COLLECTION ANNE MA MUSE. Fantasme d’exhibe (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Fantasme d’exhibe (1/1)
- Pierre, j’ai un fantasme, je ne sais pas comment le réaliser et surtout où le réaliser.
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71, il vous rapporte le plus fidèlement possible ce que je ressens depuis mon divorce et mes envies de liberté.
Je dis toujours à Chris que j’ai 58 ans, je vais allègrement vers mes 59.
Pierre que j’interpelle au début de mon histoire est mon compagnon sans pour autant vivre avec moi.
J’habite Besançon à un bout de la ville, lui à l’opposé.
- Explique-toi, je vais voir si j’ai la possibilité de réaliser ce fantasme.
- J’hésite, tu vas me prendre pour une dégénérée.
- Réaliser ses fantasmes quand cela est possible, c’est la meilleure façon d’être en harmonie avec soi-même.
- Tant pis, je me lance, je prends une grande respiration.
Un, deux grands coups pour me vider mes poumons qui malgré mon âge se portent bien.
Du moins mes seins, ils sont encore fermes et ne tombent pas.
Pierre peut témoigner, il les a dans ses mains au fond de mon lit.
Nous venons de faire l’amour.
Je vous rappelle que Pierre a 70 ans, il a des difficultés certains jours à tendre le bras malgré les longs moments où je le suce.
Ce soir il était en forme et c’est en levrette qu’il m’a prise.
Sa performance et le plaisir que j’y ai pris, m’incitent à lui parler de mon fantasme.
- Voilà, j’aimerais m’exhiber.
- T’exhiber ?
Te faire baiser devant moi ?
- Non, je voudrais me montrer nue sans pour autant avoir des rapports sexuels.
- C’est possible, je connais deux endroits, mais c’est à Dijon.
C’est mieux d’ailleurs, tu limiteras le risque de te faire reconnaître, mais il faut que tu me suives au doigt et à l’œil au risque de finir à la gendarmerie.
Par chance, dans nos campagnes, la maréchaussée se fait rare, ce serait une vraie malchance si tu te faisais prendre.
- Que devrais-je faire ?
- Tu es bien curieuse, tu suivras mes ordres et tu me diras après ce que tu as ressenti.
- Et quand nous pourrons réaliser mon fantasme ?
- La semaine prochaine, samedi soir, ça te permettra de réfléchir, les risques sont minimes mais ils existent.
As-tu une robe se boutonnant sur le devant, du haut en bas, c’est impératif pour faire ce que nous allons faire ?
Ne te tracasse pas, Pierre, j’aurai ce qu’il faudra, il y a si longtemps que je pense à m’exhiber sans jamais oser franchir le pas.
Satisfaite, je lui reprends la bite en main espérant le réveiller, ma chatte dégouline d’envie.
Jusqu’au samedi à chacun de ses coups de fil, je lui dis toujours que je suis partante.
Simplement à penser sans savoir ce qu’il va me faire faire, tous les soirs, je retrouve les élans de ma jeunesse et je me masturbe.
Samedi, j’entends sa voiture se garer dans ma cour, il est presque 21 heures 30, j’étais à deux doigts de l’appeler, il lui arrive de s’endormir sur son canapé.
- Bonjour Anne, je vois que tu es prête, attends, mets tes bas résilles avec ton porte-jarretelles, tu verras ça sera plus sexy.
J’ai tout ce qu’il faut, dans les tiroirs de ma commode et en cinq minutes montre en main j'ai mes bas, porte-jarretelles, chaussures à hauts talons et robe rouge que je mettais il y a plus de vingt ans, c’était la mode.
- Enlève-moi cette petite culotte, s’exhibe-t-on avec une culotte ?
Tu es bandante Anne et si nous restions ici, tu m’émoustilles.
- Je me prépare depuis une semaine dans ma tête, on verra ça à notre retour.
- Prends ton portable, là où tu seras nous resterons en communication. Ça nous permettra de rester en communication si tu te sens mal, j’interviendrais le plus vite possible.
Nous prenons la route, il fait beau en ce mois de juin, réaliser mon fantasme sans pour autant savoir comment cela va se passer ajoute à mon malaise mais aussi à mon excitation.
- On arrive, c’est à la sortie de cette forêt que des femmes ayant le même fantasme que toi viennent s’exhiber.
