chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1353)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1353)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1353) –
Ce qui augmente mon plaisir de me sentir juste utilisée, besognée, à la ‘va vite’ sur un coin de table à baiser comme des bêtes.. Je sens monter de plus en plus le plaisir une fois qu’il en eu fini avec ma chatte quand Monsieur le Marquis décide de s’approcher de ma rondelle anale pour s’enfoncer d’abord doucement à l’intérieur pour m’enculer et de défoncer mon cul de salope de chienne. Je suis prise dans une saillie animale sauvage, bestiale et j’avoue adorer cela. Je me sens chienne, pleinement chienne à être ainsi utilisée. J’ai dû, là encore, me retenir de jouir. Ensuite, Maitre sort Sa queue remplie de mes secrétions vaginales et anales pour me baiser de nouveau la bouche et au bout de quelques va-et-vient fougueux, Le Noble vient se vider dans ma grotte buccale en gorge profonde en de longs jets de sperme chaud. Je m’appliquai à tout avaler et à bien le nettoyer pour ne pas en perdre une seule goutte du si précieux cadeau qu’Il vient de me faire d’avoir eu droit à Sa noble semence... Le Maître a utilisé mes trois orifices sans ménagement et sans prêter attention si je prenais du plaisir ou pas. Et cette réalité m’a fortement excité de me sentir juste être trois trous de plaisirs, juste pour que le Châtelain puisse se vider les couilles dans celui de Son choix.
- Tu as été parfaite Ma salope de chienne, pour te récompenser, reste allongée sur la table et tu vas te branler comme la bonne Kajira que tu souhaites être, en écartant largement tes cuisses de chienne. Interdiction de jouir sans Mon autorisation. Ne l’oublie pas, sinon tu seras sanctionnée sévèrement, Ma salope de chienne.
Je reste donc allongée sur le dos, jambes écartées au maximum devant Maitre et je commence délicatement à caresser mon bouton rose pour le plaisir visuel du Noble. Oublier mon plaisir pour ne me concentrer que sur celui du Maitre. Je sens quand même mon excitation monter de plus en plus mais je me retiens comme je peux et cela dure déjà 5 à 10 bonnes minutes mais je tiens bon. Je sens les mains du Châtelain remplacer les miennes pour accentuer les mouvements de rotation sur mon clitoris déjà bien gonfler de plaisir. C’est dur même très dur de résister à l’orgasme, je dois me concentrer pour ne pas jouir et c’est au bout de 5 minutes supplémentaires que Monsieur le Marquis m’ordonne :
- Bonne Kajira, bonne chienne, jouit maintenant, c’est une Exigence du Maitre. Oui salope je l’exige, Ma chienne et ne t’arrête pas tant que je ne t’aurais pas dit ‘stop’.
C’est donc à ce moment-là que je lâche totalement prise et que je jouis dans des râles tellement forts et animaux sous les doigts mobiles exquis et experts du Noble. C’est tellement bon de pouvoir jouir de ma condition de Kajira que je jouis à plusieurs reprises des mains du Maitre que je Vénère tant. Mes orgasmes s’enchaînent en continu et tout mon corps tremble par de violents spasmes, les jouissances sont quasi atomiques, fulgurantes ! Des multiples décharges électriques me parcourent le corps, des orteils à la pointe de mes cheveux, je suis en transe et mon souffle est rapide, juste coupé par des cris orgasmiques forts alors que Maître me branle sans s’arrêter encore et encore mon clitoris. De Son autre main, il me pince d’une très forte pression un de mes tétons dressés… Quand tout à coup, sans prévenir, il retire Ses deux mains…
- Stop Ma chienne jouisseuse, ça suffit pour le moment chienne ! Retourne au travail, je sais que tu as encore beaucoup de choses à faire de ta journée. Reste ainsi trempée avec ta culotte remplie de ta mouille. Ce soir, tu iras dormir dans ta chambre et non au Chenil car tu vas aussi avoir une journée très intense, crois Moi. Prend soin de toi, Ma belle. Et n’oublie pas que tu m’appartiens, tu es toute à Moi, même dans tes moments vanilles, je suis le Seul qui puisse dans ces cas-là, profiter de toi et t’utiliser comme un simple trou…
Sur Ses mots, et avec Sa bouche, le Maitre prend possession de la mienne dans un tendre baiser à la fois doux et Dominant. C’est dans ces moments-là que je suis si heureuse de ne pas avoir suivi la voie de mes parents, mais la voie de la vraie soumission aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve mais je sais que c’est à Lui que j’appartiens, pour le reste de ma vie… Une fois la réunion terminée, je rentre au Château pour aller dans ma chambre où m’attend un plateau repas froid. Je mangeai donc ce repas quand une fois fini, c’est une jeune esclave femelle dénudée que je n’avais encore jamais vu entra. Elle était très belle, aux tétons annelés, ainsi que ces lèvres intimes et portant un épais collier métallique, qui vint me débarrasser mon plateau. Je remarque juste des traces de lanières de fouet sur ses fesses par des stries fortement appuyées sur son cul rougi. Une fois qu’elle ait quitté ma chambre, je m’endormis rapidement sans demander mon reste. Maitre m’avait prévenu que la journée qui aller arriver serait intense et ce fut le cas.
