Avec Manu et Hassan, sur le chantier.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Avec Manu et Hassan, sur le chantier.
Cette suite est aussi très crue, donc passez a une autre histoire, si c'est pas votre truc.
Arès ce texte, je vous embête plus avec Manu.
C'était bon, mais je n'arrive pas à m'empêcher d'éviter de passer devant le chantier.
Je me sens piégé par mon propre vice.
Je sais que si je croise Manu, je vais lui céder.
Puis, en fin de semaine, je me décide d'affronter Manu.
Les blacks sont partis, on dirait !
Manu vient vers moi, il a encore son short court, et un "Marcel" trempé de sueur.
"Tu le fais exprès, salope ? Tu m'évites ?".
"Euh... Pardon Manu ! Mais l'autre fois, vous m'avez mis dans un sale état ! C'était trop !".
"Ca t'as pas plu ?".
"Si ! Un peu trop ! C'est ça, qui me fait le plus peur ! J'aime pas mon coté salope !".
"N'importe quoi ! C'est ça qu'on aime ! Nous ! Allez ! Viens, suis-moi !".
"Où ? Dans le chantier ?".
"Oui, t'inquiètes ! C'est presque fini ! Il a plus que quelques potes ! On va attendre qu'ils se cassent ! N'aie pas peur !".
"Je te fais confiance ! C'est sur ?".
"Oui !".
"C'est vrai ? Vous avez bientôt fini ?".
"Ouais ! C'est pour ça ! C'est dommage de pas en profiter ! Elle me manque ta chatte ! Et toi, elle te manque pas ma bite ?".
"Si !".
Il me fait visiter les lieux, pendant qu'il se vident.
Quand on arrive au local, où tout le monde se change, il ne reste plus qu'Hassan.
"Orhhh ! La belle salope ! Ca fait plaisir ! Je crois que je vais rentrer en retard, moi !".
"Où il est Momo ?".
"Il est allé se vider les couilles avec l'autre, qu'on a vu l'autre jour, Il a envie d'essayer".
"Tant pis pour lui, alors ! Bon, on va s'enfermer ! J'ai envie de m'amuser !".
Hassan tourne le loquet du local, puis se dénude entièrement.
Putain, la maçonnerie, ça muscle un homme !
Il m'excite avec sa longue bite brune entre les cuisses, et son corps musclé de cinquantenaire Arabe.
Il s'approche de moi pour me dénuder, tout en me caressant les parties intimes, surtout les fesses.
Manu nous mate en enlevant ses fringues.
Avant d'être dans le feu de l'action, je pose la question qui me tenaille depuis l'autre jour.
"Hummmm ! Manu ! Au fait, t'es de quelle origine ? Tu parles bien français, mais tu es typé, j'arrive pas à comprendre !".
"J'suis métis ! Né en France, mais Moitié Martiniquais, moitié Arabe ! C'est pour ça que j'ai une grosse bite ! Ha ! Ha !...".
A propos de bite, Hassan me sollicite déjà, en me remplissant la gorge.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmm ! Orghhhhhhh ! J'aime te sucer Hassan ! Mmmmm...".
Je pivote.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmm ! Toi aussi, Manu ! Mmmmmm ! Mmmmm...".
"Tu vas revenir plus souvent ?".
"Oui ! Promis ! Mmmmmmm... Mmmmmmmm...".
La séance de fellation est humiliante à souhait, et j'adore ce traitement verbal.
Puis Manu lance:
"Bon ! Hassan ! Passes en premier ! Eclates lui la chatte, à cette salope !".
"Ouhallahh ! Merci, Manu ! J'vais m'régaler ! Viens là, chienne !".
Il me place devant sa longue queue, et s'applique à me couvrir la rondelle de salive.
Je sens qu'il cherche à me stimuler l'anus, avec son gland bien dur.
Il est doué, l'Arabe ! Je suis presque prêt.
"Allez laisse moi entrer, salope !".
Il pousse plus fortement, puis glisse d'une traite dans ma chatte.
"Orghhhhhhh ! Hassan ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'aime... ".
