COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (4/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (4/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (4/13)
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.

Gaston chauffeur de ma société m’a conduit jusqu’à Avignon où Josyane m’attend pour me conduire chez elle au cap d’Agde où elle habite.
C’est suite à son divorce avec Serge, mais qu’elle appelle Johnny étant fan de son idole au point de lui consacrer une pièce dans leur maison, qu'elle s'est installée dans le Sud.

Hier soir Josyane m’a quitté, suite à un rendez-vous oublié, lorsqu’elle m’avait proposé de venir profiter des premiers rayons du soleil en ce mois de février.
À Besançon où j’habite et où je travaille nous sortons aussi de l’hiver, mais les brouillards de la vallée du Doubs et de la Saône toute proche nous empêchent souvent de le voir à cette époque.
Elle revient dans la nuit avec un "édredon".
Un mec, quoi, je connais cette expression car avec Pierre mon ami, quand il passe la nuit chez moi, me dit aussi qu’il vient faire l’édredon.
Je me replie rapidement dans ma chambre afin d’éviter que je ne les dérange.

D’un coup je me réveille.
Un instant je cherche où je suis.
C’est vrai, chez Josyane, ah oui, je l’ai entendue rentrer et s’éclater avec le jeune garçon qu’elle a ramené.
C’est drôle l’évocation d’un garçon, me fait penser à Joël, celui à la 4L rencontré trop rapidement sur l’autoroute lors de ma venue.
J’ai été un peu bête, non conne, sachons dire le mot juste, d’avoir oublié d’échanger avec lui nos portables.

Je suis à deux doigts de me caresser à son évocation quand j’entends du bruit venant de l’appartement.
Quelle heure peut-il être, le volet roulant laisse passer de légers rayons de soleil, j’ai dormi comme un bébé.
11 heures 45, moi qui chez moi suis debout au plus tard à 7 heures.
Il faut dire qu’ici aucun bruit, comparé à chez moi ou les voitures passent sous mes fenêtres.
Je me lève, vais dans la salle d’eau, la porte de communication est fermée.
Je fais ma toilette surtout les dents, mon hygiène buccale est primordiale pour moi.
Je vais pour changer ma petite culotte, mais quand hier ma copine s’est mise nue, je me suis senti un peu arriérer à garder mon bout de tissu.
Mais comme les relations lesbiennes, la pudeur qui nous est inculquée est dure à s’en défaire même si par chance, mes parents m’ont épargné leurs bondieuseries.

- Bonjour Anne, déjà réveillée !
- C’est à toi qu’il faut dire ça, après la nuit que tu as passée !
- Tu nous as entendus !
- Ah ! oui, oui, oui oui, ouiiii !
- C’est faux, quand je jouis, ah ! oui, oui, oui, ouiiii !
Trois fois, oui avant le oui en trémolo.
- Je t’assure c’était quatre ouis avant le cinquième qui t’a vidé les poumons.
- Tu as peut-être raison, ça veut dire que mon amant m’a porté sur les sommets de notre plaisir.
Tu comprends pourquoi je t’ai laissé seule devant la télé, c’est si rare qu’il passe dans le coin.
- Il dort encore !
- Je suis debout car il a pris le taxi que je lui ai appelé, il a son avion pour Paris à 13 heures, il rentre chez lui où sa femme l’attend.
- Inutile de m’en dire plus, encore un de ces jeunes hommes dont tu aimes t’entourer.

Josyane éclate de rire, ça fait tressauter ses poumons, que m’arrive-t-il, je regarde de plus en plus ses attributs féminins.
Peut-être la peur de la soixantaine arrivant et que les miens contrairement à maintenant ont tendance à perdre leur fermeté.

- Tu te trompes, Claude à ton âge, il va sur ses 60 ans et porte encore beau, c’est un adepte des salles de sport.
- Il est culturiste à ses heures perdues, il était à Montpellier pour un concours qu’il a gagné en catégorie vétéran.
J’aurais dû te réveiller pour voir ses muscles saillants et son bronzage à faire pâlir les habitués du cap.

Ma copine a le chic de se trouver des mecs sortant de l’ordinaire.


- Es-tu sûre de ce que tu dis, j’ai entendu parler de ces hommes ou ces femmes qui se bourrent de produits asséchant leurs muscles et asséchant aussi leurs organes ?
- Des « fasts » pourquoi crois-tu ces fadaises, si c’était vrai, aurais-je crié oui, quatre fois ?
- Dommage qu’il soit parti, j’aurais bien voulu voir de près un tel homme.
- Tu vois, j’aurais dû te réveiller, veux-tu que je te donne son numéro de portable ?
Tu l’appelles, il voyage souvent pour ses concours mais aussi étant chef d’entreprise.
Regarde le cadeau qu’il m’a apporté, un magnifique déshabillé, il est dans le textile.
- Je me disais bien que quelque chose clochait ce matin.
Tu m’as fait la leçon qu’ici on vivait nue.
J’ai fait un effort à enlever ma petite culotte et c’est toi que je retrouve couverte de ce voile qui d’un autre côté met tes formes en valeur.
- Quand tu dis cela, ton œil s’allume.
Voudrais-tu que nous allions nous recoucher un petit moment bien que nous serions folles de rester allongées alors que dehors le soleil que tu es venue chercher resplendi ?

