COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (2/2)
La cueillette des haricots, c’est ce que je fais ce matin depuis sept heures.
Une heure de travail et le soleil commence à ce lever sur ce coteau de montagne.
Je crois que je me suis laissé entraîner sur une pente glissante, le père Julien se retrouvant derrière moi, me flattant sur mon cul.
Certes, on baise ensemble, comme je baise aussi avec Jules, son fils, mais de là à lui dire que je me suis fait sodomiser, il y a des moments de ma vie privée que je devrais bien garder pour moi.
Heureusement, la vision que j’avais dans notre salon lorsque Noël me prenait avec Pierre en double pénétration, me vient à l’esprit, mais je freine à temps pour lui cacher la salope que j’ai été dans ces moments-là.
Comprendrait-il que j’ai fait cela avec deux hommes dont Noël mon neveu lors de vacances ou Jacques mon frère nous l’avait envoyé de Guadeloupe ou il réside ?
La première fois où j’ai brisé le tabou, de baiser avec mon neveu, c’était un puceau, sans expérience.
Lorsqu’il s’est installé avec sa petite sur la côte, c’était un amant magnifique devenu, lui aussi sans tabou.
• Viens, laisse tomber, je finirais demain.
Cueillir les haricots sous forte chaleur, c’est mauvais pour les vendre au marché et il a lieu dans deux jours.
Nous quittons le potager pour retrouver la fraîcheur de la maison.
Ces vieilles fermes avec un corps principal en pierre ont des murs si épais que la fraicheur est presque permanente contrairement à notre chalet tout en bois.
• Assieds-toi, je vais tirer de l’eau fraîche.
Il ressort alors qu’il y a de l’eau au robinet, il revient avec un seau qu’il vient de tirer de leur puits.
• Ils nous ont installé ce machin, mais avec mon fiston on préfère l’eau de notre puits.
Ils font passer nos sources par des tuyaux, qui risquent de nous apporter des maladies.
Il prend ma tasse ou j’ai bu mon café ce matin, la trempe dans le seau et après deux ou trois mouvements, il la ressort et la met devant moi.
• Aie.
• Qu’est-ce qui t’arrive, je vois le manque d’expérience et tu as mal à tes épaules, enlève ta chemise, je vais te masser ?
Jules est tombé de notre Comtois à cause de Rust et à la pharmacie Juliette lui a donné une pommade, je vais la chercher.
Il part vers les chambres et revient une boîte à la main.
• Regarde-moi ce con, le tube est neuf.
Je le vois poser son affreux mégot sur le coin de la table.
Ce qu’il y a de bien avec ces paysans, c’est qu’il baise sans trop de fioritures, j’échappe à sa bouche qui doit être nauséabonde.
J’ai enlevé ma chemise, je suis nue, mais j’ai l’habitude de me retrouver dans cette situation, la dernière fois c’était à cause de l’orage.
Il met de la pommade sur sa main les frottes entre elles.
Je sens la callosité de ses mains de travailleur.
J’ai toujours aimé, au gré de mes amants des mains viriles et malgré son allure plutôt chétive, le père Lucien fait partie de ce genre d’hommes.
Rapidement le massage qu’il me fait chauffe mes épaules.
Devant moi, la boîte d’emballage est là, à côté du tube.
Je vois le nom, « Baume Saint-Bernard », date de péremption 2010.
J’ignore si la chaleur que je sens sur mes épaules, est due au baume périmé ou aux mains de mon vieil amant très efficaces.
De mes épaules, il les fait glisser sur mes seins, là encore est-ce la pommade ou la chaleur qu’elles dégagent qui embrase mes pointes.
Une nouvelle fois, j’entends les bretelles claquer lorsqu’il les enlève.
Il me libère et s’appuie à la table.
• J’adore lorsque tu me suces, tu es la meilleure suceuse, depuis que je me suis fait dépuceler par la grosse Berth lorsque je faisais mon service militaire dans les forces françaises en Allemagne.
Elle parlait pas français, je parlais pas Allemand, mais pour baiser, c'était international.
• C’était une pute !
• Non, la femme d’un ancien prisonnier Allemand qui était revenu, mais en ayant perdu ses bijoux de famille à cause d’une balle perdue par un mec de sa compagnie de panzer lors d’une bataille avec les Anglais et les Américains.