"Ca t'plait la bite d'Arabe ! Dis le !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiii ! C'est bon ! J'aime ça, surtout comme la tienne ! Arghhhhhhhhh !".
"Oh ! T'oublies pas de me sucer ? Allez, pompes moi la bite !".
"Mmmmmmmm ! Pardon Manu ! Mmmmmmm ! Mmmmmmmm...".
Il a entièrement raison, c'est meilleur comme ça.
En m'appliquant sur sa grosse bite, mon plaisir anal m'envahit plus rapidement.
Et Hassan m'y emmène inlassablement bien.
Comme l'autre jour, il m'encule en me traitant de chienne, pute, salope, mais j'y suis habitué, et j'aime ça.
Manu participe à tout ces dialogues, évidemment.
Puis, je crie mon premier orgasme, en quittant la queue de Manu.
"Arghhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Alors, t'es pas une salope ? T'aimes pas la bite, dis moi ? T'es pas bien avec nous ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Si ! Je suis votre pute ! C'est trop bon ! J'aime la bite ! Argggggggggggggggggggg... ".
"Voilà ! C'est ce que j'aime entendre ! Tu vas bien nous vider les couilles ? Dis-moi ? Salope !".
"Ouiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! J'suis là pour ça... Arghhhhhhhhhhhh !".
"Tiens ! En attendant ! Tu vas encore prendre mon zob ! Sale pute ! Putain ! T'es une bonne femelle, tu l'sais ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Encooorrrrrrrre...".
"Putain ! Manu ! Prends sa chatte ! Moi, j'en peux plus ! J'veux pas lui mettre la sauce, maintenant !".
Je m'affole d'un coup, en voyant Manu, passer dans mon dos.
"Manu? Tu fais doucement, t'es plus gros ! Tu le sais ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Salaud !.
"Ta gueule ! Profites ! Tu vas couiner comme chienne, tout à l'heure !".
Je me fais remplir la gorge par Hassan, alors que je passe une main sous mes couilles, pour toucher ma rondelle qui se fait déchirer par Manu.
"Muuhhhhhhhhhhhhhh ! Muuhhhhhhhhhhhhhh ! Muuhhhhhhhhhhhhhh ! ...".
"Ouhallahh ! C'que tu lui mets encore dans la chatte, Manu ! Putain ! J'adore cette pute !".
"Et c'est que le début ! Hein, ma p'tite chienne ? Tu vas pisser encore ! Et tu vas gicler ton jus ! Salope !".
En parlant de ça, peu après, je m'avance d'un coup pour arroser le sol. Hassan a eu à peine le temp de l'éviter !
Puis Manu, m'enfile à nouveau, comme un fourreau, sur sa grosse bite.
Je me sens comme un masturbateur humain, qu'il utilise pour se faire éjaculer.
Cette ambiance humiliante me ravit, malgré ce que je prétend, je dois l'accepter, j'ai besoin de ça.
Surtout, que ce n'est pas qu'un plaisir cérébral, le plaisir anal est bien présent, aussi !
Qu'est ce que j'aime jouir avec sa bite énorme !
Hassan s'est mis de coté, pour me permettre d'évacuer mon liquide prostatique, sans l'arroser.
Puis Manu m'embroche à nouveau, pendant que je pompe la bite du magrébin.
Ca dure tellement, qu'Hassan réclame ma chatte !
"Manu ! Laisse moi la niquer, ta salope ! J'en peux plus, il faut que j"me vide les couilles !".
"Tiens ! Dépêches toi ! J'veux la faire gicler aussi !".
Manu m'écartèle les lèvres, il est couvert de jus anal.
Hassan me défonce en me claquant le cul, me traitant de chienne, ect...
Je sens qu'il parvient a faire monter son éjaculation, il ne va pas tarder à exploser.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Mon zob va éclater ! C'est ta faute, salope ! Arggggggggggggggggg...".
Manu me dresse contre lui, en me cambrant sur la bite d'Hassan, pendant qu'il se vide les couilles, en criant son plaisir.
"Arghhhhhhh ! Orhhhh ! Putain de salope ! C'est trop bon, ta chatte ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Manu admire mon visage déformé par le plaisir.
