Dans un cabanon, avec un vieux maçon - histoire érotique

A force de me raconter, j'ai un peu le sentiment de me répéter.
Ceci ne m'est pas arrivé exactement, dans ces circonstances, mais elle sont fortement inspirées par un homme que j'ai connu sexuellement.

A cette époque, je bossais dans une entreprise assez éloignée de mon domicile, mal desservie par les transports en commun.
Je devais avoir 25 ou 26 ans, avec en plus, ce physique juvénile qui attire les hommes.

Il me fallait marcher un bon bout de temps, avant de rejoindre l'arrêt de bus.
Je passais tous les matins et soirs, devant un chantier.
J'y croisais les regards des ouvriers, tous étrangers pour la plupart.

C'était devenu un passe temps, que de voir l'évolution des travaux.
Puis, je passais mon chemin, et parfois, je m'arrêtais dans un vieux "cabanon" abandonné, pour y uriner.
Quand j'avais un besoin urgent de me branler, je ne me gênais pas, puisque le bus avait toujours du retard.
J'étais surement pas le seul, vu les mouchoirs usagés, étalés sur le sol.
Il y avait même quelques dessins pornos et des messages, sur le mur.

Je me souviens de quelques uns des maçons, il y avait des Magrébins et 2 blacks Africains.
Je m'en souviens, parce que c'était un fantasme pour moi !
J'avais eu la chance de le vivre sexuellement, mais je voulais recommencer !

Parmi les autres, il y en avait un, qui parlait très fort, très bourru, et hyperactif ! Fortement typé, mais je ne sais pas de quelle origine.
Il dégageait une force impressionnante, et troublante, pour le jeune homme mince et timide que j'étais.

Ce soir là, je n'ai pas remarqué qu'il marchait à une cinquantaine de mètres derrière moi, lorsque je suis entré dans le cabanon.

Il fallait que je me masturbe, ça m'a travaillé toute la journée.
J'ai vite la main sur ma queue, entrain de me caresser.
Pour plus d'aisance, j'ai fait tomber mon jeans sur mes pieds.
Je compte bien rajouter mon jus, aux taches qui jonchent le sol.

Je ne l'entend pas arriver.
Je suis pris en flagrant délit, d'un coup, avec la main sur la bite en érection.
Le type , très massif fait comme si c'était naturel, et sort sa verge pour uriner à deux mètres de moi.
Putain ! Il a un engin énorme !

J'arrive pas à quitter sa bite des yeux !
Il croise mon regard, je tourne la tête, mais c'est trop tard ! Il a vu que je matais sa grosse queue.
Il avance vers moi, sans remballer sa verge, puis me prend le cul à pleine main.
Il dégage une nervosité incroyable, avec son regard est lubrique.
Il passe sa grosse langue sur ses lèvres, en se tenant la bite.

"Hummmm ! C'est beau ça ! Tu veux que j'te baise ? Tu la veux dans le cul, salope ?".

Putain, ce type m'excite, mais quand même ! C'est trop direct ! Il rajoute:

"J'te vois passer devant le chantier ! Tu m'plais bien ! Tu veux pas qu'on s'amuse un peu ? Tu vas pas le regretter ! Allez laisse moi t'enculer ! Tu m'as l'air d'avoir une bonne chatte, en plus ! Allez, laisses toi faire Elle te fait pas envie ?".

J'hésite, mais le trouble sexuel m'envahit, la vue de sa verge épaisse, gonflée à l'extrême ne m'aide pas.
Il vient de trouver les mots justes, en plus ! Oui, elle me fait envie !
J'en peux plus de rester inactif.

Sans un mot, nos gestes se coordonnent, sa main qui m'attire par la nuque, et moi qui me baisse pour le prendre en bouche.

"Mmmmmmm.... Mmmmmmmm... Mmmmmmm.... Mmmmmmmm... ".
"Orhhhh ! Putain, c'est bon ! T'aimes ça, salope ! Elle te plait ma bite ! Ca se voit !".

Je ne réponds pas, ma bouche et ma langue parlent pour moi.
Mais je me trouve devant un gros souci, je crains de lui faire mal, avec ma petite bouche, écartelée sur sa grosse verge.
J'essaie au maximum, d'éviter le contact de mes dents sur son gland.
Il n'a pas l'air gêné par ça, il en profite même pour s'enfoncer le plus profondément possible, en me baisant la gorge, ce qui me fait dégouliner de salive.
La pipe devient vicieuse, j'en bande à en avoir mal. Mon anus se détend, comme s'il le réclamait.

Entre deux moments, où je me permet de respirer, en m'éloignant de sa grosse queue, il récupère ma salive pour m'en badigeonner l'anus.
Il m'enfonce un gros doigt dodu, comme sa bite, dans la rondelle.
Sa main est rugueuse, encore sale de ciment.

