COLLECTION BELLE-MÈRE. La prime aux vainqueurs (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. La prime aux vainqueurs (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BELLE-MÈRE. La prime aux vainqueurs (1/1)
• Marius, toi qui as la malchance de chercher du travail, veux-tu être mon partenaire chez moi pour faire un après-midi belotes avec Marie et Madeleine.
Elles font équipe depuis que nous avons commencé à jouer tous les jeudis après-midi.
Mireille, ma partenaire sera absente pendant trois mois, car elle est chez son fils pour garder son petit-fils.
Les parents divorcent et son fils doit garder son enfant en garde alternée.
Tu vas me dire qu’elle pourrait revenir chez elle une semaine sur deux, or si tu l’ignores Mathias, son fils est à la Réunion et, par conséquent, elle aussi.
Si tu joues avec moi, tu verras à la fin de la partie, il y aura une surprise.

Je m’appelle Marius, j’ai 36 ans, je suis marié avec Martine, la fille de ma belle-mère qui a 61 ans.
Monique est veuve, mais est une femme qui sait se tenir.
Grande comme ma femme, elle a toujours été sportive, sa fille, avant notre mariage, courait avec elle.
Moi, je suis plus près de mon beau-père, le roi du canapé.
J’ignore pour lui, mais je fais beaucoup de sport en chambre, bien que depuis quelque temps ma femme freine nos rapports.
Une ou deux fois par jour, dès que nous nous rencontrions nous faisions l’amour même sur un coin de table, principalement celle de la cuisine.
Est-ce le chômage pour moi, depuis huit mois, elle travaille beaucoup et souvent se dit fatiguée.
J’en suis rendu à la masturbation, moi qui depuis mes 16 ans avais arrêté cette pratique, car dès cet âge, j’étais un sérial niqueur.
Attention, dès que j’ai rencontré Martine, elle m’a satisfaite pleinement et je lui suis devenu fidèle.
Hier, avant que ma belle-mère, habitant à deux pâtés de maisons de chez nous, me propose de venir jouer aux cartes dans deux jours, je suis allé sur un site de rencontres.
Quatre-vingt-dix-neuf pourcents des femmes qui s’inscrivent, ont plus de 50 ans et dans leur profil, toutes cherchent l’âme sœur pour finir leur vie.
Alors une encore jeune qui cherche seulement une aventure, c’est très rare et voulant éviter de briser mon couple, j’ai vite fait d’arrêter de chercher.
J’ai regardé du côté des escortes, trop chère pour un chaumeur, surtout qu’afin de compenser le manque, il me faudrait en trouver une ou deux par semaine.
À la limite, une vieille, ou mieux des vieilles une à une pour des cinq-à-sept, pourquoi pas.
Pardon des 13 à 16 heures, après madame revient à 17 heures 30 de son travail à l’hôpital où elle est administrative et il faudrait que je sois bien propre pour écarter tous soupçons.

• Oui, j’adore la belote, pouvez-vous m’en dire plus sur la surprise belle-maman ?
• Je t’ai déjà dit de m’appeler Monique.
• J’ai déjà eu du mal à te tutoyer, chaque chose en son temps.
En jouant on lâchera peut-être des « tu », naturellement.
Monique as-tu du cœur, je te demande si ton cœur va bien.
• Pour l’histoire de Marcel Pagnol, l’accent que tu prends est loin d’être celui de Marseille.
De plus, tu aurais dû dire, « tu me fends le cœur ».
• Ton accent est pire que le mien Monique, mais on fera avec.

Nous éclatons de rire et nous raccrochons.
Jeudi, je change de maison.
Marie et Madeleine sont là.
Marie, un peu plus de 50 ans, elle a quitté l’enseignement, ses droits lui permettant de partir plus tôt en retraite.
Madeleine dans le quartier, nous sommes tous proche les uns des autres.
Elle a la réputation d’être lesbienne après avoir vécu avec une femme l’ayant quittée, il y a moins de cinq ans pour une autre de ces femmes aimant les femmes.
Mais bon, les mœurs de ces dames, je m’en tape le coquillard.

• Bonjour Monique, ces dames déjà sont là !
On va pouvoir commencer la partie.
• Oui, elles sont au salon.
Du whisky, tu sais plaire aux dames, c’est mon péché mignon depuis que le docteur m’en a prescrit en ampoule comme fortifiant à la mort de ton beau-père.
Marie, voilà Marius, il vous a amené du whisky.
• Tu cherches à nous souler Marius, tu vas voir, le whisky, ça me dégage les neurones et c’est nous qui allons gagner.