J’avais mis mon réveil à 6h pour avoir le temps de me laver, nettoyer mon cul par plusieurs lavements méticuleux et aller voir Madame Marie pour prendre mon petit déjeuner aux cuisines avec quelques-uns des chiennes et chiens du Cheptel de Maitre. Je fus la première arrivée à 6h55. J’attendais donc à genoux que les autres esclaves arrivent. Marie me dévisageait d’un regard méchant et ne me montrait donc aucun signe amical, bien au contraire, je sentais en elle, une extrême sévérité avec ses yeux sadiques et pervers. A 7h15 précises, Walter, le Majordome arriva suivi par quelques esclaves mâles et femelles évoluant tous à quatre pattes. Tel un troupeau domestiqué, ils se dirigèrent tous vers des gamelles, à même le sol, toutes emplies d’une pâtée de calories. J’aperçu une gamelle de libre et je compris qu’il s’agissait de la mienne, je me présentais donc devant celle-ci en quadrupédie. Quand j’entendis Walter donner l’ordre de manger, tous, nous mettions le nez dans la gamelle et nous mangions ainsi, tous alignés contre un long mur, exhibant ainsi nos cul et le nez dans la pâtée. Nous sommes tous mis à manger de cette façon et en même temps sous les yeux de Marie la cuisinière et de Walter le Majordome du Maitre auquel nous appartenons toutes et tous. Une fois le repas fini, ils nous donneraient nos tâches à accomplir dans le Château...
Pendant que les autres allaient leurs servitudes, je suivais Monsieur Walter dans tous ses déplacements sans un mot à quatre pattes. Nous sommes allés dans le Donjon du Château... Il m’installa sur la table au milieu de la pièce et me banda les yeux avec un foulard noir. Au bout de cinq minutes, j’entendis du monde entrer et sans attendre on commença à me fouiller la chatte, à me toucher les seins, puis de partout, à me branler. Je ne savais plus où donner de la tête tellement il y avait des sensations différentes mais je reconnu assez vite les mains du Maitre qui se baladaient sur mon corps aussi. Des coups de martinets, de la cire chaude, des enfilages de plugs, de différents diamètres dans mon anus et idem avec des gods dans ma chatte. Il y avait tellement de nouvelles choses, parfois délicieuse, mais aussi parfois douloureuse, comme la pénétration des gros plugs dans mon cul mais je gardais le silence et j’avoue que, douleurs ou pas, l’excitation montait crescendo. Aucun son ne sortait de ma bouche, seulement des larmes quand la douleur était vive mais à chaque fois une main venait me caresser le visage et me rassurer que j’étais en sécurité, c’était celle du Maitre que je reconnais entre mille.
