.
La présence de son foutre calme mes picotements c'est très agréable, je lui dis.

"Orhhhhh ! C'est bon d'avoir ton jus dans ma chatte ! Ca me fait du bien !".
"Hummm ! Moi, j'ai bien joui en tout cas ! Ca m'a rendu fou de savoir qu'il t'a déchiré le cul ! Ta chatte est encore un peu irritée !".

Il recule sa verge pour m'enduire l'anus du reste de son sperme, en faisant remonter ses doigts, le long de sa bite.
Lui aussi adore jouer avec mon anus élargi, et plein de jus chaud.

"Hummm ! J'adore te souiller ta p'tite chatte !".

Après quelques minutes, il lance:

"Bon ! C'était bien bon, mais je dois y aller ! Je suis passé en coup de vent ! Je pouvais pas attendre ! Merci, ma p'tite salope ! Tiens, j'ai une autre adresse pour toi ! T'y vas quand tu veux ! Plutôt en matinée !".
"Orhhh ! Je verrais quand je pourrai, alors... ".
"Tu y vas ! Je compte sur toi ! Sinon, le mec va me prendre pour un mytho !".
"Bon, ... Ok !".

Pour cette fois, il range sa queue, sans attendre que je lui lèche.
Il remonte son pantalon, et disparait en me laissant étendu sur ma table de cuisine, avec l'anus qui rejette son jus, tout naturellement.

Comme je crains une arrivée inattendue, avec ma porte d'entrée ouverte, je me redresse pour aller fermer.
Je déambule avec les pieds entravés par mon pantalon, et les fesses rougies par les assauts de Jean.
Son foutre me coule entre les cuisses, ce qui me rend fier de ma prestation.
Finalement, ça s'est mieux passé que prévu.

Après ça, je me rends dans mes toilettes, pour m'essuyer l'anus et les cuisses, avec du papier.
Un rapide coup d'œil confirme la grosse dose, mais néanmoins habituelle, que Jean m'a éjaculé dans la chatte.
Mais surtout en m'essuyant encore, que j'ai encore un peu de séquelles de ma baise avec le vieux.
Il faut dire qu'avec cet homme, je suis passé de la largeur d'une bombe à raser, à celle d'une boite de Coca.
Pourvu que ça s'arrange avant Jeudi !

Avec tout ça, je suis pas prêt d'aller voir le nouvel inconnu. Il attendra parce que j'en ai pas envie.

2 Jours plus tard, j'ai pas vraiment envie de ça, non plus, mais je suis content, en me rendant chez le vieux.
Mon anus va mieux, je me répare plus vite que la normale, c'est super !
Il m'accueille sans me dire bonjour, toujours aussi con, il n'a pas changé.

"Rentre vite ! J'veux pas qu'on te voit devant chez moi !".

Il scrute encore les environs pour se rassurer.
Je m'assois dans le salon, sur le canapé, lui me rejoint, en me faisant face, assis à sa grande table à manger.
Je remarque la présence d'un tube de gel et d'un paquet de cigarettes bon marché, sur la vielle nappe.

Il fume la clope qu'il a au bec, et écarte les cuisses, en disant:

"Allez mon garçon ! Tu sais ce que tu dois faire ! Dépêches toi !".

Mon garçon ! Il doit pourtant bien voir que j'ai plus de 25 ans !
Je m'avance sans dire un mot, sa grosse verge fait une bosse énorme, courbée sur son coté droit.
Il bande déjà, ça promet.
Le tissu de son pantalon est tendu, à cause de son érection.
Sa braguette s'en écarte plus aisément, mais je dois lui défaire sa ceinture.
Tout ça m'excite beaucoup.

Il se soulève pour me permettre de lui ôter son froc, et arborer sa bite énorme.
Quand elle émerge, je suis encore étonné de sa taille. Putain, dire qu'il me l'a enfoncée dans le cul !

Je me glisse entre ses jambes écartées, en posant mes petits doigts sur la base de sa verge, au niveau des couilles.
Ma gorge salive de désir, je m'approche pour lui déposer ma langue sur le gland.
Il m'enfonce sans attendre, sur son gros pieu.

"Allez prends la ! Fais pas ta timide ! Salope ! Voilà ! C'est pas mieux comme ça, bien profond ?".
Je m'étouffe en hochant mon visage, sans quitter sa bite.

"Mmmmmm ! Mmmmmmm !...".

Je me résous donc, à le pomper directement, sans préliminaire.
Il a tout préparé, puisqu'il porte déjà son anneau pénien.
Il devait bander en m'attendant.