Et dix de der.
Atout cœur, Madeleine oublie de couper et nos adversaires perdent la main.

• 980 plus ce pli, nous avons dépassé les 1 000 points, Marius nous avons gagné.
Mesdames, allez dans ma chambre, Marius, il reste un peu de whisky, fêtons notre victoire.

Je vois partir vers le couloir menant aux chambres, Marie et Madeleine.
Comme ma belle-mère l’a dit, nous finissons la bouteille, ça me met en pleine forme.

• Marius, je t’avais prévenu d’une surprise, suis-moi, elles doivent être prêtes.

Monique me prend la main et nous suivons le même chemin que les deux femmes.
Elle me fait entrer dans sa chambre, je la connais, c’est moi qui ai refait les papiers peints l’an dernier.
C’est mon côté bricoleur.
Les deux femmes sont sur le lit aussi nues l’une que l’autre.

• Mon cher, voilà la surprise, chaque jeudi l’équipe perdante, devient l’équipe soumise à l’équipe gagnante le reste de l’après-midi.
Enlève tes vêtements et occupe-toi de Madeleine.
• Mais ta fille ?
• Ma fille, nous avons discuté dimanche dernier, elle m’a avoué avoir un problème certainement dû à la fatigue.
Elle t’aime, mais a moins d’attirance pour le sexe.
Je connais les hommes et je veux éviter à ma fille de divorcer, car tu aurais été chercher ailleurs.
L’ailleurs, je te l’offre à domicile.
Madeleine suce le.
• Monique, non toi, Marie va s’occuper de la verge de Marius, moi, tu sais ce sont les chattes.
• Ce serait trop facile Madeleine, tu perds et c’est ma chatte qui devrait être ta punition, suce mon gendre !
• Monique arrête de forcer cette pauvre femme, si elle te dit que c’est toi qu’elle veut.

Je me déshabille, je crois que je cherchais et que je trouve, chez ma belle-mère par-dessus le marché.

• Marius a raison, Monique, ton gendre à ce qu’il nous montre m’intéresse, occupe-toi de Madeleine.
• Assez, vous connaissez les règles et quand je vous ai prévenue qu’il serait mon partenaire aujourd’hui, vous avez accepté, Madeleine suce la queue de Marius.

La perdante est assise sur le lit, je viens à sa hauteur et elle me prend en main.
Elle me suce et me fait entrer dans sa bouche.
Je retrouve ma jeunesse lorsque je me faisais sucer par différentes jeunes femmes.
Je l’ai dit, j’étais un sérial niqueur.
Monique a écarté les cuisses de Marie et lui broute la chatte.
Elle se retourne et c’est un 69 que j’ai devant mes yeux.

• Met-toi en levrette Madeleine, je vais te prendre.

Voilà, je l’ai prise, au début je la sentais réticente, mais maintenant c’est elle qui se projette sur ma verge et qui se met à hurler de plaisir.
De leur côté les deux autres femmes atteignent l’orgasme simultanément.

• Au revoir, mesdames, à jeudi prochain.

Je retrouve ma femme, le week-end se passe, je respecte Martine qui dort presque tout le temps.
Dimanche, je reçois un SMS de Monique, Marie voudrait me voir, elle aurait le papier peint de sa chambre à refaire.

Lundi, 13 heures, je sonne chez Marie, elle me fait voir sa chambre, je pense que le chantier va durer après que je la fasse tomber sur son lit.
Elle voulait se sacrifier pour sa copine, inutile, je serais disponible, chaque fois qu’elle le voudra.

Mardi, je sonne chez Madeleine, elle m’ouvre en sous-vêtements coquins, m’attendait-elle, je le pense, car c’est elle qui me dirige vers son salon.
Elle s’assoit sur son canapé et recommence à me sucer après avoir ouvert ma braguette.
C’est elle qui s’allonge et qui me fait entrer en elle.

Mercredi, bonjour Monique, je voulais te voir.
Elle aussi, je la baise, je sais, c’est ma belle-mère, qui est la salope, moi ou elle qui entre en elle sans aucun scrupule.
En plus avant 16 heures, heure limite, elle m’offre sa rosette.

• À demain mon bel étalon.

Et oui demain, gagnant ou perdant, je serais gagnant, même si je dois me soumettre à ces trois bacchanales.

Mercredi, il est 18 heures, Martine est rentrée et est dans son bain.
Je bois un whisky mollement allongé sur mon canapé.
Elle me rejoint nue, je viens me sucer.
Et dire qu’il est de notoriété publique en France que les chômeurs sont des fainéants.
Heureusement, que je suis un sérial niqueur.

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