- Tu seras la seule ce soir, il n’y a pas de voiture.
Je suis ses ordres, j’aime être un peu considérée comme une femme soumise dans le respect de la personne que je suis.
Il se penche et claque la porte derrière lui et ouvre la fenêtre à ma hauteur.
- Enlève ta robe.
J’ai peur et honte, mais je veux être assez forte pour ne pas reculer devant celui avec qui j’ai des rapports quand il est en forme.
Je me retrouve nue du moins sans robe mais en jarretelles et bas.
- Ce chemin fait 1000 mètres très précis, tous les 200 mètres il y a un banc.
Il fait partie d’un parcours Vita où les sportifs viennent dans la journée.
À chaque banc, tu t’assieds, il faut savourer ces 1000 mètres.
Au-dessus de chaque banc il y a un lampadaire qui éclairera le panneau de ce que les sportifs doivent faire, tu le feras toi aussi, ça pimente le jeu.
Tu es prête, je démarre mon portable mains libre, tu m’entends !
- Oui.
- Alors rendez-vous de l’autre côté.
Je n’ai pas le temps d’en dire plus, la voiture de Pierre démarre me laissant seule.
Je suis un peu déboussolée, mais l’excitation de la situation m’émoustille.
Je commence à faire les premiers mètres.
Rapidement sur les 200 premiers mètres jusqu’au premier banc, je comprends pourquoi je dois porter des talons hauts, le chemin est caillouteux et il m’est difficile d’avancer.
Je m’assieds, mes fesses nues frissonnent sur le banc de pierre où sur le côté il est marqué 200 mètres.
Le lampadaire me montre un panneau où je dois me baisser et me relever.
- Tu es au premier panneau Anne.
- Oui.
- C’est excitant de se sentir offert dans cette nuit tombante.
- Tu es arrivé de l’autre côté ?
- Qui te dit que je serai à l’arrivée de ces 1000 mètres, tu ne te vois pas rentrer à Besançon dans la tenue où tu te trouves ?
Que répondre, je dois lui faire comprendre que je n’ai pas peur alors que je suis morte de trouille.
- Je vais être gentil, fais 20 fois ce que le panneau te demande, te voir faire descendre tes seins en avant va plaire à tous les hommes que tu ne vois pas mais qui t’épient.
Je viens de passer devant le parking où les voyeurs se garent, il y avait une vingtaine de voitures.
Vas-y compte.
- Un deux, trois, quatre, dix-neuf, vingt.
- C’est bien, repars, dit moi quand tu seras aux 400 mètres.
Tu aimes ma petite Anne, ton fantasme se réalise.
- Au-delà de mes espérances, je crois que je…- Tu mouilles, je sais ça fait cet effet-là de se savoir regardé quand on est nu.
Comment Pierre connaît-il ce secteur ?
Je sais que si je l’interroge il sera comme une tombe, il ne m’a jamais parlé de son ancienne femme.
Avant son divorce, l’amenait-il ici s’exhiber comme je le fais ?
Au 400 mètres, à part les 100 rotations du corps qu’il m’impose et qui commencent à me tirer les muscles des jambes et des bras, rien de bien difficile sauf la nuit.
Au 600 mètres, le lampadaire est éteint, j’arrive à m’asseoir, la pierre est de plus en plus froide, le soleil n’a pas dû la chauffer pendant la journée.
- Pierre, la lampe est cassée.
- Sers-toi de ton portable pour t’éclairer.
- Pierre, un homme est à deux mètres de moi, j’ai peur.
- Éclaire ta chatte épilée, il est là pour te mater, à moins que tu ne l’invites à te sucer la chatte.
- Je ne veux pas de contact, seulement m’exhiber.
Il y en a un deuxième, ils ont sorti leurs bites et se masturbent.
- Tu n’as rien à craindre, mais dis-moi, tu aimes qu’ils te regardent ?
- Salopard, bien sûr que j’aime, comme tu me l’as dit, j’ai les cuisses écartées et moi aussi je me masturbe, c’est divin !
- J’entends que tu as joui, bien, repars dès que tes mateurs auront déchargé sur le sol, il ne faut pas qu’ils soient frustrés.
- Il faut que je m’appuie les mains sur le banc et que je fasse des pompes, combien je dois faire ?