En soumis parfait, je lui laisse tout loisir de me défoncer la gorge.
Je bave énormément sur ses couilles, pendant qu'il me tient la tête entre ses mains, pour me la baiser avec profondeur et force.
Au bout d'un long moment de supplice, il annonce:

"Bon, fini de jouer avec ta p'tite gueule d'ange ! Défait ton froc ! Je vais t'défoncer ta p'tite chatte !".

Je me laisse encore posséder la bouche, tout en me dénudant les fesses.
Il se dégage de mon visage, puis me couche contre sa table.

Je pense très fort (Putain, c'est trop ! J'en ai marre qu'on m'encule... Après ça, je me calme !).

Je le devine entrain de s'enduire la verge de gel.
J'assume ma présence, puisque j'utilise ma salive pour m'enduire l'anus, de mon coté.
Plus ça glisse, et meilleur ce sera, pour lui comme pour moi.
Il m'ajoute du lubrifiant, puis colle son gland énorme.

"T'es prête, salope ? Tu la veux dans le cul ?".
"Non, je suis pas prêt, mais oui, je la veux ! Vous faites doucement, j'ai mis du temps pour m'en remettre, la première fois !".
"T'inquiètes, tu vas encore couiner comme un chienne ! Fais moi confiance !".
"Orhhhh... ! Putain ! Pas trop vite ! C'est groooos ! Ourhhhhhhh...".

Il recule, mon muscle anal s'ouvre légèrement.
Il revient à la charge, je me sens déjà écartelé, mais je sais que ce n'est qu'un début d'ouverture !

"Orhhh ! Attendez ! Retirez la ! Ourhhhhhhhhhhh...".

Mon muscle se comprime, et s'ouvre plusieurs fois, je l'aide à se détendre.
C'est une succession de tentatives d'insertions.
A la moitié du temps, bien d'autres auraient déjà glissé jusqu'au fond de mes intestins.
Seuls ceux qui pratiquent les insertions énormes connaissent cette sensation, au niveau de votre corolle anale.

Il revient une énième fois, en disant:

"Ca va être bientôt, bon ! Tu commences à bien t'ouvrir ! Allez laisses moi rentrer, salope ! Plus vite que ça !".

Il force plus fort encore.

"Arghhhhhhhhhhh ! Putainnnnnnnnnnnnnn ! Grhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Voilà ! Ca, c'est bon ! T'as une bonne chatte, mon garçon ! Tu peux en être fier ! Bon, maintenant, je vais te faire couiner comme tu le mérites !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh !... J'y crois pas ! J'vais jouir trop vite ...Arhhhhhhhhhhhhhhhhh.... ".

Il se tient par la base de la verge, pour aider sa bite à m'écarteler les parois anales.
Le gel fait son œuvre, il coulisse sans grosse difficulté, mais je déguste aussi.
Je ne sais pas ce qui est le plus dur à vivre, sa bite dans ma chatte, ses grosses mains enfoncées dans mes hanches, ou mes cuisses écrasées contre le bord de la table.

Il a manifestement relancé mes mauvaises sensations.
Mais malgré tout ça, c'est moins fort que le plaisir, c'est tout le paradoxe de cette possession.
Je cherche à étouffer mes râles bruyants, mais j'ai besoin de mes mains pour m'accrocher comme je peux à la table.

Puis, je pousse un très, très long râle, il a atteint son premier but, en me faisant jouir du cul avec intensité.

Comme j'ai la bouche ouverte en grand, un filet de bave s'en échappe pour maculer le plateau sous mon visage.
Il secoue encore mon corps, et le plaisir remonte à nouveau.
Ma face se souille de ma propre bave, et glisse dessus à chaque assaut.

"Hummmmm ! C'est trop bon de t'enculer, mon mignon ! Ca glisse de mieux en mieux ! Tu le sens ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiii ! Monsieuuuuuuuuuuuur !...".
"Ca m'plait que tu m'appelles Monsieur ! Ca t'oblige à me respecter pendant que j't'encule ! Ha ! Ha ! Ca, c'est bon ! Tiens salope !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Hurgghhhhhhhhhhhhhhh !...".

Il se fige, en s'enfonçant à l'extrême, puis s'allume une autre cigarette, et reprend sa baise.
Je connais des sommets de plaisir anal, avant qu'il ne se calme.

Il quitte mon trou béant, et me frappe l'anus avec son énorme gland, puis me l'enfonce à nouveau.
Il ressort ensuite, et me claque le fessier.

