Visites au hasard, chez mes amants de passages.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Visites au hasard, chez mes amants de passages.
J'ai donc attendu plus de deux semaines, avant ma troisième visite chez le vieux TBM et dominateur.
Je passe pas loin de sa maison, avec le secret espoir qu'il s'y trouve, sinon, tant pis ! Je reviendrai une autre fois.
J'aime bien laisser faire le hasard !
Je sonne. Puis, j'entends ses pas.
Bon ! Pascal ! Tu vas devoir assumer le choix, d'avoir osé sonné.
Enfin, la porte s'ouvre.
Il est caché derrière, seule sa tête est visible.
"Ah ! C'est toi ! Tu tombes bien ! Rentres vite ! Que j'te fasse ton affaire !".
Il est en robe de chambre !
Je suis surpris de voir dépasser son gros gland gonflé.
Il ferme aussitôt que j'ai passé la porte, et me lance:
"Tu m'as fait attendre ! Salope ! Comment ça se fait ?".
"Euh... J'ai trouvé un boulot, pendant deux semaines !".
"Et t'as pas pu trouver un moment pour venir me voir ?".
"Ben, non ! Désolé, excusez-moi Monsieur !".
"Bon ! Ben, tu vas devoir rattraper ça, mon garçon ! Mets toi à poil !".
Je suis encore plus troublé qu'il m'appelle "garçon", que "salope".
Parce que, même, si on doit avoir 45 ans de différence, je ne suis plus un ado, non plus !
Il passe devant moi, et se pose sur son canapé, en ouvrant sa robe de chambre.
"Allez ! Prends la suite, salope ! J'étais entrain d'me branler, en pensant à toi, justement !".
"Euh, ... Merci Monsieur ! Vous m'aimez bien, alors ?".
"Bien sûr que j't'aime bien ! Tu me vides bien les couilles ! Tu peux être sûr de ça !".
Je me dénude sans quitter sa grosse bite du regard, en étant comblé d'un étrange sentiment de fierté.
Putain ! Qu'est ce qu'elle est énorme ! J'espère que cela se passera mieux cette fois !
Quand je m'approche, encore debout, il me lance:
"Non ! Marche à quatre pattes pour venir me sucer ! Sinon, j'te baise pas ! Montres moi qu't'es ma p'tite pute !".
"Monsieur ! S'il vous plait !".
Il recouvre sa verge.
"Tant pis ! J'pensais que toi aussi, tu m'aimais bien !".
"Non ! Je... J'ai envie ! ... moi aussi, ...j'vous aime bien !".
"Alors, rampes comme une chienne ! Allez !".
J'accepte sa domination, puis, me baisse, et avance comme il me demande, pendant qu'il écarte son vêtement.
Il s'allume une cigarette, et me regarde poser mes petits doigts sur ses gros testicules, afin de lui dévorer la bite.
Je m'étonne de réaliser que cette fois, il penche sa tête en arrière, pour mieux apprécier ma fellation.
"Hummmm ! Orhhhh ! Ouais comme ça, salope ! C'est bon ! Manges moi bien la bite ! Tu m'as manqué, mon garçon".
Je sens monter une tension dans ma verge. Putain, pourquoi ce vieux pervers, m'excite à ce point ?
Je compte bien profiter de cette aubaine, je m'en régale comme jamais, avant qu'il décide de me défoncer la bouche.
Il doit s'exciter de m'entendre glousser, avec sa verve qui me déforme les joues, et le fond de la gorge.
Ensuite, je l'entends faire un numéro sur son téléphone fixe.
Je continue de sucer en cherchant à comprendre.
"Ouais ! Salut ! C'est moi ! T'es partant pour une bonne baise ?... Ouais, il est là ! Il me pompe la bite !".
Je le fixe avec un regard étonné, tout en lui passant la langue au bout du gland.
Il me sourit, puis continue sa conversation:
"Je le connais ton collègue ?... Bon écoutes, on verra ! J'te fais confiance ! Amenez vous ! On a déjà commencé ! T'as qu'à pousser la porte, en entrant".
Il raccroche, puis pose ses deux mains sur mon crâne, pour accompagner mes enfoncées buccales.
Je vis un moment délicieux, en me questionnant malgré tout, sur ce qui m'attend.
Mais il n'y a rien de nouveau pour moi, puisque je baise souvent avec plusieurs hommes au Sex-Shop, ou ailleurs.
Le temps passe, toujours en fellation gourmande.
Il ne tient plus, il s'impatiente.
"Putain ! Qu'est-ce qu'ils foutent ? J'en peux plus d'attendre ! Tant pis pour eux ! Allez ! Viens ! J'vais te prendre la chatte !".
Il m'impose de me placer au dessus de sa verge, en lui tournant le dos.
Il attrape son tube de gel, et m'en badigeonne l'entre fesses.
Puis, il tient sa verge par la base, pendant que j'approche mon anus, de son énorme gland.
Le contact de son gros champignon, contre ma corolle anale, me surprend encore.
Comment ça peut entrer ?
Pourtant, grâce à la pression, du poids que mon corps engendre sur l'ouverture de ma petite chatte, je sens bien que mon anus a gagné en élasticité.
Je m'étonne vraiment de l'écartèlement de ma corolle anale.
Le membre épais me procure encore un élargissement anal incroyable.
Je suis de nouveau gagné par une sensation d'écartèlement extrême, mais moins difficile à vivre que les fois précédentes.
Et surtout, dans un bonheur absolu, je m'enfonce sur lui, plus rapidement que je le pensais.
"Orghhhhhhhhhhhhh ! Putain, Monsieur ! C'est toujours aussi gros, mais c'est trop bon ! J'adore votre grosse queue !".
"Elle te fait craquer ma grosse bite ! Hein, salope ?".
"Orhhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Ghhhhhhhhhhrrrrrrrr...".
Je commence à monter et descendre inlassablement, sur les premiers centimètres de son gros pieu.
Très lentement au départ, je dois m'y habituer, tout doucement.
Par contre, le plaisir anal m'envahit rapidement, lui.
Le vieux salaud pervers, admire mon cul mince et cambré, qui s'embroche sur sa grosse bite.
On entend l'arrivée de son pote, accompagné d'un autre homme.
Les deux inconnus sont du même âge que celui qui m'encule.
Pas plus avantagés physiquement que mon vieux complice de jeu, mais je m'en contenterai.
