COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (2/3)
• J’accompagne ma belle-mère...
C’est sur ces mots que j’explique à cet homme espagnol qui m’offrait sa jeune femme, que c’est pour le plaisir de ma belle-mère prénommé Maggy que nous sommes entrés dans ce club échangiste.
J’avais eu la chance d’entendre et de filmer sur mon portable, Maggy faire des confidences à une amie de ses envies de luxure et je lui ai forcé un peu la main pour qu’elle reste au milieu de personnes goûtant leur liberté sexuelle.
Ma belle-mère, je l’aurais bien pilonnée avec mon sexe, mais deux choses me retiennent.
Ce que pourrait dire Maggy à sa fille et son mari demain soir lorsque nous arriverons à Marbella si j’en fais, ma maîtresse pourrait me poser des problèmes.
Surtout qu’une maîtresse attitrée j’en ai déjà une que je retrouverais au retour de nos vacances.
Ma femme, c’est Josy, nous avons trois enfants, elle voulait des enfants, j’étais capable de lui en faire, mais aussi de les élever grâce à ma situation de chef d’entreprise.
Ma maîtresse, c’est mademoiselle Rose, femme indépendante côté sexe et ma secrétaire nous permettant de baiser sans prendre le moindre risque familial.
En parlant avec Pedro, mon principal soussi c’est de regarder qui baise belle-maman, là elle est assez grande pour s’imposer.
En priorité, dans ce fatras de jambes et de bras, je surveille ceux qui la sautent le font bien couvert.
J’ai quelquefois partouzé avec Rose dans ce genre de club et je verrais mal ma belle-mère rapporter dans nos foyers quelques maladies foutant notre belle vie en l’air.
• Oh ! William, je m’éclate, c’est mieux que tous mes fantasmes, j’aie soif.
William, j’aimerais te bouffer la queue.
Ça fait plusieurs fois que Maggy vient vers nous, entre deux passages dans les bras de ceux qui veulent la baiser.
Pedro a mis une bouteille de champagne à la disposition des filles, elles viennent ensemble ou à tour de rôle boire quelques larmes de ce breuvage euphorisant à haute dose.
Haute dose, car la première vide, j’en remets une autre.
Avec Pedro, nous avons trouvé le moyen de parler sans la barrière des langues.
Il est industriel comme moi et l’anglais, il le parle aussi couramment que moi, ce qui facilite nos échanges professionnels.
2 000 pièces d’une première commande de notre EP67, composants indispensables au cours de notre siècle, dans nos voitures.
C’est moi avec mes ingénieurs qui aient mis ce produit au point, phare de nos fabrications et qu’il est difficile de trouver, j’envisage une extension de la fabrication de ce produit.
Cette commande avec potentiellement plusieurs autres va me permettre de mener ce projet à sa fin.
Je lui donne le numéro de Rose pour qu’il la joigne à la fin de nos vacances pour qu’elle prépare le contrat.
Je pense qu’il va falloir nous revoir, ce qui me donnera l’occasion de baiser Rose et le petit cul à la chatte noire de Manuela, sans la présence de Maggy me permettant toutes les audaces.
Il est deux heures lorsque repu de sexe, Maggy me rejoint après être passé à la douche pour retrouver la femme qu’elle était à son arrivée sauf qu’elle est plus que légèrement bourrée.
Je lui donne sa robe et sa petite culotte qu’elle remet avant de donner un dernier baiser à Manuela et à Pedro.
Si de mon côté j’ai fait des affaires, je constate que ma belle-maman a fait du chemin dans les bras de Lesbos, ses copines des lotos du mercredi devront bien se tenir.
Nul doute que quelques-unes d’entrent-elles, dames patronnesses sauront entretenir ce que j’ai déclenché en elle en l’emmenant réaliser ses fantasmes.
L’hôtel est proche, c’est en la soutenant que nous rejoignons nos chambres.
• Monsieur, c’est la réception, vous avez demandé d’être réveillé à 7 heures.
J’émerge, pourtant je suis resté sobre, merde, à qui sont ses pieds et ses bras s’agrippent à moi comme les sangsues s’attachent à vos jambes pour vous sucer le sang.