"C'est bon ? Salope ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Merci Manu ...Arghhhhhhhhhhhhh...".
Hassan en garde un peu pour la fin, il se retire et m'arrose la chatte de foutre, en m'insultant.
"Orghhhhhhh ! Putain ! Tiens ! Sale pute ! Tu m'as bien vidé les couilles ! Tu le mérites !".
"Orhhhhh ! Manu, j'aime ça ! C'est trop bon ! Vous me rendez dingue ! Oui, Hassan, mets moi tout !".
Ensuite Hassan vient devant moi, pour se faire laver la bite.
Je le suce avec amour et gourmandise, jusqu'à la pénétration de Manu qui me fait haleter.
"Arghhhhhhhh ! Ahhhhhhh ! Ahhhhhh ! Manu ! Doucement !".
"Mais non ! T'aimes ça, salope !".
Hassan ne tarde pas à se rhabiller.
Il est prêt, quand on frappe à la porte.
"Hassan ? T'es là , Tu m'ouvres ? C'est Momo !".
Momo assiste à ma défonce anale par Manu.
"Non, c'est pas bien ça ! Vous m'avez rien dit ! Enfoirés !".
"T'as pas baisé l'autre salope ?".
"Ouais, mais c'était pas bien ! Il était sale, je suis venu me laver le zob ! J'aime pas ça ! Il mouille pas comme ta pute, Manu !".
Il vient mater ce que j'encaisse.
"Putain, il prend mieux le zob, lui ! Putain ! J'vais plus bander, maintenant !".
Je crie mon orgasme, en prévenant Manu que je vais cracher mon foutre.
"Arggggggggggggg ! Manu ! Je joui ! Regardes, salaud ! T'y es arrivé ! Argggggghhhhhhhhhhhhhh !".
"Hummmm ! Toi, t'es une vraie bonne chienne ! Pas vrai Momo ?".
"Ouallahh ! La tête de ma mère ! J'ai les boules ! J'ai envie de bander, j'y arrive plus !".
Il approche sa verge, j'ai un mouvement de recul !
"T'es propre Momo ?".
"Ouais ! J'me suis lavé deux fois l'zob ! Goutes tu verras !".
C'est vrai, sa bite a un gout de savon, mais malgré tout mes efforts, il ne bandera pas.
Il me laisse aux mains de Manu, qui me laboure comme un forcené, par terre.
"Manu ! Arggggggggg ! J'en peux plus ! Pitié !".
Il me pilonne comme un dingue, j'avance devant lui pour fuir ses coups de bite.
Jusqu'à ce qu'il me coince la tête contre le mur, en me déchirant le cul.
"Manuuuuuuuuuuuuuuuu ! Arggggggggggggggggggggggg...".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Ca y est ! Je crache, salope ! Arhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain, tu m'exploses la bite ! Arghhhhhhhhhhh !".
Ses derniers assauts me font presque mal, tant ma chatte est au point de rupture.
C'est à la fois anesthésié, et douloureux en même temps ! Bizarre comme sensation.
Mais je ne voudrais pas céder ma place. Putain, ce que j'aime prendre l'éjaculation de mon maçon pervers, dans la chatte.
Il pivote d'un coup, et me demande:
"Viens ! Suces moi ! J'ai envie de ta bouche ! Orhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Putain, ça aussi, c'est bon ! Hummmmm...".
Je lui lèche la verge avec passion, et vice. Putain, j'aime cette queue.
"On s'est bien amusé ! Non ?".
"Mmmmm... Slrrrppp ! Oui ! Mmmmmm... Mais... Mmmmmm... Pourquoi, Tu jouis pas plus vite ? Tu me démontes trop longtemps ! J'en peux plus à chaque fois ! C'est bon ! Mais...".
"Je sais pas ! Je dois être trop cérébral ! C'est comme ça ! Mais, t'es la salope qui me vide le mieux, les couilles !".
"Je... Je sais pas ! J'ai du mal à le croire ! Orghhhhhhhhhh ! Putain ! Ca coule encore !".
J'empli la pièce d'énormes flatulences anales humides.
