COLLECTION BLACK. 48 heures de grève (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. 48 heures de grève (1/1)
« À la suite d’un mouvement de grève touchant les pilotes et les contrôleurs aériens, l'ensemble des vols sont annulés pour une durée de 48 heures. »
- Pilotes et contrôleurs, je ne vois pas le rapport !
- Pilotes et contrôleurs, quel rapport !
Je regarde mon voisin et nous éclatons de rire, à quelques mots prêts nous prononçons les mêmes mots sur la même interrogation.
- Amadou Traoré, j’étais en France pour une conférence sur le climat et me voilà bloqué pour 48 heures ici.
Mon patron le président du Sénégal va être obligé d’attendre mon rapport.
- Jennifer Dupont, en partance pour votre pays où je vais rejoindre mon mari en mission pour six mois pour notre gouvernement.
- Nous sommes des diplomates tous les deux, Dupont, je n’en connais pas dans notre sphère.
C’est sûr, Jennifer c’est vrai mais Dupont c’est le premier nom qui m’est venu quand ce grand black en costume cravate m’a donné le sien.
Il aurait dit Amadou, je lui aurais dit Jennifer et c’est tout, nos prénoms nous suffisent pour le peu de temps que nous avons à nous voir.
Certes il est beau gosse, mais je suis amoureuse de mon mari c’est pour cela que profitant de ce week-end prolongé du 1er mai, sans me poser de question, je suis partie de Bordeaux où nous habitons Nicolas et moi.
Nicolas travaille bien pour la France, mais son service a été décentralisé à Bordeaux où il m’a rencontré.
Mes parents tenaient une boutique de chaussures où mon mari est venu acheter une paire neuve.
Je les aidais les samedis matin étant en dernière année de droit ayant eu mon diplôme en fin d’année.
Nous avons beau avoir des amis, je suis au chômage, mais dès que je rentre j’ai un entretien dans le plus grand cabinet de la ville.
C’est pour le dire à Nicolas, que j’ai pris un avion pour Paris où nous faisons escale avant de continuer sur le Sénégal.
Amadou sort son portable.
- Hôtel Mercure, avez-vous des chambres encore libres ?
Il écoute.
- Plus qu’une à deux petits lits, je la prends je valide la réservation.
Je viens dans quelques minutes.
Il écoute.
- Pas avant 14 heures, vous faite les chambres.
Aucun problème puisque la transaction va être validée.
Merci.
Il rentre son portable dans sa veste de costume en Tergal.
- Vous m’excusez Jennifer, je me suis trouvé pris dans une grève et j’ai couché quatre jours dans une salle d’aéroport, tous les hôtels étaient complets en cinq minutes.
Voyez, j’ai eu la dernière chambre au Mercure.
- Vous connaissez d’autres hôtels où je pourrais me renseigner ?
- J’interroge l’application de mon smartphone que je viens d’interroger, ils m’ont orienté sur le Mercure.
Complet, complet, complet.
Plus une chambre.
Ma pauvre vous allez coucher ici.
Mais je suis un gentleman, c’est moi qui coucherais ici, je vous conduirais à l’hôtel à 14 heures pour vous donner ma chambre.
- Hors de question, j’ai entendu que votre chambre avait deux petits lits.
J’accepte votre invitation, vous avez aussi dit que vous étiez un gentleman.
- D’accord, surtout que nous serons prévenus par mes applications si la grève s’arrête et que le service est de retour.
Mais à une seule condition, je vous invite au restaurant ce midi.
C’est ainsi que je me retrouve au bar puis à une table du restaurant de l’hôtel en présence de ce grand noir.
Ma copine Susy quand nous étions adolescentes a connu un de ces blacks.
C’était l’un des peintres qui ravalait la façade de l’immeuble de ses parents.
Il faisait chaud et un matin où elle est rentrée plus tôt que prévu, elle est allée dans leur salle de bain.
Il était entré par la fenêtre que sa mère avait laissée ouverte.
Il se savonnait mais avant qu’il ne s’aperçoive de sa présence, il s’occupait de sa queue qui était tendue.
Elle m’en parle souvent, presque chaque fois que nous nous voyons me montrant son avant-bras.
Mon black est-il monté comme lui, avec la grosseur de son poignet.
Certes, elle est fluette mais tout de même si cela est vrai, elle a vu un sexe hors du commun.
Je pense à ça lors du repas.
