COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (1/2)
Bonjour, nous nous sommes retrouvés avec Christ.
D'un commun accord nous décidons de reprendre mes aventures.
La différence entre nos premiers récits et aujourd’hui c’est que je suis une jeune retraitée de 65 ans.
Avec Pierre, mon ami et amant lui dix ans de plus que moi, nous avons décidé d’acquérir un chalet un peu rustique près du mont de la Neige dans le Jura au-dessus de Thoiry où se trouve un centre commercial.
Ce centre Pierre ou moi nous nous y rendons rarement, car nous nous contentons du minimum pour vivre.
Pour les courses, la ferme des Dubois père et fils et la boulangerie de Madeleine un peu plus bas dans le village nous approvisionnant largement.
Tient, c’est drôle en dictant ces lignes à Chris, je me rends compte que la boulangère, pipelette du village, porte le nom des petits gâteaux que son mari fabrique et qu’elle vend.
Cette ferme où nous laissons nos voitures pour monter jusqu’à notre chalet à un peu plus d’un kilomètre.
C’est ce qui a causé ma perte l’autre jour quand un orage ayant éclaté alors que je revenais d’une balade avec Jeanne, le poney offert à Jules par sa mère prénommée Jeanne elle aussi.
C’est lucien qui a donné ce nom à ce poney lorsqu’elle a levé le camp avec un bel italien conduisant une voiture de sport rouge au dire de Madeleine.
Elle a vu lorsqu’ils ont filé, en préparant sa vitrine.
Bref, je me suis fait tremper et pour éviter la mort le père Julien m’a proposé de faire sécher mes vêtements trempés devant la cheminée allumée.
Ce fut ma perte pour mon plus grand plaisir, le père Julien m’a fait l’amour devant cette cheminée.
Les paysans possèdent un Comtois et un poney, tous les deux de beaux étalons.
Julien est très bien aussi sa queue étant épaisse et noueuse.
Merci à cet orage, bien que je doive éviter de trop en profiter.
Pierre est loin d’être d’un tempérament jaloux, mais ses insuffisances liées à l’âge et à quelques petits ennuis de diabète et cholestérol.
C’est un des buts de ces sorties comme aujourd’hui, le renouvellement de ses médicaments tous les mois.
Tout ceci pourrait s’arranger si Pierre réduisait le beurre et la crème que j’achète chez les Dubois, mais même dans les haricots verts, il veut que j’en mette.

Pierre, je l’ai accompagné jusqu’à la ferme ce matin pour qu’il reprenne sa voiture, de mon côté j’ai profité de sa présence pour seller Jeanne et partir me promener montant vers la forêt.
Julien, m’a regardé son éternel mégot au coin de ses lèvres me faisant un peu la gueule pensant certainement me baiser dans la paille près des chevaux dans l’écurie.
Nous verrons cela au retour, Pierre m’ayant de nouveau négligé depuis l’orage.

Je monte Jeanne et je prends un chemin me menant près de la forêt.
Sans en faire le tour, je la longe avant plus d’une heure plus tard je me retrouve à la source au-dessus de notre chalet.
Cette source, c’est elle qui a été captée un peu plus bas et qui alimente la citerne en eau de notre chalet ainsi qu’un chauffe-eau nous donnant de l’eau chaude.
Quand je dis que nous vivons près de la nature, nos douches fluctuent au rythme des saisons et des perturbations climatiques.
L’hiver, ça va, l’été il arrive que le débit diminue et il faut faire attention au niveau de la cuve.
En ce moment, depuis l’orage, tout va bien, ça se voit à l’eau claire qui coule entre les pierres et les herbes folles.
Je m’y arrête comme chaque fois que je passe dans le coin.
Jeanne aime boire cette eau fraîche après la chevauchée que nous venons de faire.
J’aime m’allonger sur l’herbe fraîche et d’enlever basket et fuseau.
J’ouvre ma chemise, le soleil leur fait du bien.
Depuis combien de temps suis-je endormie, impossible de le dire, mes seins me brûlent, j’ai dû prendre un joli coup de soleil quand je me réveille en sursaut.
Un loup blanc est au-dessus de moi et me regarde.

