COLLECTION BLACK. Gazon maudit (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2022 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Gazon maudit (1/3)
Je m’appelle Pierre, trente-deux ans, marié depuis quatre ans avec Alice gentille petite femme blonde de vingt-huit ans aux yeux bleus.
Alice m’a offert un petit garçon Jérémy qui a ce jour à trois ans et se trouve à cette heure en maternelle pour sa première année.
Je suis chef d’entreprise et je satisfais largement à ma famille avec les revenus que nous avons.
Pavillon dans la vallée de Chevreuse avec grand jardin et dernièrement une piscine.
Bref, la vie dont j’ai toujours rêvé.
Au début de notre liaison avec Alice, cette grande jeune fille s’étant rapprochée de moi alors que nous étions dans une soirée, j’ai cru au début qu’elle avait flairé le bon coup.
J’avais une réputation de Don Juan auprès des femmes, mais à l’approche de la trentaine j’aspirais à une vie de bons pères de famille.
Après bien des efforts, j’ai réussi à lui faire aimer ma bite jusqu’à ce que je la demande en mariage et qu’elle accepte.
Au lit, même si je sais que certains ayant vu des pornos dès leur plus jeune âge s’adonnent à des positions que même les putes refusent de pratiquer, je baise classiquement dans notre lit.
Depuis peu voulant mettre un peu de fantaisie sur notre pelouse au bord de la piscine lorsque notre fils est absent.
À notre mariage, Louise, l’amie d’enfance et cousine d’Alice était son témoin, moi c’est Albert, mon copain de tous les temps qui m’a rendu ce service comme le veut la loi.
Dans la soirée avant notre nuit de noce, j’ai vu souvent Alice danser avec sa cousine de façon très expressive.
Mais notre amour était si fort et surtout j’étais un piètre danseur alors j’ai laissé faire sans me poser plus de question.
Ce soir nous venons de coucher Jérémy et je sens que ma femme vient se coucher légèrement anxieuse.
• Chérie, tu sembles soucieuse, quelque chose te tracasse ?
• J’ignore si je peux te demander quelque chose sans te fâcher !
• Pourquoi serais-je fâché sans savoir le pourquoi du comment ?
• Tu as raison, Louise a un problème dans la maison qu’elle a achetée depuis peu.
Son chauffage, qui lui donne de l’eau chaude à cette époque, est H.S.
• Elle a besoin d’argent et aimerait bien qu’on lui en prête !
• Non, sur le plan financier ça va, ses parents lui ont laissé un gros héritage.
• Alors que pouvons-nous faire qui te rendrait le sourire, j’ai horreur de te voir contrarier ?
• Elle doit vivre à l’hôtel pendant plus d’un mois et j’avais pensé !
À ce moment ma femme a semblé hésiter à en dire plus, j’aime être direct lorsque j’ai des besoins.
• Accouche !
• Tu vas être contrarié, j’aimerais pouvoir dire à Louise qu’elle est la bienvenue chez nous jusqu’à la fin de ses travaux et lui éviter la promiscuité des hôtels.
Comme l’on dit, à ce moment, j’ignorais que je faisais entrer le loup dans la bergerie.
J’ai pris Alice dans mes bras et en la câlinant jusqu’au moment où je l’ai fait rouler sur notre lit.
• Et c’est pour ça que tu fais ton petit nez renfrogné.
Pourquoi crois-tu que notre pavillon a une chambre d’amis ?
Lorsque tu m’auras donné un deuxième enfant, une fille de préférence pour avoir le choix du roi, je pensais la transformer pour notre fille.
En attendant, Louise peut venir si installer pour quelques semaines.
Elle me saute dans les bras et m’embrasse avec plus de passion, mais parlons de Louise.
Autant Alice est grande, frêle et féministe autant cette femme peut ressembler à un garçon manqué.
Je dois reconnaitre que dès qu’elle m’embrasse sur la joue, il va de soi, en me remerciant de l’héberger, que le malaise s’installe, car Alice semble subjugé par sa cousine.