Je dois reconnaître que si j’avais l’occasion de mettre ma main dans ma chatte, elle serait ruisselante.
Heureusement j’ai Nicolas avec lequel je vais passer un jour de moins.
C’est à table que je reçois le coup de fil.
- Nicolas, c’est toi, tu viens d’apprendre pour les grèves.
« Où es-tu ? »- Je suis à Paris à Roissy.
« Comment vas-tu faire ce soir ? »- J’ai pu trouver une chambre à l’hôtel Mercure, par chance c’était la dernière.
Ils me préviendront si la grève prend fin et que les vols redémarrent.
« Tu aurais pu aller chez ta tante Adeline à Neuilly. »- Hors de question, tu sais que je ne peux pas la voir et que je ne serais pas prévenue si je peux partir te rejoindre mon amour.
J’ai hâte que tu me prennes dans tes bras, il y a si longtemps.
« Attention mon cœur, tu sais de ce que je serais capable si tu me trompais.
Je rigole mon amour, j’ai pleine confiance en toi. »- Je sais chéri, comme j'ai confiance en toi.
À demain j’espère.
Il raccroche, je raccroche.
- Après ce que je viens d’entendre à moitié, mais très compréhensif par tes réponses, je pense que nous pouvons nous tutoyer Jennifer.
- Il est l’heure allons récupérer notre chambre.
Tous ces chamboulements m’ont crevé et ce repas fort sympa, me faisant voir qu’une jeune femme comme toi pouvait mentir sans qu’elle montre le moindre gène m’a donné l’envie de dormir.
Si tu le veux, nous allons faire une sieste, jusqu’à 18 heures où nous reviendrons ici aux nouvelles.
Nous rejoignons l’hôtel, la chambre est prête.
Amadou la règle et demande une note de frais.
Moi, j’aurais été obligé de faire des démarches pour me faire rembourser.
- Lit droit ou gauche ?
- Peu importe, je vais aller me doucher à moins que tu souhaites y aller avant.
- Non, j’irais après, la seule chose que je te demande c’est un peu délicat.
- J’ai compris, tu souhaites aller aux toilettes et il n’y a qu’une seule pièce.
Quand je dis que ce grand black est très bien éduqué.
Je m’isole et je reviens dans la pièce, il a ouvert sa valise et en a sorti un boxer propre.
J’aime les hommes portant des boxers, j’essaye que Nicolas en porte mais il reste slip.
Heureusement surtout pas kangourou.
Il est vrai que ça moule les formes mais j’ai vu un reportage disant que les spermatozoïdes sont confinés dans ces écrins et que cela les anéantis.
Je veux des bébés et il serait mal venu qu’il ait attenté à leur vie.
Il est rapide, il sort de la salle de bains je peux admirer sa masse musculaire mais hélas, le boxer me cache la chose qui m’interpelle.
Quand je prends ma douche à mon tour, je suis plus que troublée.
Les propos de Susy me hantent.
J’arrive dans la chambre ayant remis mes affaires, un reste de pudeur.
Il est allongé, j’entends un léger ronflement.
Son sous-vêtement fait toile de tente.
Je m’assieds sur mon lit, à deux doigts de tenter l’irréparable.
L’irréparable, je le fais quand ma main s’avance et que je fais glisser légèrement l’élastique vers le bas.
Son ronflement s’interrompt quelques secondes pour mieux repartir.
Je tire, elle sort identique à ce que m’en a dit Susy, à un détail près.
Elle est plus grande que la sienne et mon poignet est plus épais que le sien.
J’avance ma bouche, seul le gland entre.
Là, je viens de franchir une étape vers ma folie.
Je suce régulièrement Nicolas, j’arrive à lui faire des gorges profondes.
Là même si j’y mets du mien, ce sera impossible aussi l’ayant entièrement sortie, je la lèche des couilles à sa pointe.
J’enlève le bouton retenant mon pantalon pour glisser ma main.
Je n’ai jamais autant mouillé.
Je sens une main sur ma tête, les ronflements s’arrêtent, mon black est réveillé et semble en vouloir plus.
Je lui donne tout, quel plaisir de me faire défoncer une fois que je me sois dénudé et que je l’ai enfoncé en moi.
Avec mon cocu de mari, je n’ai jamais senti mon utérus compressé, c’est le cas avec Amadou.
C’est un merveilleux amant.
Pendant trois jours je profite de cette hampe hors du commun.