- C’est bien Ma chienne, continue comme cela, donne-nous ta douleur comme ton excitation, prend ce que l’on te donne, laisse couler, comme tu le fais, tes larmes de tes yeux comme ta cyprine de ta chatte de chienne. Montre à Mes amis la confiance que tu as en Moi en leur démontant que tu es toute à Moi. Dès que tu seras sur la croix saint-André, tu pourras crier autant que tu le désires Ma belle. Et a l’issue de ce moment, tu porteras un nouveau pseudo, dit le Maitre en me chuchotant à l’oreille.
Ses mots me firent comme un nouveau déclic, je lâchais encore plus prise, la douleur et l’excitation étaient de plus intense et je partais loin. On me mit sur la croix saint-André dos tourné face au Maître qui me donna le fouet à plusieurs reprises et de plus en plus fort, mes jambes tremblèrent et je criai à chaque coup de fouet tellement la douleur était dure à supporter mais compensée par une extrême excitation vaginale. Je savais où voulait en venir Maitre, il voulait obtenir le ‘‘subpace’’ l’état où le corps lâche tout et je sentis que j’y étais presque car mon esprit y était pleinement mais il fallait aussi que mon corps lâche lui aussi. Et seule la douleur pourrait me le permettre d’y arriver. Maitre le savait parfaitement et je sentis que ça marchait quand le dernier coup tomba et je m’effondrais. Je fus retenue par Monsieur le Marquis qui me détacha et me déposa délicatement à Ses pieds.
- Ma chienne, devant Moi-même et mes amis, tu as su nous montrer ta dévotion et ta totale abnégation à Mon égard et en ce jour je t’accorde le droit à un nouveau nom... A genoux, Ma chienne…
Je m’agenouillai difficilement à cause de la vive douleur dans le dos, mais toujours avec la chatte trempée et l’esprit en effervescence, excitée à l’idée que le Noble m’attribue un nouveau nom d’esclave. Positionnée à genoux à Ses pieds et baissant la tête, je sentis qu’il changeait mon collier avec un autre où il était inscrit mon nouveau pseudo de chienne et il me déposa un baiser tendre sur mon front.
- Tu seras désormais chienne Cataleya et donc appelée ainsi. C‘est ton nouveau nom de baptême, ton véritable nom de chienne, à Mes pieds…
(A suivre…)
Ce qui augmente mon plaisir de me sentir juste utilisée, besognée, à la ‘va vite’ sur un coin de table à baiser comme des bêtes.. Je sens monter de plus en plus le plaisir une fois qu’il en eu fini avec ma chatte quand Monsieur le Marquis décide de s’approcher de ma rondelle anale pour s’enfoncer d’abord doucement à l’intérieur pour m’enculer et de défoncer mon cul de salope de chienne. Je suis prise dans une saillie animale sauvage, bestiale et j’avoue adorer cela. Je me sens chienne, pleinement chienne à être ainsi utilisée. J’ai dû, là encore, me retenir de jouir. Ensuite, Maitre sort Sa queue remplie de mes secrétions vaginales et anales pour me baiser de nouveau la bouche et au bout de quelques va-et-vient fougueux, Le Noble vient se vider dans ma grotte buccale en gorge profonde en de longs jets de sperme chaud. Je m’appliquai à tout avaler et à bien le nettoyer pour ne pas en perdre une seule goutte du si précieux cadeau qu’Il vient de me faire d’avoir eu droit à Sa noble semence... Le Maître a utilisé mes trois orifices sans ménagement et sans prêter attention si je prenais du plaisir ou pas. Et cette réalité m’a fortement excité de me sentir juste être trois trous de plaisirs, juste pour que le Châtelain puisse se vider les couilles dans celui de Son choix.
- Tu as été parfaite Ma salope de chienne, pour te récompenser, reste allongée sur la table et tu vas te branler comme la bonne Kajira que tu souhaites être, en écartant largement tes cuisses de chienne. Interdiction de jouir sans Mon autorisation. Ne l’oublie pas, sinon tu seras sanctionnée sévèrement, Ma salope de chienne.