Louise par si, Louise par là, laisse, tu sais que Louise fera mieux que toi, sans savoir pourquoi j’ai redouté la suite qui immanquablement va se produire.
• Allo, monsieur Pierre, j’ai essayé de joindre votre femme sans résultat, sur la fiche de Jérémy, c’est votre numéro à votre travail qui est notifié.
• Est-il arrivé quelque chose à mon fils ?
• Il a vomi après la récré et il serait préférable de venir le chercher pour l’emmener voir un médecin.
À la récré, lui qui aime jouer au ballon était comme prostré, il nous est interdit de leur donner le moindre médicament.
Je vais le chercher, pour l’emmener, voir notre docteur qui par chance revient d’une visite chez une mémé mal en point.
Certainement une petite contrariété intestinale du repos et tout rentrera dans l’ordre.
De retour à la maison, je le conduis dans sa chambre, je le couche et je pars à la recherche de ma femme.
Je comprends que l’appel a été vain, son portable est sur la table de la salle ainsi qu’un autre rose que j’ai déjà vu dans les mains de Louise.
Passant dans la cuisine, la porte-fenêtre est entrouverte, les deux femmes doivent être en train de se faire bronzer près de la piscine.
Leurs propos me parviennent jusqu’aux oreilles sans qu’elles puissent me voir.
• Alice, il est temps de dire à ton mari que tu divorces !
Ton fils est grand maintenant et en âge de comprendre que sa maman en a toujours aimée une autre.
Viens sur mon cœur ma chérie, crois-tu que depuis que tu as épousé Pierre, je ronge mon frein de lui dire que tu m’as juré un amour éternel depuis nos seize ans !
• Moi aussi je t’aime, mais c’est toi qui m’as forcé à l’épouser pour que nous ayons un enfant à nous.
Tu étais opposée à avoir des rapports avec un homme, moi aussi je m’en serais bien passé, mais tu as été si persuasive que je t’ai cédé, mais j’ai peur de blesser Ludovic.
Si certains s’interrogeaient sur le titre de mon histoire, ils doivent comprendre que je me retrouve dans la position d’Alain Chabat, Alice en celle de Victoria Abril et Louise de Josiane Balasko.
Comme dans le film, j’aime ma femme et je suis peu enclin à la céder à cette gouine même si elle l’a aimé avant moi.
Comme dans le film, je me déshabille et je sors sur la terrasse.
• Louise, je suis chez moi et fais ce que je veux.
Regarde la belle bite qu’Alice adore sucer et qui lui a offert son fils !
Les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre, nus, Louise me regarde et crache son venin.
• Et tu crois nous intimider avec ton engin, tu as tout entendu, c’est parfait, ce soir Alice viendra coucher dans ma chambre.
Lorsque tu en auras mare de l’entendre jouir sous ma langue, c’est toi qui demanderas le divorce nous laissant Jérémy, il est à nous.
Dans le film Chabat fait l’hélicoptère avec sa bite, mais la mienne est un peu courte et la vue de ma femme se laissant caresser par cette main même pas belle, me fait débander.
• Moussa, pouvez-vous venir ce week-end à la maison avec ton frère jumeau Mohamed, j’aurais besoin de vos services.
J’explique au frère ce que j’attends d’eux et le pourquoi du comment, ils sont partant, on va se marrer.
Lorsque les frères arrivent, elles sont dans le jardin assise sur la balancelle.
Louise à son maillot une pièce jaune la faisant ressembler à un boudin ce qu’elle est d’ailleurs.
Comment ma femme a-t-elle pu tomber amoureuse de ce petit monstre sur pattes, elle qui est si jolie ?
Jérémy est dans son lit récupérant de son indigestion nous laissant le champ libre.
Les deux frères sont jumeaux et aussi blacks qu’il est possible de l’être.
Avant de rejoindre les salopes, nous nous dénudons me montrant deux verges qui sont capables de faire l’hélicoptère.
À vue d’œil et au repos, vingt-cinq centimètres et peut-être un peu plus.
• Alors c’est vous Louise qui prétendez enlever sa femme et son fils à notre copain président de notre club de rugby ?
