COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (5/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (5/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je viens de me faire sauter par trente types, non trente-deux si je compte les deux derniers, le réalisateur du film et le gardien des lieux.
C’est Boby qui m’a forcé par punition du non-respect de son contrat d’être les fesses nues à tout moment.
J’ai réussi à quitter la boîte échangiste fermée au public que mon amant a dû louer afin de mettre en place son plan faisant de moi une raclure, une vide couille à tous ces hommes.
J’ai manqué de courage dès le début de ses harcèlements sexuels, j’aurais dû aller porter plainte, ce que je n’ai pas fait par peur de perdre mon emploi et de nous retrouver sur la paille après les achats somptueux que fait Lionel mon mari.
À un feu rouge, deux hommes au volant d’une grosse voiture ouvrent leur vitre et me demandent si je me suis bien fait baiser.
Sur le coup, j’ai un moment de frayeur, ne serais pas deux des hommes qui m’ont sauté toute la nuit, ayant attendu ma sortie afin de me suivre pour savoir où j’habite.
Il me manque de la lucidité dans l’état où je suis, mais je retrouve mes esprits, s’ils avaient eu cette intention, ils seraient restés sagement derrière moi et ne seraient pas venus à ma hauteur.
Le sperme, d’un coup, je me rappelle les litres qui ont été déposés sur mon visage et dans mes cheveux, je passe ma main sur ma joue, mes doigts s’engluent, il me faut redémarrer le feu étant au vert.
Ma tension retombe, les deux garçons ayant accéléré, en peu de temps, ils sont déjà loin.
Au feu suivant, je baisse la part soleil, je me regarde dans la glace, impossible de rentrer comme cela chez moi, Lionel n’est pas encore parti à son travail.
Quelle conne, mes turpitudes m’ont vraiment fait perdre le sens des responsabilités, je reprends conscience de la facilité que j’ai à huit heures du matin pour circuler dans Paris.
Je m’arrête sur un passage pour piétons, je me sers de la boîte de mouchoirs en papier dans le vide-poche de la portière pour me nettoyer du mieux que je peux.
Impossible de rentrer chez moi dans cet état, surtout mes cheveux qui restent collés, à moins d’avoir la chance que mon mari dorme encore et que je puisse me glisser dans notre salle de bain, mon alibi trouvé la veille tombe à l’eau.
Une idée me vient, pour aller me faire sauter par tous ces amants, je suis partie des toilettes des femmes de mon entreprise, sur le siège arrière, le sac avec mes affaires m'apporte la solution.
Quelques minutes après, j’ouvre le parking avec mon badge et prenant l’ascenseur, j’enlève mon manteau et j’essaye de me laver les cheveux et le corps dans le lavabo des toilettes pour dame.
Depuis que je connais Boby, les chiottes semble aux centres de mes turpitudes et le départ de nouvelles aventures bouleversant ma vie.
Ciel mon patron, c’est ce que je pourrais dire quand la porte s’ouvre et que monsieur Gandin se trouve devant moi.
• Joelle, que faite vous ici dans cette tenue, si votre nudité est une tenue, dans quel état êtes-vous, vous êtes maculée de matière vicieuse de la tête aux pieds, vous n’avez aucune chance de vous remettre présentable grâce à ce lavabo.
J’ai trop de respect pour vous pour te demander ce que tu as fait cette nuit, mais viens dans mon bureau, je vais te montrer une chose qui va t’intéresser.
Sur le coup, je ne note pas le tutoiement qu’il a employé, lui qui depuis toutes ces années a respecté le vouvoiement.
Je prends mon manteau et mon sac avec mes affaires et je suis, il semble avoir de bonnes intentions, car ce serait Boby, il serait passé derrière moi pour mater mon cul qui doit être encore ouvert à tout vent sous les coups de bite et l’écartement qu’il a subis dans les doubles pénétrations anales.
Nous entrons dans son bureau, il ouvre une porte toujours fermée chaque fois que je suis venue.
• Regarde, j’ai une salle de bain, c’est Louisa qui a souhaité que je la fasse installer au début de notre relation, je dois t’avouer qu’après mon divorce et la rencontre avec cette jeune femme de vingt ans ma cadette, j’étais comme un fou sexuellement.