J’adore qu’il me prenne en levrette.
Un moment, je sens son gland sur mon anus.
Nicolas ne m’a jamais formé à la sodomie, mais au moment où il entre de nouveau dans ma chatte, je suis satisfaite me souvenant de l’épaisseur de mon poignet.
Trois jours car un message reçu nous prévient de la reconduction de la grève pour vingt-quatre heures de plus.
Trois jours à nous faire servir des repas dans la chambre par le roomservice ?
- Allo, Nicolas, c’est fichu, je repars à Bordeaux.
Je sais je suis aussi malheureuse que toi, j’avais tellement rêvé de nos retrouvailles.
On se retrouve lorsque tu rentres.
Vous allez penser que j’ai tout plaqué pour suivre Amadou à Dakar.
Vous vous trompez, je suis rentrée à Bordeaux mais après trois jours de plus à vivre dans cette chambre.
Je suis en ce moment dans l’aérogare de Roissy, Amadou venant de passer le contrôle pour rejoindre son pays.
J’ai la chatte bien défoncée du pieu qui m’a prise me faisant hurler de plaisir, mais mon avion de retour est annoncé.
La seule promesse que j’ai faite à Amadou Goloko par Jennifer Martin c’est de trouver le moyen de venir au Sénégal en vacances et de pouvoir se revoir dans le dos de mon mari.
Ce sera facile, il suffira que je lui propose de m’emmener dans cette ville de Dakar dont il me parle chaque fois que nous sommes sur nos portables.
Il me fera visiter, le marché des pécheurs et de l’art artisanal sénégalais où je pourrais acheter des objets en ébène ou des sacs en crocodile.
Il a le mal de mer, je lui proposerais d’aller à Gorée l’île en face de Dakar.
Amadou m’en a parlé, il pourra réserver un hôtel pour l’après-midi où je retrouverais sa queue gigantesque.
- Jennifer !
- Oui Susy.
- Tu sais que j’ai toujours mon fantasme des bites noires et énormes.
Je me demande si je ne vais pas le réaliser.
Ils viennent de monter un échafaudage le long de mon immeuble pour ravaler.
Si ça te dit, j’ai repéré deux balaises bien noirs comme de l’ébène, viens passer quelques jours en attendant le retour de Nicolas.
Eh ! Eh ! pourquoi attendre de me rendre à Dakar.
- Pilotes et contrôleurs, je ne vois pas le rapport !
- Pilotes et contrôleurs, quel rapport !
Je regarde mon voisin et nous éclatons de rire, à quelques mots prêts nous prononçons les mêmes mots sur la même interrogation.
- Amadou Traoré, j’étais en France pour une conférence sur le climat et me voilà bloqué pour 48 heures ici.
Mon patron le président du Sénégal va être obligé d’attendre mon rapport.
- Jennifer Dupont, en partance pour votre pays où je vais rejoindre mon mari en mission pour six mois pour notre gouvernement.
- Nous sommes des diplomates tous les deux, Dupont, je n’en connais pas dans notre sphère.
C’est sûr, Jennifer c’est vrai mais Dupont c’est le premier nom qui m’est venu quand ce grand black en costume cravate m’a donné le sien.
Il aurait dit Amadou, je lui aurais dit Jennifer et c’est tout, nos prénoms nous suffisent pour le peu de temps que nous avons à nous voir.
Certes il est beau gosse, mais je suis amoureuse de mon mari c’est pour cela que profitant de ce week-end prolongé du 1er mai, sans me poser de question, je suis partie de Bordeaux où nous habitons Nicolas et moi.
Nicolas travaille bien pour la France, mais son service a été décentralisé à Bordeaux où il m’a rencontré.
Mes parents tenaient une boutique de chaussures où mon mari est venu acheter une paire neuve.
Je les aidais les samedis matin étant en dernière année de droit ayant eu mon diplôme en fin d’année.
Nous avons beau avoir des amis, je suis au chômage, mais dès que je rentre j’ai un entretien dans le plus grand cabinet de la ville.
C’est pour le dire à Nicolas, que j’ai pris un avion pour Paris où nous faisons escale avant de continuer sur le Sénégal.
Amadou sort son portable.
- Hôtel Mercure, avez-vous des chambres encore libres ?
Il écoute.
- Plus qu’une à deux petits lits, je la prends je valide la réservation.
Je viens dans quelques minutes.
Il écoute.
