chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1208)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1208)
chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1208) -
Quand le dernier coup eu été donné, il me fit mettre à genoux …
- C’est bien Ma belle petite chienne, je suis extrêmement fier de toi et je sais bien que tu as compris que je t’ai Moi-même conduit à fauter, mais c’est Ma volonté afin de tester tes capacités à l’abnégation absolue et l’obéissance totale sans aucun esprit de rébellion ou sentiment d’injustice de ta part. Et tu as été très digne durant ta sanction et cela me rend encore plus fier de toi… Viens Ma chienne, prosterne-toi devant Le Maitre… Il est temps de te récompenser, considère cela comme un cadeau de bienvenue dans Mon Cheptel. En effet, j’ai décidé de te donner ton nouveau Nom. Durant toute ton éducation, tu seras dorénavant ‘chienne Vénus’, ton seul objectif sera de Me satisfaire quoi qu’il arrive... J’ai souvent pour habitude pour Mes chiennes et chiens, de les faire dormir en Chenil ou au Cachot et de laisser le tout début de leur éducation à mon Majordome, Walter ou à Marie, ma cuisinière et donc pour toi, tu n’échapperas pas à cette règle, bien évidemment… Parfois quand je le déciderai, tu dormiras dans un panier aux pieds de Mon lit et je m’occuperai de ton éducation, mais tu n’auras pas de traitement de faveur. Durant toute Mes soirées D/s, tu seras à Ma droite à genoux ou dans n’importe quelle position de Mon choix...
Le Noble s’allongea dans Son lit et m’ordonna de grimper et de me coucher à Ses pieds. Il se servit alors de mon corps comme un repose-pieds… En quelques minutes, malgré le poids de ses jambes, je tombais dans un profond sommeil, la fatigue me gagnant... Ce fut la conversation entre le Maitre et Son Majordome qui me tira de mon sommeil.
- Te voila réveillée Ma chienne, viens à ta place prosternée à Mes pieds et attends… (puis s’adressant à son Majordome) … Voila Ma nouvelle trouvaille, Ma nouvelle acquisition qui va intégrer Mon Cheptel, mon cher Walter. Elle n’est qu’au début de son dressage mais déjà très prometteuse.
- Ça sera Monsieur le Marquis un réel plaisir pour Marie et moi-même de nous occuper d’elle, dit le Majordome avec une voix perverse.
- Oui et je compte sur vous deux pour lui montrer comment on éduque, ici, les chiennes de son espèce, mon bon Walter. Va donc la conduire en cuisine auprès de Marie, qu’elle puisse manger à sa faim avec un supplément de vitamine et occupez-vous bien d’elle, si tu vois ce que je veux dire ! (puis s’adressant à moi). Va, Ma chienne, tu reviendras après Me voir j’en ai pas fini avec toi, me dit-il avec une caresse sur mes fesses
Je suivis donc le Majordome à quatre pattes et à un moment donnée, au détour d’un couloir capitonné par une épaisse moquette, il s’arrêta et me saisit par la gorge, m’obligeant à relever la tête et à le fixer droit dans les yeux.
- Je vais me faire un plaisir à t’utiliser pour me vider les couilles dans tous tes orifices de chienne. Mais avant cela, allons aux cuisines et nous sommes presque arrivés … suis moi en silence.
Marie s’affairait en cuisine quand nos entrâmes, elle s’arrêta net de travailler pour me détailler de la ta tête à la croupe, mon corps étant toujours en quadrupédie :
- Mais que vois-je Walter, pourquoi Mademoiselle de Bourbon est-elle ainsi ?
- C’est la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis, dit le Majordome - Eh bien dit donc, je ne l’aurai jamais imaginé, une bourgeoise pareille de l’aristocratie française ! Mais c’est une bonne idée de Monsieur le Marquis ! Enfin une ‘noble’ chienne racée qui va pourvoir m’aider dans ma cuisine. Aller, la chienne vient me montrer ton corps de salope que je puisse juger de tes capacités.
Je m’approchais timidement de la perverse cuisinière et une fois arrivée à son niveau, je me mis directement en position à genoux et baissais les yeux. Je la sentais tourner autour de moi, me jaugeant, me caressant les fesses, remontant jusqu’à mes épaules en passant par le creux de mes reins avec sa main baladeuse et indéniablement vicieuse.
- Tu es de bonne composition, la chienne. Ça va être un réel plaisir, pour nous, de te dresser, dit-elle. Viens la chienne me lécher mon minou assoiffé par une bonne langue de salope comme toi, tu es très excitante, la pute !
- Marie, on s’occupera d’elle après, car pour le moment, Monsieur le Marquis veut qu’elle mange à sa faim avec un supplément de vitamines, intervint Walter.
- Bien, mais elle ne perd rien pour attendre ! … (puis allant chercher une gamelle bien remplie) … Tiens la chienne et bien entendu, tu mangeras toujours à quatre pattes. Et dépêches-toi, je n’ai pas que ça à faire, il me tarde que tu me lèches, salope !