• William, te rends-tu compte de ce que nous avons fait, ma fille !
• Maggy il est temps de te poser des questions et de penser à ta fille.
Certes, je t’ai emmené dans un club échangiste réalisé tes fantasmes de sexe à plusieurs.
Souviens-toi lorsque nous sommes arrivés dans nos chambres tu as tenu à ce que la porte communicante reste ouverte.
C’est toi qui as tout fait pour te glisser dans mon lit pour me sucer la queue.
J’ai tout fait pour te repousser, justement, je te parlais de ta fille et tes petits-enfants.
Je dois reconnaitre, avoir fini par céder, tu risquais de réveiller tout l’hôtel tellement que tu beuglais que tu voulais que je te baise comme une chienne.
• J’ai un vague souvenir d’être venue te dire que ma chambre tournait, mais de là à te sucer la queue, es-tu bien sûr que nous l’avons fait !
• Que tu l’as fait, je te repoussais, mais tu voulais boire une dernière coupe de champagne au bout de ma verge.
Tu m’as sucé jusqu’à ce que je te remplisse la bouche et que tu avales tout.
• Ouf, si tu as déchargé dans ma bouche, j’ai évité à ce que l’on aille plus loin dans l’ignominie que j’aurais pu faire à ma fille et mes petits-enfants.
• Pense aussi à ton mari, mais détrompe-toi, met tes doigts dans ta chatte, tu y trouveras le sperme que j’y ai mis lorsque tu as tout fait pour que je te prenne « comme une chienne. »
C’est du moins ce que tu disais entre deux coups de langue sur ma verge bandée.
Je te disais que j’étais en panne de capote, tu en voulais tout de même, tu m’injuriais pour que je te baise, là encore, étant un homme faible, j’ai fini par céder sans capote.
• Et ça en est resté là !
• Pourquoi crois-tu que j’ai failli rester couché ce matin et si en rentrant cette nuit, j’avais oublié de demander à la réception de me réveiller, nous dormirions encore ?
On a remis le couvert une dernière fois, tu voulais que je te prenne en levrette.
Ce matin, tu pleurais me disant que Joseph, les rares fois où il se souvient que tu es sa femme pratique la position du missionnaire.
Je lui tape sur son joli petit cul, inutile de lui dire qu’à sa demande, je l’ai sodomisé lors de cette dernière reprise de ses envies de sexe et son fessier qu’elle faisait tourner devant moi.
• Vite, je retourne dans ma chambre, je vais faire fissa pour me préparer, si tu es prête avant moi, commence à déjeuner, je prendrais un croissant et nous pourrons partir.
C’est-ce que je fais, douche, habilement décontract, je suis en vacances et je suis en costume tout le reste de l’année.
Valise prête pour que le bagagiste les descende, comme dirait Jaco, le grand, cinq minutes chrono, j’exagère un peu, je mets dix minutes.
Jaco, c’était un champion et en plus il tirait un coup à ses dires.
Une heure, une heure à attendre, j’ai même le temps d’envoyer un SMS à Julie pour lui dire que nous allons décoller.
Dans la foulée je reçois une réponse nous souhaitant bonne route, je suis satisfait, j’évite de lui parler en direct, l’intonation de ma voix ayant pu me trahir.
• J’arrive, je suis confuse, je suis rentrée dans mon bain et je me suis légèrement assoupi, tu m’en as fait tellement voir cette nuit.
Je le disais à Violetta, tu te souviens, elle était à votre mariage.
Si je m’en souviens, c’est difficile, Violetta est l’une de ses dames patronnesses et elle a bu comme un trou finissant par en mettre plein la piste de danse.
On dirait que ces femmes dites de la haute bourgeoisie ont une certaine propension à abuser de la bouteille, elle aussi c’était du champagne.
• C’est elle qui m’a réveillé avec son appel, sinon je serais en retard, vas-y tu peux rouler.
C’est à ce moment que je me rends compte que Maggy me tutoie, à y bien y réfléchir, c’est encore un point de problème avec ma femme et mon beau-père à notre arrivée.
