COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Saison II (4/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Saison II (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Saison II (4/6)
Commandant Marion.

Ça y est, nous avons réussi notre mission, la cible est neutralisée sans que nous sachions pourquoi il fallait l’éliminer définitivement.
Ce que nous venons de faire peu de personnes sur cette terre est capable de le faire.
Tué de sang-froid des personnes sans défense et sans savoir ce qu’on leur reproche nous sommes une poignée.
Tuer une femme sans qu’elle sache qu’elle va mourir car notre intervention, c'est fait si vite qu’elle est morte avant qu’elle comprenne la situation.
Dans mes yeux, je vois son corps au moment de la planter, alors que ces salopards la torturaient.
Je préfère taire ce que j’ai vu au niveau de sa chatte.
Ça sera ce que je devrais évacuer rapidement dans les heures et les jours prochains si je veux que la vraie vie que j’ai construite me permette de choyer mes enfants sans avoir des fantômes qui viennent me bouffer les pieds la nuit.
Je reprends mon corps en main, gamberger risque de poser un problème à l’agent spécial que je suis.

Le sous-marin est-il encore là à nous attendre ?
Sinon, il va falloir songer à trouver des vêtements pour rejoindre notre pays.
C’est ce que je me dis quand je fais des signaux en morse vers le large sans savoir s’ils sont reçus.
Au loin, dans le jour naissant nous voyons une forme noire sortir lentement de l’eau calme.
Heureusement que notre exfiltration se fait par temps calme, une fois j’ai fait ça par mer forte, simplement sur le canot j’ai dégueulé mes tripes alors que j’aurais eu mainte fois l’occasion de me vider l’estomac au cours de l’opération.

J’entends un bruit d’eau brassée et dans le même temps deux choses se produisent.
Je vois la forme du gonflable que deux marins amènent vers nous les pagaies à la main.
Ce sont elles qui faisaient un léger clapotis chaque fois qu’ils les plongent dans l’onde claire.
Ça c’était la première, la bonne nouvelle, inutile de dire que la deuxième est bien plus dangereuse.
Les premières balles commencent à siffler.
Je me retourne tout comme le lieutenant et à notre tour nous arrosons à l’aveugle.
Nous savons tous les deux que nous avons seulement les quelques balles dans nos chargeurs.
Nous avons appris à appuyer sur la détente et faire sortir balle par balle ça nous fait gagner du temps en empêchant l’ennemie d’avancer.
À la dernière balle que ma Kala tire, j’ai gagné.
Pardons, c’était un petit jeu chez les commandos quand nos moniteurs nous entraînaient.
Celui qui tirait la dernière avant l’autre, avait perdu et payait la tournée générale.
J’ai pris mes plus belles cuites à ce jeu à chaque exercice.
Dommage que Boby ignore cette règle à ce moment de notre situation une bonne cuite serait la bienvenue.
Nous jetons nos armes inutiles à l’eau, le canot arrivant nous mettons là en pratique notre entraînement.
Quand les marins pagaient pour faire tourner l’embarcation gonflable, je saute à l’avant.
Je suis à droite à moi la place avant et Boby trois secondes plus tard se retrouve à l’arrière.
Cette manière d’embarquer à droite et à gauche, c’était l’un de nos premiers exercices.
La première fois avec le lieutenant Anne qui partageait ma chambre, nous avons réussi à faire chavirer l’embarcation avec les deux élèves qui pagayaient.
Nous avons appris par là même la tradition de la tournée générale.
Tournée de bière et tournée de sexe quand bien bourrée nous avons fini dans notre carré.

Bref revenons à nos balles continuant de siffler autour de nous.
Heureusement ils sont loin et plus nous nous éloignons plus nous sommes en sécurité.
Le jour c’est un peu plus lever et je vois les deux sergents pagayer les yeux sortant de leur tête.
Normale, j’ai ma chatte devant leurs yeux et il la regarde sans en perdre une miette.

