COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien (2/2)
Anne, ma muse, m’avait quitté il y a quelques mois certainement pour vivre des moments intenses loin de moi.
Même les meilleurs couples font des breaks.
Nous avons renoué dans un plaisir commun.
Anne travaillait pour une entreprise de transports dans le Doubs plus précisément à Besançon où elle habite.
Comme chacun de nous, le moment du repos après une vie de labeur a été le bienvenu pour mon amie.
Repos au grand air bien qu’à Besançon son petit pavillon est bien agréable, mais l’air pur des hauteurs du mont Jura est encore plus vivifiant.
Chalet qu’elle partage avec Pierre son ami, amant, presque mari, mais sans avoir franchi le pas pour cause des enfants de précédentes unions.
Anne tient aussi à garder une certaine indépendance un peu échaudé par son mariage et sa séparation.
Le chalet, ravitaillé par les corbeaux bien que le fils et le père Dubois à quelques encablures arrivent à pourvoir à la plupart de leurs besoins.
Hier nous avions quitté Anne alors qu’elle était venue faire du poney retrouvant les plaisirs de sa jeunesse à galoper ces années-là dans un manège.
Ici, c’est dans la nature qu’elle se fait plaisir dans les étendues sauvages immenses autour de la ferme.
Aujourd’hui, la montée d’un orage et le début de trombe d’eau ont gâché son plaisir.
Trempée jusqu’aux os, après avoir bouchonné sa monture, le bien-être du cheval passant avant celle de sa cavalière, le père Lucien lui propose de venir se sécher et se réchauffer devant une belle flambée.
Nous retrouvons Anne qui vient de finir de donner du plaisir à Jeanne le poney, nous savons pourquoi un nom de femme pour un animal mâle.
Inutile de retourner le couteau dans la plaie.
L’orage persistant étant dans l’impossibilité de remonter me changer, avec le risque de se faire foudroyer le long du chemin, le père Julien m’invite à me sécher devant le feu qui brûle dans la vieille cheminée de pierre.
Comment fait-il pour m’embobiner avec mon expérience de la vie, mais je suis nue comme au premier jour de ma vie sauf ma petite culotte qui reste ma seule protection?
Sans le moindre sans gêne, il me parle le sein comme s’il palpait le cul d’une de ses vaches dont j’entends les cloches tinter non loin de la maison.
Ce qu’il y a de bien avec les vaches, c’est qu’elles ont une précision de montres suisses fabriquées au-delà des monts du Jura.
À l’heure de la traite, derrière leur chef, elles se présentent devant la barrière ou on doit les traire sans que quiconque de Lucien ou de Jules soit obligé de courir derrière elles.
Mes seins et sa main qui me brûle la chatte autant que les flammes crépitant devant nous.
• Dis-moi, t’as des cuisses bien fermes, certainement ta pratique de la marche tous les jours.
Je te vois partir pour de longues promenades, chaque matin.
T’as raison, il faut rester jeune.
Sans en avoir l’air, sa main de mon sein a rejoint ma cuisse, il la caresse le regard porté vers le feu, ça m’existe au plus au point.
Prenant son mégot toujours fiché au coin de ces lèvres de sa main libre, il le balance dans le feu.
Je le regarde, c’est la première fois que je le vois sans qu’il soit avec depuis que je le connais.
C’est à ce moment que je vois son pantalon de point d’âge tendu à la hauteur de sa braguette.
Sa main sur ma cuisse, les flammes qui me chauffent à la limite de me bruler, le père Julien bandant, le manque de sexe à cause de l’âge de Pierre, c’est moi qui prends l’initiative.
Lorsque j’évoque l’âge de Pierre, je suis gonflée, deux ans les séparent.
Il est vrai qu’en deux ans, tout le monde a beau dire, qu’à cet âge, c’est jeune !
Je peux comparer deux ans à un tremblement de terre sur l’échelle de Richter.
De 6 à 7, ça double la puissance et ça double les effets à la surface.
70 à 71, ça divise par deux les bras tendus de mon amant.
70 nous baisions comme des lapins, 71, à la limite de morne plaine.
Alors que dire de 72, le début du massacre.
C’est moi qui porte ma main vers cette bosse prometteuse.
C’est bien un sexe qui bande sous ma caresse.
• Vous êtes toutes identiques, veux-tu la voir ?
Sans attendre ma réponse, sa main me quitte et il déboutonne son pantalon.
Il essaye de la sortir, mon dieu quel morceau.
Il est obligé d’ouvrir sa ceinture pour que je l’admire dans toute sa splendeur.
J’en ai vu des verges depuis la première qui m’est apparue dans mon adolescence.
