COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. On a tué le cochon (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. On a tué le cochon (1/1)
Cette histoire d’Anne dans les monts du Jura est indirectement la suite de la balade à la cascade du hérisson jamais atteinte.
La première fête du cochon a eu lieu il y a presque un an.
Ça s’est bien passé, j’ai dansé avec tous les hommes qui voulaient me faire valser.
Sauf avec Lucien, qui se contentait de nous regarder en se grattant les couilles, geste habituel pour lui son éternel mégot que j’ai toujours vu éteint au coin de ses lèvres jauni par la nicotine.
Je dis les hommes, mais aussi les femmes comme Corinne qui est venue laissant Saturnin seul devant sa bouteille.
Il était prévu qu’elle reste dormir chez nous après avoir aidé Julien, Lucien et Madeleine à faire les pâtés et le boudin frais.
Tout a commencé lorsque les hommes ont amené le gros cochon, le très gros cochon devant la maison.
Il savait certainement savoir ce qui allait lui arriver, car eux tiraient et poussaient en avant pendant que cette malheureuse bête poussait en arrière.
Lucien a avancé avec son grand couteau, je suis incapable de dire ce qui s’est passé après, j’ai fermé les yeux.
Un dernier grognement et lorsque je les ai rouverts, Porcinet était pendu par les pattes arrière son sang coulant dans une grosse bassine.
Son ventre a été ouvert, je sais c’était peu ragoutant.
Le travaille que j’avais à faire, était peu ragoutant, c’est moi qui ai nettoyé les boyaux où nous avons fait entrer le sang.
Des mètres et des mètres de ces intestins, mais si un jour vous avez la possibilité de manger du boudin noir venant d’être fabriqué.
Corinne donc a participé avec Julien et Pierre à l’atelier de pâté en spécialiste même si elle s’est avec du lapin quel travail.
Elle avait chaud et rapidement les boutons de sa robe se sont détachés.
Un habitant du village s’occupait de découper des morceaux du porc et plusieurs visiteurs étaient servis grâce à Madeleine et Judith.
Judith, sa fille de 19 ans, des mauvaises langues disent qu’elle ressemble autant au boulanger qu’à la shop de bière qu’elle servait après que la bête est été débitée.
La jeune fille nous a aidé à faire la recette de la buvette, car elle a de sérieux prétendant qui venait boire une bière fraiche sortie de la pompe que comme tous le matériel était prêté par le comité des fêtes.
Lorsque je parle de Corinne avec laquelle j’ai dansé !
Comme je l’ai dit dans l’aventure dans le chemin creux où je me faisais baiser par Pierre, on sait mon aversion pour les rapports lesbiens suite à mon aventure de jeunesse.
Ce qui me rassure, c’est qu’un peu plus âgée que cette dernière, ses seins tombants sont loin de faire de l’ombre aux miens.
Pour cette fête, je suis en pantalon trois quarts et blouse, mais j’ai mis mon soutien-gorge pigeonnant mettant mes seins en valeur.
Ceux qui ont eu l’occasion de les prendre en main, vous diront qu’ils restent fermes malgré quelques petites ridules qui commencent à les marquer.
Il faut dire que sans être maso, je les passe tous les jours au gant de crin, ça les revigore même s’ils finissent de couleur pivoine.
Madeleine danse une valse avec moi, Pierre adorait valser au début de notre rencontre.
C’était un merveilleux valseur, d’ailleurs c’est dans un bal dans un village près de Besançon que je l’ai rencontré quelque temps après mon divorce.
J’oserais dire que les mois passants après ma séparation avaient asséché ma chatte.
C’est lui, qui me ramenant, alors que j’étais venue avec une amie, m’a fait recommencer à mouiller dès que j’ai accepté ses doigts dans ma chatte.
C’était dans sa voiture, j’étais devant chez moi, nous venions d’arrivée, il a avancé sa bouche et la mienne a fait le reste de la distance.
S’il avait mis sa main là ou ça fait du bien et là ou les chattes coulent, je l’aurais rembarré, j’ai des principes, jamais le premier soir.
