COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (5/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (5/13)
Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.
Gaston, chauffeur de ma société de transports, en route vers la Grèce pour faire une livraison de vin de ma région de Bourgogne Franche-Comté, m’a conduit jusqu’à Avignon.
C’est à la sortie de l’autoroute que Josyane, mon amie, m’a récupérée pour me conduire chez elle au cap d’Agde où elle habite.
C’est à la suite de son divorce avec Serge, que tous appelaient Johnny étant fan de l’idole au point de lui consacrer une pièce dans l'appartement où ils habitaient, qu'elle est venue vivre au cap d’Agde, à quelques mètres de la plage.
Première nuit, première sortie de Josyane qui en femme libre ramène un homme qui la fait jouir au point de m’empêcher de dormir.
En me levant, elle m’apprend que Claude son amant d’un soir est déjà reparti prendre un avion pour retrouver sa femme à Paris !
C’est une caractéristique de Josyane, elle se fiche des convenances pourvu que son amant soit sexuellement à la hauteur.
À entendre ces "ouiiis" de plaisir, il l’a été.
Pour moi, la vie et le sexe entrent dans des créneaux plus normaux.
J’évite de toucher aux hommes mariés.
Bien sûr, j’ai sucé Georges dans son camion, ce fut bon et rapide.
Mais les principes, quelques fois, il faut savoir les dépasser pour vivre des moments d’exception pour nos vieux jours où nos corps nous réduirons à devenir plus sobre.
Je connais bien le problème, Pierre mon copain et amant à 70 ans, les pannes sont assez fréquentes.
J’ai du mal à me libérer dès mon arrivée à cause de nombreux préjugés venus de ma jeunesse comme un excès de pudeur.
Mais je suis curieuse de découvrir les mœurs de mon amie qui vit nue chez elle.
Chez elle, mais aussi sur la plage où nous nous rendons pour bronzer pendant ces jours de très beau temps, en ce mois de février.
Le dérèglement climatique se fait de plus en plus ressentir partout sur notre territoire.
On se croirait dans le Sahara, moins vingt la nuit, plus vingt le jour.
Ce jour ici, j’ignore combien mais assez pour prendre un magnifique coup de soleil sur mes fesses qui comme ses fesses à elle, sont maintenant libres de toute entrave.
La plage où je viens de m’allonger sur ma serviette est naturiste.
Bien sûr j’aurais dû m’en douter connaissant mon amie et la ville où elle réside.
Le cap d’Agde est réputé pour ça.
Libertinage et nudité sont les deux mamelles de ce coin de France.
Libertinage et nudité sont les deux principes de Josyane allant même jusqu’à des plaisirs lesbiens où elle souhaiterait m’entraîner.
Je résiste sentant au fond de moi que je suis profondément hétéro.
Suite à mon propre divorce c’est Pierre mon ami qui a mes faveurs alors que comme je viens de le dire, il a 70 ans et qu’avec l’âge son corps lui fait défaut de temps en temps.
Est-ce pour cela et pour pouvoir profiter de moments comme celui dans le camion, et si j’avais été plus intelligente avec Joël, que nous avons toujours gardé nos propres logements nous retrouvant principalement les week-ends ?
Joël, le simple fait de sa pensée fait de moi une cochonne, je sens que je mouille.
Contrairement à Josyane, sur l’autoroute à Montélimar, je suis sûre que ce jeune homme qui a semblé s’intéresser à ma personne lorsque j’ai changé de vêtements ayant trop chaud dans ceux mis le matin, aurait trouvé le moyen de s’isoler même pour un court instant et s’envoyer en l’air.
Comme une conne, le temps de conduite de Gaston m’a semblé plus important et je l’ai rejoint pour qu’il soit à l’heure avec son chargement pour l’embarquement.
Son téléphone, au temps des portables que tout un chacun, surtout les jeunes possèdent, j’ai même oublié de les échanger.
Alors là sur cette serviette sur cette plage, la tête dans mes bras repliés quand j’entends une voix d’homme parler à Josyane mon sang se glace malgré la chaleur.
Je lève la tête, elle est à quelques centimètres de mes yeux et mesure au bas mot 25 centimètres au repos.
C'est la verge d’un garçon qui, étant dans le soleil, m’est à ce moment inconnu.