Ils fuyaient tous comme des lapins et un fantassin est tombé en tirant un coup.
Il montait sur son char et s’est trouvé amputé.
Tient suce, la mienne, elle est bien là.
Comme je l’ai dit, j’aime sucer, je le masturbais en prenant ses grosses couilles l’une après l’une à la suite dans ma bouche.
En voyant ces attributs, je me posais la question, comment était le bas-ventre de cet Allemand sans ses couilles.
Contrairement à Pierre hier au soir, le père Julien est plus rapide à la détente.
D’un revers de main, il balaye la table.
Verre, tasse et autres ustensiles tombe au sol se brisant net.
Il a une drôle de façon pour faire la vaisselle.
Il se recule sur la table et s’allonge.
• Viens t’empaler Anne, profite.
J’ai mal aux cuisses d’avoir cueilli les haricots, mais je monte sur la chaise après m’être entièrement dénudée.
Je place mes pieds de chaque côté et je descends lentement sur le pieu tendu.
M’agenouillant, je le sens au plus profond de moi.
Je monte et je descends, le plaisir commence à monter en moi.
Je suis à deux doigts, de jouir quand la porte de la cuisine s’ouvre sans que j’aie entendu frapper.
Le père Julien regarde en se penchant un peu.
• Fiston, tu es là, t’as un problème !
• Toi, t’en as pas, tu baises aussi avec notre voisine !
J’adore, le père et le fils semble entamer une conversation entre les deux découvrant que je suis la maîtresse des deux.
Je me retourne, Jules est là deux lièvres en main avec Rust restant devant la porte.
Il la referme, commence à enlever sa chemise et ouvrir son pantalon.
Je sens que je vais être à la fête, le père et le fils, semble s’entendre pour me satisfaire.
Prestement il est sur la grosse table de bois assez solide pour recevoir nos trois corps.
Il passe à côté de moi et enjambant, lui aussi son père, il me présente sa verge.
Une dans la bouche à le sucer et lui caresser les couilles, la bite du père Lucien dans la chatte, ai-je le temps de penser à la salope que je suis ?
• Anne, il peut t’enculer, tu l’as dit que ça t’était arrivé de le faire.
Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche, car à tout moment ça se retourne contre vous.
Sans attendre mon accord, Jules m’enlève ma sucette de la bouche, entre-temps il bande à me faire peur de me faire défoncer l’anus.
Il y a quelque temps déjà, voyons presque trois ans en décembre dans ma série, « Joyeux Noël » ou Noël est mon neveu que je dépucelle.
Avec Pierre, Noël et lui ont fini par me prendre en double pénétration.
C’est encore le cas cette fois-ci, je suis prise en sandwich par les deux fermiers qui semblent bien s’entendre comme s’ils avaient l’habitude de sexer des femmes ensemble.
La queue de Jules me défonce, mais rapidement je perds la tête au point que ma tête au-dessus de la tête du père, sans m’en rendre compte, je prends la bouche de Lucien.
C’est dégueu, ça sent le tabac froid, mais dans ces moments de délire où ces deux verges glissent en moi, je perds toute notion, du bien ou du mal, du bon ou du mauvais.
Seule la boule irradiant tout mon être m’importe.
Combien de temps me fais-je défoncer, je l’ignore, ce que je sais, c’est qu’à un moment une verge flasque se présente à ma bouche.
Cette verge, je la connais, hier au soir j’ai eu du mal à la faire bander.
Pierre est là, fidèle à lui-même il sait qu’il vit avec une salope et sait bien en profiter.
Par rapport à hier, est-ce le fait qu’il me voit emmanché par ces deux verges, mais rapidement il bande.
Trois d’un coup, qui eut pu dire lorsque nous sommes venues nous retirer pour une grande partie de l’année que je deviendrais la salope des trois seuls hommes habitant dans un rayon de deux kilomètres autour de notre chalet.
J’ai dit aimer le sperme, je suis servie, l’ordre important peu.
Chatte, anus et bouche reçoivent les gicler que grâce à moi les trois verges expulsent.
Je sens bien que dans ma bouche, la quantité de sperme est bien moindre que dans mon cul, Pierre a son âge et ses testicules mettent du temps à se régenéter.