Les substances maculent le sol froid, en dégoulinant sur le flanc de mon cul.
Manu me soulève les cuisses, en les écartant.
"Vas y ! Fais sortir le jus !".
"Orhhh ! Vicieux ! Pfffttttllllllllttttttt ! Orghhhhhh ! Pfffttttllllllllttttttt ! Pfffttttllllllllttttttt ! T'es content ? Arhhh ! Pfffttttllllllllttttttt ! Putain...".
"Hummmm ! J'adore voir une chatte éclatée ! Bien élargie comme la tienne ! Pleine de jus comme ça ! T'es ma pute ! Dis-le encore !".
"Oui ! Manu, j'suis ta pute !".
Il viendra lui même m'essuyer l'anus, avec précaution, puis m'a ramené chez moi.
"Mais ? Tu m'as pas dis que t'avais un appart ? T'es tout seul ?".
"Euh... Oui ! Désolé !".
"Je monte avec toi !".
"Manu ! Je bosse demain ! J'en peux plus ! S'il te plait !".
"Eh ben ? J't'amènerai au boulot ! T'as pas besoin de prendre le bus, tu pourras dormir un peu plus !".
"Bon... ! OK !".
On a pas rebaisé, tout de suite, ouf !
On s'est ravitaillé, puis on a discuté longtemps.
Ensuite, on s'est couché, et là, il m'a labouré la chatte ! Pendant un bon moment encore.
Je me suis endormi dans la même position, qu'il m'a laissé avant de se tourner, après m'avoir inséminé.
J'étais dans un état de fatigue extrême.
Le matin suivant, il avait une pêche d'enfer !
Moi, j'ai mis un moment à me sortir la tête du cul !
Il m'a dit quand même !
"Putain ! Tu m'as vidé, hier soir ! Je suis tombé comme une masse !".
"Putain, et moi ? Alors ? Tu m'as tué !".
"Hummm ! C'était bon, ma p'tite salope ? Pas vrai ?".
"Mouais ! J'avoue ! Orhhhh ! Putain !".
Je cours aux toilettes pour me vider la chatte, alors qu'il se tord de rire.
Mes besoins naturels ont suivi, tout naturellement, et sans problèmes.
Arès ce texte, je vous embête plus avec Manu.
C'était bon, mais je n'arrive pas à m'empêcher d'éviter de passer devant le chantier.
Je me sens piégé par mon propre vice.
Je sais que si je croise Manu, je vais lui céder.
Puis, en fin de semaine, je me décide d'affronter Manu.
Les blacks sont partis, on dirait !
Manu vient vers moi, il a encore son short court, et un "Marcel" trempé de sueur.
"Tu le fais exprès, salope ? Tu m'évites ?".
"Euh... Pardon Manu ! Mais l'autre fois, vous m'avez mis dans un sale état ! C'était trop !".
"Ca t'as pas plu ?".
"Si ! Un peu trop ! C'est ça, qui me fait le plus peur ! J'aime pas mon coté salope !".
"N'importe quoi ! C'est ça qu'on aime ! Nous ! Allez ! Viens, suis-moi !".
"Où ? Dans le chantier ?".
"Oui, t'inquiètes ! C'est presque fini ! Il a plus que quelques potes ! On va attendre qu'ils se cassent ! N'aie pas peur !".
"Je te fais confiance ! C'est sur ?".
"Oui !".
"C'est vrai ? Vous avez bientôt fini ?".
"Ouais ! C'est pour ça ! C'est dommage de pas en profiter ! Elle me manque ta chatte ! Et toi, elle te manque pas ma bite ?".
"Si !".
Il me fait visiter les lieux, pendant qu'il se vident.
Quand on arrive au local, où tout le monde se change, il ne reste plus qu'Hassan.
"Orhhh ! La belle salope ! Ca fait plaisir ! Je crois que je vais rentrer en retard, moi !".
"Où il est Momo ?".
"Il est allé se vider les couilles avec l'autre, qu'on a vu l'autre jour, Il a envie d'essayer".
"Tant pis pour lui, alors ! Bon, on va s'enfermer ! J'ai envie de m'amuser !".