Mais ce sont mes seins qu’il a sortis un par un les caressants, les cajolants alors que mon ex les délaissait.
Quand sa main les a quittés pour se poser sur ma cuisse, je dois reconnaître que c’est moi qui les ais écartés trahissant le « jamais le premier soir. » Ma motte dégoulinait de plaisir, du plaisir retrouvé de faire l’amour même si ce premier soir, c’est moi qui l’ai soulagé avec ma bouche ma tête gênée par le volant.
J’ai toujours aimé sucée et j’ai toujours aimé le gout du sperme.
Je me demande souvent si lorsque Aline dans ma jeunesse avait réussi à m’entraîner vers les plaisirs saphiques, j’aurais aimé le goût de la cyprine des filles.
Comme je suis dans les confidences, je vais vous en faire une.
Je connais ce goût, mais le mien, un jour dans mon lit, après que j’ai baisé avec Pierre, je me suis mis mes doigts et je les ai portés à ma bouche.
Différent du sperme, mais comme ça sortait de mon vagin, je crois que j’ignorerais à jamais le goût des autres.
Ça c’était quelques jours après que Pierre dès le lendemain m’ait invité au restaurant et que nous ayons fini dans mon lit.
La veille, je l’avais sucé.
Le lendemain, j’ai recommencé, mais sa verge, c’est dans ma chatte qu’il a finie par me la mettre me prenant en missionnaire, en levrette et m’achevant par une cuillère.
Comme on le sait, nous baisons ensemble depuis ce jour et comme nous avons des enfants chacun de notre côté nous avons gardé nos maisons respectives.
Bref, ce soir-là, nous avons terminé dans notre chalet Julien suivant Corinne comme Rust son chien a appris à me suivre lorsque je vais à la source me rafraîchir les fesses.
Nous étions donc au chalet, il faut dire que danser, ça donne soif et je reconnais que tous nous avions un petit coup dans le nez.
Il faisait beau, la météo était sereine, aucun risque d’orage.
À la ferme, nous avons simplement éteint les rampes de lumières après que le petit groupe de musiciens, faisant partie de la fanfare, ait rangé leurs instruments.
Parmi eux, Florentin, beau gosse d’une vingtaine d’années, arrivé en moto, jouant du synthétiseur, qu’il a mis dans la voiture de son père avant de passer un casque à Judith.
On voit bien des choses dans une petite fête comme la nôtre, mais là je dois dire qu’à aucun moment le rapprochement entre ces deux jeunes m’était apparu.
Une nouvelle fois, bref, de la manière dont elle l’a enlacé avant qu’il démarre en trombe, la petite a du comme nous passé une agréable soirée.
Pour notre part au chalet, la fête a continué.
Pierre avait mis de la musique et j’ai dansé avec Julien, Madeleine semblant contrairement à moi, aimer les femmes pulpeuses.
Comme lors de notre balade avortée à la cascade du hérisson, Pierre m’a appris qu’il savait que je baisais avec Julien et aussi son père étant parti se coucher comme les poules, je me suis laissée aller.
Était-il jaloux, ça m’a fait plaisir quand lors d’un slow, il est venu nous séparer pour me prendre dans ses bras ?
Julien s’est rabattu sur les deux femmes peu farouches pour se mettre à danser à trois.
Chaque fois que je me trouvais dans leur axe, les choses se sont mises à évoluer rapidement.
On sait que Corinne élève des lapins, Julien lui semble être un chaud lapin.
Il était fait pour s’entendre.
Il les embrassait à pleine bouche l’une après l’autre, elles s’embrassent entre elles.
Pierre s’est mis à bander, je savais que j’avais peu de temps pour profiter de sa hampe trop peu en l’état au fil des années.
Je me suis baissée ouvrant son pantalon et oubliant les autres participant à notre propre petite fête, je le suis mis à le sucer.
Je retrouvais les premiers jours de notre rencontre et c’est sur l’un des deux fauteuils, devant la cheminée éteinte à cette époque de l’année que je l’ai conduit notre chambre à l’étage étant trop loin.