"Hé ! Fallait nous attendre ! Putain, il est beau, le jeune ! On va se régaler ! Comment tu vas René ?".
"Salut Jeannot ! J'vais bien ! La preuve !".
"Je vois ça ! Je te présente Omar ! Un pote du boulot ! Lui aussi, il aime les petites salopes comme lui !".
"Salut Omar ! Elle vous plait ma p'tite femelle ?".
Jeannot répond:
"Putain ! Faudrait être difficile ! Bon, on est en retard ! Faut rattraper ça, on va se foutre à poil ! Qu'est-ce que t'en penses, Omar ?".
"Ouffff ! Il a l'air de bien prendre le zob, le p'tit jeune ! Putain, j'ai le sgeg tout dur !".
Jeannot vient près de moi, pour me combler la gorge, avec sa bite épaisse.
Omar nous rejoint, en plaçant ses doigts contre mon anus écartelé.
"Putain ! Ce que tu prends dans la chatte, salope ! Hummmm ! C'est bon, ça !".
Il rejoint l'autre dans ma bouche.
Du coup, le vieux m'agrippe par les fesses, et entreprend de me défoncer l'orifice anal avec vice.
Je ne peux plus me retenir de feuler sur les bites que je suce, il me donne mon premier orgasme anal.
Je n'ai pas eu le temps d'apprécier les mensurations des deux nouveaux arrivants.
Pourtant, il y aurait eu de quoi, puisque, j'ai du mal à les englober ensemble.
Je suis déjà submergé par le plaisir.
Ce n'est qu'un début, puisque je devine la grosse verge du vieux René, qui gagne en profondeur, à chaque enfoncée.
Jeannot, sur ma gauche, m'imprime une poussée sur les épaules, pour aider son pote à m'enculer.
C'est inutile, parce que je sens que mon petit corps, et ma chatte, s'ouvre dans ses profondeurs, pour laisser passer la grosse verge, dans son entièreté.
Je délaisse les bites devant ma bouche pour me pâmer de plaisir, sous cette saillie extrême.
Je me touche les couilles, et au passage, ma verge qui s'est tendue, en arborant mon gland enflé.
Puis je vais plus loin, et constate que le vieux m'a tout inséré.
Il gagne en aisance, à chaque enfoncement.
Je suis surpris de vivre l'explosion d'une éjaculation incontrôlée, que j'essaie de contenir avec mes doigts.
C'est peine perdue, je me laisse gagner par cet orgasme.
Pour le vivre plus pleinement, je reprend la plus grosse verge dans ma gorge, tout en me maculant la main.
Je gémis fortement, alors que Jeannot remonte ma main spermée vers mon visage.
Il a raison, c'est logique, et plus simple pour moi d'avaler mon foutre, pour ne pas être ennuyé par la suite.
Omar se sert de son gland pour s'en couvrir, et me l'enfoncer dans la gorge.
"Hummmm ! Tu te régales, salope !".
"Ouais, il adore la bite, et le jus ! Ca se voit ! Putain, t'as bien fait de m'appeler, René ! On l'adore ta pute ! Tu nous la laisseras un peu, on aimerai bien la baiser, nous aussi !".
"Ummmm ! Orhhh ! Bientôt ! T'inquiètes !".
Fort heureusement, le plaisir anal prend la suite, en s'ajoutant à ma cérébralité vicieuse, qui me donne envie de continuer à baiser.
Une chance, parce que j'avais mon compte en éjaculant.
Mais les autres ont le droit de jouir aussi.
Finalement, je ressens ce que ma future femme vivra lors de ses nombreux gang bangs.
L'émulation de prendre du plaisir, mais également de le donner.
"Bon, qui veut ma place ?". Lance René.
Jeannot pose ses fesses sur le canapé, en me tendant les bras.
Je l'enfourche en ressentant un vide anal énorme, à peine rempli par sa verge épaisse.
Jeannot m'attrape la nuque, pour me prendre la bouche avec perversion.
Il s'active déjà dans ma chatte élargie.
C'est là, que je sens la verge d'Omar qui essaie de rejoindre celle de son pote, dans mon anus.
Elle m'étire à l'extrême, puis s'insère d'un coup.
Je veux raler mon plaisir, mais Jeannot me fouille toujours la gorge avec sa grosse langue.
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm...".
"Orhhhhhhhhh ! Elle prend bien nos deux zobs ! Ca, c'est une bonne salope !".
"Ouais ! C'est une bonne chienne ! Un bon garçon !". Réponds René.
Lorsque Jeannot quitte mes lèvres, mon corps est tenaillé entre eux.
Leurs quatre mains m'agrippent les épaules, et le corps d'Omar s'écrase contre le mien, en se secouant dans ma jeune chatte.
Le vieux René se branle avec un regard lubrique, devant cette scène.
Il grimpe sur le canapé, pour me remplir la gorge.
Je me sens écartelé, par les deux extrémités, sans pouvoir crier ma jouissance.
Jeannot demande:
"Putain ! Où tu l'a dégotée, celle là ? C'est une vraie pute ! Elle aime la bite, ça se voit !".
"C'est un mec qui m'en a parlé ! Au cinéma de cul, le Rex ! Il m'a dit que ça lui plairait, que je baise sa salope !".
"Putain, on a du cul ! Il vaut le coup, le jeune ! Orhhhhh ! Putain ! C'qu'elle est bonne sa chatte ! Orhh, il faut que je m'enlève, sinon, j'lui balance mon foutre ! Stop ! Omar !".
Je suis libéré de sa bite, puis Omar reprend sa défonce, mais seul cette fois.
Par moment, je réalise ce que je fais, en pensant:
Tu devrais avoir honte ! Putain, t'es entrain de te faire salement enculer par trois vieux pervers ! Avec un Arabe, en plus ! Orhhhh ! Arrêtes d'y penser ! C'est trop excitant ! C'est tellement bon, dans ta chatte !
J'enchaine les montées de plaisir anal, je les compte plus déjà.
Omar se retire, il subit le plaisir, lui aussi.
"Vas-y René ! Niques là ! Ca monte ! Il faut qu'j'arrête, moi !".
Le vieux me déplace, pour m'empaler en levrette.
Le passage de la bite d'Omar à la sienne, n'est pas simple à vivre.