Oui, j’ai été balancé président du club de notre ville alors qu’au départ j’avais seulement accepté d’être sponsor.
Il m’arrive de voir mes joueurs prendre leur douche après les matchs et j’avais constaté la bonne santé des deux frères tous deux, deuxièmes lignes de notre équipe.
Je vois que Louise doit faire de l’huile, lorsque l’un et l’autre encadrent la gouine sur la balancelle.
• C’est toi qui refuses les bites des hommes, pourtant, nous avons deux jolis joujoux pouvant satisfaire bien des femmes.
Prends-les dans ta main ?
• Pierre à quel jeu joues-tu, tu croix m’intimider en faisant venir ces deux sexes sur pattes.
Tu es jaloux d’avoir entendu ta femme jouir dans mon lit comme je te l’avais promis, tu es pathétique, vous êtes pathétiques !
• Non, Louise, ils sont là pour te montrer ce que tu refuses et comment on se sert d’une bite.
Prends les chacune de tes mains et masturbe-les.
Ils vont te faire voir ce que l’on peut faire avec de tels engins, ils vont te faire grimper au rideau.
Le ton et la voix que j’ai pris leur fond comprendre que j’ai fini de jouer et qu’il va falloir passer aux choses sérieuses.
Louise tente de partir en courant, Moussa la rattrape par le bras et lui amène son visage au-dessus de sa bite.
• Suce salope, sinon je t’écrase comme une punaise, attention à tes dents, si tu me mords, tu pourras te faire poser un dentier intégral !
Contrainte par la force de mon rugbyman, elle se met à le sucer, alors que j’assiste.
• Président, voulez-vous que je m’occupe de votre femme ?
Si je punis l’une, je punis l’autre, même si Alice a déjà gouté à ma bite, alors je choisis une autre tactique pour elle.
• Non, ma femme, c’est moi qui m’en occupe, je vais moi-même lui faire passer l’envie de bouffer la chatte de sa cousine.
Mohamed, va t’occuper de cette salope, avec vos deux énormes bites, lorsque vous la libèrerez, ça lui fera passer l’envie de revenir nous emmerder...
Alice m’a offert un petit garçon Jérémy qui a ce jour à trois ans et se trouve à cette heure en maternelle pour sa première année.
Je suis chef d’entreprise et je satisfais largement à ma famille avec les revenus que nous avons.
Pavillon dans la vallée de Chevreuse avec grand jardin et dernièrement une piscine.
Bref, la vie dont j’ai toujours rêvé.
Au début de notre liaison avec Alice, cette grande jeune fille s’étant rapprochée de moi alors que nous étions dans une soirée, j’ai cru au début qu’elle avait flairé le bon coup.
J’avais une réputation de Don Juan auprès des femmes, mais à l’approche de la trentaine j’aspirais à une vie de bons pères de famille.
Après bien des efforts, j’ai réussi à lui faire aimer ma bite jusqu’à ce que je la demande en mariage et qu’elle accepte.
Au lit, même si je sais que certains ayant vu des pornos dès leur plus jeune âge s’adonnent à des positions que même les putes refusent de pratiquer, je baise classiquement dans notre lit.
Depuis peu voulant mettre un peu de fantaisie sur notre pelouse au bord de la piscine lorsque notre fils est absent.
À notre mariage, Louise, l’amie d’enfance et cousine d’Alice était son témoin, moi c’est Albert, mon copain de tous les temps qui m’a rendu ce service comme le veut la loi.
Dans la soirée avant notre nuit de noce, j’ai vu souvent Alice danser avec sa cousine de façon très expressive.
Mais notre amour était si fort et surtout j’étais un piètre danseur alors j’ai laissé faire sans me poser plus de question.
Ce soir nous venons de coucher Jérémy et je sens que ma femme vient se coucher légèrement anxieuse.
• Chérie, tu sembles soucieuse, quelque chose te tracasse ?
• J’ignore si je peux te demander quelque chose sans te fâcher !
• Pourquoi serais-je fâché sans savoir le pourquoi du comment ?