J’ai baissé simplement mon pantalon, ma chatte étant nue et ma poitrine sur le dossier sans qu’elle soit dénudée, il m’a pris d’une simple poussée.
J’étais ruisselante d’envie qu’il me prenne le plus vite possible.
Comme j’étais placée, impossible de voir dans notre dos, mais les rires qui traversaient cette grande pièce me disaient que comme nous il savait s’amuser avec des jeux d’adultes.
Pierre m’a fait monter vers les étages, j’ai crié de plaisir lorsque mon corps a été traversé par un grand plaisir, trop peu fréquent ces moments-ci.
Nous avons fini par nous écrouler côte à côte sur le fauteuil assez large.découvrant le spectacle que le trio nous présentait.
Ils étaient sur le canapé, heureusement recouvert d’un plaid.
Pardon, c’est mon instinct de ménagère qui ressortait lorsque je vois que ces salopes risquant de le tacher avec la cyprine qu’immanquablement sortaient de leurs chattes en feu.
Corrinne avec ses gros nichons était en dessous du trio.
Madeleine en 69 lui bouffant la minette et Julien derrière elle qui la baisait à grands coups de bite.
J’avais l’impression d’être devant un porno du samedi soir, Pierre certainement aussi, car à un moment, j’ai senti sa queue se redresser sous ma main.
Un doublé, grâce à ces deux salopes et leur mâle qui sortait de la chatte de la boulangère pour entrer dans la gorge de la belle et grosse Corinne.
De nouveau à partir de là, rideau, j’ai plongé entre les jambes de Pierre et ma bouche a retrouvé sa verge favorite.
Je l’ai pompé en le masturbant ma main dans ma chatte.
Je vais loin en disant ça, trois doigts on suffit pour me faire couler sur le tapis persan.
Mon canapé était protégé, mon tapis je vais devoir le frotter.
C’est con de penser à son tapis lorsqu’une bite vient vous arroser les amygdales.
Quelques gouttes seulement alors qu’avant même après un deuxième coup, il m’aurait envoyé trois ou quatre jets de son foutre.
De l’autre côté, lorsque Pierre me prend par la main pour me faire grimper dans les étages, les filles sont comme moi je l’étais sur mon fauteuil, elles s’embrassaient et Julien passant d’une chatte à l’autre.
Adieu, mes amis, continuez à vous amuser, avec Pierre, nous allons nous coucher.
C’est ce que je pense lorsque mes jambes finissent par me porter en haut de mon escalier.
Jamais au grand jamais, il m’est possible de me coucher sans me brosser les dents, mais là pour une fois, il faut savoir faire une exception.
Je m’écroule sur mon lit, les fesses nues sur le dessus pendant que Pierre en fait autant à mes côtés.
C’est dans cette position que je me suis réveillée, me sentant sale de partout.
Ma bouche, certainement le sperme avalé avant de monter et le reste de mon corps après la journée que nous avons passée.
C’est nu que je me lève, je vais dans la salle d’eau.
Le chauffe-eau est éteint, c’est Pierre qui sait comment ça marche.
Une douche froide, je frissonne, mais j’ai l’habitude lorsque je me mets le cul dans la fontaine qui nous approvisionne en eau.
Lorsque j’arrive sur le palier et que je descends, je me rends compte de ma nudité, mais comme sur le canapé qu’ils ont ouvert, Corinne est seule.
Les deux autres comparses ayant formé leur trio sont partis.
Julien certainement pour s’occuper des bêtes et Madeleine retrouver son cocu de boulanger et ouvrir cette même boulangerie.
Ça s’était il y a presque un an.
Depuis, bien des choses ont évolué, surtout pour Corinne, mais ça je vous le raconterais la prochaine fois ou je viendrais vous conter mes histoires sur les monts du Jura.
En attendant, voyant au-dessus du bar délimitant la cuisine à l’américaine du reste de cette grande pièce, le gros cul de Corinne qui vient de se retourner en émettant un grognement.
Je bois un bon café revigorant en ayant sous les yeux la panoplie de couteau de Pierre.