Même celle de mon filleul devenu notre amant à Pierre ou à moi.
Mais là encore, il suffit de retourner lire ces épisodes de la salope que j’étais dans la collection Anne ma muse, pour se rappeler que ce que je dis est l’exacte vérité.
Comment dire ce qui me saute aux yeux, certes, une verge, mais longue grosse et noueuse comme l’est mon bâton de marche trouvé au mont Blanc ?
Le mont Blanc lors de mes vacances, c’est à son pied que je l’ai ramassé et ramené chez moi, bien loin du sommet.
C’est Pierre qui l’a façonné, jusqu’au vernis qu’il a appliqué.
Dès l’acquisition du chalet, il s’est retrouvé dans le porte-parapluie à l’entrée.
Est-ce le feu, mon esprit s’égare, mais la verge est bien là, alors peut-on me dire pourquoi je resterais inactive.
Je me laisse glisser, le père Julien écartant ses cuisses pour que je puisse venir m’agenouiller et l’admirer de plus prêt.
Après le devant de mon corps et ma chatte, c’est mon dos qui ressent l’effet des flammes.
Me suis-je posé la question dans les jours précédents s’il me serait possible encore d’admirer un beau morceau de chair comme celui qui est déployé devant mes yeux.
• Arrête de la regarder, j’espère que tu sais comment qu’on s’en sert.
Et comment que je sais, dans ma bouche et dans ma chatte, je la veux ?
Ma main pour commencer.
Je la branle retardant le moment que ma bouche s’en empare.
Ai-je plus grands yeux que grande bouche, une telle verge aura du mal à entrer là ou je veux la faire entrer ?
Mais voulant croire que je peux y arriver, j’écarte mes lèvres au maximum, hélas, le gland est si gros, que je dois renoncer.
Qu’importe j’ai une langue très agile et qui sait monter et descendre tout au long.
Mes mains libres, je me sers de l’une d’elles pour masturber le père Lucien pendant que l’autre vient écarter ma culotte pour caresser mon clito.
Dans la situation où je suis, c’est impossible, mais mes doigts sont si mouillés que je dois couler jusqu’à créer une mare sous nous.
Mare, j’exagère certainement un peu, mais au moins une tache de cyprine pour mon plus grand plaisir.arrêter, je récupère ma main.
Ouahou, ces burnes sont de taille disproportionnée comparée à celle de Pierre.
Sans être une petite bite, les couilles que je palpe dépassent l’entendement.
Pire que des balles de tennis alors que Pierre s’apparente à du golf.
Inutile d’essayer de les mettre dans ma bouche ce que je fais allègrement avec mon amant.
• Met toi, à quatre pattes sur le banc que je te fourre à fond.
J’adore son langage châtié, je libère sa verge, maman m’a dit, il y a bien des années que parler la bouche pleine, c’était incorrect.
• Tu veux me prendre en levrette !
• Vos mots savants pour vous faire baiser m’emmerdent, mets-toi comme mes vaches, leur pis pendant.
L’image est belle, bien que très réaliste.
Je m’exécute pensant qu’il va traire mes seins sans grand succès depuis bien longtemps s’il y cherche du lait.
• Père Lucien attendez, on va se casser la figure, le carrelage est chaud grâce au feu dans la cheminée, j’ai passé l’âge des châteaux branlants.
Je me glisse sur le carrelage, mes pieds dénudés avaient senti la chaleur et je suis à mon aise pour recevoir cette verge qu’un instant j’ai aperçue.
Là s’il veut me traire, je suis à lui, mais c’est sa langue se partage en mon clito et mon anus de longues minutes.
Et un moment je tourne la tête, il vient de faire descendre ses bretelles et enlever sa chemise.
L’homme des bois se transforme en loup garous, lorsque je vois les poils sur son corps.
Je m’attends à l’attaque, mais cela dépasse mon attente.
Le père Lucien cherche son chemin qu’il trouve facilement, à mon âge ma chatte est largement plus large que la fois où je me suis fait dépuceler.
Il y a si longtemps !
Une vraie bête, mais une bête que je métrise, les hommes croient toujours qu’ils nous dominent, mais c’est nous qui avons le pouvoir de dire non.
Bien sûr, en dehors de certains malades prenant nos chattes pour des vides couilles.
Le père Lucien semble un peu bourru au premier abord, mais il paye pour être connu surtout quand-il se sert de sa verge.
Défoncée, je suis défoncée positivement, il me prend, me libère, me fait changer de position pour mieux me reprendre.
À quel moment m’entraine-t-il sur la table m’apportant un nouvel orgasme.