Je reste donc allongée sur le dos, jambes écartées au maximum devant Maitre et je commence délicatement à caresser mon bouton rose pour le plaisir visuel du Noble. Oublier mon plaisir pour ne me concentrer que sur celui du Maitre. Je sens quand même mon excitation monter de plus en plus mais je me retiens comme je peux et cela dure déjà 5 à 10 bonnes minutes mais je tiens bon. Je sens les mains du Châtelain remplacer les miennes pour accentuer les mouvements de rotation sur mon clitoris déjà bien gonfler de plaisir. C’est dur même très dur de résister à l’orgasme, je dois me concentrer pour ne pas jouir et c’est au bout de 5 minutes supplémentaires que Monsieur le Marquis m’ordonne :
- Bonne Kajira, bonne chienne, jouit maintenant, c’est une Exigence du Maitre. Oui salope je l’exige, Ma chienne et ne t’arrête pas tant que je ne t’aurais pas dit ‘stop’.
C’est donc à ce moment-là que je lâche totalement prise et que je jouis dans des râles tellement forts et animaux sous les doigts mobiles exquis et experts du Noble. C’est tellement bon de pouvoir jouir de ma condition de Kajira que je jouis à plusieurs reprises des mains du Maitre que je Vénère tant. Mes orgasmes s’enchaînent en continu et tout mon corps tremble par de violents spasmes, les jouissances sont quasi atomiques, fulgurantes ! Des multiples décharges électriques me parcourent le corps, des orteils à la pointe de mes cheveux, je suis en transe et mon souffle est rapide, juste coupé par des cris orgasmiques forts alors que Maître me branle sans s’arrêter encore et encore mon clitoris. De Son autre main, il me pince d’une très forte pression un de mes tétons dressés… Quand tout à coup, sans prévenir, il retire Ses deux mains…
- Stop Ma chienne jouisseuse, ça suffit pour le moment chienne ! Retourne au travail, je sais que tu as encore beaucoup de choses à faire de ta journée. Reste ainsi trempée avec ta culotte remplie de ta mouille. Ce soir, tu iras dormir dans ta chambre et non au Chenil car tu vas aussi avoir une journée très intense, crois Moi. Prend soin de toi, Ma belle. Et n’oublie pas que tu m’appartiens, tu es toute à Moi, même dans tes moments vanilles, je suis le Seul qui puisse dans ces cas-là, profiter de toi et t’utiliser comme un simple trou…
Sur Ses mots, et avec Sa bouche, le Maitre prend possession de la mienne dans un tendre baiser à la fois doux et Dominant. C’est dans ces moments-là que je suis si heureuse de ne pas avoir suivi la voie de mes parents, mais la voie de la vraie soumission aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve mais je sais que c’est à Lui que j’appartiens, pour le reste de ma vie… Une fois la réunion terminée, je rentre au Château pour aller dans ma chambre où m’attend un plateau repas froid. Je mangeai donc ce repas quand une fois fini, c’est une jeune esclave femelle dénudée que je n’avais encore jamais vu entra. Elle était très belle, aux tétons annelés, ainsi que ces lèvres intimes et portant un épais collier métallique, qui vint me débarrasser mon plateau. Je remarque juste des traces de lanières de fouet sur ses fesses par des stries fortement appuyées sur son cul rougi. Une fois qu’elle ait quitté ma chambre, je m’endormis rapidement sans demander mon reste. Maitre m’avait prévenu que la journée qui aller arriver serait intense et ce fut le cas.
J’avais mis mon réveil à 6h pour avoir le temps de me laver, nettoyer mon cul par plusieurs lavements méticuleux et aller voir Madame Marie pour prendre mon petit déjeuner aux cuisines avec quelques-uns des chiennes et chiens du Cheptel de Maitre. Je fus la première arrivée à 6h55. J’attendais donc à genoux que les autres esclaves arrivent. Marie me dévisageait d’un regard méchant et ne me montrait donc aucun signe amical, bien au contraire, je sentais en elle, une extrême sévérité avec ses yeux sadiques et pervers. A 7h15 précises, Walter, le Majordome arriva suivi par quelques esclaves mâles et femelles évoluant tous à quatre pattes. Tel un troupeau domestiqué, ils se dirigèrent tous vers des gamelles, à même le sol, toutes emplies d’une pâtée de calories. J’aperçu une gamelle de libre et je compris qu’il s’agissait de la mienne, je me présentais donc devant celle-ci en quadrupédie. Quand j’entendis Walter donner l’ordre de manger, tous, nous mettions le nez dans la gamelle et nous mangions ainsi, tous alignés contre un long mur, exhibant ainsi nos cul et le nez dans la pâtée. Nous sommes tous mis à manger de cette façon et en même temps sous les yeux de Marie la cuisinière et de Walter le Majordome du Maitre auquel nous appartenons toutes et tous. Une fois le repas fini, ils nous donneraient nos tâches à accomplir dans le Château...