- Pas avant 14 heures, vous faite les chambres.
Aucun problème puisque la transaction va être validée.
Merci.
Il rentre son portable dans sa veste de costume en Tergal.
- Vous m’excusez Jennifer, je me suis trouvé pris dans une grève et j’ai couché quatre jours dans une salle d’aéroport, tous les hôtels étaient complets en cinq minutes.
Voyez, j’ai eu la dernière chambre au Mercure.
- Vous connaissez d’autres hôtels où je pourrais me renseigner ?
- J’interroge l’application de mon smartphone que je viens d’interroger, ils m’ont orienté sur le Mercure.
Complet, complet, complet.
Plus une chambre.
Ma pauvre vous allez coucher ici.
Mais je suis un gentleman, c’est moi qui coucherais ici, je vous conduirais à l’hôtel à 14 heures pour vous donner ma chambre.
- Hors de question, j’ai entendu que votre chambre avait deux petits lits.
J’accepte votre invitation, vous avez aussi dit que vous étiez un gentleman.
- D’accord, surtout que nous serons prévenus par mes applications si la grève s’arrête et que le service est de retour.
Mais à une seule condition, je vous invite au restaurant ce midi.
C’est ainsi que je me retrouve au bar puis à une table du restaurant de l’hôtel en présence de ce grand noir.
Ma copine Susy quand nous étions adolescentes a connu un de ces blacks.
C’était l’un des peintres qui ravalait la façade de l’immeuble de ses parents.
Il faisait chaud et un matin où elle est rentrée plus tôt que prévu, elle est allée dans leur salle de bain.
Il était entré par la fenêtre que sa mère avait laissée ouverte.
Il se savonnait mais avant qu’il ne s’aperçoive de sa présence, il s’occupait de sa queue qui était tendue.
Elle m’en parle souvent, presque chaque fois que nous nous voyons me montrant son avant-bras.
Mon black est-il monté comme lui, avec la grosseur de son poignet.
Certes, elle est fluette mais tout de même si cela est vrai, elle a vu un sexe hors du commun.
Je pense à ça lors du repas.
Je dois reconnaître que si j’avais l’occasion de mettre ma main dans ma chatte, elle serait ruisselante.
Heureusement j’ai Nicolas avec lequel je vais passer un jour de moins.
C’est à table que je reçois le coup de fil.
- Nicolas, c’est toi, tu viens d’apprendre pour les grèves.
« Où es-tu ? »- Je suis à Paris à Roissy.
« Comment vas-tu faire ce soir ? »- J’ai pu trouver une chambre à l’hôtel Mercure, par chance c’était la dernière.
Ils me préviendront si la grève prend fin et que les vols redémarrent.
« Tu aurais pu aller chez ta tante Adeline à Neuilly. »- Hors de question, tu sais que je ne peux pas la voir et que je ne serais pas prévenue si je peux partir te rejoindre mon amour.
J’ai hâte que tu me prennes dans tes bras, il y a si longtemps.
« Attention mon cœur, tu sais de ce que je serais capable si tu me trompais.
Je rigole mon amour, j’ai pleine confiance en toi. »- Je sais chéri, comme j'ai confiance en toi.
À demain j’espère.
Il raccroche, je raccroche.
- Après ce que je viens d’entendre à moitié, mais très compréhensif par tes réponses, je pense que nous pouvons nous tutoyer Jennifer.
- Il est l’heure allons récupérer notre chambre.
Tous ces chamboulements m’ont crevé et ce repas fort sympa, me faisant voir qu’une jeune femme comme toi pouvait mentir sans qu’elle montre le moindre gène m’a donné l’envie de dormir.
Si tu le veux, nous allons faire une sieste, jusqu’à 18 heures où nous reviendrons ici aux nouvelles.
Nous rejoignons l’hôtel, la chambre est prête.
Amadou la règle et demande une note de frais.
Moi, j’aurais été obligé de faire des démarches pour me faire rembourser.
- Lit droit ou gauche ?
- Peu importe, je vais aller me doucher à moins que tu souhaites y aller avant.
- Non, j’irais après, la seule chose que je te demande c’est un peu délicat.
- J’ai compris, tu souhaites aller aux toilettes et il n’y a qu’une seule pièce.
Quand je dis que ce grand black est très bien éduqué.
Je m’isole et je reviens dans la pièce, il a ouvert sa valise et en a sorti un boxer propre.
