Mon contremaitre 2

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Mon contremaitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon contremaitre 2
La relation s'est installée tranquillement, entre mon chef et moi.

Il aime me demander de le faire éjacule, en le suçant 2 à 3 fois par semaines, dans un coin sombre, à l'abri des regards.
Il nous est arrivé parfois de le faire au travail, quand les autres étaient absents.
Il a aussi eu le temps de me baiser quelques fois.
J'ai adoré ces moments, lui aussi, je crois.

Même si les inconvénients incontournables m'ont beaucoup gêné par la suite, à cause de ma chatte élargie, mon sphincter qui ne me laisse pas tranquille, à cause des spasmes incontrôlés et mon slip, qui se retrouve trempé de sperme.
Mais, ça m'excitait terriblement aussi ! J'en conviens.
Il n'y a rien ce comparable à ce plaisir pris dans l'urgence. Votre corps qui subit ces orgasmes et votre esprit qui est tenaillé entre le plaisir et la crainte d'être surpris, le pied !

Un jour, c'est moi qui l'ai sollicité, alors que les autres salariés bossaient sur un chantier, nous laissant seuls.
Il a fortement insisté pour que je reste avec lui, pour "l'aider", soi disant, mais moi, j'étais pas dupe !

Du coup, dès que ce fut possible, je ne me suis pas gêné de m'approcher de lui, afin de lui masser la verge.
Il m'a tout de suite entrainé dans la remise, après avoir fermé l'atelier à clefs, pour éviter la venue imprévue du patron.

J'étais déjà avec mes genoux sur le sol, en le regardant déballer sa grosse verge.

"Putain, j'vais te défoncer la chatte ! Tu m'as trop excité ! Salope !".
"Oui, je suis ta salope ! Laisse-moi la sucer un peu avant, j'ai envie ! Mmmmmm... Mmmmmm... Orhhh ! Je suis excitée !".

On a peu profité de cette fellation de peur d'être surpris.
Il m'a rapidement relevé pour me pencher sur l'établi en bois.
J'étais très excité d'avoir uniquement le cul dénudé, en m'étalant sur le plateau de bois.
Sentir son gros gland qui me lubrifie l'anus de salive, et me stimule la rosette. Hummmm !
J'ai porté ma main contre ma bouche, quand il est parvenu à me planter sa grosse bite jusqu'au fond.
Il donne le ton en me parlant vulgairement.

"Orhhhh ! Chérie ! Ca m'excite encore plus de te baiser ici ! Tiens salope !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! C'est trop bon, j'avais besoin de ta queue ! Orhhhh ! Merci...".
"C'est ça que tu voulais ? Que je te démonte la chatte ? Tu la voulais ma grosse bite ! Sale chienne ! Tiens ! Tiens ! Tiens !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Ouiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !...".

On a pas tenté le diable, en changeant de position.
Il m'a labouré la chatte inlassablement, puis m'a éloigné de l'établi, pour m'enculer tout en me caressant la verge.
Après mon troisième orgasme anal, j'ai pris le relais avec ma main sur ma queue, afin de me faire éjaculer, tout en jouissant du cul.
En jouissant, j'ai espéré que mon foutre ne tombe pas sur mon Jeans, on verra bien.
Il a éclaté en criant, un peu plus de 3 à 4 minutes plus tard, puis s'est serré la verge.

"Bébé ! Vite !".

Je me suis vite tourné pour l'avaler.
Parce qu'on partage ce plaisir, mais aussi pour éviter le maximum de taches de foutre dans la remise.
Du coup, j'ai beaucoup mieux géré la première dose qu'il m'a inséré dans la chatte.
Quand à lui, c'est moins risqué de ranger une bite propre, dans son slip, vis à vis de sa femme.
J'ai du nettoyer vite fait mon jeans, malgré tout.

Ca ne nous a pas empêché de recommencer en fellation, le soir venu.
Après m'avoir rempli la gorge, il s'est plaint:

"Putain ! Chérie, tu m'as vidé ! Après une pipe comme ça ! J'ai plus d'énergie, ça va être dur de cacher ça, à ma femme !".