Pourquoi un tel changement, elle me vouvoie depuis le premier jour où je lui ai été présenté ?
À bien y regarder, je me suis mis dans la panade en emmenant Maggy dans cette boîte échangiste.
Hier, elle dormait sous l’effet des somnifères, aujourd’hui c’est en finissant de décuiter et de digérer tous les coups de bite qu’elle a pris dans sa chatte, dans la boîte, qu’elle dort.
Sans compter les coups de langue par les femmes présentent lors de leur orgie.
D’un coup sa tête penche sur mon épaule, je sens sa main venir sur ma queue, j’ai déclenché une boulimie de sexe en elle, lorsque je dis que je me suis mis dans la merde.
Elle finit par lâcher quelques mots, plutôt souffler quelques mots.
• William, dis-moi, j’ai mal au cul, c’est toi à l’hôtel ou dans le club libertin qu’un de vous m’a baisé par l’anus.
C’est dans un souffle, car elle doit rêver qu’elle murmure ces mots, la voiture fait une embardée, ça la réveille !
• William, je rêvais, tu te rends compte, je me souviens qu’avant de m’endormir, tu m’as fait l’amour en me prenant en levrette et me perforant le cul.
• Belle-maman, que tu me tutoies, j’arriverais à trouver une histoire pour nous justifier, mais si tu leur parles de ton cul, je crois que les choses vont mal se passer avec Joseph et ta fille Julie.
Fait attention que cette nuit pourrait te faire dire des choses qui pourraient être interprétées par le reste de notre famille et qui y foutrait le bordel.
• J’en suis consciente, mais si tu savais comme tu m’as fait découvrir des choses réalisant mes fantasmes les plus profonds, je t’en remercie.
Regarde au lieu de descendre vers Málaga, prenons la route par Cordoue et nous passerons dans les orangeraies, pour rejoindre Marbella.
• Ça va nous mettre en retard belle mam...
C’est dur de dire « belle maman » à celle à qui l’on a cassé le cul la nuit précédente...
C’est sur ces mots que j’explique à cet homme espagnol qui m’offrait sa jeune femme, que c’est pour le plaisir de ma belle-mère prénommé Maggy que nous sommes entrés dans ce club échangiste.
J’avais eu la chance d’entendre et de filmer sur mon portable, Maggy faire des confidences à une amie de ses envies de luxure et je lui ai forcé un peu la main pour qu’elle reste au milieu de personnes goûtant leur liberté sexuelle.
Ma belle-mère, je l’aurais bien pilonnée avec mon sexe, mais deux choses me retiennent.
Ce que pourrait dire Maggy à sa fille et son mari demain soir lorsque nous arriverons à Marbella si j’en fais, ma maîtresse pourrait me poser des problèmes.
Surtout qu’une maîtresse attitrée j’en ai déjà une que je retrouverais au retour de nos vacances.
Ma femme, c’est Josy, nous avons trois enfants, elle voulait des enfants, j’étais capable de lui en faire, mais aussi de les élever grâce à ma situation de chef d’entreprise.
Ma maîtresse, c’est mademoiselle Rose, femme indépendante côté sexe et ma secrétaire nous permettant de baiser sans prendre le moindre risque familial.
En parlant avec Pedro, mon principal soussi c’est de regarder qui baise belle-maman, là elle est assez grande pour s’imposer.
En priorité, dans ce fatras de jambes et de bras, je surveille ceux qui la sautent le font bien couvert.
J’ai quelquefois partouzé avec Rose dans ce genre de club et je verrais mal ma belle-mère rapporter dans nos foyers quelques maladies foutant notre belle vie en l’air.
• Oh ! William, je m’éclate, c’est mieux que tous mes fantasmes, j’aie soif.
William, j’aimerais te bouffer la queue.
Ça fait plusieurs fois que Maggy vient vers nous, entre deux passages dans les bras de ceux qui veulent la baiser.
Pedro a mis une bouteille de champagne à la disposition des filles, elles viennent ensemble ou à tour de rôle boire quelques larmes de ce breuvage euphorisant à haute dose.
Haute dose, car la première vide, j’en remets une autre.