Et si aujourd’hui, on recommençait à tuer le cochon, Corinne en ferait un beau.
Je plaisante bien sûr.
La première fête du cochon a eu lieu il y a presque un an.
Ça s’est bien passé, j’ai dansé avec tous les hommes qui voulaient me faire valser.
Sauf avec Lucien, qui se contentait de nous regarder en se grattant les couilles, geste habituel pour lui son éternel mégot que j’ai toujours vu éteint au coin de ses lèvres jauni par la nicotine.
Je dis les hommes, mais aussi les femmes comme Corinne qui est venue laissant Saturnin seul devant sa bouteille.
Il était prévu qu’elle reste dormir chez nous après avoir aidé Julien, Lucien et Madeleine à faire les pâtés et le boudin frais.
Tout a commencé lorsque les hommes ont amené le gros cochon, le très gros cochon devant la maison.
Il savait certainement savoir ce qui allait lui arriver, car eux tiraient et poussaient en avant pendant que cette malheureuse bête poussait en arrière.
Lucien a avancé avec son grand couteau, je suis incapable de dire ce qui s’est passé après, j’ai fermé les yeux.
Un dernier grognement et lorsque je les ai rouverts, Porcinet était pendu par les pattes arrière son sang coulant dans une grosse bassine.
Son ventre a été ouvert, je sais c’était peu ragoutant.
Le travaille que j’avais à faire, était peu ragoutant, c’est moi qui ai nettoyé les boyaux où nous avons fait entrer le sang.
Des mètres et des mètres de ces intestins, mais si un jour vous avez la possibilité de manger du boudin noir venant d’être fabriqué.
Corinne donc a participé avec Julien et Pierre à l’atelier de pâté en spécialiste même si elle s’est avec du lapin quel travail.
Elle avait chaud et rapidement les boutons de sa robe se sont détachés.
Un habitant du village s’occupait de découper des morceaux du porc et plusieurs visiteurs étaient servis grâce à Madeleine et Judith.
Judith, sa fille de 19 ans, des mauvaises langues disent qu’elle ressemble autant au boulanger qu’à la shop de bière qu’elle servait après que la bête est été débitée.
La jeune fille nous a aidé à faire la recette de la buvette, car elle a de sérieux prétendant qui venait boire une bière fraiche sortie de la pompe que comme tous le matériel était prêté par le comité des fêtes.
Lorsque je parle de Corinne avec laquelle j’ai dansé !
Comme je l’ai dit dans l’aventure dans le chemin creux où je me faisais baiser par Pierre, on sait mon aversion pour les rapports lesbiens suite à mon aventure de jeunesse.
Ce qui me rassure, c’est qu’un peu plus âgée que cette dernière, ses seins tombants sont loin de faire de l’ombre aux miens.
Pour cette fête, je suis en pantalon trois quarts et blouse, mais j’ai mis mon soutien-gorge pigeonnant mettant mes seins en valeur.
Ceux qui ont eu l’occasion de les prendre en main, vous diront qu’ils restent fermes malgré quelques petites ridules qui commencent à les marquer.
Il faut dire que sans être maso, je les passe tous les jours au gant de crin, ça les revigore même s’ils finissent de couleur pivoine.
Madeleine danse une valse avec moi, Pierre adorait valser au début de notre rencontre.
C’était un merveilleux valseur, d’ailleurs c’est dans un bal dans un village près de Besançon que je l’ai rencontré quelque temps après mon divorce.
J’oserais dire que les mois passants après ma séparation avaient asséché ma chatte.
C’est lui, qui me ramenant, alors que j’étais venue avec une amie, m’a fait recommencer à mouiller dès que j’ai accepté ses doigts dans ma chatte.
C’était dans sa voiture, j’étais devant chez moi, nous venions d’arrivée, il a avancé sa bouche et la mienne a fait le reste de la distance.
S’il avait mis sa main là ou ça fait du bien et là ou les chattes coulent, je l’aurais rembarré, j’ai des principes, jamais le premier soir.
Mais ce sont mes seins qu’il a sortis un par un les caressants, les cajolants alors que mon ex les délaissait.