Je travaillais beaucoup pour faire tourner mon entreprise que j’avais eu le courage de lancer après ma séparation, c’était la secrétaire que j’avais embauchée et nous faisions des heures supplémentaires, nous pouvions nous doucher après que je l’ai sauté avant de reprendre notre travail.
Il y a deux mois, au retour de son voyage au Mexique, elle a décidé de refaire l’intérieur, elle a embauché un certain Polo pour changer tous les meubles et la cabine de douche.
Polo, ça fait deux fois que ce nom me vient aux oreilles dans le même début de cette journée, certainement le hasard.
J’entre dans la salle, la douche est facile à démarrer et doit être reliée au ballon d'eau chaude de la société, car me plaçant sous les jets, je les reçois divinement sur ma tête et sur mon corps.
La patronne est une femme de classe, les produits pour me savonner et me laver les cheveux, viennent de grands parfumeurs français.
Je laisse couler l’eau, passant ma main remplie de savon sur mon anus, mes doigts pénètrent plus facilement que les jours précédents, mais aucun trou béant me rendant difforme.
C’est au moment où j’ai réussi à bien me rincer que la porte en verre de la douche s’ouvre, monsieur Gandin entre, nue comme un ver lui aussi, la queue déjà bien raide.
• Laisse-moi entrer, j’ai envie de toi depuis des années, te voir nue m’a émoustillé.
Trente, quarante amants ou plus, je ne suis plus à un prêt ce matin, comme j’ai retrouvé ma lucidité, les propos de Boby me reviennent aux oreilles.
« Le patron en pince pour toi, si tu avais accepté une promotion canapé, je ne serais pas ici. »
Quand il vient dans mon dos sa queue tendue comme à ses vingt ans et qu’il m’empoigne par les seins me les tirant à me faire hurler d’un début de plaisir, j’écarte mes jambes et il me prend me collant à la colonne de douche.
Il descend une main vers les boutons de réglage, l’eau sort de petits jets qui viennent taper sur mes lèvres vaginales, je les écarte, la pénétration et leurs effets m’apportent un énième orgasme après ceux qui m’ont dévasté toute la nuit avec toutes ces queues qui m’ont défoncé.
• Merci Joelle, je rêvais de ce moment bien avant de connaître Louisa, je dois t’avouer quelque chose, tu venais d’entrer dans la société quand j’ai eu envie de toi, je te pistais sans que tu me voies, j’étais là le jour où Christian t’a dépucelé.
Je me suis masturbé, j’ai éclaté sur le mur derrière lequel j’étais caché, j’y vais de temps en temps repenser aux images qui sont gravées à jamais dans ma mémoire.
Mais, à partir de ce jour, si tu es d’accord avant que je vende pour prendre ma retraite, je te propose de nous isoler ici de temps en temps pour recommencer à baiser.
Ah, je t’inonde, ta chatte est chaude et douce, j’aurais toujours plaisir à la pénétrer.
Çà y est, je totalise mon patron à mon tableau de chasse de mes amants, sans le vouloir, je mets en place un plan pour évincer Boby de mon poste, car à partir de ce jour, je considère que c’est mon poste.
Il faut que je me prenne en main, je dois agir contre Boby dès que je saurais si c’est bien lui qui aux États-Unis a contraint des personnes aux suicides et aux chômages.
Monsieur Gandin, sorti de mon sexe et de la douche après s’être lavé la queue, monsieur Gandin, Albert pour son prénom, que j’ai en tête, mais que je ne me suis jamais servie depuis qu’il m’a embauché.
Quant à mon tour, je quitte la salle d’eau pour revenir vers mon sac que j’ai posé sur son bureau, Albert est déjà habillé.
• Joelle, j’étais venu chercher un papier, même si aujourd’hui nous sommes samedi, je dois rencontrer un client dans dix minutes, tu as su entrer, tu dois pouvoir ressortir en faisant attention que personne ne puisse entrer, à lundi.
J’ai été enchanté que tu m’es permis de devenir ton amant, ne crains rien, je saurais être discret.