On a rarement sauté nos RDV du vendredi.
Quelquefois, on les déplaçait, ou on les devançait.

Nos ébats ont évolué vers le sexe pervers, cru et assumé, mais sans y perdre en passion commune.
On s'est avoué notre besoin partagé de l'autre, et nos sentiments réciproques, sans vraiment parler d'amour véritable.

Il m'a fait part des soucis de couple, que cette relation lui causait, mais m'assure que cela reste son problème.
Quand à moi, je ne lui ai pas encore révélé que j'ai quitté ma copine, depuis plus de 6 mois.
Donc, mes seuls vrais orgasmes sont ceux qu'il me procure analement.
J'ai eu 2 rapports sexuels avec des filles de passages, mais comme avec les hommes, en lieu de rencontre, c'était plutôt banal, et décevant.
Donc pendant plus de 8 mois, j'étais dans la peau d'une petite pédale, ça m'a un peu perturbé.

On se retrouve une énième fois, encore à l'appart, chacun se dénude devant l'autre en parlant de l'entreprise.

"J'ai parlé au patron ! La boite va mal ! Il pense à fermer ! Je pense qu'on va se retrouver au chômage !".
"C'est sûr ? Putain, j'vais devoir encore me réinscrire dans des boites intérim ! Et puis, je pense à nous, comment ça va évoluer pour nous deux ? J'ai pas envie que ça s'arrête !".
"Moi aussi, ma chérie ! Mais c'est comme ça ! C'est peut être mieux, je me suis trop attaché à toi ! Ma femme se plaint que je la baise plus !".
"Désolé ! J'm'en veux, un peu !".
"Allez ! On s'en fout ! Viens là, ma p'tite salope ! Hummmm ! J'ai envie de ta chatte !".

Quand il me prend dans ses bras, que nos corps dénudés se touchent, je me sens bien.
Sa verge est déjà en grosse érection, je me sens privilégié, et je me dis que sa femme ne sait pas ce qu'elle rate en refusant la sodomie.
Je sais, pour l'avoir fait moi même sur ma copine, qu'un anus est bien mieux conçu pour donner du plaisir à une verge ! Il l'enserre mieux.

Je me retrouve rapidement sur un plaid posé au sol, avec les cuisses ouvertes, en l'accompagnant de mes mains sur ses hanches, pendant qu'il me transperce avec une fougue puissante.

"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, comme ça, orghhhh ! Tu me baises bien, Bernard ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".

Eh, oui, j'ai fini par l'appeler par son prénom, à la longue.
Il me provoque un écoulement de vessie, impossible à retenir.
Je me repends sur mon ventre, en lui criant que j'aime sa grosse bite.

Après ce premier orgasme, il me place en levrette.
Sa queue se plante encore en moi d'un coup sec.
Je me cambre, en lui disant que j'aime qu'il me prenne comme ça.

"Arghhhhhhhhhh ! Oui, Bernard ! Encules-moi encore ! Défonces moi la chatte, comme une salope !".
"C'est ça que t'aimes ! Compte sur moi, ma p'tite chienne ! J'vais te la démonter ta chatte ! Je l'aime trop ! Tu le sais !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Encorrrrrrrrrre !...".

"Orghhhhh ! J'ai envie de te faire un truc nouveau, tu me fais confiance ? J'ai vu ça dans un nouveau film de cul que j'ai acheté ! Je pourrai ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Je sais pas ce que c'est, mais oui, fais moi tout ce que tu as envie ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".

On change de position, je monte sur lui pour l'enfourcher jusqu'à mon nouvel orgasme.
Ensuite, on se dévore longuement en 69.
J'aime qu'il me lèche la rosette anale.

Je suis agréablement surpris par son explosion dans ma gorge. Je ne m'y attendais pas.
J'en gémis de bonheur, en avalant son foutre brulant et poisseux.
Ses râles ne trompent pas, il apprécie toujours autant, me remplir la bouche.

Ensuite, on se rend sous la douche.
Sous son impulsion, je me prosterne devant sa grosse bite, pour le sucer encore.
Il ne débande pas, mais ce n'est pas la première fois que ça lui arrive, et j'adore ce phénomène.