J’aime les hommes portant des boxers, j’essaye que Nicolas en porte mais il reste slip.
Heureusement surtout pas kangourou.
Il est vrai que ça moule les formes mais j’ai vu un reportage disant que les spermatozoïdes sont confinés dans ces écrins et que cela les anéantis.
Je veux des bébés et il serait mal venu qu’il ait attenté à leur vie.
Il est rapide, il sort de la salle de bains je peux admirer sa masse musculaire mais hélas, le boxer me cache la chose qui m’interpelle.
Quand je prends ma douche à mon tour, je suis plus que troublée.
Les propos de Susy me hantent.
J’arrive dans la chambre ayant remis mes affaires, un reste de pudeur.
Il est allongé, j’entends un léger ronflement.
Son sous-vêtement fait toile de tente.
Je m’assieds sur mon lit, à deux doigts de tenter l’irréparable.
L’irréparable, je le fais quand ma main s’avance et que je fais glisser légèrement l’élastique vers le bas.
Son ronflement s’interrompt quelques secondes pour mieux repartir.
Je tire, elle sort identique à ce que m’en a dit Susy, à un détail près.
Elle est plus grande que la sienne et mon poignet est plus épais que le sien.
J’avance ma bouche, seul le gland entre.
Là, je viens de franchir une étape vers ma folie.
Je suce régulièrement Nicolas, j’arrive à lui faire des gorges profondes.
Là même si j’y mets du mien, ce sera impossible aussi l’ayant entièrement sortie, je la lèche des couilles à sa pointe.
J’enlève le bouton retenant mon pantalon pour glisser ma main.
Je n’ai jamais autant mouillé.
Je sens une main sur ma tête, les ronflements s’arrêtent, mon black est réveillé et semble en vouloir plus.
Je lui donne tout, quel plaisir de me faire défoncer une fois que je me sois dénudé et que je l’ai enfoncé en moi.
Avec mon cocu de mari, je n’ai jamais senti mon utérus compressé, c’est le cas avec Amadou.
C’est un merveilleux amant.
Pendant trois jours je profite de cette hampe hors du commun.
J’adore qu’il me prenne en levrette.
Un moment, je sens son gland sur mon anus.
Nicolas ne m’a jamais formé à la sodomie, mais au moment où il entre de nouveau dans ma chatte, je suis satisfaite me souvenant de l’épaisseur de mon poignet.
Trois jours car un message reçu nous prévient de la reconduction de la grève pour vingt-quatre heures de plus.
Trois jours à nous faire servir des repas dans la chambre par le roomservice ?
- Allo, Nicolas, c’est fichu, je repars à Bordeaux.
Je sais je suis aussi malheureuse que toi, j’avais tellement rêvé de nos retrouvailles.
On se retrouve lorsque tu rentres.
Vous allez penser que j’ai tout plaqué pour suivre Amadou à Dakar.
Vous vous trompez, je suis rentrée à Bordeaux mais après trois jours de plus à vivre dans cette chambre.
Je suis en ce moment dans l’aérogare de Roissy, Amadou venant de passer le contrôle pour rejoindre son pays.
J’ai la chatte bien défoncée du pieu qui m’a prise me faisant hurler de plaisir, mais mon avion de retour est annoncé.
La seule promesse que j’ai faite à Amadou Goloko par Jennifer Martin c’est de trouver le moyen de venir au Sénégal en vacances et de pouvoir se revoir dans le dos de mon mari.
Ce sera facile, il suffira que je lui propose de m’emmener dans cette ville de Dakar dont il me parle chaque fois que nous sommes sur nos portables.
Il me fera visiter, le marché des pécheurs et de l’art artisanal sénégalais où je pourrais acheter des objets en ébène ou des sacs en crocodile.
Il a le mal de mer, je lui proposerais d’aller à Gorée l’île en face de Dakar.
Amadou m’en a parlé, il pourra réserver un hôtel pour l’après-midi où je retrouverais sa queue gigantesque.
- Jennifer !
- Oui Susy.
- Tu sais que j’ai toujours mon fantasme des bites noires et énormes.
Je me demande si je ne vais pas le réaliser.
Ils viennent de monter un échafaudage le long de mon immeuble pour ravaler.
Si ça te dit, j’ai repéré deux balaises bien noirs comme de l’ébène, viens passer quelques jours en attendant le retour de Nicolas.
Eh ! Eh ! pourquoi attendre de me rendre à Dakar.
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