Je me tiens la chatte, pendant qu'il me rabote les parois anales.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! M'sieur René ! Vous me cassez le cul ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
"C'est ça, qu'est bon, salope ! T'aimes ça, non ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII...".
Jeannot me reprend la bouche, alors qu'Omar préfère laisser tomber sa montée d'éjaculation.
Jeannot se plaint:
"Orhhhh ! Putain, elle suce bien, aussi ! Ca remonte déjà ! Orhhh ! Calmes toi, salope ! Tu vas me faire cracher !".
Du coup, je me retrouve seul avec René, qui m'enfonce dans le canapé, pour me saillir comme une chienne.
Ca me permet de crier ma jouissance anale comme je veux.
"Putain ! Gueule moins fort ! Salope ! On va t'entendre dans tout le quartier !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est de votre faute ! Elle est trop grooooossse ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Des secousses dans ma verge, me font réaliser que je me vide encore un peu les couilles, sur le canapé.
"Hurrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhh...".
Et là, plus que tout, je sais pourquoi je suis venu, ce moment est incomparable aux autres.
La suite est un surplus de plaisir pour moi, j'ai atteins la plénitude orgasmique.
Après mes derniers petits jets de sperme, mon anus se détend à son paroxysme.
René en profite davantage, sa bite énorme me fait flatuler, en remplissant la pièce de bruits humides.
Il se retire, admire la béance anale qu'il me provoque, me frappe l'entrée de la chatte avec son gros gland, puis me l'enfonce à nouveau d'un coup brusque.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Encore ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il recommence une bonne dizaine de fois, puis demande:
"Bon, qui c'est qui veut encore en profiter ?".
Omar m'empale d'une traite, le contraste est choquant pour moi, mais peu à peu, ma chatte s'enserre autour de sa verge, pour mieux le ressentir en moi.
Ca ne dure pas plus de 5 minutes, il annonce son explosion.
"Mets-lui tout dans la bouche ! Il adore ça !".
Le vieux magrébin se comprime le bout de la verge, en se déplaçant jusqu'à ma gorge.
Il explose dès, que je l'englobe avec mes lèvres.
Jeannot m'encule déjà, encore et encore.
Je vis un bonheur cérébral intense, en jouissant du cul, tout en avalant le foutre abondant d'Omar.
Il est très puissant, en gout, mais peu importe, j'aime tous les spermes !
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Ouais ! Bois tout, salope ! Orghhhhhh ! Il te plait mon jus ?".
"MMMMMMmmm ! Sllllrppp ! Orhhhhhhhhhh ! Oui, il est bon ! Donnes moi en encore ! Mmmm...".
"Orhhhh ! Putain ! René ! Regardes ça ! Il me vide les glaouis ! Orhhh ! Il fait pas semblant ! Il me bouffe le zob ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Ca dure tout le temps de son éjaculation, et quelques minutes en plus, puis je me dresse pour me cambrer de plaisir, sous les assauts de Jeannot.
Lui aussi montre des signes de faiblesse, il en parle d'ailleurs.
"Orghhhh ! Putain ! René ? Ou est-ce que j'lui balance mon foutre ? Ca va pas tarder, là !".
"Ou tu veux ! j'en fous ! Vas-y fais toi plaisir !".
Moins d'une trentaine de coups de queue, plus tard, il se met à crier comme une bête.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Elle m'a eu ! La salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Cette chatte !".
René se branle toujours, bien plus excité que jamais, à l'idée que sa nouvelle jeune salope, se fait inséminer la chatte par son pote de baise.
Il me comble la gorge pendant que son ami, me rempli l'anus de jus chaud.
Je m'écartèle la bouche, en ressentant les éjections internes de Jeannot, c'est si bon !
Quand il a terminé, il recule en titubant, sans quitter mon trou poisseux des yeux.
"Putain ! C'était trop bon ! J'adore ! Je lui en ai mis plein la chatte !".
Je peux pas empêcher mon sphincter de spasmer, il rejette sa lubrification, en même temps que le foutre de Jeannot.
René quitte rapidement ma gorge, et s'aide de son gland, pour récupérer le jus chaud, qui me coule entre les fesses.
Il repousse le sperme de son pote, à l'intérieur de ma chatte, avec sa bite énorme.
Encore une fois, je me tiens l'orifice avec ma main, pour mieux supporter sa grosse présence.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! M'sieur René ! Putain ! J'en peux plus ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je me fais éclater la chatte, avec les deux autres, assis sur mes cotés, la bite pendante et humide, entre leurs cuisses.
'Hummmm ! Il t'éclate bien la chatte ! Mon pote René ! Pas vrai ? Salope ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...".
Puis, d'un coup, par réflexe, je m'échappe de sa grosse verge, et me comprime le sexe.
"Orhhhh ! J... J'vais gicler ! J'peux plus me retenir !".
René me pivote vers la table, et lance:
"Vas y ! Laches tout ! Tu peux !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est boooooooooooooon !...".
Il me fourre à nouveau, c'est le début d'une humiliation anale, devant les deux autres, qui se régalent du porno sale, et réel, qu'on leur offre.
En plusieurs jets abondants, j'inonde le sol du vieux René, qui s'en moque éperdument, au contraire !
Ca l'excite tellement qu'après mes derniers écoulements, il explose dans mes entrailles en grognant comme un ours.
Son insémination est aussi interminable que les premières fois.
J'adore faire jouir ce vieux vicelard.
Ensuite, il me libère de sa présence anale.
D'énormes flatulences me font rejeter son foutre abondant.
J'en ai l'arrière train maculé, j'ose même plus y poser mes mains.
Devant moi, je constate que si la queue de Jeannot est "au repos", celle d'Omar a repris de la vigueur.
Il n'a pas cessé de se branler en nous matant.
Il se précipite devant ma bouche, en se secouant la verge.
"Orhhhhhhh ! J'ai jamais connu une aussi grosse salope ! Tiens ! Avales encore mon jus ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Je gobe ce qu'il m'envoie, dans un étonnement complet.
J'm'y attendais vraiment pas ! Mais je prends ça, comme une cerise, sur le meilleur des gâteaux !
Les deux compères nous ont quittés, peu de temps, après.
René m'a donné une serpillère, et m'a regardé essuyer mes écoulements, d'un air toujours aussi dominateur.
En me lançant, à la fin:
"C'est bien ! T'as bien travaillé ! Ma p'tite salope ! J'suis fier de toi ! Bon, tu reviens quand ?".