• Tu as raison, Louise a un problème dans la maison qu’elle a achetée depuis peu.
Son chauffage, qui lui donne de l’eau chaude à cette époque, est H.S.
• Elle a besoin d’argent et aimerait bien qu’on lui en prête !
• Non, sur le plan financier ça va, ses parents lui ont laissé un gros héritage.
• Alors que pouvons-nous faire qui te rendrait le sourire, j’ai horreur de te voir contrarier ?
• Elle doit vivre à l’hôtel pendant plus d’un mois et j’avais pensé !
À ce moment ma femme a semblé hésiter à en dire plus, j’aime être direct lorsque j’ai des besoins.
• Accouche !
• Tu vas être contrarié, j’aimerais pouvoir dire à Louise qu’elle est la bienvenue chez nous jusqu’à la fin de ses travaux et lui éviter la promiscuité des hôtels.
Comme l’on dit, à ce moment, j’ignorais que je faisais entrer le loup dans la bergerie.
J’ai pris Alice dans mes bras et en la câlinant jusqu’au moment où je l’ai fait rouler sur notre lit.
• Et c’est pour ça que tu fais ton petit nez renfrogné.
Pourquoi crois-tu que notre pavillon a une chambre d’amis ?
Lorsque tu m’auras donné un deuxième enfant, une fille de préférence pour avoir le choix du roi, je pensais la transformer pour notre fille.
En attendant, Louise peut venir si installer pour quelques semaines.
Elle me saute dans les bras et m’embrasse avec plus de passion, mais parlons de Louise.
Autant Alice est grande, frêle et féministe autant cette femme peut ressembler à un garçon manqué.
Je dois reconnaitre que dès qu’elle m’embrasse sur la joue, il va de soi, en me remerciant de l’héberger, que le malaise s’installe, car Alice semble subjugé par sa cousine.
Louise par si, Louise par là, laisse, tu sais que Louise fera mieux que toi, sans savoir pourquoi j’ai redouté la suite qui immanquablement va se produire.
• Allo, monsieur Pierre, j’ai essayé de joindre votre femme sans résultat, sur la fiche de Jérémy, c’est votre numéro à votre travail qui est notifié.
• Est-il arrivé quelque chose à mon fils ?
• Il a vomi après la récré et il serait préférable de venir le chercher pour l’emmener voir un médecin.
À la récré, lui qui aime jouer au ballon était comme prostré, il nous est interdit de leur donner le moindre médicament.
Je vais le chercher, pour l’emmener, voir notre docteur qui par chance revient d’une visite chez une mémé mal en point.
Certainement une petite contrariété intestinale du repos et tout rentrera dans l’ordre.
De retour à la maison, je le conduis dans sa chambre, je le couche et je pars à la recherche de ma femme.
Je comprends que l’appel a été vain, son portable est sur la table de la salle ainsi qu’un autre rose que j’ai déjà vu dans les mains de Louise.
Passant dans la cuisine, la porte-fenêtre est entrouverte, les deux femmes doivent être en train de se faire bronzer près de la piscine.
Leurs propos me parviennent jusqu’aux oreilles sans qu’elles puissent me voir.
• Alice, il est temps de dire à ton mari que tu divorces !
Ton fils est grand maintenant et en âge de comprendre que sa maman en a toujours aimée une autre.
Viens sur mon cœur ma chérie, crois-tu que depuis que tu as épousé Pierre, je ronge mon frein de lui dire que tu m’as juré un amour éternel depuis nos seize ans !
• Moi aussi je t’aime, mais c’est toi qui m’as forcé à l’épouser pour que nous ayons un enfant à nous.
Tu étais opposée à avoir des rapports avec un homme, moi aussi je m’en serais bien passé, mais tu as été si persuasive que je t’ai cédé, mais j’ai peur de blesser Ludovic.
Si certains s’interrogeaient sur le titre de mon histoire, ils doivent comprendre que je me retrouve dans la position d’Alain Chabat, Alice en celle de Victoria Abril et Louise de Josiane Balasko.
