COLLECTION BLACK. Black and black. Moment de vérité. (2/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION BLACK. Black and black. Moment de vérité. (2/7)
Je viens de manquer de me noyer, Jason est mon sauveur, bien qu’il doive avoir une dizaine d’années de plus que moi, est exactement le type d’homme devant lequel je fantasme.
C’est à la piscine d’Aras que j’ai vu pour la première fois un grand homme noir s’astiquer une queue gigantesque dans les douches.
Après être passés voir maman et mon futur beau-père, Jason et moi retournons dans la mer où je saute et finis par me retrouver sur sa poitrine, sentant sa queue venir contre mon intimité.
- Attention fifille, on est sur une plage naturiste mais l’exhibitionnisme est encore interdit à ce jour même si ici au Cap-d’Agde nous soyons dans une ville assez libertine.
Comment répondre sans paraître libertine moi-même alors que je suis le stéréotype de la jeune femme coincée avec mon pucelage de vingt-deux ans d’âge, frustrant, à l’inverse d’un bon whisky.
- Mon hôtel est à deux pas et ma chambre climatisée, j’ai envie de toi.
Moi aussi, mais tu vas être surpris, si je te suis tu vas trouver sur ton lit des taches après avoir été le premier homme à me pourfendre surtout avec le pieu que je vois au repos devant moi.
Je pense ces mots, mais je me tais, je lui prends la main pour lui faire comprendre que je suis prête au grand sacrifice qu’il ignore bien sûr.
Nous repassons près de nos serviettes et ayant de la chance, Robert est parti se baigner pendant que maman se trempe le bout des pieds, à 30° l’eau sera toujours froide pour elle.
Je remets mon petit carré cachant ma fente glabre depuis que maman m’a fait épiler hier.
J’ai à peine fait cent mètres que la peur commence à m’envahir, les questions se bousculent dans mon cerveau.
Dois-je lui dire que je suis vierge ?
Devrais-je me dévêtir toute seule bien que mon maillot taille mini soit facile à enlever ?
Aura-t-il une capote car il est inutile qu’il essaye sans en placer une sur sa verge ?
Voudra-t-il que je lui mette, montrant mon ignorance ?
Autant de questions que j’aurais évitées, si j’avais baisé plus jeune avec un jeune coq sur le siège arrière d’une voiture.
Mais dans mon état les mètres restants me semblent une éternité surtout à la porte de l’hôtel où le jeune réceptionniste me regarde pensant certainement.
« Tiens cette salope va aller se faire baiser surtout par un noir bien membré. »
Du moins c’est ce qu’il voit en regardant le maillot de bain de Jason.
L’ascenseur se passe bien, mon futur amant me prend la bouche dans ses grosses lèvres et notre premier baiser m’aide car je perds la notion d’où je suis et où je vais.
La porte ouverte, les quelques mètres qui me séparent du lit sont autant de problème pour moi.
Dois-je me baisser pour sortir sa queue de son slip de bain et la prendre dans ma bouche ?
Quand une femme suce, prend-elle la totalité de la verge dans sa cavité buccale au risque de mourir étouffée comme sur la plage tout à l’heure ?
Heureusement, j’ai choisi l’amant de tous les amants.
Il défait mon maillot et commence par m’embrasser les seins, léchant les pointes qui se durcissent.
Sa main en caresse un quand sa bouche s’occupe de l’autre.
Sa main libre finit par rejoindre mon vagin et un doigt inquisiteur vient pénétrer mes grandes lèvres.
Je mouille comme jamais et je sens ma cyprine dégouliner le long de mes jambes.
Jason sent une résistance au bout de ses doigts.
Il doit sentir mon état ayant un léger instant de flottement, mais doit penser qu’à mon âge il a mal senti.
Il me couche sur son lit et me fait écarter les cuisses afin que sa bouche et surtout sa langue vienne en moi.
Je me trémousse sous l’attaque et je dois reconnaître que mes doutes s’estompent de plus en plus.
Mon cerveau se déconnecte quand sous l’effet de cette langue un frisson me traverse allant même à la lisière de l’éclatement de mon plaisir.
Prestement il enlève l’un de mes doutes, quand je le vois avec ses dents de carnassier ôter la protection de la capote.
Il montre son expérience quand il la fait glisser sur ce sexe que j’ai soigneusement évité de toucher de peur, justement d’avoir peur.