Il me quitte, quand je remets ma jupe bien plus courte depuis que Boby m’a pris en main.
Une fois en tenue correcte, je me coiffe, je me sers du sèche-cheveux de Louisa et je pars vers la porte de l’ascenseur.
Depuis que j’ai décidé de passer à l’offensive, persuadée par Christian que Boby Smith est bien le dénommé John, je me pose la question, pourquoi mon amant m’a sauté partout, même chez moi, mais jamais chez lui.
Et d’abord, où habite-t-il, à aucun moment, il n’en parle, si je peux trouver des renseignements, c’est dans les fichiers de Geneviève puisqu’elle s’occupe des payes.
Son bureau est ouvert comme tous les autres, car nous sommes rarement seuls dans chaque bureau et suite aux 35 heures et les cinq semaines de congé, il faut que tous aient accès.
Je m’assieds dans son siège, ses tiroirs sont fermés, sauf un, son ordinateur est éteint, je l’allume, mot de passe, j’ai les miens, mais je ne connais pas ceux de la comptable.
C’est à ce moment que je vois l’enregistreur qui clignote, un message est arrivé, j’ai le même dans mon bureau, j’appuie sur écoute.
« Je m’assieds dans son siège, ses tiroirs sont fermés, sauf un, son ordinateur est éteint, je l’allume, mot de passe, j’ai les miens, mais je ne connais pas ceux de la comptable.
J’ai essayé ton portable, impossible de te joindre, j’essaye à ton travail. »
Geneviève, c’est Laurent, peux-tu passer chez moi, Joelle est encore sorti ce soir, depuis que tu m’as prévenu qu’elle me trompait avec le black qui est devenu son chef, je n’ai plus de scrupule à te serrer dans mes bras.
Elle est avec Christian, c’est normal son mari, il a un polo d’une marque étrangère, je m’amuse à taper le nom à la place du mot de passe, et j’ai accès sur un coup de chance à ses fichiers.
Je trouve l’adresse de Boby, dans une rue du Quartier latin, boulevard Saint-Germain, au moment où j’allais partir, je regarde dans le tiroir, rien d’important, une boîte de mouchoirs en papier et des cartes d’entrée de parking ou de la porte principale.
Je regarde la première, Suzy, c’est la stagiaire de cet été qui a passé deux mois pour remplacer l’adjoint de Geneviève.
Rien que des cartes qu’elle n’a pas jetées, l’une d’elles me rappelle de nouveau une personne, Polo, je remets tous en place et je quitte l’entreprise avec ma voiture, par chance, mon GPS me dit que je suis arrivée à ma destination alors qu’une place de parking se libère.
Je me gare et vais voir les noms sur un Digicode, Boby Smith habite bien là, mais il me faudra trouver le code pour entrer, mon amant est au troisième, quand dans mon dos, on me parle.
• Cherchez-vous quelqu’un ?
• Oui, Adrien Leroy !
C’est le nom que je lis sur le bouton du quatrième.
• Vous n’avez pas traîné, j’ai confirmé notre rendez-vous sur votre site, il y a moins d’une heure.
Vous êtes bien Lucrecia, vous sembliez plus jeune sur la photo du site, il est vrai que je ne voyais pas votre visage.
Pas de chance, j’ai donné le premier nom que j’ai lu sur les plaques et je suis tombé sur le garçon qui revenait de faire des courses.
AEB2C.
C’est le code qu’il tape.
• Montez, je suis allé acheter des pâtisseries.
Nous prenons l’ascenseur, la cabine est petite et le garçon est collé à moi, il semble qu’il me prenne pour une escorte, mais j’ai réussi mon coup, je vais pouvoir revenir quand je le désirerais pour visiter l’appartement de Boby en son absence.
Pour éviter que le garçon parle avec son voisin du dessous, je le laisse caresser mon postérieur, le regardant fièrement dans les yeux, j’ai fini de courber l’échine, je suis une femme qui a beaucoup subi, mais qui a décidé que ce serait moi qui la dirigerais.