● Rust au pied, c’est vous Anne, j’ai vu Jeanne de là haut, je savais que c’était vous.
Mon père fait celui qui déteste Jeanne à cause de ma mère, mais il l’aime bien même si de sa vie, les chevaux ils les regardent.
Dans sa jeunesse, son père a voulu le ramener du champ sur un grand-père de notre Comtois, il est tombé et ça en a été fini de monter sur le dos des chevaux.

Je referme ma chemise précipitamment, par chance après m’être lavée dans la source, principalement ma chatte un peu irritée par le frottement de la selle, j’ai remis ma petite culotte rose.
Rust est avec Jules qui arrive de la forêt avec un gros panier de champignons.

● Anne, vous pouvez rester comme vous êtes, des femmes j’en ai déjà vu !
● Je m’en doute, quel âge avez-vous ?

Rust sur l’injonction de son maître s’est couché près de nous.
Jules pose son panier et s’assoit près de moi.

● J’ai 31 ans.

Je fais un rapide calcul, au sein de mon entreprise de transports à Besançon calculer de tête était la base de mon métier.
70 le père, 31 le fils, presque 40 ans les séparent, quel âge avait la mère, je l’ignore, était-elle très jeune, je l’ignore !
J’ai envie de lui poser la question, mais j’ai de la retenue.

● Et Jeanne, elle a quel âge ?
Pardon, il a quel âge ?
● Le poney, mon âge, maman avait 22 ans quand elle me l’a acheté.

J’ai ma réponse, un déjà vieux avec une jeunette, un bel Italien certainement en Ferrari et comme Perrette adieu vos vaches, cochons et couvées et la voiture l’emporte.

Je me rends compte par la chaleur de nouveau sur mes seins que ma chemise s’est de nouveau ouvert.
Je vais pour la refermer.

● Non laissés, ils sont très beaux, je suis sûr que si tu te redresses un peu, ils seront comme ceux des femmes plus jeunes que je rencontre.

En prononçant ces mots, Jules avance sa main et me palpe sans vergogne.
Le soleil me chauffait, maintenant cette main, c’est elle qui me chauffe, même ma chatte qui mouille à en crier d’envie.
Je le vois se redresser et venir se placer dans ma fourche.
Je dois lui crier stop.
Son père a été en moi il y a peu, je serais une salope si je me laissais faire.
On a des convictions, mais elles sont vite balayées lorsqu’il se penche et se met à me lécher dessus ma petite culotte.
Un « non » veut sortir de ma bouche.

● Oui, continu, j’adore.
Attends, enlève-moi ma culotte.

Voilà comment nous les faibles femmes nous devenons des salopes à l’appel de notre sexe.
Je me soulève, il tire, elle s’envole et elle atterrit sur la tête de Rust qui avec ses dents commence à jouer.
Je devrais me demander comme je vais faire pour redescendre, ma chatte seulement protégée par mon fuseau.
On est loin d’être en situation, car sa langue s’attaque à mon clitoris.
S’attaque, c’est un grand mot, c’est moi qui tends mes reins pour qu’il sorte un peu plus de sa cachette et qu’il m’apporte des ondes de plaisirs.
Je me pame de plaisir rapidement, car si c’est un paysan, comme il me l’a dit, il a déjà eu des femmes.
Je sens qu’il s’occupe de la ceinture de son jean délavé ayant des ouvertures plus dues à l’usure du temps qu’à la mode des jeunes actuelles.
Ma main part à l’aventure et j’arrive à sortir ce pieu presque exacte réplique de celui qui m’a fait jouir devant la cheminée l’autre jour pendant l’orage.
Une légère différence pourtant noueuse certes, mais plus longue.
Le mal est fait, quand il se redresse et que je la vois, terminé les tergiversations père ou fils, il me la faut en moi.

● Comment, dit-on en milieux parisiens, peux-tu me faire une fellation !
● Pourquoi, chez vous comment, dit-on ?
D’ailleurs, je suis de Besançon pas des milieux parisiens.
● Chez nous, on demande que vous nous suciez le poireau !

Pourquoi attendre plus longtemps pour lui sucer le poireau comme il dit et quel poireau ?...

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