"Hummmm ! J'en fais ce que je veux de ton p'tit cul ! T'es ma pute ! Dis le qu't'es ma pute !".
"Aïe ! Oui, j'suis votre pute ! (Il me remet sa bite) Arghhhhhhhhhh !... Orghhhh ! C'est bon !".

Encore une fois, je suis devenu un masturbateur humain, mais j'aime ce sentiment.

"Bon, t'es bien dilaté ! Maintenant, j'vais pouvoir m'amuser convenablement ! Fous toi à poil !".

Une fois nu, il me couche sur le dos, par terre.
Il m'attrape les chevilles, et me pivote, en posant mon cul contre son canapé.
Je suis vouté avec la vue de ma bite au dessus de mon visage.
Il m'enjambe et pointe sa grosse verge vers le bas.
J'assiste à sa pénétration, son énorme bite me déchire à nouveau la chatte.
Il me fait hurler de plaisir, en s'enfonçant inlassablement sans retenue.

"Hummmmmm ! Voilà, c'est comme ça que j'aime baiser des p'tites putes comme toi ! T'aimes ça, salope ?".
"Gllllllhhhhhhhhhhhurrrrrrrrrrrr ! Ouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii !... Vous me cassez le cul ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh...".
"Je le savais, t'es une vraie chienne ! Y pas à dire ! Tiens, salope ! Orhhhh ! Tu va l'avoir mon jus ! Je sens que mon foutre est entrain de monter !".

Il se déchaine autant qu'il peut, alors que je me vide la vessie sur la face.
Puis, précipitamment, il défait le rivet de son anneau pénien, alors qu'il est encore enfoncé en moi.
Je remarque les spasmes dans son canal urinaire, c'est excitant de comprendre qu'il m'injecte son sperme.

Ensuite, il remonte sa verge vers la sortie, en criant sa jouissance.
Son jus chaud et gluant, tombe directement dans mon trou dilaté et poisseux.
Il se branle plus rapidement, pour me souiller encore avec son foutre.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Ca c'est une bonne pute ! Tu me vides bien les couilles, mon garçon ! Arghhhhhhhhhhh !".

Je suis tellement envahi par le plaisir cérébral, que je ne peux retenir un besoin de me branler sous lui.
Il me replante encore, en poussant son foutre au fond de ma chatte, alors que je bande sous mes doigts.

Il m'assène une longue série d'assauts vicieux.
Visiblement, il veut rendre mon éjaculation plus intense, en m'enculant encore.
J'éjacule enfin, c'est une véritable explosion, pour moi !

Il coulisse en fixant mes réactions de bonheur.

"C'était bon, ma p'tite chienne ? T'aimes te branler avec une bite dans la chatte ! T'as bien couiné, tu sais ? J'ai adoré ça !".
"Orhhhhh ! Oui, merci Monsieur !".

"Bon, tu traines pas ! Maintenant ! J'ai à faire ! Et n'oublies pas de revenir ! J'ai besoin de ça, moi !".
"Euh, oui, Monsieur !".

Il pose son cul sur le canapé, en fumant une nouvelle clope.
Sa verge énorme est toujours aussi impressionnante, même pendante entre ses cuisses, avec le filet de foutre qui en coule.

"Ahhhhhh ! Ca, c'est la meilleure clope de la journée ! Après une bonne défonce ! Allez, bouges ton p'tit cul ! Et reviens dès qu'tu peux !".

C'est tout lui, un gros con, mais un baiseur hors pair !
Après tout, je compte pas faire ma vie avec lui, tant qu'il me fait monter au ciel.
Je préfère ça qu'un mauvais coup !

En remontant mon slip, je sais que je vais avoir des accidents de fuites anales.
Par conséquent, le foutre va laisser de grosses taches !
je me refais une propreté au niveau du visage.
Je le quitte, avec encore cette drôle de douleur, de léger hématome anal.
Un anti inflammatoire calmera un peu, cette forte gêne.

J'ai vécu ensuite, l'effet d'excès de soumission, de toutes ces baises rapprochées.
Surtout après le vieux. Après une baise extrême comme celle là, j'ai toujours un moment de calme, qui peut durer 3 semaines, à un mois.

J'avais besoin de reprendre un rythme normal, et surtout retrouver mon coté hétéro, avec ma femme.
J'ai été appelé par ma boite intérim, pour une mission de 2 semaines.
Ca m'a permit de me retrouver, et mes besoins m'ont repris vers la fin de mes deux semaines.

J'ai préféré retourner chez le vieux, plutôt que de tenter d'être déçu par une sortie en cinéma porno, en extérieur, ou en Sex-Shop.
Je savais que j'allais vraiment jouir !
Mais il m'a fait payer cette attente !

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