Hassan tourne le loquet du local, puis se dénude entièrement.
Putain, la maçonnerie, ça muscle un homme !
Il m'excite avec sa longue bite brune entre les cuisses, et son corps musclé de cinquantenaire Arabe.
Il s'approche de moi pour me dénuder, tout en me caressant les parties intimes, surtout les fesses.
Manu nous mate en enlevant ses fringues.
Avant d'être dans le feu de l'action, je pose la question qui me tenaille depuis l'autre jour.
"Hummmm ! Manu ! Au fait, t'es de quelle origine ? Tu parles bien français, mais tu es typé, j'arrive pas à comprendre !".
"J'suis métis ! Né en France, mais Moitié Martiniquais, moitié Arabe ! C'est pour ça que j'ai une grosse bite ! Ha ! Ha !...".
A propos de bite, Hassan me sollicite déjà, en me remplissant la gorge.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmm ! Orghhhhhhh ! J'aime te sucer Hassan ! Mmmmm...".
Je pivote.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmm ! Toi aussi, Manu ! Mmmmmm ! Mmmmm...".
"Tu vas revenir plus souvent ?".
"Oui ! Promis ! Mmmmmmm... Mmmmmmmm...".
La séance de fellation est humiliante à souhait, et j'adore ce traitement verbal.
Puis Manu lance:
"Bon ! Hassan ! Passes en premier ! Eclates lui la chatte, à cette salope !".
"Ouhallahh ! Merci, Manu ! J'vais m'régaler ! Viens là, chienne !".
Il me place devant sa longue queue, et s'applique à me couvrir la rondelle de salive.
Je sens qu'il cherche à me stimuler l'anus, avec son gland bien dur.
Il est doué, l'Arabe ! Je suis presque prêt.
"Allez laisse moi entrer, salope !".
Il pousse plus fortement, puis glisse d'une traite dans ma chatte.
"Orghhhhhhh ! Hassan ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'aime... ".
"Ca t'plait la bite d'Arabe ! Dis le !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiii ! C'est bon ! J'aime ça, surtout comme la tienne ! Arghhhhhhhhh !".
"Oh ! T'oublies pas de me sucer ? Allez, pompes moi la bite !".
"Mmmmmmmm ! Pardon Manu ! Mmmmmmm ! Mmmmmmmm...".
Il a entièrement raison, c'est meilleur comme ça.
En m'appliquant sur sa grosse bite, mon plaisir anal m'envahit plus rapidement.
Et Hassan m'y emmène inlassablement bien.
Comme l'autre jour, il m'encule en me traitant de chienne, pute, salope, mais j'y suis habitué, et j'aime ça.
Manu participe à tout ces dialogues, évidemment.
Puis, je crie mon premier orgasme, en quittant la queue de Manu.
"Arghhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Alors, t'es pas une salope ? T'aimes pas la bite, dis moi ? T'es pas bien avec nous ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Si ! Je suis votre pute ! C'est trop bon ! J'aime la bite ! Argggggggggggggggggggg... ".
"Voilà ! C'est ce que j'aime entendre ! Tu vas bien nous vider les couilles ? Dis-moi ? Salope !".
"Ouiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! J'suis là pour ça... Arghhhhhhhhhhhh !".
"Tiens ! En attendant ! Tu vas encore prendre mon zob ! Sale pute ! Putain ! T'es une bonne femelle, tu l'sais ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Encooorrrrrrrre...".
"Putain ! Manu ! Prends sa chatte ! Moi, j'en peux plus ! J'veux pas lui mettre la sauce, maintenant !".
Je m'affole d'un coup, en voyant Manu, passer dans mon dos.
"Manu? Tu fais doucement, t'es plus gros ! Tu le sais ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Salaud !.
"Ta gueule ! Profites ! Tu vas couiner comme chienne, tout à l'heure !".
Je me fais remplir la gorge par Hassan, alors que je passe une main sous mes couilles, pour toucher ma rondelle qui se fait déchirer par Manu.
"Muuhhhhhhhhhhhhhh ! Muuhhhhhhhhhhhhhh ! Muuhhhhhhhhhhhhhh ! ...".