- Les mecs adorent voir ton joli petit cul monter et descendre.
Fais-leur-en autant que tes bras te le permettent.
- Sept, huit, neuf, dix.
- Dix, la dernière fois j’ai eu du mal.
- Repars.
J’arrive aux 800 mètres, je suis crevée mais ma tête est remplie de l’expérience que je viens de vivre.
Hélas, la lampe fonctionne, limitant le plaisir de se savoir épier.
La seule difficulté, il faut que je me pose les fesses au sol pour faire des moulinets avec mes jambes.
Pourquoi ne pas tricher, qui saura que mes fesses sont restées intactes, pas de petits cailloux pour me les agresser ?
Je finis le parcours, un seul souci, la voiture sera-t-elle là ?
Je sors du bois, une voiture arrive qui s’arrête à deux mètres de moi.
Elle est suivie, ouf, de celle de Pierre, il ne m’a pas laissé tomber.
Une jeune femme descend, entièrement nue, sauf comme moi, des jarretelles tenant des bas.
Sa poitrine est beaucoup plus volumineuse que la mienne.
- Bonsoir.
- Bonsoir.
Ce sont les seuls mots que nous échangeons, c’est étrange deux femmes presque nues se croisant à l’orée d’un bois.
C’est le moment où je coule le plus, je sens que ma chatte est tout humide.
- Monte, alors.
- C’était mieux que je ne l’espérais, je sentais des centaines d’yeux m’observer.
- Une dizaine, voire vingt si tu les multiplies par deux.
- Et cette femme que je viens de croiser.
- Contrairement à toi, aux 600 mètres, les gars qui se sont approchés de toi et qui se masturbaient vont pouvoir avec elle s’en donner à cœur joie.
Une fois de plus, comment Pierre connaît tout ça ?
Comme je l’ai dit inutile de lui demander, il restera muet comme une tombe.
- Je t’ai parlé de deux endroits, veux-tu y aller au second ?
- Non, rentrons, j’ai eu ma dose de fantasme ce soir, nous verrons cela la semaine prochaine.
Je lui pose la main sur sa braguette, mes fantasmes attendront, je sens que de me savoir offerte à tout vent, Pierre va pouvoir m’honorer.
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71, il vous rapporte le plus fidèlement possible ce que je ressens depuis mon divorce et mes envies de liberté.
Je dis toujours à Chris que j’ai 58 ans, je vais allègrement vers mes 59.
Pierre que j’interpelle au début de mon histoire est mon compagnon sans pour autant vivre avec moi.
J’habite Besançon à un bout de la ville, lui à l’opposé.
- Explique-toi, je vais voir si j’ai la possibilité de réaliser ce fantasme.
- J’hésite, tu vas me prendre pour une dégénérée.
- Réaliser ses fantasmes quand cela est possible, c’est la meilleure façon d’être en harmonie avec soi-même.
- Tant pis, je me lance, je prends une grande respiration.
Un, deux grands coups pour me vider mes poumons qui malgré mon âge se portent bien.
Du moins mes seins, ils sont encore fermes et ne tombent pas.
Pierre peut témoigner, il les a dans ses mains au fond de mon lit.
Nous venons de faire l’amour.
Je vous rappelle que Pierre a 70 ans, il a des difficultés certains jours à tendre le bras malgré les longs moments où je le suce.
Ce soir il était en forme et c’est en levrette qu’il m’a prise.
Sa performance et le plaisir que j’y ai pris, m’incitent à lui parler de mon fantasme.
- Voilà, j’aimerais m’exhiber.
- T’exhiber ?
Te faire baiser devant moi ?
- Non, je voudrais me montrer nue sans pour autant avoir des rapports sexuels.
- C’est possible, je connais deux endroits, mais c’est à Dijon.
C’est mieux d’ailleurs, tu limiteras le risque de te faire reconnaître, mais il faut que tu me suives au doigt et à l’œil au risque de finir à la gendarmerie.
Par chance, dans nos campagnes, la maréchaussée se fait rare, ce serait une vraie malchance si tu te faisais prendre.
- Que devrais-je faire ?
- Tu es bien curieuse, tu suivras mes ordres et tu me diras après ce que tu as ressenti.
- Et quand nous pourrons réaliser mon fantasme ?