Avec Pedro, nous avons trouvé le moyen de parler sans la barrière des langues.
Il est industriel comme moi et l’anglais, il le parle aussi couramment que moi, ce qui facilite nos échanges professionnels.
2 000 pièces d’une première commande de notre EP67, composants indispensables au cours de notre siècle, dans nos voitures.
C’est moi avec mes ingénieurs qui aient mis ce produit au point, phare de nos fabrications et qu’il est difficile de trouver, j’envisage une extension de la fabrication de ce produit.
Cette commande avec potentiellement plusieurs autres va me permettre de mener ce projet à sa fin.
Je lui donne le numéro de Rose pour qu’il la joigne à la fin de nos vacances pour qu’elle prépare le contrat.
Je pense qu’il va falloir nous revoir, ce qui me donnera l’occasion de baiser Rose et le petit cul à la chatte noire de Manuela, sans la présence de Maggy me permettant toutes les audaces.
Il est deux heures lorsque repu de sexe, Maggy me rejoint après être passé à la douche pour retrouver la femme qu’elle était à son arrivée sauf qu’elle est plus que légèrement bourrée.
Je lui donne sa robe et sa petite culotte qu’elle remet avant de donner un dernier baiser à Manuela et à Pedro.
Si de mon côté j’ai fait des affaires, je constate que ma belle-maman a fait du chemin dans les bras de Lesbos, ses copines des lotos du mercredi devront bien se tenir.
Nul doute que quelques-unes d’entrent-elles, dames patronnesses sauront entretenir ce que j’ai déclenché en elle en l’emmenant réaliser ses fantasmes.
L’hôtel est proche, c’est en la soutenant que nous rejoignons nos chambres.
• Monsieur, c’est la réception, vous avez demandé d’être réveillé à 7 heures.
J’émerge, pourtant je suis resté sobre, merde, à qui sont ses pieds et ses bras s’agrippent à moi comme les sangsues s’attachent à vos jambes pour vous sucer le sang.
• William, te rends-tu compte de ce que nous avons fait, ma fille !
• Maggy il est temps de te poser des questions et de penser à ta fille.
Certes, je t’ai emmené dans un club échangiste réalisé tes fantasmes de sexe à plusieurs.
Souviens-toi lorsque nous sommes arrivés dans nos chambres tu as tenu à ce que la porte communicante reste ouverte.
C’est toi qui as tout fait pour te glisser dans mon lit pour me sucer la queue.
J’ai tout fait pour te repousser, justement, je te parlais de ta fille et tes petits-enfants.
Je dois reconnaitre, avoir fini par céder, tu risquais de réveiller tout l’hôtel tellement que tu beuglais que tu voulais que je te baise comme une chienne.
• J’ai un vague souvenir d’être venue te dire que ma chambre tournait, mais de là à te sucer la queue, es-tu bien sûr que nous l’avons fait !
• Que tu l’as fait, je te repoussais, mais tu voulais boire une dernière coupe de champagne au bout de ma verge.
Tu m’as sucé jusqu’à ce que je te remplisse la bouche et que tu avales tout.
• Ouf, si tu as déchargé dans ma bouche, j’ai évité à ce que l’on aille plus loin dans l’ignominie que j’aurais pu faire à ma fille et mes petits-enfants.
• Pense aussi à ton mari, mais détrompe-toi, met tes doigts dans ta chatte, tu y trouveras le sperme que j’y ai mis lorsque tu as tout fait pour que je te prenne « comme une chienne. »
C’est du moins ce que tu disais entre deux coups de langue sur ma verge bandée.
Je te disais que j’étais en panne de capote, tu en voulais tout de même, tu m’injuriais pour que je te baise, là encore, étant un homme faible, j’ai fini par céder sans capote.
• Et ça en est resté là !
• Pourquoi crois-tu que j’ai failli rester couché ce matin et si en rentrant cette nuit, j’avais oublié de demander à la réception de me réveiller, nous dormirions encore ?
On a remis le couvert une dernière fois, tu voulais que je te prenne en levrette.
Ce matin, tu pleurais me disant que Joseph, les rares fois où il se souvient que tu es sa femme pratique la position du missionnaire.