Je sens mon anus libéré et Jules revenir sur le plancher des vaches.
Heureusement, qu’avec Pierre, ils me sortent de la bite du père Julien, car je suis dans l’incapacité de me mouvoir seule.
Je me retrouve assise à la table entourée des trois hommes, seul Pierre étant habillé bien qu’à y regarder, sa queue sort de son Tergal de nouveau au repos.
• Jules met nous quatre verres et amène le rouge, ça va nous revigorer, cette belle garce elle m’a vanné.
Pierre, tu laisses ta femme aux mains de deux salopards comme nous, t’es pas jaloux.
• Eh ! chacun sa vie, quand on la partage avec une femme qui aime le sexe et qu’on est vieillissant, il faut savoir vivre vieux en s’économisant et en se faisant aider.
• Sert, un jus de fruits à Anne, elle l’a bien mérité.
• La petite Anne, elle a bien mérité un coup de rouge, moi aussi les haricots et vous m’avez vanné.
Nous buvons deux verres.
J’ai repris du poil de la bête et voyant que Jules va resservir, histoire de finir la bouteille, je me lève et je commence à récupérer mes affaires dans les morceaux de tasses et de verres cassées.
• Pierre vient, la journée est loin d’être fini, il faut s’occuper des haricots.
Il se relève s’approche des paniers de haricots jaune et vert.
• Tiens, voilà deux cabas, vous me les redescendrez, je pense que pour vos bocaux vous en aurez assez, sinon Anne tu sais où ils sont.
• Dis-moi Lucien, je croyais que Jules était parti faucher et ces deux lièvres pendus sur cette chaise.
• J’aurai dû te dire, le fiston, il est parti braco.
• Tient Pierre, prend celui-là, un lapin carotte haricot vert, ce sera parfait pour dimanche, si vous voulez venir déjeuner, vous serez les biens venus.
• Vous voyez, quand je vous parlais de la salope qu’elle est, elle en veut encore.
Le retour est difficile, j’ai le cul cassé.
Arrivé au chalet, je me mets un coussin sous les fesses.
Dimanche est un autre jour, lorsque j’ai lancé l’invitation, loin de moi l’idée de me faire une partie à trois.
Mais dimanche qui vivra verra.
Une heure de travail et le soleil commence à ce lever sur ce coteau de montagne.
Je crois que je me suis laissé entraîner sur une pente glissante, le père Julien se retrouvant derrière moi, me flattant sur mon cul.
Certes, on baise ensemble, comme je baise aussi avec Jules, son fils, mais de là à lui dire que je me suis fait sodomiser, il y a des moments de ma vie privée que je devrais bien garder pour moi.
Heureusement, la vision que j’avais dans notre salon lorsque Noël me prenait avec Pierre en double pénétration, me vient à l’esprit, mais je freine à temps pour lui cacher la salope que j’ai été dans ces moments-là.
Comprendrait-il que j’ai fait cela avec deux hommes dont Noël mon neveu lors de vacances ou Jacques mon frère nous l’avait envoyé de Guadeloupe ou il réside ?
La première fois où j’ai brisé le tabou, de baiser avec mon neveu, c’était un puceau, sans expérience.
Lorsqu’il s’est installé avec sa petite sur la côte, c’était un amant magnifique devenu, lui aussi sans tabou.
• Viens, laisse tomber, je finirais demain.
Cueillir les haricots sous forte chaleur, c’est mauvais pour les vendre au marché et il a lieu dans deux jours.
Nous quittons le potager pour retrouver la fraîcheur de la maison.
Ces vieilles fermes avec un corps principal en pierre ont des murs si épais que la fraicheur est presque permanente contrairement à notre chalet tout en bois.
• Assieds-toi, je vais tirer de l’eau fraîche.
Il ressort alors qu’il y a de l’eau au robinet, il revient avec un seau qu’il vient de tirer de leur puits.
• Ils nous ont installé ce machin, mais avec mon fiston on préfère l’eau de notre puits.
Ils font passer nos sources par des tuyaux, qui risquent de nous apporter des maladies.
Il prend ma tasse ou j’ai bu mon café ce matin, la trempe dans le seau et après deux ou trois mouvements, il la ressort et la met devant moi.
• Aie.