Il me redresse pour m'empaler encore, contre la paroi de douche.

"Orhhhhhhhhhhh ! Bernard, c'est trop bon, j'aime trop ta bite !".
"Moi, c'est ta chatte, que j'aime ! T'es ma p'tite pute à moi ! J't'aime, chérie !".
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop fort ! Encore !".

Il me provoque une énième montée de plaisir, puis se fige en moi, en me bloquant sur sa verge, enfoncée à l'extrême.
Impossible de m'échapper de sa queue, mais j'adore tellement ça.
Je sens que mon ventre se gonfle inexorablement.
Je reconnais cette sensation, je la vis à chacun de mes lavements anaux.

"Orghhhhhhhhh ! Ca m'excite, chérie ! J'en avais trop envie ! J'aime te pisser dans la chatte ! T'aimes ça ? Dis-moi que t'aimes ça, toi aussi !".

Ca se bouscule dans mon esprit, je dois analyser ce que je ressens vraiment ! J'aime pas mentir.

"Orghhhhhhhhh ! Oui, je crois que ça m'excite, moi aussi ! Orhhhh ! Stop ! C'est trop !".
"Il faut que ça sorte ! C'est ça ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiii !...".
"Te retiens pas, Bébé ! Putain ! Ca m'excite ! Tiens, salope !".

Il ne sort pas, et m'encule de plus belle. Ce qui m'oblige à tout relâcher.
L'urine gicle sur sa verge à chaque enfoncée, maculant nos quatre cuisses, en s'écoulant entre nous.

L'orgasme étrange que je vis est nouveau pour moi, mais j'en joui, sans me poser de question.
Il recule enfin pour m'arroser un peu l'anus, encore béant, puis replonge dedans pour terminer d'uriner en moi.

"Arghhhhhhhhhh ! Bernard ! T'es trop vicieux ! Orghhhhhhhhhhhh !".
"Ca te plait, salope ! Non ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".

Mes écoulements s'arrêtent, au fur et à mesure qu'il m'encule.
Puis, je l'entend haleter plus fort ! Il se secoue plus puissamment dans ma chatte, plus frénétiquement, aussi.

"Orghhhh ! Bébé ! Donne-moi ta bouche ! Vite !".

Dés qu'il quitte ma chatte trempée, je me jette sur sa verge.
Par chance, l'éjection rapide de son foutre, dilue le gout désagréable de l'urine, entourant sa bite.
Je préfère ce jus là !

Je m'adonne à ma passion buccale préférée, en le suçant comme jamais, tout en l'avalant.
Jusqu'à lui rendre sa verge, propre, vidée et pendante.

"Orhhhh ! Putain ! Ma puce ! Tu m'as rendu dingue ! J'ai adoré ça ! Et toi ?".
"Ca va, ça m'a pas déplu, mais j'aime pas le gout, par contre ! Ne le fais jamais dans ma bouche !".
"On verra ! Moi, j'aimerai bien ! Mais, on y est pas encore ! Merci, ma p'tite chatte !".

J'y aurai droit, en effet. Ensuite, je me suis laissé arroser en douche dorée, jusqu'à la fin de son besoin d'uriner.
J'ai adoré la chaleur que cela m'a procuré, mais j'ai eu son gout pendant de longue minutes, par la suite, dans la gorge.
Ma fellation d'après, m'a permis d'effacer ce gout assez facilement.
Surtout en avalant son jus, si délicieux et chaud.

Finalement, la boite a coulé.
On s'est souvent retrouvé à l'appartement. Ce qui m'a manqué, ce sont nos soirées fellations dans la voiture.
Il m'enculait toujours aussi bien, dès qu'on se retrouvait dans son appartement.
Il aimait tellement ma bouche, que cela finissait souvent par une éjaculation buccale.

Nos jeux devenaient de plus en plus pervers, Il m'en demandait toujours davantage. Il aurait pu m'emmener très loin, j'étais prêt à tout pour lui.
Puis, il a trouvé un job à plusieurs kilomètres de Toulon, et a fini par m'imposer une séparation définitive.