Je lui tape sur son joli petit cul, inutile de lui dire qu’à sa demande, je l’ai sodomisé lors de cette dernière reprise de ses envies de sexe et son fessier qu’elle faisait tourner devant moi.
• Vite, je retourne dans ma chambre, je vais faire fissa pour me préparer, si tu es prête avant moi, commence à déjeuner, je prendrais un croissant et nous pourrons partir.
C’est-ce que je fais, douche, habilement décontract, je suis en vacances et je suis en costume tout le reste de l’année.
Valise prête pour que le bagagiste les descende, comme dirait Jaco, le grand, cinq minutes chrono, j’exagère un peu, je mets dix minutes.
Jaco, c’était un champion et en plus il tirait un coup à ses dires.
Une heure, une heure à attendre, j’ai même le temps d’envoyer un SMS à Julie pour lui dire que nous allons décoller.
Dans la foulée je reçois une réponse nous souhaitant bonne route, je suis satisfait, j’évite de lui parler en direct, l’intonation de ma voix ayant pu me trahir.
• J’arrive, je suis confuse, je suis rentrée dans mon bain et je me suis légèrement assoupi, tu m’en as fait tellement voir cette nuit.
Je le disais à Violetta, tu te souviens, elle était à votre mariage.
Si je m’en souviens, c’est difficile, Violetta est l’une de ses dames patronnesses et elle a bu comme un trou finissant par en mettre plein la piste de danse.
On dirait que ces femmes dites de la haute bourgeoisie ont une certaine propension à abuser de la bouteille, elle aussi c’était du champagne.
• C’est elle qui m’a réveillé avec son appel, sinon je serais en retard, vas-y tu peux rouler.
C’est à ce moment que je me rends compte que Maggy me tutoie, à y bien y réfléchir, c’est encore un point de problème avec ma femme et mon beau-père à notre arrivée.
Pourquoi un tel changement, elle me vouvoie depuis le premier jour où je lui ai été présenté ?
À bien y regarder, je me suis mis dans la panade en emmenant Maggy dans cette boîte échangiste.
Hier, elle dormait sous l’effet des somnifères, aujourd’hui c’est en finissant de décuiter et de digérer tous les coups de bite qu’elle a pris dans sa chatte, dans la boîte, qu’elle dort.
Sans compter les coups de langue par les femmes présentent lors de leur orgie.
D’un coup sa tête penche sur mon épaule, je sens sa main venir sur ma queue, j’ai déclenché une boulimie de sexe en elle, lorsque je dis que je me suis mis dans la merde.
Elle finit par lâcher quelques mots, plutôt souffler quelques mots.
• William, dis-moi, j’ai mal au cul, c’est toi à l’hôtel ou dans le club libertin qu’un de vous m’a baisé par l’anus.
C’est dans un souffle, car elle doit rêver qu’elle murmure ces mots, la voiture fait une embardée, ça la réveille !
• William, je rêvais, tu te rends compte, je me souviens qu’avant de m’endormir, tu m’as fait l’amour en me prenant en levrette et me perforant le cul.
• Belle-maman, que tu me tutoies, j’arriverais à trouver une histoire pour nous justifier, mais si tu leur parles de ton cul, je crois que les choses vont mal se passer avec Joseph et ta fille Julie.
Fait attention que cette nuit pourrait te faire dire des choses qui pourraient être interprétées par le reste de notre famille et qui y foutrait le bordel.
• J’en suis consciente, mais si tu savais comme tu m’as fait découvrir des choses réalisant mes fantasmes les plus profonds, je t’en remercie.
Regarde au lieu de descendre vers Málaga, prenons la route par Cordoue et nous passerons dans les orangeraies, pour rejoindre Marbella.
• Ça va nous mettre en retard belle mam...
C’est dur de dire « belle maman » à celle à qui l’on a cassé le cul la nuit précédente...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, evé à 5 heures, je dors peu, j'ai écris un chapitre d'une histoire qui a déjà 5 chapitres, eut être 6 ou 7 nous verrons.
Je suis fan de tes écrits mon cher Chris
Cyrille
Cyrille