Un nouveau baiser et je sens sa queue se présenter aux portes de mon pucelage qui va sauter dans les secondes suivantes.
J’ai peur, mais je savoure ce moment afin de garder le souvenir de la perte de mon hymen, principal instant dans la vie d’une jeune fille.
Sa main se saisit de son bâton qu’il fait coulisser de bas en haut avant de sentir qu’il peut avancer.
Mon obstacle naturel résiste l’empêchant de passer.
Je sais que c’est le moment de lui avouer mon état, je recule de peur une nouvelle fois qu’il refuse d’être le premier homme de ma jeune vie.
Mais comme tout à une fin, ma membrane cède et sa verge avance d’au moins dix centimètres m’arrachant un léger cri.
La peur revient en moi, même si je me dis que c’est fait, je suis une femme pour la vie, aussi c’est naturellement que j’entoure sa taille de mes jambes l’empêchant de se retirer.
Ayant franchi le barrage, en bon amant, il veut ma jouissance aussi c’est très doucement que je reçois au maximum de sa longueur, étonnée d’être aussi profonde.
Sa patience est récompensée quand du fin fond de mon corps un véritable orgasme me dévaste.
Il me reprend la bouche tellement je beugle mon plaisir, finissant par sentir ses traits de sperme remplir sa capote.
Je hurle mon plaisir mais mon amant, car maintenant c’est mon amant, lui aussi fait entendre son plaisir au moment où sa verge éclate.
Je suis en eau malgré la clim et de grosses gouttes perlent de son front venant tomber sur mes seins.
Il est toujours en moi, je sens qu’il reprend de la vigueur.
Je me laisse aller au gré de ses envies, quand il me demande de me mettre à quatre pattes, j’ai un instant de panique car je me souviens de maman qui demandait à Robert de la mettre dans son anus.
Mon doute s’estompe vite car c’est de nouveau ma chatte qu’il investit, si tout à l’heure, j’ai eu un peu mal, ce coup si je le reçois avec délice.
Est-ce la position mais je sens qu’il va plus profondément en moi si c’est possible, car je sens ses couilles me toucher les fesses chaque fois qu’il donne à sa queue un mouvement de piston.
Je suis folle, mais folle de plaisir quand mon ventre, voire tout mon être, explose une première puis une deuxième fois me laissant ruisselante.
Au moment où son méat laisse sortir de nouveaux jets, le doute me prend, la quantité du sperme expulsée dans sa capote les deux fois risque de la faire exploser, je me souviens mais un peu tard que j’ai oublié comme souvent de prendre ma pilule.
Je me la suis faite prescrire à dix-huit ans par ma gynéco.
J’y pense le peu de fois où j’aurais pu finir sur le siège d’une voiture, mais là aujourd’hui j’allais à la plage et j’étais loin de me douter que le moment de vérité était arrivé.
Enfin dégagé de son emprise, il s’allonge le sexe toujours bandé, comme je le craignais la capote est tendue à l’extrême, mais elle a tenu.
La couleur blanche du sperme contraste avec le noir de sa verge me faisant réaliser que je peux mettre le mot fin sur mon fantasme puisque mon amant est de la couleur tellement escomptée après la scène de la piscine.
Vu de près, il y a une grosse différence entre mon fantasme de l’homme black se masturbant dans les douches de la piscine et Jason.
J’ai tiré le gros lot car il est plus gigantesque.
Comment suis-je encore vivante après avoir fait entrer cette bite en moi ?
J’ai été passive, à son écoute les deux premières fois où il m’a baisé aussi je prends une initiative et je tire sur la base de la capote recouverte de mon sang, mais très légèrement.
Ce que je craignais arrive, elle explose littéralement propulsant du sperme autour de sa verge.
- Alors fifille, on fait l’apprentissage de la vie !
Merci de m’avoir permis d’être le premier.
Ces propos rassurants me donnent confiance, je me penche un peu plus, en commençant par son ventre musclé.
Il a des plaquettes de chocolat, comme nous les a montrés, lors d’un match de football contre le Portugal, un joueur, beau gosse, il est vrai.
Je le nettoie consciencieusement, retardant quelque peu le moment de m’occuper de celle qui m’attire, me faisant peur en même temps.
Je passe ma main et j’attrape un de ses testicules, les deux ayant du mal à entrer dans ma main.