"Ouhallahh ! C'que tu lui mets encore dans la chatte, Manu ! Putain ! J'adore cette pute !".
"Et c'est que le début ! Hein, ma p'tite chienne ? Tu vas pisser encore ! Et tu vas gicler ton jus ! Salope !".
En parlant de ça, peu après, je m'avance d'un coup pour arroser le sol. Hassan a eu à peine le temp de l'éviter !
Puis Manu, m'enfile à nouveau, comme un fourreau, sur sa grosse bite.
Je me sens comme un masturbateur humain, qu'il utilise pour se faire éjaculer.
Cette ambiance humiliante me ravit, malgré ce que je prétend, je dois l'accepter, j'ai besoin de ça.
Surtout, que ce n'est pas qu'un plaisir cérébral, le plaisir anal est bien présent, aussi !
Qu'est ce que j'aime jouir avec sa bite énorme !
Hassan s'est mis de coté, pour me permettre d'évacuer mon liquide prostatique, sans l'arroser.
Puis Manu m'embroche à nouveau, pendant que je pompe la bite du magrébin.
Ca dure tellement, qu'Hassan réclame ma chatte !
"Manu ! Laisse moi la niquer, ta salope ! J'en peux plus, il faut que j"me vide les couilles !".
"Tiens ! Dépêches toi ! J'veux la faire gicler aussi !".
Manu m'écartèle les lèvres, il est couvert de jus anal.
Hassan me défonce en me claquant le cul, me traitant de chienne, ect...
Je sens qu'il parvient a faire monter son éjaculation, il ne va pas tarder à exploser.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Mon zob va éclater ! C'est ta faute, salope ! Arggggggggggggggggg...".
Manu me dresse contre lui, en me cambrant sur la bite d'Hassan, pendant qu'il se vide les couilles, en criant son plaisir.
"Arghhhhhhh ! Orhhhh ! Putain de salope ! C'est trop bon, ta chatte ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Manu admire mon visage déformé par le plaisir.
"C'est bon ? Salope ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Merci Manu ...Arghhhhhhhhhhhhh...".
Hassan en garde un peu pour la fin, il se retire et m'arrose la chatte de foutre, en m'insultant.
"Orghhhhhhh ! Putain ! Tiens ! Sale pute ! Tu m'as bien vidé les couilles ! Tu le mérites !".
"Orhhhhh ! Manu, j'aime ça ! C'est trop bon ! Vous me rendez dingue ! Oui, Hassan, mets moi tout !".
Ensuite Hassan vient devant moi, pour se faire laver la bite.
Je le suce avec amour et gourmandise, jusqu'à la pénétration de Manu qui me fait haleter.
"Arghhhhhhhh ! Ahhhhhhh ! Ahhhhhh ! Manu ! Doucement !".
"Mais non ! T'aimes ça, salope !".
Hassan ne tarde pas à se rhabiller.
Il est prêt, quand on frappe à la porte.
"Hassan ? T'es là , Tu m'ouvres ? C'est Momo !".
Momo assiste à ma défonce anale par Manu.
"Non, c'est pas bien ça ! Vous m'avez rien dit ! Enfoirés !".
"T'as pas baisé l'autre salope ?".
"Ouais, mais c'était pas bien ! Il était sale, je suis venu me laver le zob ! J'aime pas ça ! Il mouille pas comme ta pute, Manu !".
Il vient mater ce que j'encaisse.
"Putain, il prend mieux le zob, lui ! Putain ! J'vais plus bander, maintenant !".
Je crie mon orgasme, en prévenant Manu que je vais cracher mon foutre.
"Arggggggggggggg ! Manu ! Je joui ! Regardes, salaud ! T'y es arrivé ! Argggggghhhhhhhhhhhhhh !".
"Hummmm ! Toi, t'es une vraie bonne chienne ! Pas vrai Momo ?".
"Ouallahh ! La tête de ma mère ! J'ai les boules ! J'ai envie de bander, j'y arrive plus !".
Il approche sa verge, j'ai un mouvement de recul !
"T'es propre Momo ?".
"Ouais ! J'me suis lavé deux fois l'zob ! Goutes tu verras !".