Il bouge et là je reconnais Joël, mon fantasme de l’autoroute.
- Mais on se connaît, l’autoroute, les vêtements, le café, la terrasse.
- Et ta 4L qui passe non loin de moi me laissant pleine de regret.
- Vous pouvez m’expliquer, je suis larguée, Anne tu connais Joël notre jeune ami !
- Nous nous sommes rencontrés sur une aire d’autoroute à Montélimar, tu m’as dit que tu allais à Avignon, j’ignorais que ta destination finale c’était le cap.
Cette conversation est énorme pour moi étant assise mes jambes entre mes bras, me repliant comme un œuf, toujours cette pudeur qui me coince.
Et dire que je viens de fantasmer sur lui.
La verge de celui que je regrettais d’avoir quitté sans espoir de lendemain est là à portée de ma main.
De main, est-ce le lieu, il est surtout à portée de ma bouche.
À mon âge, est-ce sa longueur, c’est moi qui suis intimidée et qui rougit.
- Anne tu es toute rouge.
- C’est le soleil Josyane.
- On vous voit ce soir pour la réouverture.
- Es-tu de service ?
- Mes vacances finies, je suis redescendu pour une nouvelle année, je vous placerai dans mon secteur de service.
- C’est vrai que tu es un garçon du Nord.
Es-tu partante Anne ?
Tu verras la cuisine de son restaurant est parfaite et le cadre est magnifique.
- 22 heures comme d’habitude, je vous attends.
J’ai l’impression qu’elle fait un clin d’œil à Joël et qu’il comprend ce qu’elle veut lui dire, mais pourquoi se méfier de ses amis.
Il est 18 heures quand nous levons le camp.
Je pourrais remettre le peu d’affaires que j’avais en arrivant, mais comme nous voulons faire une promenade le long de la plage les pieds dans l’eau sans pour autant nous baigner alors je reste nue.
Il est vrai que la nudité que je craignais s’apprivoise au fil du temps.
Tout le long de cette promenade, allongés près de l’eau, des corps dans toutes les positions se sont présentés à nous.
Au début, comme certains vieux libidineux, je les regardais, je comparais mes seins avec ceux des femmes que je croisais.
Souvent à mon avantage même avec la différence d’âge.
J’en étais même arrivée à leur donner des noms.
« Poires, oreilles de cocker, petit mais gentil avec de grosses fraises, pommes bien sûr, plutôt pamplemousse genre les miens. »
Les bites aussi, mais là, je m’arrêtais vite car toutes finissaient par faire 25 centimètres comme celle de Joël que je vais retrouver ce soir mais hélas recouverte d’un pantalon.
Nous remontons la plage vers la rue de l’immeuble de Josyane, j’ai bien dit cinquante mètres, mais cinquante mètres de pur délice, je finis par être fière de notre nudité.
C’est dans l’ascenseur qu’une question me vient.
- Dis-moi, dans quel genre de restaurant Joël travaille-t-il ?
- Surprise, si je te le disais, ça gâcherait le plaisir.
- Tu m’intrigues, j’ai vu que vous vous faisiez un clin d’œil.
- Tu as mal vu, certainement un grain de sable avec le vent.
J’aurais pu lui faire remarquer qu’en plus du soleil, la mer était d’huile, pas la moindre brise sur l’eau, mais j’aime les surprises et comme en prime c’est Joël qui va nous servir, je suis aux anges.
- Et dis-moi, 22 heures pour un restaurant, c’est tard.
- Sur la côte on est à l’heure espagnole pour les repas.
Nous irons prendre l’apéro à deux pas vers 20 heures, ça nous fera patienter.
À l’heure dite, je suis pomponnée comme elle.
Nous avons partagé la salle de bains, la nudité m’est devenue familière.
C’est Josyane qui va dans le placard où j’ai sorti mes affaires de ma valise, mais elle amène sa touche personnelle.
Nous étions ensemble quand elle a préparé les siennes, porte jarretelle mais sans culotte, vais-je réussir à sortir la chatte à l’air sous l’une des minis que j’ai apportée ?
Nous sommes de taille identique, elle me passe des bas noirs résilles avec là aussi un porte-jarretelle de même couleur.
Si à Besançon, je sortais sans culotte qu’en penserait Pierre, sera-t-il vieux jeux et me prendra-t-il pour une salope ?