"Euh... Je sais pas ! Faut pas m'en vouloir, j'ai une femme ! J'peux pas toujours me libérer facilement ! je ferais tout ce que j'peux, M'sieur René !".
"Bon ! Ok, je comprends ! Tu sais que je suis toujours là ! Me fais pas trop attendre ! C'est tout c'que j'te demandes !".
"Ok, merci ! Monsieur ! Je peux aussi passer en coup de vent, mais faudra pas que ça dure longtemps !".
"Mouais ! Pourquoi pas ! Une bonne pipe ! C'est toujours bon ! Comme tu veux !".
"Merci, M'sieur René !".
Je suis rentré avec une gène anale énorme, mais heureux que cette fois, je m'en suis sorti, sans séquelles douloureuses.
Ca y est, ma chatte encaisse les très, très grosses bites !
Je pense également à d'autres possibilités, pourquoi pas ?
Mais malheureusement, je vais le savoir plus tôt que je le pensais.
Quelques jours après ma troisième visite chez le vieux vicieux, j'ai un appel de Jean, mon complice de jeu pervers.
"Tu peux me recevoir, maintenant ? Je suis dans ta rue, et j'ai une grosse envie !".
"Ouais ! C'est bon, ma femme travaille ! Viens !".
Dès son arrivée, il m'enserre dans ses bras.
"Hummmm ! Putain, je bande déjà ! Alors ? T'es allé voir le mec que je t'ai dis ?".
"Euh... Non, désolé, j'ai pas pu !".
"Non ! Tu déconnes ! Et le vieux à la grosse bite ? T'y es retourné ?".
Je découvre que je commence à me défaire de son influence perverse, puisque instinctivement, je lui mens.
"Euh... Non, j'y suis plus allé !".
S'il savait ce qu'il m'a mis en réalité, depuis, et par deux fois, en plus.
"Putain ! T'assures pas ! Attends, je l'appelle !".
"Qui ? Le vieux ?".
"Non, l'autre ! Il doit me prendre pour un mytho ! J'aime pas ça !".
J'assite à son appel, un peu contrarié de ne pas commencer à baiser avec lui, tout de suite.
"Ouais ! salut, c'est Jean le mec qui t'a parlé au Sex-Shop ! ... Tu me remets ? Oui, c'est ça ! Il est avec moi, tu peux nous recevoir ? Oui ! Bon, Prépares toi, on arrive !".
"Qu... Quoi ? Tu me demandes pas mon avis ?".
"Non ! Allez viens ! On va se régaler ! Ca va être chaud ! Tu verras !".
Nous voilà dans sa voiture, en direction d'un quartier huppé de la ville.
Il se gare devant une villa de luxe, un homme pas très grand, nous reçoit.
A l'intérieur, il dit:
"Hummmm ! Charmant ton p'tit copain ! Alors comme ça, c'est une vraie petite salope ? On va vérifier ça !".
Il me caresse le visage avec un air très vicieux.
"On va bien s'occuper de toi ! Tu le mérites !".
Bizarrement, ce qui me choque le plus, ce sont ses mains lisses et manucurées, elles sont douces sur ma peau.
Il nous entraine dans son salon.
Je remarque un flacon énorme de gel anal, sur la petite table.
On ne risque pas d'en manquer !
Je préfère ne pas vous conter la suite, puisque je ne l'ai pas bien vécue.
Les deux hommes ont pensé, à juste raison, qu'avec mes nouvelles possibilités anales, j'étais prêt pour une initiation à une séance de fisting.
Malgré un énorme plaisir anal, impossible à éviter, je n'ai ressenti que de la crainte, vis à vis de cette pratique.
C'est la première fois que j'ai autant ressenti la notion d'être un homme objet.
Ca m'a dégouté du sexe entre hommes, pendant quelques semaines.
Jean m'a relancé plusieurs fois, mais je suis resté ferme face à ses sollicitations.
Mes désirs sont revenus ensuite, ce qui m'a énervé au début.
Puis, un jour, en passant devant chez le premier inconnu, qui a abusé de moi, lors de ces rencontres surprises.
J'ai osé sonné chez lui, en laissant décider du hasard, de sa présence ou non.
Il était là !
Bon ! Encore une fois, Pascal ! Tu vas devoir assumer le choix, d'avoir osé sonné.
Ni une, ni deux, je me suis retrouvé nu, couché contre son flan de canapé.
Rapidement, je me suis mis à râler mon plaisir anal, sous ses coups de bite puissants.
Il ne se doutait pas, qu'il me réconciliait, avec mon besoin de jouir avec une bonne verge dans le cul.
Ma chatte dégoulinait de mon orifice béant, vers mes couilles, pour finir en tachant sa moquette.
Il m'insultait encore plus, que lors de nos rencontres précédentes.
Je l'encourageai, sans scrupules, j'étais venu pour qu'il me défonce la chatte, après tout !
Il m'a placé ensuite en femelle parfaite, en m'écartant les cuisses, et me soulevant le bassin.
"Regardes, ce que tu te prends dans la chatte ! Sale petite pute ! C'est ça que tu voulais ! Avoues !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...Ouiiiiiiiiiii ! ...C'est ...ça ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il s'est arrêté pour me dévorer l'orifice anal, pendant de longues minutes, puis m'a enculé de nouveau, en m'obligeant à me placer en chienne soumise, à genoux, avec le cul en bombe, et le visage collé au sol.
Pour finir, il m'a ordonné de me branler, agenouillé sous lui, alors qu'il se masturbait, également, au dessus de ma face.
Quand j'ai reçu ses premières giclées de foutre, chaud et gluant, sur tout le visage.
Mon éjaculation est montée immédiatement.
Je m'inondais la main, tout en me laissant humilier par l'inconnu, qui s'amusait avec son sperme, sur ma petite gueule de jeune salope.
J'ai adoré ces jeux de sperme, me faire inonder la gorge, en lui léchant les doigts et la verge.
Putain ! Ca m'excite encore, d'y repenser !
Je l'ai quitté, heureux d'avoir retrouvé de bonnes sensations, même si ma chatte me disait que j'avais pris cher !
Mais revivre le retour chez moi, avec ce gout puissant de sperme dans la bouche, et cette impression de présence constante, de verge dans mon anus, hummm ! Ca m'avait manqué !