- La semaine prochaine, samedi soir, ça te permettra de réfléchir, les risques sont minimes mais ils existent.
As-tu une robe se boutonnant sur le devant, du haut en bas, c’est impératif pour faire ce que nous allons faire ?
Ne te tracasse pas, Pierre, j’aurai ce qu’il faudra, il y a si longtemps que je pense à m’exhiber sans jamais oser franchir le pas.
Satisfaite, je lui reprends la bite en main espérant le réveiller, ma chatte dégouline d’envie.
Jusqu’au samedi à chacun de ses coups de fil, je lui dis toujours que je suis partante.
Simplement à penser sans savoir ce qu’il va me faire faire, tous les soirs, je retrouve les élans de ma jeunesse et je me masturbe.
Samedi, j’entends sa voiture se garer dans ma cour, il est presque 21 heures 30, j’étais à deux doigts de l’appeler, il lui arrive de s’endormir sur son canapé.
- Bonjour Anne, je vois que tu es prête, attends, mets tes bas résilles avec ton porte-jarretelles, tu verras ça sera plus sexy.
J’ai tout ce qu’il faut, dans les tiroirs de ma commode et en cinq minutes montre en main j'ai mes bas, porte-jarretelles, chaussures à hauts talons et robe rouge que je mettais il y a plus de vingt ans, c’était la mode.
- Enlève-moi cette petite culotte, s’exhibe-t-on avec une culotte ?
Tu es bandante Anne et si nous restions ici, tu m’émoustilles.
- Je me prépare depuis une semaine dans ma tête, on verra ça à notre retour.
- Prends ton portable, là où tu seras nous resterons en communication. Ça nous permettra de rester en communication si tu te sens mal, j’interviendrais le plus vite possible.
Nous prenons la route, il fait beau en ce mois de juin, réaliser mon fantasme sans pour autant savoir comment cela va se passer ajoute à mon malaise mais aussi à mon excitation.
- On arrive, c’est à la sortie de cette forêt que des femmes ayant le même fantasme que toi viennent s’exhiber.
- Tu seras la seule ce soir, il n’y a pas de voiture.
Je suis ses ordres, j’aime être un peu considérée comme une femme soumise dans le respect de la personne que je suis.
Il se penche et claque la porte derrière lui et ouvre la fenêtre à ma hauteur.
- Enlève ta robe.
J’ai peur et honte, mais je veux être assez forte pour ne pas reculer devant celui avec qui j’ai des rapports quand il est en forme.
Je me retrouve nue du moins sans robe mais en jarretelles et bas.
- Ce chemin fait 1000 mètres très précis, tous les 200 mètres il y a un banc.
Il fait partie d’un parcours Vita où les sportifs viennent dans la journée.
À chaque banc, tu t’assieds, il faut savourer ces 1000 mètres.
Au-dessus de chaque banc il y a un lampadaire qui éclairera le panneau de ce que les sportifs doivent faire, tu le feras toi aussi, ça pimente le jeu.
Tu es prête, je démarre mon portable mains libre, tu m’entends !
- Oui.
- Alors rendez-vous de l’autre côté.
Je n’ai pas le temps d’en dire plus, la voiture de Pierre démarre me laissant seule.
Je suis un peu déboussolée, mais l’excitation de la situation m’émoustille.
Je commence à faire les premiers mètres.
Rapidement sur les 200 premiers mètres jusqu’au premier banc, je comprends pourquoi je dois porter des talons hauts, le chemin est caillouteux et il m’est difficile d’avancer.
Je m’assieds, mes fesses nues frissonnent sur le banc de pierre où sur le côté il est marqué 200 mètres.
Le lampadaire me montre un panneau où je dois me baisser et me relever.
- Tu es au premier panneau Anne.
- Oui.
- C’est excitant de se sentir offert dans cette nuit tombante.
- Tu es arrivé de l’autre côté ?
- Qui te dit que je serai à l’arrivée de ces 1000 mètres, tu ne te vois pas rentrer à Besançon dans la tenue où tu te trouves ?
Que répondre, je dois lui faire comprendre que je n’ai pas peur alors que je suis morte de trouille.
- Je vais être gentil, fais 20 fois ce que le panneau te demande, te voir faire descendre tes seins en avant va plaire à tous les hommes que tu ne vois pas mais qui t’épient.