Pendant que les autres allaient leurs servitudes, je suivais Monsieur Walter dans tous ses déplacements sans un mot à quatre pattes. Nous sommes allés dans le Donjon du Château... Il m’installa sur la table au milieu de la pièce et me banda les yeux avec un foulard noir. Au bout de cinq minutes, j’entendis du monde entrer et sans attendre on commença à me fouiller la chatte, à me toucher les seins, puis de partout, à me branler. Je ne savais plus où donner de la tête tellement il y avait des sensations différentes mais je reconnu assez vite les mains du Maitre qui se baladaient sur mon corps aussi. Des coups de martinets, de la cire chaude, des enfilages de plugs, de différents diamètres dans mon anus et idem avec des gods dans ma chatte. Il y avait tellement de nouvelles choses, parfois délicieuse, mais aussi parfois douloureuse, comme la pénétration des gros plugs dans mon cul mais je gardais le silence et j’avoue que, douleurs ou pas, l’excitation montait crescendo. Aucun son ne sortait de ma bouche, seulement des larmes quand la douleur était vive mais à chaque fois une main venait me caresser le visage et me rassurer que j’étais en sécurité, c’était celle du Maitre que je reconnais entre mille.
- C’est bien Ma chienne, continue comme cela, donne-nous ta douleur comme ton excitation, prend ce que l’on te donne, laisse couler, comme tu le fais, tes larmes de tes yeux comme ta cyprine de ta chatte de chienne. Montre à Mes amis la confiance que tu as en Moi en leur démontant que tu es toute à Moi. Dès que tu seras sur la croix saint-André, tu pourras crier autant que tu le désires Ma belle. Et a l’issue de ce moment, tu porteras un nouveau pseudo, dit le Maitre en me chuchotant à l’oreille.
Ses mots me firent comme un nouveau déclic, je lâchais encore plus prise, la douleur et l’excitation étaient de plus intense et je partais loin. On me mit sur la croix saint-André dos tourné face au Maître qui me donna le fouet à plusieurs reprises et de plus en plus fort, mes jambes tremblèrent et je criai à chaque coup de fouet tellement la douleur était dure à supporter mais compensée par une extrême excitation vaginale. Je savais où voulait en venir Maitre, il voulait obtenir le ‘‘subpace’’ l’état où le corps lâche tout et je sentis que j’y étais presque car mon esprit y était pleinement mais il fallait aussi que mon corps lâche lui aussi. Et seule la douleur pourrait me le permettre d’y arriver. Maitre le savait parfaitement et je sentis que ça marchait quand le dernier coup tomba et je m’effondrais. Je fus retenue par Monsieur le Marquis qui me détacha et me déposa délicatement à Ses pieds.
- Ma chienne, devant Moi-même et mes amis, tu as su nous montrer ta dévotion et ta totale abnégation à Mon égard et en ce jour je t’accorde le droit à un nouveau nom... A genoux, Ma chienne…
Je m’agenouillai difficilement à cause de la vive douleur dans le dos, mais toujours avec la chatte trempée et l’esprit en effervescence, excitée à l’idée que le Noble m’attribue un nouveau nom d’esclave. Positionnée à genoux à Ses pieds et baissant la tête, je sentis qu’il changeait mon collier avec un autre où il était inscrit mon nouveau pseudo de chienne et il me déposa un baiser tendre sur mon front.
- Tu seras désormais chienne Cataleya et donc appelée ainsi. C‘est ton nouveau nom de baptême, ton véritable nom de chienne, à Mes pieds…
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