"Orhhh ! Monsieur ! Doucement ! Vous avez les doigts secs ! Ca brule !".
"Excuses-moi, Tu préfèrerais ma bite ! Je suppose ?".
"Euh... Oui !".

Il me cale contre le mur poussiéreux, sur lequel, je me tiens en me salissant les mains.

Le contact de son gros gland m'affole, c'est pas mon premier gros sexe, mais j'ai peur qu'il veuille s'enfoncer trop vite !
Je veux pas avoir mal. Ca prend du temps, ces choses là.
J'avais raison d'avoir peur, le type est nerveux, et trop excité, il m'impose une poussée puissante.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Monsieur ! Doucement ! Laissez moi m'habituer ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Putain ! C'est trop gros !".
"Mais non, salope ! Tu vas te la prendre ma grosse bite ! Tu verras, et après, tu vas me réclamer de t'enculer comme une chienne ! Tu verras !".

C'est bon, j'ai compris ! Je ne peux compter que sur mon expérience, pour le retenir dans mon dos, tout en forçant sur mon sphincter, sans arrêt, pour qu'il s'ouvre plus vite.
Chaque contraction, suivie d'un relâchement, le fait s'insérer plus profondément, en me faisant haleter et râler.
C'est donc moi qui l'aide, en lui cédant du terrain.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Putain !...".
"Voilà ! Ca rentre tout seul ! Tu vois que je sais m'y prendre ! J'ai l'habitude !".

J'y crois pas, en plus, il pense que c'est lui qui a tout fait !
Putain ! Ca y est ! Il cogne comme un forcené, au fond de ma chatte.
Et par conséquent, le plaisir me gagne.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... ! Arghhhhhhhhhhhhhhh... ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... !".
"Tu fais moins ta belle, salope ! Tu crois que j'ai pas remarqué que tu me regardes, quand tu passes devant le chantier ?".

En plus, il croit que je le drague ? S'il savait que je fantasme sur ses deux potes blacks !
Mais, à ce moment précis, c'est bien de lui, dont j'apprécie les coups de queue, et je ne regrette rien, c'est trop bon.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Mais non, monsieur, je voulais pas... Arghhhhhhhhhhhhhhh !".
"C'est bon ? Elle est bonne ma bite ? T'aimes l'avoir dans la chatte ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! ...".

"Hohhh ! Tu m'réponds, salope ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! C'est bon, je vais encore jouir ...Arghhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Ben, dis le ! Maintenant, Demande moi de t'enculer encore ! Comme une chienne !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! oui, encorrre...".
"Comment tu veux que je te baise ? J't'écoutes !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Oui..., comme une... Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Une chiennne !".

"Putain, tu va être ma pute ! Quand je te ferai signe de m'attendre, tu viendras là, en attendant que je vienne t'enculer ! D'accord ?.
"D'acc... D'accord ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! ...".

Il me claque les fesses avec force, tout en se secouant dans ma pauvre chatte éclatée.

"Putain, j'me régale ! T'as un beau p'tit cul de pédé ! J'adore ça ! Tiens, prends encore ça !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Ca monte encore ! C'est trop bonnnn !".

"Putain, j't'éclate la chatte ! Tu m'as trempé la bite, salope ! Je nage dedans maintenant ! T'as du en prendre des kilomètres ! Sale chienne ! Dis le !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Oui, je suis une vraie salope, j'aime les hommes... Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Avec des grosses bites... ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...".

"Putain ! C'est vrai ça ? Tu joui du cul ? Tu mens pas ?".

Le plaisir est presque insupportable, je dois fuir sa verge, pour me libérer la vessie contre le mur devant moi, en râlant longuement.

"Oh ! Putain ! Ca j'adore ! Allez, reviens sur ma bite salope ! J'ai pas fini !".

Il m'empale d'un coup, je suis pris d'un halètement de râle.
Il recommence à me solliciter la prostate comme un forcené.
Je le repousse de toutes mes forces pour me vider encore une fois en jouissant de tout mon corps.

Il me rattrape et me plante à nouveau.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Monsieur ! J'en peux plus de jouir du cul ! Stop ! S'il vous plait ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! ...".
"J'ai pas fini ! J'te dis ! Elle est trop bonne, ta chatte ! J'en profite !".
"Orhhhhh ! Putain ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! ...".

Je dois m'échapper plusieurs fois encore, pour me libérer la vessie.
Je m'en plains, mais je sais que j'aime ces moments là.

Puis, ça se calme, j'ai le sentiment d'avoir un trou béant, à la place de l'anus.
Ma verge enfle inexorablement, présageant d'un plaisir parfait.
Le maçon se branle comme un acharné dans ma chatte.
Tout ça s'accompagne d'un plaisir anal constant.