• Qu’est-ce qui t’arrive, je vois le manque d’expérience et tu as mal à tes épaules, enlève ta chemise, je vais te masser ?
Jules est tombé de notre Comtois à cause de Rust et à la pharmacie Juliette lui a donné une pommade, je vais la chercher.
Il part vers les chambres et revient une boîte à la main.
• Regarde-moi ce con, le tube est neuf.
Je le vois poser son affreux mégot sur le coin de la table.
Ce qu’il y a de bien avec ces paysans, c’est qu’il baise sans trop de fioritures, j’échappe à sa bouche qui doit être nauséabonde.
J’ai enlevé ma chemise, je suis nue, mais j’ai l’habitude de me retrouver dans cette situation, la dernière fois c’était à cause de l’orage.
Il met de la pommade sur sa main les frottes entre elles.
Je sens la callosité de ses mains de travailleur.
J’ai toujours aimé, au gré de mes amants des mains viriles et malgré son allure plutôt chétive, le père Lucien fait partie de ce genre d’hommes.
Rapidement le massage qu’il me fait chauffe mes épaules.
Devant moi, la boîte d’emballage est là, à côté du tube.
Je vois le nom, « Baume Saint-Bernard », date de péremption 2010.
J’ignore si la chaleur que je sens sur mes épaules, est due au baume périmé ou aux mains de mon vieil amant très efficaces.
De mes épaules, il les fait glisser sur mes seins, là encore est-ce la pommade ou la chaleur qu’elles dégagent qui embrase mes pointes.
Une nouvelle fois, j’entends les bretelles claquer lorsqu’il les enlève.
Il me libère et s’appuie à la table.
• J’adore lorsque tu me suces, tu es la meilleure suceuse, depuis que je me suis fait dépuceler par la grosse Berth lorsque je faisais mon service militaire dans les forces françaises en Allemagne.
Elle parlait pas français, je parlais pas Allemand, mais pour baiser, c'était international.
• C’était une pute !
• Non, la femme d’un ancien prisonnier Allemand qui était revenu, mais en ayant perdu ses bijoux de famille à cause d’une balle perdue par un mec de sa compagnie de panzer lors d’une bataille avec les Anglais et les Américains.
Ils fuyaient tous comme des lapins et un fantassin est tombé en tirant un coup.
Il montait sur son char et s’est trouvé amputé.
Tient suce, la mienne, elle est bien là.
Comme je l’ai dit, j’aime sucer, je le masturbais en prenant ses grosses couilles l’une après l’une à la suite dans ma bouche.
En voyant ces attributs, je me posais la question, comment était le bas-ventre de cet Allemand sans ses couilles.
Contrairement à Pierre hier au soir, le père Julien est plus rapide à la détente.
D’un revers de main, il balaye la table.
Verre, tasse et autres ustensiles tombe au sol se brisant net.
Il a une drôle de façon pour faire la vaisselle.
Il se recule sur la table et s’allonge.
• Viens t’empaler Anne, profite.
J’ai mal aux cuisses d’avoir cueilli les haricots, mais je monte sur la chaise après m’être entièrement dénudée.
Je place mes pieds de chaque côté et je descends lentement sur le pieu tendu.
M’agenouillant, je le sens au plus profond de moi.
Je monte et je descends, le plaisir commence à monter en moi.
Je suis à deux doigts, de jouir quand la porte de la cuisine s’ouvre sans que j’aie entendu frapper.
Le père Julien regarde en se penchant un peu.
• Fiston, tu es là, t’as un problème !
• Toi, t’en as pas, tu baises aussi avec notre voisine !
J’adore, le père et le fils semble entamer une conversation entre les deux découvrant que je suis la maîtresse des deux.
Je me retourne, Jules est là deux lièvres en main avec Rust restant devant la porte.
Il la referme, commence à enlever sa chemise et ouvrir son pantalon.
Je sens que je vais être à la fête, le père et le fils, semble s’entendre pour me satisfaire.
Prestement il est sur la grosse table de bois assez solide pour recevoir nos trois corps.
Il passe à côté de moi et enjambant, lui aussi son père, il me présente sa verge.
Une dans la bouche à le sucer et lui caresser les couilles, la bite du père Lucien dans la chatte, ai-je le temps de penser à la salope que je suis ?