Du coup, ça m'a motivé pour retourner chez le vieux salaud, quelques fois de plus.
Je passe pas loin de sa maison, avec le secret espoir qu'il s'y trouve, sinon, tant pis ! Je reviendrai une autre fois.
J'aime bien laisser faire le hasard !
Je sonne. Puis, j'entends ses pas.
Bon ! Pascal ! Tu vas devoir assumer le choix, d'avoir osé sonné.
Enfin, la porte s'ouvre.
Il est caché derrière, seule sa tête est visible.
"Ah ! C'est toi ! Tu tombes bien ! Rentres vite ! Que j'te fasse ton affaire !".
Il est en robe de chambre !
Je suis surpris de voir dépasser son gros gland gonflé.
Il ferme aussitôt que j'ai passé la porte, et me lance:
"Tu m'as fait attendre ! Salope ! Comment ça se fait ?".
"Euh... J'ai trouvé un boulot, pendant deux semaines !".
"Et t'as pas pu trouver un moment pour venir me voir ?".
"Ben, non ! Désolé, excusez-moi Monsieur !".
"Bon ! Ben, tu vas devoir rattraper ça, mon garçon ! Mets toi à poil !".
Je suis encore plus troublé qu'il m'appelle "garçon", que "salope".
Parce que, même, si on doit avoir 45 ans de différence, je ne suis plus un ado, non plus !
Il passe devant moi, et se pose sur son canapé, en ouvrant sa robe de chambre.
"Allez ! Prends la suite, salope ! J'étais entrain d'me branler, en pensant à toi, justement !".
"Euh, ... Merci Monsieur ! Vous m'aimez bien, alors ?".
"Bien sûr que j't'aime bien ! Tu me vides bien les couilles ! Tu peux être sûr de ça !".
Je me dénude sans quitter sa grosse bite du regard, en étant comblé d'un étrange sentiment de fierté.
Putain ! Qu'est ce qu'elle est énorme ! J'espère que cela se passera mieux cette fois !
Quand je m'approche, encore debout, il me lance:
"Non ! Marche à quatre pattes pour venir me sucer ! Sinon, j'te baise pas ! Montres moi qu't'es ma p'tite pute !".
"Monsieur ! S'il vous plait !".
Il recouvre sa verge.
"Tant pis ! J'pensais que toi aussi, tu m'aimais bien !".
"Non ! Je... J'ai envie ! ... moi aussi, ...j'vous aime bien !".
"Alors, rampes comme une chienne ! Allez !".
J'accepte sa domination, puis, me baisse, et avance comme il me demande, pendant qu'il écarte son vêtement.
Il s'allume une cigarette, et me regarde poser mes petits doigts sur ses gros testicules, afin de lui dévorer la bite.
Je m'étonne de réaliser que cette fois, il penche sa tête en arrière, pour mieux apprécier ma fellation.
"Hummmm ! Orhhhh ! Ouais comme ça, salope ! C'est bon ! Manges moi bien la bite ! Tu m'as manqué, mon garçon".
Je sens monter une tension dans ma verge. Putain, pourquoi ce vieux pervers, m'excite à ce point ?
Je compte bien profiter de cette aubaine, je m'en régale comme jamais, avant qu'il décide de me défoncer la bouche.
Il doit s'exciter de m'entendre glousser, avec sa verve qui me déforme les joues, et le fond de la gorge.
Ensuite, je l'entends faire un numéro sur son téléphone fixe.
Je continue de sucer en cherchant à comprendre.
"Ouais ! Salut ! C'est moi ! T'es partant pour une bonne baise ?... Ouais, il est là ! Il me pompe la bite !".
Je le fixe avec un regard étonné, tout en lui passant la langue au bout du gland.
Il me sourit, puis continue sa conversation:
"Je le connais ton collègue ?... Bon écoutes, on verra ! J'te fais confiance ! Amenez vous ! On a déjà commencé ! T'as qu'à pousser la porte, en entrant".
Il raccroche, puis pose ses deux mains sur mon crâne, pour accompagner mes enfoncées buccales.
Je vis un moment délicieux, en me questionnant malgré tout, sur ce qui m'attend.
Mais il n'y a rien de nouveau pour moi, puisque je baise souvent avec plusieurs hommes au Sex-Shop, ou ailleurs.
Le temps passe, toujours en fellation gourmande.
Il ne tient plus, il s'impatiente.
"Putain ! Qu'est-ce qu'ils foutent ? J'en peux plus d'attendre ! Tant pis pour eux ! Allez ! Viens ! J'vais te prendre la chatte !".
Il m'impose de me placer au dessus de sa verge, en lui tournant le dos.
Il attrape son tube de gel, et m'en badigeonne l'entre fesses.
Puis, il tient sa verge par la base, pendant que j'approche mon anus, de son énorme gland.
Le contact de son gros champignon, contre ma corolle anale, me surprend encore.
Comment ça peut entrer ?
Pourtant, grâce à la pression, du poids que mon corps engendre sur l'ouverture de ma petite chatte, je sens bien que mon anus a gagné en élasticité.
Je m'étonne vraiment de l'écartèlement de ma corolle anale.
Le membre épais me procure encore un élargissement anal incroyable.
Je suis de nouveau gagné par une sensation d'écartèlement extrême, mais moins difficile à vivre que les fois précédentes.
Et surtout, dans un bonheur absolu, je m'enfonce sur lui, plus rapidement que je le pensais.
"Orghhhhhhhhhhhhh ! Putain, Monsieur ! C'est toujours aussi gros, mais c'est trop bon ! J'adore votre grosse queue !".
"Elle te fait craquer ma grosse bite ! Hein, salope ?".
"Orhhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Ghhhhhhhhhhrrrrrrrr...".
Je commence à monter et descendre inlassablement, sur les premiers centimètres de son gros pieu.
Très lentement au départ, je dois m'y habituer, tout doucement.
Par contre, le plaisir anal m'envahit rapidement, lui.
Le vieux salaud pervers, admire mon cul mince et cambré, qui s'embroche sur sa grosse bite.
On entend l'arrivée de son pote, accompagné d'un autre homme.
Les deux inconnus sont du même âge que celui qui m'encule.
Pas plus avantagés physiquement que mon vieux complice de jeu, mais je m'en contenterai.
"Hé ! Fallait nous attendre ! Putain, il est beau, le jeune ! On va se régaler ! Comment tu vas René ?".