Orgasme un mot que j’ai souvent dit à mes amants le temps de ma splendeur et que je retrouve avec délice.
Je jouis à m’en faire péter mon utérus jusqu’à l’explosion finale, des jets de spermes incessants m’inondant.
• Tu reviens quand tu voudras, tu es une bonne pouliche, j’aurai toujours plaisir à te monter.
On voit que le père Lucien est un expert pour parler aux femmes, surtout qu’il remonte son pantalon remet sa chemise me cachant la forêt vierge.
Il remet ses bretelles.
C’est à ce moment que je me rends compte qu’il a gardé sa casquette sur sa tête tout au long de notre partie de sexe sauvage.
J’ai encore ma joue et mes seins sur la table, dans notre folie sexuelle, le cendrier puant à mes côtés par chance, je l’avais oublié.
Je vois sa main s’avancer et récupérer un mégot qu’il fiche dans le coin de sa bouche.
Sans aucun égare pour moi, il ouvre une porte et part vers d’autres occupations.
Un dernier geste me montre l’homme qu’il est, d’un mouvement de main, il remonte ses couilles.
Je finis par me rhabiller et c’est bien difficilement que j’arrive au chalet.
Je m’attends à avoir des questions, comment s’était passé et où l’orage.
Pierre est dans son fauteuil lui aussi devant un feu de bois, mais éteint un livre sur son ventre ronflant comme à son habitude.
Il doit rêver son pantalon semble jouer la toile de tente.
J’ai ma dose pour ce soir surtout ma chatte dégoulinante encore du sperme du père Lucien.
Je monte diminuant le plus possible les craquements des marches et j’entre dans la salle de bain, lieu qui m’a fait décider à choisir ce chalet isolé plutôt qu’un autre.
Une baignoire centrale s’y trouve.
Vu sa capacité et son poids, j’aurais pu avoir des doutes de la retrouver à l’étage inférieur, mais c’est là où Pierre a encore une grande utilité.
La baignoire repose sur une poutre maîtresse si imposante que les risques sont inexistants comparés au plaisir que j’ai à me détendre dans ces eaux bien chaudes.
Je vais faire comme Pierre, fermer les yeux et repenser à la verge qui vient de me défoncer.
Suis-je prête à retourner voir père Lucien, autrement que pour son lait crémeux ou ses carottes, radis ou autres salades ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il faut bien manger surtout après des parties de jambes en l’air.
La suite nous le dira.
Même les meilleurs couples font des breaks.
Nous avons renoué dans un plaisir commun.
Anne travaillait pour une entreprise de transports dans le Doubs plus précisément à Besançon où elle habite.
Comme chacun de nous, le moment du repos après une vie de labeur a été le bienvenu pour mon amie.
Repos au grand air bien qu’à Besançon son petit pavillon est bien agréable, mais l’air pur des hauteurs du mont Jura est encore plus vivifiant.
Chalet qu’elle partage avec Pierre son ami, amant, presque mari, mais sans avoir franchi le pas pour cause des enfants de précédentes unions.
Anne tient aussi à garder une certaine indépendance un peu échaudé par son mariage et sa séparation.
Le chalet, ravitaillé par les corbeaux bien que le fils et le père Dubois à quelques encablures arrivent à pourvoir à la plupart de leurs besoins.
Hier nous avions quitté Anne alors qu’elle était venue faire du poney retrouvant les plaisirs de sa jeunesse à galoper ces années-là dans un manège.
Ici, c’est dans la nature qu’elle se fait plaisir dans les étendues sauvages immenses autour de la ferme.
Aujourd’hui, la montée d’un orage et le début de trombe d’eau ont gâché son plaisir.
Trempée jusqu’aux os, après avoir bouchonné sa monture, le bien-être du cheval passant avant celle de sa cavalière, le père Lucien lui propose de venir se sécher et se réchauffer devant une belle flambée.
Nous retrouvons Anne qui vient de finir de donner du plaisir à Jeanne le poney, nous savons pourquoi un nom de femme pour un animal mâle.
Inutile de retourner le couteau dans la plaie.
L’orage persistant étant dans l’impossibilité de remonter me changer, avec le risque de se faire foudroyer le long du chemin, le père Julien m’invite à me sécher devant le feu qui brûle dans la vieille cheminée de pierre.
Comment fait-il pour m’embobiner avec mon expérience de la vie, mais je suis nue comme au premier jour de ma vie sauf ma petite culotte qui reste ma seule protection?
Sans le moindre sans gêne, il me parle le sein comme s’il palpait le cul d’une de ses vaches dont j’entends les cloches tinter non loin de la maison.