Comme deux sœurs, nous prenons le chemin d’un bar à vins que connaît mon amie.
- Josyane, tu nous manquais que deviens-tu ?
Tu nous as amené une amie, elle est nouvelle ici.
D’où es-tu ?
Sympa ses copains, ils me tutoient directement, je fais la connaissance de Nicolas, petit et un peu rondouillard.
Carl avec son amie Sylviane, lui très grand le crâne rasé, elle comme lui, la quarantaine avec des seins plus développés que les miens.
Comme nous elle est en mini ce qui lui va bien, surtout qu’elle a un chemisier blanc qui fait apparaître ses aréoles brunes.
Il y a aussi trois autres garçons, Christophe, Luc et Adrien.
Trois garçons bien mis de leur personne avec qui j’aurais plaisir à batifoler.
Je deviens aussi folle que mon amie, Joël nous m’attend.
- Vous tombez bien mes amies, Nicolas veut nous emmener chez lui, seule avec cinq mecs, je commençais à prendre peur.
- Tu sais te défendre Sylviane, hélas nous sommes simplement venus prendre un verre avant d’aller manger au « Copacabana ».
- Tu as eu des places, ça fait huit jours pour leur réouverture que c’est blindé, même en février et même des habitués, on s’est fait jeter.
- Carl, toi qui dis tout connaître du cap, il suffit d’avoir les bons amis.
- Bien les garçons, j’espérais du renfort avec Josyane et Anne, partons chez Nicolas, la petite Sylviane va assurer.
- Vous savez, mon amie Anne est encore là demain, venez à la maison, nous lui offrirons une dernière soirée.
- Si vous allez au « Copacabana », dieu sait à quelle heure vous allez rentrer, il va vous falloir récupérer, je m’occupe de la bouffe et des boissons, nous apporterons tout.
Il lève sa coupe de champagne, dans le temps où nous sommes avec eux, j’en ai bu trois.
- Bonne soirée les filles.
C’est en prononçant ces mots que je remarque Nicolas faire un clin d’œil à Josyane qui lui rend.
Pas de sable, pas de vent dans ce bar, dans quel piège Josyane m’embarque-t-elle ?...
Merci Anne pour ton travail
Gaston, chauffeur de ma société de transports, en route vers la Grèce pour faire une livraison de vin de ma région de Bourgogne Franche-Comté, m’a conduit jusqu’à Avignon.
C’est à la sortie de l’autoroute que Josyane, mon amie, m’a récupérée pour me conduire chez elle au cap d’Agde où elle habite.
C’est à la suite de son divorce avec Serge, que tous appelaient Johnny étant fan de l’idole au point de lui consacrer une pièce dans l'appartement où ils habitaient, qu'elle est venue vivre au cap d’Agde, à quelques mètres de la plage.
Première nuit, première sortie de Josyane qui en femme libre ramène un homme qui la fait jouir au point de m’empêcher de dormir.
En me levant, elle m’apprend que Claude son amant d’un soir est déjà reparti prendre un avion pour retrouver sa femme à Paris !
C’est une caractéristique de Josyane, elle se fiche des convenances pourvu que son amant soit sexuellement à la hauteur.
À entendre ces "ouiiis" de plaisir, il l’a été.
Pour moi, la vie et le sexe entrent dans des créneaux plus normaux.
J’évite de toucher aux hommes mariés.
Bien sûr, j’ai sucé Georges dans son camion, ce fut bon et rapide.
Mais les principes, quelques fois, il faut savoir les dépasser pour vivre des moments d’exception pour nos vieux jours où nos corps nous réduirons à devenir plus sobre.
Je connais bien le problème, Pierre mon copain et amant à 70 ans, les pannes sont assez fréquentes.
J’ai du mal à me libérer dès mon arrivée à cause de nombreux préjugés venus de ma jeunesse comme un excès de pudeur.
Mais je suis curieuse de découvrir les mœurs de mon amie qui vit nue chez elle.
Chez elle, mais aussi sur la plage où nous nous rendons pour bronzer pendant ces jours de très beau temps, en ce mois de février.
Le dérèglement climatique se fait de plus en plus ressentir partout sur notre territoire.
On se croirait dans le Sahara, moins vingt la nuit, plus vingt le jour.