Je viens de passer devant le parking où les voyeurs se garent, il y avait une vingtaine de voitures.
Vas-y compte.
- Un deux, trois, quatre, dix-neuf, vingt.
- C’est bien, repars, dit moi quand tu seras aux 400 mètres.
Tu aimes ma petite Anne, ton fantasme se réalise.
- Au-delà de mes espérances, je crois que je…- Tu mouilles, je sais ça fait cet effet-là de se savoir regardé quand on est nu.
Comment Pierre connaît-il ce secteur ?
Je sais que si je l’interroge il sera comme une tombe, il ne m’a jamais parlé de son ancienne femme.
Avant son divorce, l’amenait-il ici s’exhiber comme je le fais ?
Au 400 mètres, à part les 100 rotations du corps qu’il m’impose et qui commencent à me tirer les muscles des jambes et des bras, rien de bien difficile sauf la nuit.
Au 600 mètres, le lampadaire est éteint, j’arrive à m’asseoir, la pierre est de plus en plus froide, le soleil n’a pas dû la chauffer pendant la journée.
- Pierre, la lampe est cassée.
- Sers-toi de ton portable pour t’éclairer.
- Pierre, un homme est à deux mètres de moi, j’ai peur.
- Éclaire ta chatte épilée, il est là pour te mater, à moins que tu ne l’invites à te sucer la chatte.
- Je ne veux pas de contact, seulement m’exhiber.
Il y en a un deuxième, ils ont sorti leurs bites et se masturbent.
- Tu n’as rien à craindre, mais dis-moi, tu aimes qu’ils te regardent ?
- Salopard, bien sûr que j’aime, comme tu me l’as dit, j’ai les cuisses écartées et moi aussi je me masturbe, c’est divin !
- J’entends que tu as joui, bien, repars dès que tes mateurs auront déchargé sur le sol, il ne faut pas qu’ils soient frustrés.
- Il faut que je m’appuie les mains sur le banc et que je fasse des pompes, combien je dois faire ?
- Les mecs adorent voir ton joli petit cul monter et descendre.
Fais-leur-en autant que tes bras te le permettent.
- Sept, huit, neuf, dix.
- Dix, la dernière fois j’ai eu du mal.
- Repars.
J’arrive aux 800 mètres, je suis crevée mais ma tête est remplie de l’expérience que je viens de vivre.
Hélas, la lampe fonctionne, limitant le plaisir de se savoir épier.
La seule difficulté, il faut que je me pose les fesses au sol pour faire des moulinets avec mes jambes.
Pourquoi ne pas tricher, qui saura que mes fesses sont restées intactes, pas de petits cailloux pour me les agresser ?
Je finis le parcours, un seul souci, la voiture sera-t-elle là ?
Je sors du bois, une voiture arrive qui s’arrête à deux mètres de moi.
Elle est suivie, ouf, de celle de Pierre, il ne m’a pas laissé tomber.
Une jeune femme descend, entièrement nue, sauf comme moi, des jarretelles tenant des bas.
Sa poitrine est beaucoup plus volumineuse que la mienne.
- Bonsoir.
- Bonsoir.
Ce sont les seuls mots que nous échangeons, c’est étrange deux femmes presque nues se croisant à l’orée d’un bois.
C’est le moment où je coule le plus, je sens que ma chatte est tout humide.
- Monte, alors.
- C’était mieux que je ne l’espérais, je sentais des centaines d’yeux m’observer.
- Une dizaine, voire vingt si tu les multiplies par deux.
- Et cette femme que je viens de croiser.
- Contrairement à toi, aux 600 mètres, les gars qui se sont approchés de toi et qui se masturbaient vont pouvoir avec elle s’en donner à cœur joie.
Une fois de plus, comment Pierre connaît tout ça ?
Comme je l’ai dit inutile de lui demander, il restera muet comme une tombe.
- Je t’ai parlé de deux endroits, veux-tu y aller au second ?
- Non, rentrons, j’ai eu ma dose de fantasme ce soir, nous verrons cela la semaine prochaine.
Je lui pose la main sur sa braguette, mes fantasmes attendront, je sens que de me savoir offerte à tout vent, Pierre va pouvoir m’honorer.
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