"Salut Jeannot ! J'vais bien ! La preuve !".
"Je vois ça ! Je te présente Omar ! Un pote du boulot ! Lui aussi, il aime les petites salopes comme lui !".
"Salut Omar ! Elle vous plait ma p'tite femelle ?".
Jeannot répond:
"Putain ! Faudrait être difficile ! Bon, on est en retard ! Faut rattraper ça, on va se foutre à poil ! Qu'est-ce que t'en penses, Omar ?".
"Ouffff ! Il a l'air de bien prendre le zob, le p'tit jeune ! Putain, j'ai le sgeg tout dur !".
Jeannot vient près de moi, pour me combler la gorge, avec sa bite épaisse.
Omar nous rejoint, en plaçant ses doigts contre mon anus écartelé.
"Putain ! Ce que tu prends dans la chatte, salope ! Hummmm ! C'est bon, ça !".
Il rejoint l'autre dans ma bouche.
Du coup, le vieux m'agrippe par les fesses, et entreprend de me défoncer l'orifice anal avec vice.
Je ne peux plus me retenir de feuler sur les bites que je suce, il me donne mon premier orgasme anal.
Je n'ai pas eu le temps d'apprécier les mensurations des deux nouveaux arrivants.
Pourtant, il y aurait eu de quoi, puisque, j'ai du mal à les englober ensemble.
Je suis déjà submergé par le plaisir.
Ce n'est qu'un début, puisque je devine la grosse verge du vieux René, qui gagne en profondeur, à chaque enfoncée.
Jeannot, sur ma gauche, m'imprime une poussée sur les épaules, pour aider son pote à m'enculer.
C'est inutile, parce que je sens que mon petit corps, et ma chatte, s'ouvre dans ses profondeurs, pour laisser passer la grosse verge, dans son entièreté.
Je délaisse les bites devant ma bouche pour me pâmer de plaisir, sous cette saillie extrême.
Je me touche les couilles, et au passage, ma verge qui s'est tendue, en arborant mon gland enflé.
Puis je vais plus loin, et constate que le vieux m'a tout inséré.
Il gagne en aisance, à chaque enfoncement.
Je suis surpris de vivre l'explosion d'une éjaculation incontrôlée, que j'essaie de contenir avec mes doigts.
C'est peine perdue, je me laisse gagner par cet orgasme.
Pour le vivre plus pleinement, je reprend la plus grosse verge dans ma gorge, tout en me maculant la main.
Je gémis fortement, alors que Jeannot remonte ma main spermée vers mon visage.
Il a raison, c'est logique, et plus simple pour moi d'avaler mon foutre, pour ne pas être ennuyé par la suite.
Omar se sert de son gland pour s'en couvrir, et me l'enfoncer dans la gorge.
"Hummmm ! Tu te régales, salope !".
"Ouais, il adore la bite, et le jus ! Ca se voit ! Putain, t'as bien fait de m'appeler, René ! On l'adore ta pute ! Tu nous la laisseras un peu, on aimerai bien la baiser, nous aussi !".
"Ummmm ! Orhhh ! Bientôt ! T'inquiètes !".
Fort heureusement, le plaisir anal prend la suite, en s'ajoutant à ma cérébralité vicieuse, qui me donne envie de continuer à baiser.
Une chance, parce que j'avais mon compte en éjaculant.
Mais les autres ont le droit de jouir aussi.
Finalement, je ressens ce que ma future femme vivra lors de ses nombreux gang bangs.
L'émulation de prendre du plaisir, mais également de le donner.
"Bon, qui veut ma place ?". Lance René.
Jeannot pose ses fesses sur le canapé, en me tendant les bras.
Je l'enfourche en ressentant un vide anal énorme, à peine rempli par sa verge épaisse.
Jeannot m'attrape la nuque, pour me prendre la bouche avec perversion.
Il s'active déjà dans ma chatte élargie.
C'est là, que je sens la verge d'Omar qui essaie de rejoindre celle de son pote, dans mon anus.
Elle m'étire à l'extrême, puis s'insère d'un coup.
Je veux raler mon plaisir, mais Jeannot me fouille toujours la gorge avec sa grosse langue.
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm...".
"Orhhhhhhhhh ! Elle prend bien nos deux zobs ! Ca, c'est une bonne salope !".
"Ouais ! C'est une bonne chienne ! Un bon garçon !". Réponds René.
Lorsque Jeannot quitte mes lèvres, mon corps est tenaillé entre eux.
Leurs quatre mains m'agrippent les épaules, et le corps d'Omar s'écrase contre le mien, en se secouant dans ma jeune chatte.
Le vieux René se branle avec un regard lubrique, devant cette scène.
Il grimpe sur le canapé, pour me remplir la gorge.
Je me sens écartelé, par les deux extrémités, sans pouvoir crier ma jouissance.
Jeannot demande:
"Putain ! Où tu l'a dégotée, celle là ? C'est une vraie pute ! Elle aime la bite, ça se voit !".
"C'est un mec qui m'en a parlé ! Au cinéma de cul, le Rex ! Il m'a dit que ça lui plairait, que je baise sa salope !".
"Putain, on a du cul ! Il vaut le coup, le jeune ! Orhhhhh ! Putain ! C'qu'elle est bonne sa chatte ! Orhh, il faut que je m'enlève, sinon, j'lui balance mon foutre ! Stop ! Omar !".
Je suis libéré de sa bite, puis Omar reprend sa défonce, mais seul cette fois.
Par moment, je réalise ce que je fais, en pensant:
Tu devrais avoir honte ! Putain, t'es entrain de te faire salement enculer par trois vieux pervers ! Avec un Arabe, en plus ! Orhhhh ! Arrêtes d'y penser ! C'est trop excitant ! C'est tellement bon, dans ta chatte !
J'enchaine les montées de plaisir anal, je les compte plus déjà.
Omar se retire, il subit le plaisir, lui aussi.
"Vas-y René ! Niques là ! Ca monte ! Il faut qu'j'arrête, moi !".
Le vieux me déplace, pour m'empaler en levrette.
Le passage de la bite d'Omar à la sienne, n'est pas simple à vivre.
Je me tiens la chatte, pendant qu'il me rabote les parois anales.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! M'sieur René ! Vous me cassez le cul ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
"C'est ça, qu'est bon, salope ! T'aimes ça, non ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII...".