Ce jour ici, j’ignore combien mais assez pour prendre un magnifique coup de soleil sur mes fesses qui comme ses fesses à elle, sont maintenant libres de toute entrave.
La plage où je viens de m’allonger sur ma serviette est naturiste.
Bien sûr j’aurais dû m’en douter connaissant mon amie et la ville où elle réside.
Le cap d’Agde est réputé pour ça.
Libertinage et nudité sont les deux mamelles de ce coin de France.
Libertinage et nudité sont les deux principes de Josyane allant même jusqu’à des plaisirs lesbiens où elle souhaiterait m’entraîner.
Je résiste sentant au fond de moi que je suis profondément hétéro.
Suite à mon propre divorce c’est Pierre mon ami qui a mes faveurs alors que comme je viens de le dire, il a 70 ans et qu’avec l’âge son corps lui fait défaut de temps en temps.
Est-ce pour cela et pour pouvoir profiter de moments comme celui dans le camion, et si j’avais été plus intelligente avec Joël, que nous avons toujours gardé nos propres logements nous retrouvant principalement les week-ends ?
Joël, le simple fait de sa pensée fait de moi une cochonne, je sens que je mouille.
Contrairement à Josyane, sur l’autoroute à Montélimar, je suis sûre que ce jeune homme qui a semblé s’intéresser à ma personne lorsque j’ai changé de vêtements ayant trop chaud dans ceux mis le matin, aurait trouvé le moyen de s’isoler même pour un court instant et s’envoyer en l’air.
Comme une conne, le temps de conduite de Gaston m’a semblé plus important et je l’ai rejoint pour qu’il soit à l’heure avec son chargement pour l’embarquement.
Son téléphone, au temps des portables que tout un chacun, surtout les jeunes possèdent, j’ai même oublié de les échanger.
Alors là sur cette serviette sur cette plage, la tête dans mes bras repliés quand j’entends une voix d’homme parler à Josyane mon sang se glace malgré la chaleur.
Je lève la tête, elle est à quelques centimètres de mes yeux et mesure au bas mot 25 centimètres au repos.
C'est la verge d’un garçon qui, étant dans le soleil, m’est à ce moment inconnu.
Il bouge et là je reconnais Joël, mon fantasme de l’autoroute.
- Mais on se connaît, l’autoroute, les vêtements, le café, la terrasse.
- Et ta 4L qui passe non loin de moi me laissant pleine de regret.
- Vous pouvez m’expliquer, je suis larguée, Anne tu connais Joël notre jeune ami !
- Nous nous sommes rencontrés sur une aire d’autoroute à Montélimar, tu m’as dit que tu allais à Avignon, j’ignorais que ta destination finale c’était le cap.
Cette conversation est énorme pour moi étant assise mes jambes entre mes bras, me repliant comme un œuf, toujours cette pudeur qui me coince.
Et dire que je viens de fantasmer sur lui.
La verge de celui que je regrettais d’avoir quitté sans espoir de lendemain est là à portée de ma main.
De main, est-ce le lieu, il est surtout à portée de ma bouche.
À mon âge, est-ce sa longueur, c’est moi qui suis intimidée et qui rougit.
- Anne tu es toute rouge.
- C’est le soleil Josyane.
- On vous voit ce soir pour la réouverture.
- Es-tu de service ?
- Mes vacances finies, je suis redescendu pour une nouvelle année, je vous placerai dans mon secteur de service.
- C’est vrai que tu es un garçon du Nord.
Es-tu partante Anne ?
Tu verras la cuisine de son restaurant est parfaite et le cadre est magnifique.
- 22 heures comme d’habitude, je vous attends.
J’ai l’impression qu’elle fait un clin d’œil à Joël et qu’il comprend ce qu’elle veut lui dire, mais pourquoi se méfier de ses amis.
Il est 18 heures quand nous levons le camp.
Je pourrais remettre le peu d’affaires que j’avais en arrivant, mais comme nous voulons faire une promenade le long de la plage les pieds dans l’eau sans pour autant nous baigner alors je reste nue.
Il est vrai que la nudité que je craignais s’apprivoise au fil du temps.
Tout le long de cette promenade, allongés près de l’eau, des corps dans toutes les positions se sont présentés à nous.
Au début, comme certains vieux libidineux, je les regardais, je comparais mes seins avec ceux des femmes que je croisais.