Comme dans le film, j’aime ma femme et je suis peu enclin à la céder à cette gouine même si elle l’a aimé avant moi.
Comme dans le film, je me déshabille et je sors sur la terrasse.
• Louise, je suis chez moi et fais ce que je veux.
Regarde la belle bite qu’Alice adore sucer et qui lui a offert son fils !
Les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre, nus, Louise me regarde et crache son venin.
• Et tu crois nous intimider avec ton engin, tu as tout entendu, c’est parfait, ce soir Alice viendra coucher dans ma chambre.
Lorsque tu en auras mare de l’entendre jouir sous ma langue, c’est toi qui demanderas le divorce nous laissant Jérémy, il est à nous.
Dans le film Chabat fait l’hélicoptère avec sa bite, mais la mienne est un peu courte et la vue de ma femme se laissant caresser par cette main même pas belle, me fait débander.
• Moussa, pouvez-vous venir ce week-end à la maison avec ton frère jumeau Mohamed, j’aurais besoin de vos services.
J’explique au frère ce que j’attends d’eux et le pourquoi du comment, ils sont partant, on va se marrer.
Lorsque les frères arrivent, elles sont dans le jardin assise sur la balancelle.
Louise à son maillot une pièce jaune la faisant ressembler à un boudin ce qu’elle est d’ailleurs.
Comment ma femme a-t-elle pu tomber amoureuse de ce petit monstre sur pattes, elle qui est si jolie ?
Jérémy est dans son lit récupérant de son indigestion nous laissant le champ libre.
Les deux frères sont jumeaux et aussi blacks qu’il est possible de l’être.
Avant de rejoindre les salopes, nous nous dénudons me montrant deux verges qui sont capables de faire l’hélicoptère.
À vue d’œil et au repos, vingt-cinq centimètres et peut-être un peu plus.
• Alors c’est vous Louise qui prétendez enlever sa femme et son fils à notre copain président de notre club de rugby ?
Oui, j’ai été balancé président du club de notre ville alors qu’au départ j’avais seulement accepté d’être sponsor.
Il m’arrive de voir mes joueurs prendre leur douche après les matchs et j’avais constaté la bonne santé des deux frères tous deux, deuxièmes lignes de notre équipe.
Je vois que Louise doit faire de l’huile, lorsque l’un et l’autre encadrent la gouine sur la balancelle.
• C’est toi qui refuses les bites des hommes, pourtant, nous avons deux jolis joujoux pouvant satisfaire bien des femmes.
Prends-les dans ta main ?
• Pierre à quel jeu joues-tu, tu croix m’intimider en faisant venir ces deux sexes sur pattes.
Tu es jaloux d’avoir entendu ta femme jouir dans mon lit comme je te l’avais promis, tu es pathétique, vous êtes pathétiques !
• Non, Louise, ils sont là pour te montrer ce que tu refuses et comment on se sert d’une bite.
Prends les chacune de tes mains et masturbe-les.
Ils vont te faire voir ce que l’on peut faire avec de tels engins, ils vont te faire grimper au rideau.
Le ton et la voix que j’ai pris leur fond comprendre que j’ai fini de jouer et qu’il va falloir passer aux choses sérieuses.
Louise tente de partir en courant, Moussa la rattrape par le bras et lui amène son visage au-dessus de sa bite.
• Suce salope, sinon je t’écrase comme une punaise, attention à tes dents, si tu me mords, tu pourras te faire poser un dentier intégral !
Contrainte par la force de mon rugbyman, elle se met à le sucer, alors que j’assiste.
• Président, voulez-vous que je m’occupe de votre femme ?
Si je punis l’une, je punis l’autre, même si Alice a déjà gouté à ma bite, alors je choisis une autre tactique pour elle.
• Non, ma femme, c’est moi qui m’en occupe, je vais moi-même lui faire passer l’envie de bouffer la chatte de sa cousine.
Mohamed, va t’occuper de cette salope, avec vos deux énormes bites, lorsque vous la libèrerez, ça lui fera passer l’envie de revenir nous emmerder...
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Intéressant complot!