Je fixe ma queue qui gonfle et se secoue, à chaque nouveau coup de queue très profond, dans mon cul.
Une tension indescriptible gagne mon gland, puis des flots de sperme en coulent, en même temps que j'atteins la plénitude dans l'orgasme total.
Je me suis relevé, pour mieux ressentir sa grosse verge qui me transperce sans cesse, alors que je me vide la queue sans me soucier de l'endroit, ou je gicle mon sperme.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...".
"Putain ! Tu craches ton jus, salope ! C'est bon ! Elle te fais du bien, ma bite ! Tiens, encore ! Prends ça ! Allez craches tout ! Orhhhh ! Putain ! Merde ! Tu m'as eu salope ! ...Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Orhhh ! j'me vides les couilles ! Orhhh ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !".

Je me fais secouer comme un pantin, encore de longues secondes, tout le temps de son explosion, dans mon anus éclaté et trempé.
Chaque nouvel assaut de sa jouissance, me fait couler devant lui.

"Arhhhhh ! Monsieur, c'est trop bonnnnn ! Arghhhhhhhh !".
"Urghhhhhhh ! Ourghhhhhhhhhhh ! Ouais ! Putain cette chatte ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Tu m'as vidé salope !".

Il penche encore contre le mur, pour jouer avec sa bite dans mon trou béant, comme pour en vérifier la lubrification.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Monsieur ! Stop ! Orghhhh ! C'est bon !".
"Encore un peu, j'aime bien profiter un peu, après que j'ai craché dans une chatte ! Ca glisse tout seul ! C'est trop excitant ! T'aimes pas ça toi ?".
"Orhhhh ! Si, j'aime ça aussi !".

Pendant qu'il nous fait vivre un moment délicieusement pervers, mes pensées s'échappent.
Je pense à l'après, comment je vais gérer ça dans le bus.
Y a surement des dégâts, entre ma rondelle élargie, et le foutre qu'il m'a éjecté dans les intestins, ça va pas être simple.

Quand il recule lentement sa grosse bite, et pour la dernière fois, j'ai un sentiment de soulagement, j'aurai pas supporté que cela dure plus longtemps.
Je pivote pour mater sa verge, elle est humide et couverte de foutre.
Je vois son gland énorme, qui laisse encore couler du sperme, légèrement épais.

"Faut pas gâcher ! lèches-moi salope !".

Il m'a pris par la nuque pour m'enfoncer sa bite.
Je fais comme je peux, pour glisser autour d'elle, tout en avalant tout le jus qui en sort et recouvre sa bite.
Mon trou poisseux me gêne, malgré le fait que je le ferme de toutes mes forces, pour éviter les écoulements sur mes fringues.

Je peux enfin me redresser, pendant que le maçon remballe sa queue.

"Putain ! Tu m'as régalé, jeune ! Ca te dit de baiser avec des potes ? Tu le regretteras pas ! Tu verras !".
"Euhh... Je sais pas... Laissez moi réfléchir ! Il y aurait qui ? Je veux rester discret !".
"T'inquiètes pas ! Fais moi confiance ! T'es pas raciste ? J'espère !".
"Non ! Sinon, j'vous aurais plus résisté !".
"Ouais ! Exact !".

Il m'observe comme un pervers, quand je suis obligé de m'accroupir, pour rejeter au sol, tout ce qu'il m'a mis dans l'anus.

"J't'ai bien rempli la chatte ! Pas vrai ?".
"Orghhh ! Oui, je peux pas dire le contraire !".

Il m'a fallu plusieurs poussées pour en rejeter le maximum. Tout ça, sous son regard, et ses paroles vulgaires.
Il me tend un mouchoir de papier.

"Tiens ! Si ça peut t'aider !".
"Merci ! C'est gentil !".

Pendant que je me relève et me rhabille, il m'enlace et me dit.
"De rien, c'est normal, j'ai passé un bon moment ! T'as réfléchi pour ce que je t'ai proposé ?".

"Euhh... je sais pas... vous êtes en voiture ?".
"Oui, pourquoi ?".
"Ben, j'ai raté le bus ! Vous pouvez me ramener à un arrêt, avec plus de passages ?.".
"Ok ! J't'emmène ! Mais... Tu acceptes ma proposition !".
"Bon, d'accord !".

Dans l'auto, il continuait de me parler vulgairement, mais ça ne me choquait plus.

"Putain ! Tu sais que t'as une bonne chatte ? Tu m'as bien vidé couilles ! J'ai hâte d'en parler à mes potes !".
"Euh... Vous en parlez pas trop, non plus, je veux pas que ça se raconte partout ! J'ai une femme !".
"Non ! Ca restera entre nous, entre amateurs de p'tite salope ! N'aie pas peur !".

Je crois, que ce qui m'a fait accepter, c'est l'éventualité de me faire baiser par les deux Africains.