• 500 €, c’était ce qui était convenu sur votre site, fellation et pénétration, je suis aussi allé au distributeur vous chercher le liquide qu’il me manquait…
Je viens de me faire sauter par trente types, non trente-deux si je compte les deux derniers, le réalisateur du film et le gardien des lieux.
C’est Boby qui m’a forcé par punition du non-respect de son contrat d’être les fesses nues à tout moment.
J’ai réussi à quitter la boîte échangiste fermée au public que mon amant a dû louer afin de mettre en place son plan faisant de moi une raclure, une vide couille à tous ces hommes.
J’ai manqué de courage dès le début de ses harcèlements sexuels, j’aurais dû aller porter plainte, ce que je n’ai pas fait par peur de perdre mon emploi et de nous retrouver sur la paille après les achats somptueux que fait Lionel mon mari.
À un feu rouge, deux hommes au volant d’une grosse voiture ouvrent leur vitre et me demandent si je me suis bien fait baiser.
Sur le coup, j’ai un moment de frayeur, ne serais pas deux des hommes qui m’ont sauté toute la nuit, ayant attendu ma sortie afin de me suivre pour savoir où j’habite.
Il me manque de la lucidité dans l’état où je suis, mais je retrouve mes esprits, s’ils avaient eu cette intention, ils seraient restés sagement derrière moi et ne seraient pas venus à ma hauteur.
Le sperme, d’un coup, je me rappelle les litres qui ont été déposés sur mon visage et dans mes cheveux, je passe ma main sur ma joue, mes doigts s’engluent, il me faut redémarrer le feu étant au vert.
Ma tension retombe, les deux garçons ayant accéléré, en peu de temps, ils sont déjà loin.
Au feu suivant, je baisse la part soleil, je me regarde dans la glace, impossible de rentrer comme cela chez moi, Lionel n’est pas encore parti à son travail.
Quelle conne, mes turpitudes m’ont vraiment fait perdre le sens des responsabilités, je reprends conscience de la facilité que j’ai à huit heures du matin pour circuler dans Paris.
Je m’arrête sur un passage pour piétons, je me sers de la boîte de mouchoirs en papier dans le vide-poche de la portière pour me nettoyer du mieux que je peux.
Impossible de rentrer chez moi dans cet état, surtout mes cheveux qui restent collés, à moins d’avoir la chance que mon mari dorme encore et que je puisse me glisser dans notre salle de bain, mon alibi trouvé la veille tombe à l’eau.
Une idée me vient, pour aller me faire sauter par tous ces amants, je suis partie des toilettes des femmes de mon entreprise, sur le siège arrière, le sac avec mes affaires m'apporte la solution.
Quelques minutes après, j’ouvre le parking avec mon badge et prenant l’ascenseur, j’enlève mon manteau et j’essaye de me laver les cheveux et le corps dans le lavabo des toilettes pour dame.
Depuis que je connais Boby, les chiottes semble aux centres de mes turpitudes et le départ de nouvelles aventures bouleversant ma vie.
Ciel mon patron, c’est ce que je pourrais dire quand la porte s’ouvre et que monsieur Gandin se trouve devant moi.
• Joelle, que faite vous ici dans cette tenue, si votre nudité est une tenue, dans quel état êtes-vous, vous êtes maculée de matière vicieuse de la tête aux pieds, vous n’avez aucune chance de vous remettre présentable grâce à ce lavabo.
J’ai trop de respect pour vous pour te demander ce que tu as fait cette nuit, mais viens dans mon bureau, je vais te montrer une chose qui va t’intéresser.
Sur le coup, je ne note pas le tutoiement qu’il a employé, lui qui depuis toutes ces années a respecté le vouvoiement.
Je prends mon manteau et mon sac avec mes affaires et je suis, il semble avoir de bonnes intentions, car ce serait Boby, il serait passé derrière moi pour mater mon cul qui doit être encore ouvert à tout vent sous les coups de bite et l’écartement qu’il a subis dans les doubles pénétrations anales.
Nous entrons dans son bureau, il ouvre une porte toujours fermée chaque fois que je suis venue.