Ce qu’il y a de bien avec les vaches, c’est qu’elles ont une précision de montres suisses fabriquées au-delà des monts du Jura.
À l’heure de la traite, derrière leur chef, elles se présentent devant la barrière ou on doit les traire sans que quiconque de Lucien ou de Jules soit obligé de courir derrière elles.
Mes seins et sa main qui me brûle la chatte autant que les flammes crépitant devant nous.
• Dis-moi, t’as des cuisses bien fermes, certainement ta pratique de la marche tous les jours.
Je te vois partir pour de longues promenades, chaque matin.
T’as raison, il faut rester jeune.
Sans en avoir l’air, sa main de mon sein a rejoint ma cuisse, il la caresse le regard porté vers le feu, ça m’existe au plus au point.
Prenant son mégot toujours fiché au coin de ces lèvres de sa main libre, il le balance dans le feu.
Je le regarde, c’est la première fois que je le vois sans qu’il soit avec depuis que je le connais.
C’est à ce moment que je vois son pantalon de point d’âge tendu à la hauteur de sa braguette.
Sa main sur ma cuisse, les flammes qui me chauffent à la limite de me bruler, le père Julien bandant, le manque de sexe à cause de l’âge de Pierre, c’est moi qui prends l’initiative.
Lorsque j’évoque l’âge de Pierre, je suis gonflée, deux ans les séparent.
Il est vrai qu’en deux ans, tout le monde a beau dire, qu’à cet âge, c’est jeune !
Je peux comparer deux ans à un tremblement de terre sur l’échelle de Richter.
De 6 à 7, ça double la puissance et ça double les effets à la surface.
70 à 71, ça divise par deux les bras tendus de mon amant.
70 nous baisions comme des lapins, 71, à la limite de morne plaine.
Alors que dire de 72, le début du massacre.
C’est moi qui porte ma main vers cette bosse prometteuse.
C’est bien un sexe qui bande sous ma caresse.
• Vous êtes toutes identiques, veux-tu la voir ?
Sans attendre ma réponse, sa main me quitte et il déboutonne son pantalon.
Il essaye de la sortir, mon dieu quel morceau.
Il est obligé d’ouvrir sa ceinture pour que je l’admire dans toute sa splendeur.
J’en ai vu des verges depuis la première qui m’est apparue dans mon adolescence.
Même celle de mon filleul devenu notre amant à Pierre ou à moi.
Mais là encore, il suffit de retourner lire ces épisodes de la salope que j’étais dans la collection Anne ma muse, pour se rappeler que ce que je dis est l’exacte vérité.
Comment dire ce qui me saute aux yeux, certes, une verge, mais longue grosse et noueuse comme l’est mon bâton de marche trouvé au mont Blanc ?
Le mont Blanc lors de mes vacances, c’est à son pied que je l’ai ramassé et ramené chez moi, bien loin du sommet.
C’est Pierre qui l’a façonné, jusqu’au vernis qu’il a appliqué.
Dès l’acquisition du chalet, il s’est retrouvé dans le porte-parapluie à l’entrée.
Est-ce le feu, mon esprit s’égare, mais la verge est bien là, alors peut-on me dire pourquoi je resterais inactive.
Je me laisse glisser, le père Julien écartant ses cuisses pour que je puisse venir m’agenouiller et l’admirer de plus prêt.
Après le devant de mon corps et ma chatte, c’est mon dos qui ressent l’effet des flammes.
Me suis-je posé la question dans les jours précédents s’il me serait possible encore d’admirer un beau morceau de chair comme celui qui est déployé devant mes yeux.
• Arrête de la regarder, j’espère que tu sais comment qu’on s’en sert.
Et comment que je sais, dans ma bouche et dans ma chatte, je la veux ?
Ma main pour commencer.
Je la branle retardant le moment que ma bouche s’en empare.
Ai-je plus grands yeux que grande bouche, une telle verge aura du mal à entrer là ou je veux la faire entrer ?
Mais voulant croire que je peux y arriver, j’écarte mes lèvres au maximum, hélas, le gland est si gros, que je dois renoncer.
Qu’importe j’ai une langue très agile et qui sait monter et descendre tout au long.
Mes mains libres, je me sers de l’une d’elles pour masturber le père Lucien pendant que l’autre vient écarter ma culotte pour caresser mon clito.
Dans la situation où je suis, c’est impossible, mais mes doigts sont si mouillés que je dois couler jusqu’à créer une mare sous nous.
Mare, j’exagère certainement un peu, mais au moins une tache de cyprine pour mon plus grand plaisir.arrêter, je récupère ma main.
Ouahou, ces burnes sont de taille disproportionnée comparée à celle de Pierre.