Quand sa main les a quittés pour se poser sur ma cuisse, je dois reconnaître que c’est moi qui les ais écartés trahissant le « jamais le premier soir. » Ma motte dégoulinait de plaisir, du plaisir retrouvé de faire l’amour même si ce premier soir, c’est moi qui l’ai soulagé avec ma bouche ma tête gênée par le volant.
J’ai toujours aimé sucée et j’ai toujours aimé le gout du sperme.
Je me demande souvent si lorsque Aline dans ma jeunesse avait réussi à m’entraîner vers les plaisirs saphiques, j’aurais aimé le goût de la cyprine des filles.
Comme je suis dans les confidences, je vais vous en faire une.
Je connais ce goût, mais le mien, un jour dans mon lit, après que j’ai baisé avec Pierre, je me suis mis mes doigts et je les ai portés à ma bouche.
Différent du sperme, mais comme ça sortait de mon vagin, je crois que j’ignorerais à jamais le goût des autres.
Ça c’était quelques jours après que Pierre dès le lendemain m’ait invité au restaurant et que nous ayons fini dans mon lit.
La veille, je l’avais sucé.
Le lendemain, j’ai recommencé, mais sa verge, c’est dans ma chatte qu’il a finie par me la mettre me prenant en missionnaire, en levrette et m’achevant par une cuillère.
Comme on le sait, nous baisons ensemble depuis ce jour et comme nous avons des enfants chacun de notre côté nous avons gardé nos maisons respectives.
Bref, ce soir-là, nous avons terminé dans notre chalet Julien suivant Corinne comme Rust son chien a appris à me suivre lorsque je vais à la source me rafraîchir les fesses.
Nous étions donc au chalet, il faut dire que danser, ça donne soif et je reconnais que tous nous avions un petit coup dans le nez.
Il faisait beau, la météo était sereine, aucun risque d’orage.
À la ferme, nous avons simplement éteint les rampes de lumières après que le petit groupe de musiciens, faisant partie de la fanfare, ait rangé leurs instruments.
Parmi eux, Florentin, beau gosse d’une vingtaine d’années, arrivé en moto, jouant du synthétiseur, qu’il a mis dans la voiture de son père avant de passer un casque à Judith.
On voit bien des choses dans une petite fête comme la nôtre, mais là je dois dire qu’à aucun moment le rapprochement entre ces deux jeunes m’était apparu.
Une nouvelle fois, bref, de la manière dont elle l’a enlacé avant qu’il démarre en trombe, la petite a du comme nous passé une agréable soirée.
Pour notre part au chalet, la fête a continué.
Pierre avait mis de la musique et j’ai dansé avec Julien, Madeleine semblant contrairement à moi, aimer les femmes pulpeuses.
Comme lors de notre balade avortée à la cascade du hérisson, Pierre m’a appris qu’il savait que je baisais avec Julien et aussi son père étant parti se coucher comme les poules, je me suis laissée aller.
Était-il jaloux, ça m’a fait plaisir quand lors d’un slow, il est venu nous séparer pour me prendre dans ses bras ?
Julien s’est rabattu sur les deux femmes peu farouches pour se mettre à danser à trois.
Chaque fois que je me trouvais dans leur axe, les choses se sont mises à évoluer rapidement.
On sait que Corinne élève des lapins, Julien lui semble être un chaud lapin.
Il était fait pour s’entendre.
Il les embrassait à pleine bouche l’une après l’autre, elles s’embrassent entre elles.
Pierre s’est mis à bander, je savais que j’avais peu de temps pour profiter de sa hampe trop peu en l’état au fil des années.
Je me suis baissée ouvrant son pantalon et oubliant les autres participant à notre propre petite fête, je le suis mis à le sucer.
Je retrouvais les premiers jours de notre rencontre et c’est sur l’un des deux fauteuils, devant la cheminée éteinte à cette époque de l’année que je l’ai conduit notre chambre à l’étage étant trop loin.
J’ai baissé simplement mon pantalon, ma chatte étant nue et ma poitrine sur le dossier sans qu’elle soit dénudée, il m’a pris d’une simple poussée.