• Regarde, j’ai une salle de bain, c’est Louisa qui a souhaité que je la fasse installer au début de notre relation, je dois t’avouer qu’après mon divorce et la rencontre avec cette jeune femme de vingt ans ma cadette, j’étais comme un fou sexuellement.
Je travaillais beaucoup pour faire tourner mon entreprise que j’avais eu le courage de lancer après ma séparation, c’était la secrétaire que j’avais embauchée et nous faisions des heures supplémentaires, nous pouvions nous doucher après que je l’ai sauté avant de reprendre notre travail.
Il y a deux mois, au retour de son voyage au Mexique, elle a décidé de refaire l’intérieur, elle a embauché un certain Polo pour changer tous les meubles et la cabine de douche.
Polo, ça fait deux fois que ce nom me vient aux oreilles dans le même début de cette journée, certainement le hasard.
J’entre dans la salle, la douche est facile à démarrer et doit être reliée au ballon d'eau chaude de la société, car me plaçant sous les jets, je les reçois divinement sur ma tête et sur mon corps.
La patronne est une femme de classe, les produits pour me savonner et me laver les cheveux, viennent de grands parfumeurs français.
Je laisse couler l’eau, passant ma main remplie de savon sur mon anus, mes doigts pénètrent plus facilement que les jours précédents, mais aucun trou béant me rendant difforme.
C’est au moment où j’ai réussi à bien me rincer que la porte en verre de la douche s’ouvre, monsieur Gandin entre, nue comme un ver lui aussi, la queue déjà bien raide.
• Laisse-moi entrer, j’ai envie de toi depuis des années, te voir nue m’a émoustillé.
Trente, quarante amants ou plus, je ne suis plus à un prêt ce matin, comme j’ai retrouvé ma lucidité, les propos de Boby me reviennent aux oreilles.
« Le patron en pince pour toi, si tu avais accepté une promotion canapé, je ne serais pas ici. »
Quand il vient dans mon dos sa queue tendue comme à ses vingt ans et qu’il m’empoigne par les seins me les tirant à me faire hurler d’un début de plaisir, j’écarte mes jambes et il me prend me collant à la colonne de douche.
Il descend une main vers les boutons de réglage, l’eau sort de petits jets qui viennent taper sur mes lèvres vaginales, je les écarte, la pénétration et leurs effets m’apportent un énième orgasme après ceux qui m’ont dévasté toute la nuit avec toutes ces queues qui m’ont défoncé.
• Merci Joelle, je rêvais de ce moment bien avant de connaître Louisa, je dois t’avouer quelque chose, tu venais d’entrer dans la société quand j’ai eu envie de toi, je te pistais sans que tu me voies, j’étais là le jour où Christian t’a dépucelé.
Je me suis masturbé, j’ai éclaté sur le mur derrière lequel j’étais caché, j’y vais de temps en temps repenser aux images qui sont gravées à jamais dans ma mémoire.
Mais, à partir de ce jour, si tu es d’accord avant que je vende pour prendre ma retraite, je te propose de nous isoler ici de temps en temps pour recommencer à baiser.
Ah, je t’inonde, ta chatte est chaude et douce, j’aurais toujours plaisir à la pénétrer.
Çà y est, je totalise mon patron à mon tableau de chasse de mes amants, sans le vouloir, je mets en place un plan pour évincer Boby de mon poste, car à partir de ce jour, je considère que c’est mon poste.
Il faut que je me prenne en main, je dois agir contre Boby dès que je saurais si c’est bien lui qui aux États-Unis a contraint des personnes aux suicides et aux chômages.
Monsieur Gandin, sorti de mon sexe et de la douche après s’être lavé la queue, monsieur Gandin, Albert pour son prénom, que j’ai en tête, mais que je ne me suis jamais servie depuis qu’il m’a embauché.
Quant à mon tour, je quitte la salle d’eau pour revenir vers mon sac que j’ai posé sur son bureau, Albert est déjà habillé.
• Joelle, j’étais venu chercher un papier, même si aujourd’hui nous sommes samedi, je dois rencontrer un client dans dix minutes, tu as su entrer, tu dois pouvoir ressortir en faisant attention que personne ne puisse entrer, à lundi.