Marie me servit une espèce de pâtée qui à la vue ne me paraissait pas du tout alléchante mais au goût, c’était tout le contraire, je dirais même que c’était succulent. Alors, je me dépêchais pensant retrouver le Maitre sous le regard de Marie et Walter. Je me sentais humiliée mais aussi très excitée en même temps de devoir manger ainsi à quatre pattes et nue avec mon cul bien exposé... Alors que je terminais ma pâtée, je sentis une main sur mes fesses, puis une deuxième et les deux se dirigèrent sur mes hanches. Ces mains me maintenaient fermement quand je sentis le gland violacé de Walter venir se frotter contre mes lèvres intimes. Mon excitation suffisait largement à ce qu’il me pénètre comme s’il entrait dans du beurre, j’étais si humide que sa verge dressée me baisa aisément de suite très profondément. Le Majordome ne se préoccupait pas de préliminaires et il me besognait sans ménagement, sauvagement. Prise ainsi à quatre pattes, sous ses puissants coups de boutoirs, je relevais la tête quand il me tira une poignée de cheveux en arrière comme on tire une queue de cheval. C’est ainsi la tête relevée que je vis face à mon visage, un sexe de femme, et je compris ce que l’on attendait de moi. Marie la cuisinière me présentait sa chatte à lécher, et en m’empoignant la nuque, elle attira mon visage contre son sexe déjà fort trempé.
Besognée par la chatte, léchant celle de Marie, cette prise de possession de deux de mes orifices durant un long moment était divine, je me sentais chienne en chaleur, je me faisais prendre jusqu’au moment où en concert, les deux pervers ‘’bras droits’’ du Noble jouissaient en même temps. Walter déchargea sa semence, après s’être retiré, sur mes fesses par un flot saccadé de sperme souillant le haut de mon fessier, tandis que Marie lâchait sa cyprine sur mon visage en accentuant son étreinte de sa main derrière ma nuque pour plaquer encore plus intensément mon visage contre sa chatte qui jouissait amplement. De mon côté, malgré l’envie folle de jouir, je m’abstiens de tout orgasme n’ayant eu aucune autorisation à jouir… Il me fallut ensuite nettoyer la verge de Walter pendant que Marie me fouettait les fesses à coups d’une large spatule de cuisine en bois … Ils s’occupèrent de moi durant plus d’une heure me dressant à leurs moindres exigences comme par exemple me faire pisser sur le carrelage et lécher ma propre urine à quatre pattes après l’avoir reniflé … Plus ils m’humiliaient, plus j’en étais excitée !
(A suivre …)
Quand le dernier coup eu été donné, il me fit mettre à genoux …
- C’est bien Ma belle petite chienne, je suis extrêmement fier de toi et je sais bien que tu as compris que je t’ai Moi-même conduit à fauter, mais c’est Ma volonté afin de tester tes capacités à l’abnégation absolue et l’obéissance totale sans aucun esprit de rébellion ou sentiment d’injustice de ta part. Et tu as été très digne durant ta sanction et cela me rend encore plus fier de toi… Viens Ma chienne, prosterne-toi devant Le Maitre… Il est temps de te récompenser, considère cela comme un cadeau de bienvenue dans Mon Cheptel. En effet, j’ai décidé de te donner ton nouveau Nom. Durant toute ton éducation, tu seras dorénavant ‘chienne Vénus’, ton seul objectif sera de Me satisfaire quoi qu’il arrive... J’ai souvent pour habitude pour Mes chiennes et chiens, de les faire dormir en Chenil ou au Cachot et de laisser le tout début de leur éducation à mon Majordome, Walter ou à Marie, ma cuisinière et donc pour toi, tu n’échapperas pas à cette règle, bien évidemment… Parfois quand je le déciderai, tu dormiras dans un panier aux pieds de Mon lit et je m’occuperai de ton éducation, mais tu n’auras pas de traitement de faveur. Durant toute Mes soirées D/s, tu seras à Ma droite à genoux ou dans n’importe quelle position de Mon choix...
Le Noble s’allongea dans Son lit et m’ordonna de grimper et de me coucher à Ses pieds. Il se servit alors de mon corps comme un repose-pieds… En quelques minutes, malgré le poids de ses jambes, je tombais dans un profond sommeil, la fatigue me gagnant... Ce fut la conversation entre le Maitre et Son Majordome qui me tira de mon sommeil.
- Te voila réveillée Ma chienne, viens à ta place prosternée à Mes pieds et attends… (puis s’adressant à son Majordome) … Voila Ma nouvelle trouvaille, Ma nouvelle acquisition qui va intégrer Mon Cheptel, mon cher Walter. Elle n’est qu’au début de son dressage mais déjà très prometteuse.
- Ça sera Monsieur le Marquis un réel plaisir pour Marie et moi-même de nous occuper d’elle, dit le Majordome avec une voix perverse.