Jeannot me reprend la bouche, alors qu'Omar préfère laisser tomber sa montée d'éjaculation.
Jeannot se plaint:
"Orhhhh ! Putain, elle suce bien, aussi ! Ca remonte déjà ! Orhhh ! Calmes toi, salope ! Tu vas me faire cracher !".
Du coup, je me retrouve seul avec René, qui m'enfonce dans le canapé, pour me saillir comme une chienne.
Ca me permet de crier ma jouissance anale comme je veux.
"Putain ! Gueule moins fort ! Salope ! On va t'entendre dans tout le quartier !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est de votre faute ! Elle est trop grooooossse ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Des secousses dans ma verge, me font réaliser que je me vide encore un peu les couilles, sur le canapé.
"Hurrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhh...".
Et là, plus que tout, je sais pourquoi je suis venu, ce moment est incomparable aux autres.
La suite est un surplus de plaisir pour moi, j'ai atteins la plénitude orgasmique.
Après mes derniers petits jets de sperme, mon anus se détend à son paroxysme.
René en profite davantage, sa bite énorme me fait flatuler, en remplissant la pièce de bruits humides.
Il se retire, admire la béance anale qu'il me provoque, me frappe l'entrée de la chatte avec son gros gland, puis me l'enfonce à nouveau d'un coup brusque.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Encore ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il recommence une bonne dizaine de fois, puis demande:
"Bon, qui c'est qui veut encore en profiter ?".
Omar m'empale d'une traite, le contraste est choquant pour moi, mais peu à peu, ma chatte s'enserre autour de sa verge, pour mieux le ressentir en moi.
Ca ne dure pas plus de 5 minutes, il annonce son explosion.
"Mets-lui tout dans la bouche ! Il adore ça !".
Le vieux magrébin se comprime le bout de la verge, en se déplaçant jusqu'à ma gorge.
Il explose dès, que je l'englobe avec mes lèvres.
Jeannot m'encule déjà, encore et encore.
Je vis un bonheur cérébral intense, en jouissant du cul, tout en avalant le foutre abondant d'Omar.
Il est très puissant, en gout, mais peu importe, j'aime tous les spermes !
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Ouais ! Bois tout, salope ! Orghhhhhh ! Il te plait mon jus ?".
"MMMMMMmmm ! Sllllrppp ! Orhhhhhhhhhh ! Oui, il est bon ! Donnes moi en encore ! Mmmm...".
"Orhhhh ! Putain ! René ! Regardes ça ! Il me vide les glaouis ! Orhhh ! Il fait pas semblant ! Il me bouffe le zob ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Ca dure tout le temps de son éjaculation, et quelques minutes en plus, puis je me dresse pour me cambrer de plaisir, sous les assauts de Jeannot.
Lui aussi montre des signes de faiblesse, il en parle d'ailleurs.
"Orghhhh ! Putain ! René ? Ou est-ce que j'lui balance mon foutre ? Ca va pas tarder, là !".
"Ou tu veux ! j'en fous ! Vas-y fais toi plaisir !".
Moins d'une trentaine de coups de queue, plus tard, il se met à crier comme une bête.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Elle m'a eu ! La salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Cette chatte !".
René se branle toujours, bien plus excité que jamais, à l'idée que sa nouvelle jeune salope, se fait inséminer la chatte par son pote de baise.
Il me comble la gorge pendant que son ami, me rempli l'anus de jus chaud.
Je m'écartèle la bouche, en ressentant les éjections internes de Jeannot, c'est si bon !
Quand il a terminé, il recule en titubant, sans quitter mon trou poisseux des yeux.
"Putain ! C'était trop bon ! J'adore ! Je lui en ai mis plein la chatte !".
Je peux pas empêcher mon sphincter de spasmer, il rejette sa lubrification, en même temps que le foutre de Jeannot.
René quitte rapidement ma gorge, et s'aide de son gland, pour récupérer le jus chaud, qui me coule entre les fesses.
Il repousse le sperme de son pote, à l'intérieur de ma chatte, avec sa bite énorme.
Encore une fois, je me tiens l'orifice avec ma main, pour mieux supporter sa grosse présence.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! M'sieur René ! Putain ! J'en peux plus ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je me fais éclater la chatte, avec les deux autres, assis sur mes cotés, la bite pendante et humide, entre leurs cuisses.
'Hummmm ! Il t'éclate bien la chatte ! Mon pote René ! Pas vrai ? Salope ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...".
Puis, d'un coup, par réflexe, je m'échappe de sa grosse verge, et me comprime le sexe.
"Orhhhh ! J... J'vais gicler ! J'peux plus me retenir !".
René me pivote vers la table, et lance:
"Vas y ! Laches tout ! Tu peux !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est boooooooooooooon !...".
Il me fourre à nouveau, c'est le début d'une humiliation anale, devant les deux autres, qui se régalent du porno sale, et réel, qu'on leur offre.
En plusieurs jets abondants, j'inonde le sol du vieux René, qui s'en moque éperdument, au contraire !
Ca l'excite tellement qu'après mes derniers écoulements, il explose dans mes entrailles en grognant comme un ours.
Son insémination est aussi interminable que les premières fois.
J'adore faire jouir ce vieux vicelard.
Ensuite, il me libère de sa présence anale.
D'énormes flatulences me font rejeter son foutre abondant.
J'en ai l'arrière train maculé, j'ose même plus y poser mes mains.
Devant moi, je constate que si la queue de Jeannot est "au repos", celle d'Omar a repris de la vigueur.
Il n'a pas cessé de se branler en nous matant.
Il se précipite devant ma bouche, en se secouant la verge.
"Orhhhhhhh ! J'ai jamais connu une aussi grosse salope ! Tiens ! Avales encore mon jus ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Je gobe ce qu'il m'envoie, dans un étonnement complet.
J'm'y attendais vraiment pas ! Mais je prends ça, comme une cerise, sur le meilleur des gâteaux !
Les deux compères nous ont quittés, peu de temps, après.
René m'a donné une serpillère, et m'a regardé essuyer mes écoulements, d'un air toujours aussi dominateur.
En me lançant, à la fin:
"C'est bien ! T'as bien travaillé ! Ma p'tite salope ! J'suis fier de toi ! Bon, tu reviens quand ?".