J’ai été enchanté que tu m’es permis de devenir ton amant, ne crains rien, je saurais être discret.
Il me quitte, quand je remets ma jupe bien plus courte depuis que Boby m’a pris en main.
Une fois en tenue correcte, je me coiffe, je me sers du sèche-cheveux de Louisa et je pars vers la porte de l’ascenseur.
Depuis que j’ai décidé de passer à l’offensive, persuadée par Christian que Boby Smith est bien le dénommé John, je me pose la question, pourquoi mon amant m’a sauté partout, même chez moi, mais jamais chez lui.
Et d’abord, où habite-t-il, à aucun moment, il n’en parle, si je peux trouver des renseignements, c’est dans les fichiers de Geneviève puisqu’elle s’occupe des payes.
Son bureau est ouvert comme tous les autres, car nous sommes rarement seuls dans chaque bureau et suite aux 35 heures et les cinq semaines de congé, il faut que tous aient accès.
Je m’assieds dans son siège, ses tiroirs sont fermés, sauf un, son ordinateur est éteint, je l’allume, mot de passe, j’ai les miens, mais je ne connais pas ceux de la comptable.
C’est à ce moment que je vois l’enregistreur qui clignote, un message est arrivé, j’ai le même dans mon bureau, j’appuie sur écoute.
« Je m’assieds dans son siège, ses tiroirs sont fermés, sauf un, son ordinateur est éteint, je l’allume, mot de passe, j’ai les miens, mais je ne connais pas ceux de la comptable.
J’ai essayé ton portable, impossible de te joindre, j’essaye à ton travail. »
Geneviève, c’est Laurent, peux-tu passer chez moi, Joelle est encore sorti ce soir, depuis que tu m’as prévenu qu’elle me trompait avec le black qui est devenu son chef, je n’ai plus de scrupule à te serrer dans mes bras.
Elle est avec Christian, c’est normal son mari, il a un polo d’une marque étrangère, je m’amuse à taper le nom à la place du mot de passe, et j’ai accès sur un coup de chance à ses fichiers.
Je trouve l’adresse de Boby, dans une rue du Quartier latin, boulevard Saint-Germain, au moment où j’allais partir, je regarde dans le tiroir, rien d’important, une boîte de mouchoirs en papier et des cartes d’entrée de parking ou de la porte principale.
Je regarde la première, Suzy, c’est la stagiaire de cet été qui a passé deux mois pour remplacer l’adjoint de Geneviève.
Rien que des cartes qu’elle n’a pas jetées, l’une d’elles me rappelle de nouveau une personne, Polo, je remets tous en place et je quitte l’entreprise avec ma voiture, par chance, mon GPS me dit que je suis arrivée à ma destination alors qu’une place de parking se libère.
Je me gare et vais voir les noms sur un Digicode, Boby Smith habite bien là, mais il me faudra trouver le code pour entrer, mon amant est au troisième, quand dans mon dos, on me parle.
• Cherchez-vous quelqu’un ?
• Oui, Adrien Leroy !
C’est le nom que je lis sur le bouton du quatrième.
• Vous n’avez pas traîné, j’ai confirmé notre rendez-vous sur votre site, il y a moins d’une heure.
Vous êtes bien Lucrecia, vous sembliez plus jeune sur la photo du site, il est vrai que je ne voyais pas votre visage.
Pas de chance, j’ai donné le premier nom que j’ai lu sur les plaques et je suis tombé sur le garçon qui revenait de faire des courses.
AEB2C.
C’est le code qu’il tape.
• Montez, je suis allé acheter des pâtisseries.
Nous prenons l’ascenseur, la cabine est petite et le garçon est collé à moi, il semble qu’il me prenne pour une escorte, mais j’ai réussi mon coup, je vais pouvoir revenir quand je le désirerais pour visiter l’appartement de Boby en son absence.
Pour éviter que le garçon parle avec son voisin du dessous, je le laisse caresser mon postérieur, le regardant fièrement dans les yeux, j’ai fini de courber l’échine, je suis une femme qui a beaucoup subi, mais qui a décidé que ce serait moi qui la dirigerais.
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