Josyane me donne une échappatoire, j’étais à deux doigts de lui dire oui sans les trémolos.
Mais je suis de mauvaise foi, j’ai déjà eu des rapports lesbiens avec Lucie l’amie de Noël mon neveu à Noël dernier.
Est-ce le fait qu’elle était plus jeune et que les jeunettes m’attirent contrairement à ma vieille copine même si elle se tient aussi bien que moi.
Noël et Lucie, je suis partie si vite voir le soleil qu’à aucun moment l’idée de les prévenir ne m’est venue en tête.
Il est vrai que les jeunes habitent à Sète et que les parents de Lucie propriétaires d’une clinique esthétique ont un appartement dans un immeuble du cap d’Agde.
Ce que j’ai accepté avec Lucie, dans un moment d’égarement, pourquoi le reproduire avec Josyane ?
Quand j’ai baisé avec Lucie, j’ignorais qu’elle deviendrait la petite amie de mon neveu.
Neveu qui venait de devenir mon amant.
Josyane est une vieille amie et je craindrais de perdre cette amitié par des rapports sexuels, surtout qu’elle m’a prouvés cette nuit qu’elle était assez grande pour trouver des hommes et femmes libertins.

- Bien, je vois que tu as choisi, je te propose de rejoindre la plage après avoir mangé un petit morceau, voyons ce que j’ai à t’offrir.
- Oui, tu es mon amie et tu le resteras, je prendrais bien un café avec une part de brioche que je vois sur ton meuble.
- Je l’avais sortie pour Claude, il avait amené ses poudres de perlimpinpin qui sont la base de sa nutrition.
- J’ai hâte de me retrouver sur la plage et sentir le soleil sur ma peau regarde, je suis comme un cachet d’aspirine comparé à toi.
Je vais aller passer une robe.
Si tu en as une légère, nous sommes à cinquante mètres de la plage.
Si tu veux, je te prête un paréo que tu attacheras autour de tes seins, j’en ai une grande collection.

C’est ainsi que nous reprenons l’ascenseur.
Moi, dans un paréo multicolore qui cache mon corps comparé à celui de mon amie qui fait passer l’aréole de ses seins et quand elle est statique, la fente de sa chatte.
Je suis presque gênée pour elle.
Nous arrivons sur la plage et là, très vite, je comprends que je me suis piégée moi-même.
Josyane habite dans une résidence au bord de la plage naturiste du cap.
La plage est loin d’être pleine comme elle doit l’être en été, mais en peu de temps, le nombre de sexes mâles ou femelles est impressionnant.
Les verges, dans un premier temps, de tous les genres, jusqu’à des jaunes, un Asiatique est à deux mètres de nous.
Une place libre, Josyane dépose son sac puis étend une grande serviette.
Je l’imite un peu anxieuse, hélas, ce que je supputais arrive, elle ôte son paréo montrant sa nudité à tout le monde.
La voir nue chez elle et la voir nue sur cette plage, c’est plus impudique.
Je prends mon temps, que faire, l’imiter.
Mince ma serviette placée, je m’arrange pour que mon pied mette du sable dessus.
Il y a de l’air, je la replis et je m’écarte pour que prudemment je la secoue.
Peine perdue, un couple interracial, elle blanche, lui noir, m’en montre une de celles qui soi-disant fait fantasmer bien des nanas.
Assez tergiversé, je la place à côté de celle de mon amie et je fais le geste fatidique, je dénoue mon paréo.
Pourquoi aurais-je honte de ma poitrine, la femme avec son mari black doit avoir vingt ans de moins que moi.
Ses seins ressemblent à des œufs sur le plat, plongeant vers le sol.
Je m’assieds.

- Anne, peux-tu me passer de la crème solaire, je vais en faire de même pour toi.
Il serait malheureux qu’un coup de soleil gâche tes vacances.

Il m’est arrivé de mettre de la crème solaire sur le corps de Pierre quand nous passions de longs moments au bord du Doubs.
Là, ce sont les fesses de Josyane que je caresse, évitant de m’approcher trop près du sexe de mon amie.

- Mets-toi sur le ventre, à mon tour de t’enduire de crème.

Je m’allonge, la tête dans mes bras.

- Oh !

Je sais c’est un peu froid sur ton corps qui commence à chauffer.
Ses mains sont au début sur mon dos, puis sur mes épaules, c’est bon, comme un massage, ça me décontracte.
Elle redescend, remet de la crème.
J’ai failli recommencer à crier, mais j’arrive à me retenir.
On dirait qu’elle évite les fesses pour s’attarder sur mes jambes enduisant même ma plante des pieds.
Elle remonte et commence à m’enduire les fesses.
J’ai fait attention, sa main plonge entre mes mappemondes à deux doigts de ma chatte qui commence à mouiller.
Je tourne la tête pour éviter de la regarder.
Elle repart pour mieux revenir.
Je suis à deux doigts de la pâmoison.

- Tiens, tu es là !

Je relève la tête, j’ai à moins d’un mètre de mes yeux une verge d’au moins vingt-cinq centimètres…

Corrigé par Anne.

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