Elle est poisseuse de son sperme et sans aucune pudeur, je la remonte avec ma langue pour finir par me lécher les doigts, le regardant dans les yeux.
- Petit cœur, tu étais vierge, merci de m’avoir attendu !
Être le premier pour une jeune fille, surtout ici au cap, me rend heureux J’ai bien fait de prendre une semaine de vacances.
Tu veux la prendre dans ta bouche, elle t’a donné du plaisir, pour une femme dès la première fois c’est exceptionnel.
- Oui, je la veux dans ma bouche mais je retardais le moment.
Depuis que tu m’as pris par la main, je vis tous ces instants avec passion.
Surtout je veux qu’ils soient gravés à tout instant en moi.
Tu as été si doux que je comprends pourquoi j’ai attendu d’avoir vingt-deux ans pour te trouver.
Je suis heureuse, je sens avec mon intuition féminine que quand il m’a pris la main c’est un sentiment profond qui semble l’avoir envahi et non pas une passade comme ils disent ici.
Enfin je franchis le pas, je commence par la sucer, récupérant au passage du sperme commençant à sécher et je le masturbe en même temps.
J’ai un peu de mal à coordonner les deux mouvements pour une première fois.
Qu’importe, je réussis à faire entrer une bonne longueur jusqu’à ma glotte alors que mon sexe, lui, semble l’avoir avalée entièrement.
À ce petit jeu, mon homme rebande ce qui est incroyable vu les deux décharges que mon corps lui a permis d’atteindre.
Comme il est sur le dos, sa flèche pointée vers le ciel, je fais un mouvement pour venir par-dessus et l’entrer en moi.
- Attends.
Mon homme est un homme bien et un homme plein de sang-froid, quand il attrape une capote sur la table de nuit.
- Vu que tu étais vierge, je suppose que c’est la première fois que tu vas mettre une capote à un garçon, entraîne-toi.
Il a de l’humour, je reviens dans ma position initiale où je le suçais, il me tend la capote.
J’ai déjà vu des films où une femme déchire l’enveloppe avec ses dents pour récupérer le rouleau de latex à placer sur le pieu.
J’en fais de même et je la place sur la tête de son nœud.
- Fais-la glisser avec tes lèvres en la prenant dans ta bouche, certes il est plus facile de la dérouler avec ses doigts mais avec ta bouche, te voir faire est plus jouissif pour les hommes donc pour moi…
Corriger par ma muse.
C’est à la piscine d’Aras que j’ai vu pour la première fois un grand homme noir s’astiquer une queue gigantesque dans les douches.
Après être passés voir maman et mon futur beau-père, Jason et moi retournons dans la mer où je saute et finis par me retrouver sur sa poitrine, sentant sa queue venir contre mon intimité.
- Attention fifille, on est sur une plage naturiste mais l’exhibitionnisme est encore interdit à ce jour même si ici au Cap-d’Agde nous soyons dans une ville assez libertine.
Comment répondre sans paraître libertine moi-même alors que je suis le stéréotype de la jeune femme coincée avec mon pucelage de vingt-deux ans d’âge, frustrant, à l’inverse d’un bon whisky.
- Mon hôtel est à deux pas et ma chambre climatisée, j’ai envie de toi.
Moi aussi, mais tu vas être surpris, si je te suis tu vas trouver sur ton lit des taches après avoir été le premier homme à me pourfendre surtout avec le pieu que je vois au repos devant moi.
Je pense ces mots, mais je me tais, je lui prends la main pour lui faire comprendre que je suis prête au grand sacrifice qu’il ignore bien sûr.
Nous repassons près de nos serviettes et ayant de la chance, Robert est parti se baigner pendant que maman se trempe le bout des pieds, à 30° l’eau sera toujours froide pour elle.
Je remets mon petit carré cachant ma fente glabre depuis que maman m’a fait épiler hier.
J’ai à peine fait cent mètres que la peur commence à m’envahir, les questions se bousculent dans mon cerveau.
Dois-je lui dire que je suis vierge ?
Devrais-je me dévêtir toute seule bien que mon maillot taille mini soit facile à enlever ?
Aura-t-il une capote car il est inutile qu’il essaye sans en placer une sur sa verge ?
Voudra-t-il que je lui mette, montrant mon ignorance ?
Autant de questions que j’aurais évitées, si j’avais baisé plus jeune avec un jeune coq sur le siège arrière d’une voiture.