C’est là qu’une balle touche le marin de droite le propulsant sur moi.
Il atterrit sur mes seins.
J’aime recevoir des mecs sur mes seins surtout ceux de Gontran mon mari à qui je suis fidèle entre chaque mission.
Comme on l’a vu c’est bien différent quand je suis en mode commando pour mon pays.
Mon sexe, je devrais dire mes parties intimes sont source de survie et je sais m’en servir quand nécessité fait loi.
Or la mission est loin d’être terminée quand je vois Bobby sauter sur la pagaie manquant de tomber à l’eau et de remettre dans la bonne direction notre embarcation.
J’ignore si le garçon tombé dans mes bras collés sur ma poitrine comme j’aime le faire avec mes enfants les dimanches matin quand nous faisons la grasse matinée est touché gravement.
Ce qui me rassure c’est que je sens son cœur battre et son souffle sur mon cou.
Les balles continuent à pleuvoir mais chaque fois le flop quand elles finissent dans l’eau me rassure.
Une dernière vient crever le boudin arrière mais nous sommes à la coque.
Grâce à la mer calme, le commandant a pu sortir le sous-marin le pont à fleur d’eau.
Boby se lève prend le marin blessé dans ses bras et d’un bon saute retenu par plusieurs hommes sortis pour la manœuvre.
Je fais sauter l’autre jeune marin avant d’abandonner le navire la dernière comme doit le faire un bon commandant.
C’est nue au milieu de ces hommes que je regarde le commandant dans sa bassine, tourelle de commandement quand le sous-marin est en surface.
Il me fait un salut militaire.
Je lui rends son salut bien que je sois en tenue un peu négligé.
Mais ceci se passe sans grande perte de temps surtout quand une balle plus puissante que les autres ricoche sur la coque sifflant à mon oreille.
Je tourne la tête, le jour est là, ils sont six sur la plage.
Quatre mitraillettes en batterie.
Deux apportent une caisse qu’ils ouvrent et en sorte un lance-roquette.
Les hommes bondissent dans le trou d’homme dans lequel Boby est déjà descendu le matelot sur son épaule.
Je glisse le long de l’échelle sans me servir des barreaux.
Là encore exercice pratiqué lors de notre formation à Lorient dans les commandos marines.
En bas un autre second-maître m'aide me recevant me mettant les mains aux fesses ignorant qu’il me met le feu au cul.
Je devrais m’offusquer mais je dois dire que j’aime bien sans le dire bien sûr.
À la diffusion nous entendons.

« Prêt à plonger, plonger. »
Le bâtiment se met en marche et une légère inclinaison m’obligeant à m’agripper au matelot lui apporte une double chance, son bras se porte sur mon sein.
Je vois tous ceux qui étaient sur le pont crispés, ils ont vu le lance-roquettes.
De quel type est-il bien que le blindage du sous-marin soit bien capable de supporter une telle arme.
Le commandant nous rejoint avec le médecin.

- Emmener le second-maître Lionel à l’infirmerie, vite.

Boby laisse le matelot.

- Venez dans votre cabine, vos affaires vous y attendent.
- Excusez commandant de vous contredire, lieutenant venez aux douches, nous avons besoin de nous rafraîchir.
Commandant avez-vous une bouteille de whisky.
- Non, pas d’alcool à bord.
Attendez, dans mon coffre j’ai deux bouteilles de rhum qui doivent nous servir à faire des grogues à l’équipage en cas de grande grippe.
- Allez en chercher une et rejoignez-nous.

Je vais vers les douches, nous passons au milieu de l’équipage qui se rince l’œil.
À croire que le téléphone arabe a fonctionné et que tous sachent déjà que je me balade à poil autour d’eux.
Au moment d’entrer dans le compartiment des douches, j’entends.

« Le secteur des douches est momentanément interdit à tous les équipages. »
Deux minutes, le pacha nous rejoint avec sa bouteille.
L’eau coule déjà sur nous.

- Voilà la bouteille.
- Donnez-la-moi.
Où allez-vous commandant, êtes-vous marié ?
- Divorcé.
- Alors si je vous plais à poil, deux beaux mâles comme vous seront suffisants pour éteindre le feu qui couve en moi.

En quelques minutes les galons tombent quand son pantalon et son boxer tombent.
L’homme qui me rejoint alors que je porte la bouteille à la bouche bande déjà.
C’est drôle la découverte d’une nouvelle bite.
Depuis que nous nous sommes équipés dans la cabine de celui qui vient se coller à moi pour mon plus grand plaisir, je sais qu’il fait du 18 à 20 centimètres.
Lui aussi se colle à moi par-devant.
Je lui mets le goulot dans la bouche et il tète goulûment comme il se met à téter mon sein droit suivi du gauche.
On a bien compris qu’il y a deux périodes bien distinctes dans ma vie, la commence celle où pour me décontracter de ce que nous venons de subir, alcool et sexe sont ma priorité.
Le pacha Samuel pour les intimes s’était marqué sur sa chemisette qui gît à quelques mètres de moi.
Samuel se masturbe dans la raie de mes fesses échauffant ma chatte.
Je lui tends la bouteille il écarte le goulot.
Je m’agenouille amenant mon visage à la hauteur de mes deux friandises.
C’est bien ce que je pensais, Samuel, circoncision, mon futur amant est juif.
La circoncision je connais avec Gontran.
Dans les premiers jours de notre mariage, il se déchirait le filet chaque fois qu’il me pénétrait.
Pourtant je faisais déjà de nombreuses missions et mon sexe avait déjà subi des dizaines de verges même celles que nous devions apprendre à subir dans notre formation quand j’ai intégré les forces spéciales.
C’est lors de l’un de ces exercices que le commandant de l’école de formation m’a sodomisé pour la première fois.
Lors de l’opération que nous venons de terminer, ces exercices pouvant paraître barbare nous ont sauvé certainement la vie nos ennemis nous ont provisoirement gardé vivant pour mieux nous baiser avant de nous tirer une balle dans la tête.
Pour Gontran la circoncision a été la solution.

Je prends simultanément l’une et l’autre dans ma bouche.
Ils semblent aimer…

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