• Anne, il peut t’enculer, tu l’as dit que ça t’était arrivé de le faire.
Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche, car à tout moment ça se retourne contre vous.
Sans attendre mon accord, Jules m’enlève ma sucette de la bouche, entre-temps il bande à me faire peur de me faire défoncer l’anus.
Il y a quelque temps déjà, voyons presque trois ans en décembre dans ma série, « Joyeux Noël » ou Noël est mon neveu que je dépucelle.
Avec Pierre, Noël et lui ont fini par me prendre en double pénétration.
C’est encore le cas cette fois-ci, je suis prise en sandwich par les deux fermiers qui semblent bien s’entendre comme s’ils avaient l’habitude de sexer des femmes ensemble.
La queue de Jules me défonce, mais rapidement je perds la tête au point que ma tête au-dessus de la tête du père, sans m’en rendre compte, je prends la bouche de Lucien.
C’est dégueu, ça sent le tabac froid, mais dans ces moments de délire où ces deux verges glissent en moi, je perds toute notion, du bien ou du mal, du bon ou du mauvais.
Seule la boule irradiant tout mon être m’importe.
Combien de temps me fais-je défoncer, je l’ignore, ce que je sais, c’est qu’à un moment une verge flasque se présente à ma bouche.
Cette verge, je la connais, hier au soir j’ai eu du mal à la faire bander.
Pierre est là, fidèle à lui-même il sait qu’il vit avec une salope et sait bien en profiter.
Par rapport à hier, est-ce le fait qu’il me voit emmanché par ces deux verges, mais rapidement il bande.
Trois d’un coup, qui eut pu dire lorsque nous sommes venues nous retirer pour une grande partie de l’année que je deviendrais la salope des trois seuls hommes habitant dans un rayon de deux kilomètres autour de notre chalet.
J’ai dit aimer le sperme, je suis servie, l’ordre important peu.
Chatte, anus et bouche reçoivent les gicler que grâce à moi les trois verges expulsent.
Je sens bien que dans ma bouche, la quantité de sperme est bien moindre que dans mon cul, Pierre a son âge et ses testicules mettent du temps à se régenéter.
Je sens mon anus libéré et Jules revenir sur le plancher des vaches.
Heureusement, qu’avec Pierre, ils me sortent de la bite du père Julien, car je suis dans l’incapacité de me mouvoir seule.
Je me retrouve assise à la table entourée des trois hommes, seul Pierre étant habillé bien qu’à y regarder, sa queue sort de son Tergal de nouveau au repos.
• Jules met nous quatre verres et amène le rouge, ça va nous revigorer, cette belle garce elle m’a vanné.
Pierre, tu laisses ta femme aux mains de deux salopards comme nous, t’es pas jaloux.
• Eh ! chacun sa vie, quand on la partage avec une femme qui aime le sexe et qu’on est vieillissant, il faut savoir vivre vieux en s’économisant et en se faisant aider.
• Sert, un jus de fruits à Anne, elle l’a bien mérité.
• La petite Anne, elle a bien mérité un coup de rouge, moi aussi les haricots et vous m’avez vanné.
Nous buvons deux verres.
J’ai repris du poil de la bête et voyant que Jules va resservir, histoire de finir la bouteille, je me lève et je commence à récupérer mes affaires dans les morceaux de tasses et de verres cassées.
• Pierre vient, la journée est loin d’être fini, il faut s’occuper des haricots.
Il se relève s’approche des paniers de haricots jaune et vert.
• Tiens, voilà deux cabas, vous me les redescendrez, je pense que pour vos bocaux vous en aurez assez, sinon Anne tu sais où ils sont.
• Dis-moi Lucien, je croyais que Jules était parti faucher et ces deux lièvres pendus sur cette chaise.
• J’aurai dû te dire, le fiston, il est parti braco.
• Tient Pierre, prend celui-là, un lapin carotte haricot vert, ce sera parfait pour dimanche, si vous voulez venir déjeuner, vous serez les biens venus.
• Vous voyez, quand je vous parlais de la salope qu’elle est, elle en veut encore.
Le retour est difficile, j’ai le cul cassé.
Arrivé au chalet, je me mets un coussin sous les fesses.
Dimanche est un autre jour, lorsque j’ai lancé l’invitation, loin de moi l’idée de me faire une partie à trois.
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