C'est vrai, sa bite a un gout de savon, mais malgré tout mes efforts, il ne bandera pas.
Il me laisse aux mains de Manu, qui me laboure comme un forcené, par terre.
"Manu ! Arggggggggg ! J'en peux plus ! Pitié !".
Il me pilonne comme un dingue, j'avance devant lui pour fuir ses coups de bite.
Jusqu'à ce qu'il me coince la tête contre le mur, en me déchirant le cul.
"Manuuuuuuuuuuuuuuuu ! Arggggggggggggggggggggggg...".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Ca y est ! Je crache, salope ! Arhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain, tu m'exploses la bite ! Arghhhhhhhhhhh !".
Ses derniers assauts me font presque mal, tant ma chatte est au point de rupture.
C'est à la fois anesthésié, et douloureux en même temps ! Bizarre comme sensation.
Mais je ne voudrais pas céder ma place. Putain, ce que j'aime prendre l'éjaculation de mon maçon pervers, dans la chatte.
Il pivote d'un coup, et me demande:
"Viens ! Suces moi ! J'ai envie de ta bouche ! Orhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Putain, ça aussi, c'est bon ! Hummmmm...".
Je lui lèche la verge avec passion, et vice. Putain, j'aime cette queue.
"On s'est bien amusé ! Non ?".
"Mmmmm... Slrrrppp ! Oui ! Mmmmmm... Mais... Mmmmmm... Pourquoi, Tu jouis pas plus vite ? Tu me démontes trop longtemps ! J'en peux plus à chaque fois ! C'est bon ! Mais...".
"Je sais pas ! Je dois être trop cérébral ! C'est comme ça ! Mais, t'es la salope qui me vide le mieux, les couilles !".
"Je... Je sais pas ! J'ai du mal à le croire ! Orghhhhhhhhhh ! Putain ! Ca coule encore !".
J'empli la pièce d'énormes flatulences anales humides.
Les substances maculent le sol froid, en dégoulinant sur le flanc de mon cul.
Manu me soulève les cuisses, en les écartant.
"Vas y ! Fais sortir le jus !".
"Orhhh ! Vicieux ! Pfffttttllllllllttttttt ! Orghhhhhh ! Pfffttttllllllllttttttt ! Pfffttttllllllllttttttt ! T'es content ? Arhhh ! Pfffttttllllllllttttttt ! Putain...".
"Hummmm ! J'adore voir une chatte éclatée ! Bien élargie comme la tienne ! Pleine de jus comme ça ! T'es ma pute ! Dis-le encore !".
"Oui ! Manu, j'suis ta pute !".
Il viendra lui même m'essuyer l'anus, avec précaution, puis m'a ramené chez moi.
"Mais ? Tu m'as pas dis que t'avais un appart ? T'es tout seul ?".
"Euh... Oui ! Désolé !".
"Je monte avec toi !".
"Manu ! Je bosse demain ! J'en peux plus ! S'il te plait !".
"Eh ben ? J't'amènerai au boulot ! T'as pas besoin de prendre le bus, tu pourras dormir un peu plus !".
"Bon... ! OK !".
On a pas rebaisé, tout de suite, ouf !
On s'est ravitaillé, puis on a discuté longtemps.
Ensuite, on s'est couché, et là, il m'a labouré la chatte ! Pendant un bon moment encore.
Je me suis endormi dans la même position, qu'il m'a laissé avant de se tourner, après m'avoir inséminé.
J'étais dans un état de fatigue extrême.
Le matin suivant, il avait une pêche d'enfer !
Moi, j'ai mis un moment à me sortir la tête du cul !
Il m'a dit quand même !
"Putain ! Tu m'as vidé, hier soir ! Je suis tombé comme une masse !".
"Putain, et moi ? Alors ? Tu m'as tué !".
"Hummm ! C'était bon, ma p'tite salope ? Pas vrai ?".
"Mouais ! J'avoue ! Orhhhh ! Putain !".
Je cours aux toilettes pour me vider la chatte, alors qu'il se tord de rire.
Mes besoins naturels ont suivi, tout naturellement, et sans problèmes.
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