- Oui et je compte sur vous deux pour lui montrer comment on éduque, ici, les chiennes de son espèce, mon bon Walter. Va donc la conduire en cuisine auprès de Marie, qu’elle puisse manger à sa faim avec un supplément de vitamine et occupez-vous bien d’elle, si tu vois ce que je veux dire ! (puis s’adressant à moi). Va, Ma chienne, tu reviendras après Me voir j’en ai pas fini avec toi, me dit-il avec une caresse sur mes fesses
Je suivis donc le Majordome à quatre pattes et à un moment donnée, au détour d’un couloir capitonné par une épaisse moquette, il s’arrêta et me saisit par la gorge, m’obligeant à relever la tête et à le fixer droit dans les yeux.
- Je vais me faire un plaisir à t’utiliser pour me vider les couilles dans tous tes orifices de chienne. Mais avant cela, allons aux cuisines et nous sommes presque arrivés … suis moi en silence.
Marie s’affairait en cuisine quand nos entrâmes, elle s’arrêta net de travailler pour me détailler de la ta tête à la croupe, mon corps étant toujours en quadrupédie :
- Mais que vois-je Walter, pourquoi Mademoiselle de Bourbon est-elle ainsi ?
- C’est la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis, dit le Majordome - Eh bien dit donc, je ne l’aurai jamais imaginé, une bourgeoise pareille de l’aristocratie française ! Mais c’est une bonne idée de Monsieur le Marquis ! Enfin une ‘noble’ chienne racée qui va pourvoir m’aider dans ma cuisine. Aller, la chienne vient me montrer ton corps de salope que je puisse juger de tes capacités.
Je m’approchais timidement de la perverse cuisinière et une fois arrivée à son niveau, je me mis directement en position à genoux et baissais les yeux. Je la sentais tourner autour de moi, me jaugeant, me caressant les fesses, remontant jusqu’à mes épaules en passant par le creux de mes reins avec sa main baladeuse et indéniablement vicieuse.
- Tu es de bonne composition, la chienne. Ça va être un réel plaisir, pour nous, de te dresser, dit-elle. Viens la chienne me lécher mon minou assoiffé par une bonne langue de salope comme toi, tu es très excitante, la pute !
- Marie, on s’occupera d’elle après, car pour le moment, Monsieur le Marquis veut qu’elle mange à sa faim avec un supplément de vitamines, intervint Walter.
- Bien, mais elle ne perd rien pour attendre ! … (puis allant chercher une gamelle bien remplie) … Tiens la chienne et bien entendu, tu mangeras toujours à quatre pattes. Et dépêches-toi, je n’ai pas que ça à faire, il me tarde que tu me lèches, salope !
Marie me servit une espèce de pâtée qui à la vue ne me paraissait pas du tout alléchante mais au goût, c’était tout le contraire, je dirais même que c’était succulent. Alors, je me dépêchais pensant retrouver le Maitre sous le regard de Marie et Walter. Je me sentais humiliée mais aussi très excitée en même temps de devoir manger ainsi à quatre pattes et nue avec mon cul bien exposé... Alors que je terminais ma pâtée, je sentis une main sur mes fesses, puis une deuxième et les deux se dirigèrent sur mes hanches. Ces mains me maintenaient fermement quand je sentis le gland violacé de Walter venir se frotter contre mes lèvres intimes. Mon excitation suffisait largement à ce qu’il me pénètre comme s’il entrait dans du beurre, j’étais si humide que sa verge dressée me baisa aisément de suite très profondément. Le Majordome ne se préoccupait pas de préliminaires et il me besognait sans ménagement, sauvagement. Prise ainsi à quatre pattes, sous ses puissants coups de boutoirs, je relevais la tête quand il me tira une poignée de cheveux en arrière comme on tire une queue de cheval. C’est ainsi la tête relevée que je vis face à mon visage, un sexe de femme, et je compris ce que l’on attendait de moi. Marie la cuisinière me présentait sa chatte à lécher, et en m’empoignant la nuque, elle attira mon visage contre son sexe déjà fort trempé.
Besognée par la chatte, léchant celle de Marie, cette prise de possession de deux de mes orifices durant un long moment était divine, je me sentais chienne en chaleur, je me faisais prendre jusqu’au moment où en concert, les deux pervers ‘’bras droits’’ du Noble jouissaient en même temps. Walter déchargea sa semence, après s’être retiré, sur mes fesses par un flot saccadé de sperme souillant le haut de mon fessier, tandis que Marie lâchait sa cyprine sur mon visage en accentuant son étreinte de sa main derrière ma nuque pour plaquer encore plus intensément mon visage contre sa chatte qui jouissait amplement. De mon côté, malgré l’envie folle de jouir, je m’abstiens de tout orgasme n’ayant eu aucune autorisation à jouir… Il me fallut ensuite nettoyer la verge de Walter pendant que Marie me fouettait les fesses à coups d’une large spatule de cuisine en bois … Ils s’occupèrent de moi durant plus d’une heure me dressant à leurs moindres exigences comme par exemple me faire pisser sur le carrelage et lécher ma propre urine à quatre pattes après l’avoir reniflé … Plus ils m’humiliaient, plus j’en étais excitée !
(A suivre …)
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