"Euh... Je sais pas ! Faut pas m'en vouloir, j'ai une femme ! J'peux pas toujours me libérer facilement ! je ferais tout ce que j'peux, M'sieur René !".
"Bon ! Ok, je comprends ! Tu sais que je suis toujours là ! Me fais pas trop attendre ! C'est tout c'que j'te demandes !".
"Ok, merci ! Monsieur ! Je peux aussi passer en coup de vent, mais faudra pas que ça dure longtemps !".
"Mouais ! Pourquoi pas ! Une bonne pipe ! C'est toujours bon ! Comme tu veux !".
"Merci, M'sieur René !".
Je suis rentré avec une gène anale énorme, mais heureux que cette fois, je m'en suis sorti, sans séquelles douloureuses.
Ca y est, ma chatte encaisse les très, très grosses bites !
Je pense également à d'autres possibilités, pourquoi pas ?
Mais malheureusement, je vais le savoir plus tôt que je le pensais.
Quelques jours après ma troisième visite chez le vieux vicieux, j'ai un appel de Jean, mon complice de jeu pervers.
"Tu peux me recevoir, maintenant ? Je suis dans ta rue, et j'ai une grosse envie !".
"Ouais ! C'est bon, ma femme travaille ! Viens !".
Dès son arrivée, il m'enserre dans ses bras.
"Hummmm ! Putain, je bande déjà ! Alors ? T'es allé voir le mec que je t'ai dis ?".
"Euh... Non, désolé, j'ai pas pu !".
"Non ! Tu déconnes ! Et le vieux à la grosse bite ? T'y es retourné ?".
Je découvre que je commence à me défaire de son influence perverse, puisque instinctivement, je lui mens.
"Euh... Non, j'y suis plus allé !".
S'il savait ce qu'il m'a mis en réalité, depuis, et par deux fois, en plus.
"Putain ! T'assures pas ! Attends, je l'appelle !".
"Qui ? Le vieux ?".
"Non, l'autre ! Il doit me prendre pour un mytho ! J'aime pas ça !".
J'assite à son appel, un peu contrarié de ne pas commencer à baiser avec lui, tout de suite.
"Ouais ! salut, c'est Jean le mec qui t'a parlé au Sex-Shop ! ... Tu me remets ? Oui, c'est ça ! Il est avec moi, tu peux nous recevoir ? Oui ! Bon, Prépares toi, on arrive !".
"Qu... Quoi ? Tu me demandes pas mon avis ?".
"Non ! Allez viens ! On va se régaler ! Ca va être chaud ! Tu verras !".
Nous voilà dans sa voiture, en direction d'un quartier huppé de la ville.
Il se gare devant une villa de luxe, un homme pas très grand, nous reçoit.
A l'intérieur, il dit:
"Hummmm ! Charmant ton p'tit copain ! Alors comme ça, c'est une vraie petite salope ? On va vérifier ça !".
Il me caresse le visage avec un air très vicieux.
"On va bien s'occuper de toi ! Tu le mérites !".
Bizarrement, ce qui me choque le plus, ce sont ses mains lisses et manucurées, elles sont douces sur ma peau.
Il nous entraine dans son salon.
Je remarque un flacon énorme de gel anal, sur la petite table.
On ne risque pas d'en manquer !
Je préfère ne pas vous conter la suite, puisque je ne l'ai pas bien vécue.
Les deux hommes ont pensé, à juste raison, qu'avec mes nouvelles possibilités anales, j'étais prêt pour une initiation à une séance de fisting.
Malgré un énorme plaisir anal, impossible à éviter, je n'ai ressenti que de la crainte, vis à vis de cette pratique.
C'est la première fois que j'ai autant ressenti la notion d'être un homme objet.
Ca m'a dégouté du sexe entre hommes, pendant quelques semaines.
Jean m'a relancé plusieurs fois, mais je suis resté ferme face à ses sollicitations.
Mes désirs sont revenus ensuite, ce qui m'a énervé au début.
Puis, un jour, en passant devant chez le premier inconnu, qui a abusé de moi, lors de ces rencontres surprises.
J'ai osé sonné chez lui, en laissant décider du hasard, de sa présence ou non.
Il était là !
Bon ! Encore une fois, Pascal ! Tu vas devoir assumer le choix, d'avoir osé sonné.
Ni une, ni deux, je me suis retrouvé nu, couché contre son flan de canapé.
Rapidement, je me suis mis à râler mon plaisir anal, sous ses coups de bite puissants.
Il ne se doutait pas, qu'il me réconciliait, avec mon besoin de jouir avec une bonne verge dans le cul.
Ma chatte dégoulinait de mon orifice béant, vers mes couilles, pour finir en tachant sa moquette.
Il m'insultait encore plus, que lors de nos rencontres précédentes.
Je l'encourageai, sans scrupules, j'étais venu pour qu'il me défonce la chatte, après tout !
Il m'a placé ensuite en femelle parfaite, en m'écartant les cuisses, et me soulevant le bassin.
"Regardes, ce que tu te prends dans la chatte ! Sale petite pute ! C'est ça que tu voulais ! Avoues !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...Ouiiiiiiiiiii ! ...C'est ...ça ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il s'est arrêté pour me dévorer l'orifice anal, pendant de longues minutes, puis m'a enculé de nouveau, en m'obligeant à me placer en chienne soumise, à genoux, avec le cul en bombe, et le visage collé au sol.
Pour finir, il m'a ordonné de me branler, agenouillé sous lui, alors qu'il se masturbait, également, au dessus de ma face.
Quand j'ai reçu ses premières giclées de foutre, chaud et gluant, sur tout le visage.
Mon éjaculation est montée immédiatement.
Je m'inondais la main, tout en me laissant humilier par l'inconnu, qui s'amusait avec son sperme, sur ma petite gueule de jeune salope.
J'ai adoré ces jeux de sperme, me faire inonder la gorge, en lui léchant les doigts et la verge.
Putain ! Ca m'excite encore, d'y repenser !
Je l'ai quitté, heureux d'avoir retrouvé de bonnes sensations, même si ma chatte me disait que j'avais pris cher !
Mais revivre le retour chez moi, avec ce gout puissant de sperme dans la bouche, et cette impression de présence constante, de verge dans mon anus, hummm ! Ca m'avait manqué !
Du coup, ça m'a motivé pour retourner chez le vieux salaud, quelques fois de plus.
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