J’étais ruisselante d’envie qu’il me prenne le plus vite possible.
Comme j’étais placée, impossible de voir dans notre dos, mais les rires qui traversaient cette grande pièce me disaient que comme nous il savait s’amuser avec des jeux d’adultes.
Pierre m’a fait monter vers les étages, j’ai crié de plaisir lorsque mon corps a été traversé par un grand plaisir, trop peu fréquent ces moments-ci.
Nous avons fini par nous écrouler côte à côte sur le fauteuil assez large.découvrant le spectacle que le trio nous présentait.
Ils étaient sur le canapé, heureusement recouvert d’un plaid.
Pardon, c’est mon instinct de ménagère qui ressortait lorsque je vois que ces salopes risquant de le tacher avec la cyprine qu’immanquablement sortaient de leurs chattes en feu.
Corrinne avec ses gros nichons était en dessous du trio.
Madeleine en 69 lui bouffant la minette et Julien derrière elle qui la baisait à grands coups de bite.
J’avais l’impression d’être devant un porno du samedi soir, Pierre certainement aussi, car à un moment, j’ai senti sa queue se redresser sous ma main.
Un doublé, grâce à ces deux salopes et leur mâle qui sortait de la chatte de la boulangère pour entrer dans la gorge de la belle et grosse Corinne.
De nouveau à partir de là, rideau, j’ai plongé entre les jambes de Pierre et ma bouche a retrouvé sa verge favorite.
Je l’ai pompé en le masturbant ma main dans ma chatte.
Je vais loin en disant ça, trois doigts on suffit pour me faire couler sur le tapis persan.
Mon canapé était protégé, mon tapis je vais devoir le frotter.
C’est con de penser à son tapis lorsqu’une bite vient vous arroser les amygdales.
Quelques gouttes seulement alors qu’avant même après un deuxième coup, il m’aurait envoyé trois ou quatre jets de son foutre.
De l’autre côté, lorsque Pierre me prend par la main pour me faire grimper dans les étages, les filles sont comme moi je l’étais sur mon fauteuil, elles s’embrassaient et Julien passant d’une chatte à l’autre.
Adieu, mes amis, continuez à vous amuser, avec Pierre, nous allons nous coucher.
C’est ce que je pense lorsque mes jambes finissent par me porter en haut de mon escalier.
Jamais au grand jamais, il m’est possible de me coucher sans me brosser les dents, mais là pour une fois, il faut savoir faire une exception.
Je m’écroule sur mon lit, les fesses nues sur le dessus pendant que Pierre en fait autant à mes côtés.
C’est dans cette position que je me suis réveillée, me sentant sale de partout.
Ma bouche, certainement le sperme avalé avant de monter et le reste de mon corps après la journée que nous avons passée.
C’est nu que je me lève, je vais dans la salle d’eau.
Le chauffe-eau est éteint, c’est Pierre qui sait comment ça marche.
Une douche froide, je frissonne, mais j’ai l’habitude lorsque je me mets le cul dans la fontaine qui nous approvisionne en eau.
Lorsque j’arrive sur le palier et que je descends, je me rends compte de ma nudité, mais comme sur le canapé qu’ils ont ouvert, Corinne est seule.
Les deux autres comparses ayant formé leur trio sont partis.
Julien certainement pour s’occuper des bêtes et Madeleine retrouver son cocu de boulanger et ouvrir cette même boulangerie.
Ça s’était il y a presque un an.
Depuis, bien des choses ont évolué, surtout pour Corinne, mais ça je vous le raconterais la prochaine fois ou je viendrais vous conter mes histoires sur les monts du Jura.
En attendant, voyant au-dessus du bar délimitant la cuisine à l’américaine du reste de cette grande pièce, le gros cul de Corinne qui vient de se retourner en émettant un grognement.
Je bois un bon café revigorant en ayant sous les yeux la panoplie de couteau de Pierre.
Et si aujourd’hui, on recommençait à tuer le cochon, Corinne en ferait un beau.
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