Sans être une petite bite, les couilles que je palpe dépassent l’entendement.
Pire que des balles de tennis alors que Pierre s’apparente à du golf.
Inutile d’essayer de les mettre dans ma bouche ce que je fais allègrement avec mon amant.
• Met toi, à quatre pattes sur le banc que je te fourre à fond.
J’adore son langage châtié, je libère sa verge, maman m’a dit, il y a bien des années que parler la bouche pleine, c’était incorrect.
• Tu veux me prendre en levrette !
• Vos mots savants pour vous faire baiser m’emmerdent, mets-toi comme mes vaches, leur pis pendant.
L’image est belle, bien que très réaliste.
Je m’exécute pensant qu’il va traire mes seins sans grand succès depuis bien longtemps s’il y cherche du lait.
• Père Lucien attendez, on va se casser la figure, le carrelage est chaud grâce au feu dans la cheminée, j’ai passé l’âge des châteaux branlants.
Je me glisse sur le carrelage, mes pieds dénudés avaient senti la chaleur et je suis à mon aise pour recevoir cette verge qu’un instant j’ai aperçue.
Là s’il veut me traire, je suis à lui, mais c’est sa langue se partage en mon clito et mon anus de longues minutes.
Et un moment je tourne la tête, il vient de faire descendre ses bretelles et enlever sa chemise.
L’homme des bois se transforme en loup garous, lorsque je vois les poils sur son corps.
Je m’attends à l’attaque, mais cela dépasse mon attente.
Le père Lucien cherche son chemin qu’il trouve facilement, à mon âge ma chatte est largement plus large que la fois où je me suis fait dépuceler.
Il y a si longtemps !
Une vraie bête, mais une bête que je métrise, les hommes croient toujours qu’ils nous dominent, mais c’est nous qui avons le pouvoir de dire non.
Bien sûr, en dehors de certains malades prenant nos chattes pour des vides couilles.
Le père Lucien semble un peu bourru au premier abord, mais il paye pour être connu surtout quand-il se sert de sa verge.
Défoncée, je suis défoncée positivement, il me prend, me libère, me fait changer de position pour mieux me reprendre.
À quel moment m’entraine-t-il sur la table m’apportant un nouvel orgasme.
Orgasme un mot que j’ai souvent dit à mes amants le temps de ma splendeur et que je retrouve avec délice.
Je jouis à m’en faire péter mon utérus jusqu’à l’explosion finale, des jets de spermes incessants m’inondant.
• Tu reviens quand tu voudras, tu es une bonne pouliche, j’aurai toujours plaisir à te monter.
On voit que le père Lucien est un expert pour parler aux femmes, surtout qu’il remonte son pantalon remet sa chemise me cachant la forêt vierge.
Il remet ses bretelles.
C’est à ce moment que je me rends compte qu’il a gardé sa casquette sur sa tête tout au long de notre partie de sexe sauvage.
J’ai encore ma joue et mes seins sur la table, dans notre folie sexuelle, le cendrier puant à mes côtés par chance, je l’avais oublié.
Je vois sa main s’avancer et récupérer un mégot qu’il fiche dans le coin de sa bouche.
Sans aucun égare pour moi, il ouvre une porte et part vers d’autres occupations.
Un dernier geste me montre l’homme qu’il est, d’un mouvement de main, il remonte ses couilles.
Je finis par me rhabiller et c’est bien difficilement que j’arrive au chalet.
Je m’attends à avoir des questions, comment s’était passé et où l’orage.
Pierre est dans son fauteuil lui aussi devant un feu de bois, mais éteint un livre sur son ventre ronflant comme à son habitude.
Il doit rêver son pantalon semble jouer la toile de tente.
J’ai ma dose pour ce soir surtout ma chatte dégoulinante encore du sperme du père Lucien.
Je monte diminuant le plus possible les craquements des marches et j’entre dans la salle de bain, lieu qui m’a fait décider à choisir ce chalet isolé plutôt qu’un autre.
Une baignoire centrale s’y trouve.
Vu sa capacité et son poids, j’aurais pu avoir des doutes de la retrouver à l’étage inférieur, mais c’est là où Pierre a encore une grande utilité.
La baignoire repose sur une poutre maîtresse si imposante que les risques sont inexistants comparés au plaisir que j’ai à me détendre dans ces eaux bien chaudes.
Je vais faire comme Pierre, fermer les yeux et repenser à la verge qui vient de me défoncer.
Suis-je prête à retourner voir père Lucien, autrement que pour son lait crémeux ou ses carottes, radis ou autres salades ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il faut bien manger surtout après des parties de jambes en l’air.
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