Mais dans mon état les mètres restants me semblent une éternité surtout à la porte de l’hôtel où le jeune réceptionniste me regarde pensant certainement.
« Tiens cette salope va aller se faire baiser surtout par un noir bien membré. »
Du moins c’est ce qu’il voit en regardant le maillot de bain de Jason.
L’ascenseur se passe bien, mon futur amant me prend la bouche dans ses grosses lèvres et notre premier baiser m’aide car je perds la notion d’où je suis et où je vais.
La porte ouverte, les quelques mètres qui me séparent du lit sont autant de problème pour moi.
Dois-je me baisser pour sortir sa queue de son slip de bain et la prendre dans ma bouche ?
Quand une femme suce, prend-elle la totalité de la verge dans sa cavité buccale au risque de mourir étouffée comme sur la plage tout à l’heure ?
Heureusement, j’ai choisi l’amant de tous les amants.
Il défait mon maillot et commence par m’embrasser les seins, léchant les pointes qui se durcissent.
Sa main en caresse un quand sa bouche s’occupe de l’autre.
Sa main libre finit par rejoindre mon vagin et un doigt inquisiteur vient pénétrer mes grandes lèvres.
Je mouille comme jamais et je sens ma cyprine dégouliner le long de mes jambes.
Jason sent une résistance au bout de ses doigts.
Il doit sentir mon état ayant un léger instant de flottement, mais doit penser qu’à mon âge il a mal senti.
Il me couche sur son lit et me fait écarter les cuisses afin que sa bouche et surtout sa langue vienne en moi.
Je me trémousse sous l’attaque et je dois reconnaître que mes doutes s’estompent de plus en plus.
Mon cerveau se déconnecte quand sous l’effet de cette langue un frisson me traverse allant même à la lisière de l’éclatement de mon plaisir.
Prestement il enlève l’un de mes doutes, quand je le vois avec ses dents de carnassier ôter la protection de la capote.
Il montre son expérience quand il la fait glisser sur ce sexe que j’ai soigneusement évité de toucher de peur, justement d’avoir peur.
Un nouveau baiser et je sens sa queue se présenter aux portes de mon pucelage qui va sauter dans les secondes suivantes.
J’ai peur, mais je savoure ce moment afin de garder le souvenir de la perte de mon hymen, principal instant dans la vie d’une jeune fille.
Sa main se saisit de son bâton qu’il fait coulisser de bas en haut avant de sentir qu’il peut avancer.
Mon obstacle naturel résiste l’empêchant de passer.
Je sais que c’est le moment de lui avouer mon état, je recule de peur une nouvelle fois qu’il refuse d’être le premier homme de ma jeune vie.
Mais comme tout à une fin, ma membrane cède et sa verge avance d’au moins dix centimètres m’arrachant un léger cri.
La peur revient en moi, même si je me dis que c’est fait, je suis une femme pour la vie, aussi c’est naturellement que j’entoure sa taille de mes jambes l’empêchant de se retirer.
Ayant franchi le barrage, en bon amant, il veut ma jouissance aussi c’est très doucement que je reçois au maximum de sa longueur, étonnée d’être aussi profonde.
Sa patience est récompensée quand du fin fond de mon corps un véritable orgasme me dévaste.
Il me reprend la bouche tellement je beugle mon plaisir, finissant par sentir ses traits de sperme remplir sa capote.
Je hurle mon plaisir mais mon amant, car maintenant c’est mon amant, lui aussi fait entendre son plaisir au moment où sa verge éclate.
Je suis en eau malgré la clim et de grosses gouttes perlent de son front venant tomber sur mes seins.
Il est toujours en moi, je sens qu’il reprend de la vigueur.
Je me laisse aller au gré de ses envies, quand il me demande de me mettre à quatre pattes, j’ai un instant de panique car je me souviens de maman qui demandait à Robert de la mettre dans son anus.
Mon doute s’estompe vite car c’est de nouveau ma chatte qu’il investit, si tout à l’heure, j’ai eu un peu mal, ce coup si je le reçois avec délice.
Est-ce la position mais je sens qu’il va plus profondément en moi si c’est possible, car je sens ses couilles me toucher les fesses chaque fois qu’il donne à sa queue un mouvement de piston.
Je suis folle, mais folle de plaisir quand mon ventre, voire tout mon être, explose une première puis une deuxième fois me laissant ruisselante.