"On s'aime trop ! Ma p'tite chatte ! Ca devient dangereux pour mon couple, ma femme m'a parlé de divorce ! Tu comprends, il y les enfants, même s'ils sont grands et mariés ! Je veux pas briser tout ça !".

Je pensais la même chose, ayant entamé une nouvelle relation, avec une fille que j'aimais de plus en plus. Il fallait que ça s'arrête.
Je lui ai caché cette rencontre, il en aurait été jaloux.

De mon coté, mes sentiments pour elle, m'ont rassuré sur ma bisexualité, j'avais autant besoin des filles, que des hommes !
J'ai donc repris mes sorties secrètes, en Sex-Shop, cinémas pornos, et lieux boisés très chauds pour hommes.
J'ai redécouvert à quel point, j'aimais être entouré de males affamés de sexe.
Le plaisir cérébral de subir des assauts dans la chatte, tout en suçant plusieurs autres verges, à la suite.
S'appliquer dans ce plaisir buccal, avec l'idée en tête, que plus vous les faites bander, plus ils seront durs et vigoureux, dans votre chatte.
Mieux ressentir le plaisir anal, parce qu'on se laisse aller davantage, quand on est occupé avec des verges dans la bouche.
Ca non plus, je peux plus m'en passer.

Jusqu'à vivre ma première baise à la chaine, avec plus d'une quinzaine d'inconnus, au darkroom du Sex-Shop, un moment inoubliable !

J'ai rencontré d'autres amants réguliers, qui m'ont eux aussi, bien aidé à m'assumer.
J'avais trouvé mon équilibre, entre le tendre amant hétéro, et la véritable salope homo.
L'un m'aidait à assumer l'autre !
Après une journée, ou une soirée à me faire humilier, par des bites, le lendemain je me sentais ressourcé ! Prêt à reprendre mes responsabilités d'homme au foyer et au travail!
J'ai mieux géré ces relations perverses, j'assumais enfin ce que j'étais avec les hommes !
Ils aimaient soumettre, et moi, j'étais là pour ça ! Même si ce n'était que lors de moments ponctuels, avant de reprendre une vie "normale et officielle".

Avec Bernard, le hasard nous a aidé, puisqu'on s'est retrouvé 3 fois, en ville.
La première fois, est arrivée dans un jardin public.
Je l'ai croisé en passant devant lui, alors qu'il était assis sur un banc.
On était l'un devant l'autre, sa main s'est posée sur moi, j'ai ressenti un frisson.
L'attraction était trop forte, il m'a emmené de nouveau dans son appartement, pour une baise débridée.
Cela faisait 4 ans qu'on ne l'avait plus fait. Il a éjaculé deux fois.

La deuxième s'est faite en pleine zone piétonne.
Il me parlait au milieu de la foule, puis a changé de sujet en me disant à voix basse:

"Ca te dit de me sucer la queue, vite fait ?".
"Oui ! J'en ai envie !".

On a trouvé une entrée d'immeuble ancien, apparemment inoccupé. jouxtant une boutique de vêtements.
On s'est isolé dans les étages, ce qui m'a permis de lui sucer la verge en prenant mon temps.
On s'est tellement senti a l'abri, qu'il m'a enculé pendant une petite éternité, avant de revenir dans ma gorge, pour s'y déverser avec délice.

J'ai retrouvé mes amis avec une forte gêne anale, mais j'en étais pas à ma première fois.

La dernière fois s'est passé en soirée, sur la plage du Mourillon, entre les rochers.
On a eu le temps de jouir tous les deux, avant d'être interrompus.
Il était encore nu, sur moi, avec sa bite dans ma chatte, pleine de sperme, quand une patrouille de flics nous a demandé de quitter les lieux.
On s'est senti penauds, en nous rhabillant devant eux.
Fort heureusement, l'homosexualité était récemment dépénalisée (1982, on était en 87 !) , sinon on aurait fini au poste de Police.

J'ai regagné mon appart, avec mon slip qui me collait aux fesses.
J'en ai profité pour me masturber.

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