Souvent à mon avantage même avec la différence d’âge.
J’en étais même arrivée à leur donner des noms.
« Poires, oreilles de cocker, petit mais gentil avec de grosses fraises, pommes bien sûr, plutôt pamplemousse genre les miens. »
Les bites aussi, mais là, je m’arrêtais vite car toutes finissaient par faire 25 centimètres comme celle de Joël que je vais retrouver ce soir mais hélas recouverte d’un pantalon.
Nous remontons la plage vers la rue de l’immeuble de Josyane, j’ai bien dit cinquante mètres, mais cinquante mètres de pur délice, je finis par être fière de notre nudité.
C’est dans l’ascenseur qu’une question me vient.
- Dis-moi, dans quel genre de restaurant Joël travaille-t-il ?
- Surprise, si je te le disais, ça gâcherait le plaisir.
- Tu m’intrigues, j’ai vu que vous vous faisiez un clin d’œil.
- Tu as mal vu, certainement un grain de sable avec le vent.
J’aurais pu lui faire remarquer qu’en plus du soleil, la mer était d’huile, pas la moindre brise sur l’eau, mais j’aime les surprises et comme en prime c’est Joël qui va nous servir, je suis aux anges.
- Et dis-moi, 22 heures pour un restaurant, c’est tard.
- Sur la côte on est à l’heure espagnole pour les repas.
Nous irons prendre l’apéro à deux pas vers 20 heures, ça nous fera patienter.
À l’heure dite, je suis pomponnée comme elle.
Nous avons partagé la salle de bains, la nudité m’est devenue familière.
C’est Josyane qui va dans le placard où j’ai sorti mes affaires de ma valise, mais elle amène sa touche personnelle.
Nous étions ensemble quand elle a préparé les siennes, porte jarretelle mais sans culotte, vais-je réussir à sortir la chatte à l’air sous l’une des minis que j’ai apportée ?
Nous sommes de taille identique, elle me passe des bas noirs résilles avec là aussi un porte-jarretelle de même couleur.
Si à Besançon, je sortais sans culotte qu’en penserait Pierre, sera-t-il vieux jeux et me prendra-t-il pour une salope ?
Comme deux sœurs, nous prenons le chemin d’un bar à vins que connaît mon amie.
- Josyane, tu nous manquais que deviens-tu ?
Tu nous as amené une amie, elle est nouvelle ici.
D’où es-tu ?
Sympa ses copains, ils me tutoient directement, je fais la connaissance de Nicolas, petit et un peu rondouillard.
Carl avec son amie Sylviane, lui très grand le crâne rasé, elle comme lui, la quarantaine avec des seins plus développés que les miens.
Comme nous elle est en mini ce qui lui va bien, surtout qu’elle a un chemisier blanc qui fait apparaître ses aréoles brunes.
Il y a aussi trois autres garçons, Christophe, Luc et Adrien.
Trois garçons bien mis de leur personne avec qui j’aurais plaisir à batifoler.
Je deviens aussi folle que mon amie, Joël nous m’attend.
- Vous tombez bien mes amies, Nicolas veut nous emmener chez lui, seule avec cinq mecs, je commençais à prendre peur.
- Tu sais te défendre Sylviane, hélas nous sommes simplement venus prendre un verre avant d’aller manger au « Copacabana ».
- Tu as eu des places, ça fait huit jours pour leur réouverture que c’est blindé, même en février et même des habitués, on s’est fait jeter.
- Carl, toi qui dis tout connaître du cap, il suffit d’avoir les bons amis.
- Bien les garçons, j’espérais du renfort avec Josyane et Anne, partons chez Nicolas, la petite Sylviane va assurer.
- Vous savez, mon amie Anne est encore là demain, venez à la maison, nous lui offrirons une dernière soirée.
- Si vous allez au « Copacabana », dieu sait à quelle heure vous allez rentrer, il va vous falloir récupérer, je m’occupe de la bouffe et des boissons, nous apporterons tout.
Il lève sa coupe de champagne, dans le temps où nous sommes avec eux, j’en ai bu trois.
- Bonne soirée les filles.
C’est en prononçant ces mots que je remarque Nicolas faire un clin d’œil à Josyane qui lui rend.
Pas de sable, pas de vent dans ce bar, dans quel piège Josyane m’embarque-t-elle ?...
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