Au moment où son méat laisse sortir de nouveaux jets, le doute me prend, la quantité du sperme expulsée dans sa capote les deux fois risque de la faire exploser, je me souviens mais un peu tard que j’ai oublié comme souvent de prendre ma pilule.
Je me la suis faite prescrire à dix-huit ans par ma gynéco.
J’y pense le peu de fois où j’aurais pu finir sur le siège d’une voiture, mais là aujourd’hui j’allais à la plage et j’étais loin de me douter que le moment de vérité était arrivé.
Enfin dégagé de son emprise, il s’allonge le sexe toujours bandé, comme je le craignais la capote est tendue à l’extrême, mais elle a tenu.
La couleur blanche du sperme contraste avec le noir de sa verge me faisant réaliser que je peux mettre le mot fin sur mon fantasme puisque mon amant est de la couleur tellement escomptée après la scène de la piscine.
Vu de près, il y a une grosse différence entre mon fantasme de l’homme black se masturbant dans les douches de la piscine et Jason.
J’ai tiré le gros lot car il est plus gigantesque.
Comment suis-je encore vivante après avoir fait entrer cette bite en moi ?
J’ai été passive, à son écoute les deux premières fois où il m’a baisé aussi je prends une initiative et je tire sur la base de la capote recouverte de mon sang, mais très légèrement.
Ce que je craignais arrive, elle explose littéralement propulsant du sperme autour de sa verge.
- Alors fifille, on fait l’apprentissage de la vie !
Merci de m’avoir permis d’être le premier.
Ces propos rassurants me donnent confiance, je me penche un peu plus, en commençant par son ventre musclé.
Il a des plaquettes de chocolat, comme nous les a montrés, lors d’un match de football contre le Portugal, un joueur, beau gosse, il est vrai.
Je le nettoie consciencieusement, retardant quelque peu le moment de m’occuper de celle qui m’attire, me faisant peur en même temps.
Je passe ma main et j’attrape un de ses testicules, les deux ayant du mal à entrer dans ma main.
Elle est poisseuse de son sperme et sans aucune pudeur, je la remonte avec ma langue pour finir par me lécher les doigts, le regardant dans les yeux.
- Petit cœur, tu étais vierge, merci de m’avoir attendu !
Être le premier pour une jeune fille, surtout ici au cap, me rend heureux J’ai bien fait de prendre une semaine de vacances.
Tu veux la prendre dans ta bouche, elle t’a donné du plaisir, pour une femme dès la première fois c’est exceptionnel.
- Oui, je la veux dans ma bouche mais je retardais le moment.
Depuis que tu m’as pris par la main, je vis tous ces instants avec passion.
Surtout je veux qu’ils soient gravés à tout instant en moi.
Tu as été si doux que je comprends pourquoi j’ai attendu d’avoir vingt-deux ans pour te trouver.
Je suis heureuse, je sens avec mon intuition féminine que quand il m’a pris la main c’est un sentiment profond qui semble l’avoir envahi et non pas une passade comme ils disent ici.
Enfin je franchis le pas, je commence par la sucer, récupérant au passage du sperme commençant à sécher et je le masturbe en même temps.
J’ai un peu de mal à coordonner les deux mouvements pour une première fois.
Qu’importe, je réussis à faire entrer une bonne longueur jusqu’à ma glotte alors que mon sexe, lui, semble l’avoir avalée entièrement.
À ce petit jeu, mon homme rebande ce qui est incroyable vu les deux décharges que mon corps lui a permis d’atteindre.
Comme il est sur le dos, sa flèche pointée vers le ciel, je fais un mouvement pour venir par-dessus et l’entrer en moi.
- Attends.
Mon homme est un homme bien et un homme plein de sang-froid, quand il attrape une capote sur la table de nuit.
- Vu que tu étais vierge, je suppose que c’est la première fois que tu vas mettre une capote à un garçon, entraîne-toi.
Il a de l’humour, je reviens dans ma position initiale où je le suçais, il me tend la capote.
J’ai déjà vu des films où une femme déchire l’enveloppe avec ses dents pour récupérer le rouleau de latex à placer sur le pieu.
J’en fais de même et je la place sur la tête de son nœud.
- Fais-la glisser avec tes lèvres en la prenant dans ta bouche, certes il est plus facile de la dérouler avec ses doigts mais avec ta bouche, te voir faire est plus jouissif pour les hommes donc pour moi…
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