COLLECTION BLACK. L’attaque (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. L’attaque (1/1)
Il y a deux ans que John et moi habitons dans le quartier du Marais.
John mon mari y possédait un atelier de peintre.
Pas un peinte en bâtiment, mais un peintre sur toiles qu’il vend partout dans le monde.
Avec lui j’ai visité le Japon, Tokyo, Yokohama.
Il a même exposé à Hiroshima mais là j’ai moins aimé.
L’Australie, principalement Sydney.
Nous sommes allés voir les kangourous et la faune australienne.
Chaque fois, ces étapes où nous sommes restés plusieurs semaines, m’ont permis d’apprendre les mœurs locales et les différences entre pays.
Volontairement, je n’ai pas parlé de New York, c’est là où j’ai connu John, il est américain principalement de Houston au Texas.
Il descend des esclaves noirs de ce pays, eh oui, John est un magnifique noir américain.
C’est lors de mes études que la petite Frenchie a fait la connaissance de ce colosse aux mains longues et effilées qui m’ont séduite en premier.
C’est dans une galerie de New York que je les ai vus et que j’en suis tombée amoureuse.
La petite Française venait de trouver l’homme de sa vie.
La galerie fermée, il m’a reconduit jusque chez moi, plutôt sur mon campus, au FIT université d’État qui enseigne les arts, la technologie, l’illustration.
Mais nous ne sommes pas là pour parler de la Fashion Institute of Technology qui m’a permis d’aller voir les œuvres de ce peintre à la cote montante.
Parfait gentleman il m’a déposé, mais m’invitant en fin de semaine à dîner avec lui.
Je dois reconnaître que j’ai accepté à ce que nous nous embrassions sur les joues.
Le samedi suivant, j’étais dans mes petits souliers.
J’avais mis mes dessous les plus sexy, à 22 ans, je dois reconnaître que j’espérais que ce grand black me proposerait d’aller dans son hôtel, étant encore vierge.
Dans les milieux parisiens et américains où j’avais vécu, les filles qui couchent, sont légions.
Je n’ai pas été déçue, un peu apeurée quand j’ai senti dans ma main celle qui allait faire de moi une femme.
Je savais que parmi ces hommes venus du Sud, ils y en avaient beaucoup qui avaient des engins que certaines pouvaient trouver démesurés, mais en saisir un pour la vierge que je fus aurait pu me faire fuir.
Je n’en ai rien fait, il faut dire qu’il a été d’une douceur telle que la peur qui un instant a failli s’emparer de moi a vite été dissipée.
Après ce premier contact, sachant où j’allais, j’avais assez fantasmé sur ce qui allait se passer et quand il m’a couché sur son lit, mes jambes tout naturellement se sont ouvertes.
John savait qu’il avait affaire à une vierge malgré mon âge et a été d’une douceur toute relative vu la taille de l’engin qui m’a transpercé.
J’ai eu mal quelques jours où il a su attendre que tout soit rentré dans l’ordre et la semaine suivante à quelques heures de repartir pour Houston, ce sont mes jambes qui ont entouré sa taille afin qu’il me fouille le plus profondément possible.
La séparation fut rude le lendemain, mais je savais enfin ce qu’être pleinement femme voulait dire.
Mon temps aux USA se terminait, je devais reprendre l’avion pour la France le lendemain.
Avec John nous avions échangé nos portables et les quelques jours qui avaient suivi, nous nous étions appelés restant des heures à parler en français ou en anglais.
Hélas la distance entre nous était telle que les liens se sont distendus avant de s’arrêter.
Je venais de m’installer dans l’avion, j’avais un peu d’appréhension aussi j’avais sorti de mon sac, le catalogue des œuvres de John que j’avais trouvées dans Manhattan il y a deux jours.
- Aimez-vous ce peintre mademoiselle ?
Je lève la tête John est là, toujours aussi beau.
Que fait-il dans cet avion ?
Il met un genou à terre, ouvre un écrin qu’il me présente.
- Isabelle, veux-tu m’épouser ?
Puisqu’au début de mon récit, je parle qu’il y a deux ans qu’il m’a épousé, naturellement sous les applaudissements de tous les passagers et de l’équipage, la bague est venue orner mon doigt.
Il a fait les choses dans les règles en allant voir mes parents dans le 16ème avant de me faire emménager dans l’atelier du Marais qu’il possédait depuis sa première venue en France.
Ce soir, nous fêtons notre deuxième année de mariage, ses toiles se vendent très bien mais nous avons préféré l’intimité d’un petit bouchon des bords de Seine pour entre nous, nous rappeler ce jour merveilleux.
Nous rentrons en longeant la rivière admirant les bateaux-mouches passant devant Notre-Dame toujours aussi majestueuse et finissons par emprunter une petite rue que nous savons nous rapprocher de l’atelier et la nuit d’amour que je vais lui offrir.
Un bruit de moteur nous fait monter, enlacés, sur le petit trottoir.
C’est là que tout dérape.
- Regarde la pute, elle aime sucer des bites noires.
Je me retourne, trois mecs le crâne rasé viennent de sortir d’une décapotable rouge.
L’un d’eux a une batte de base-ball dans la main.
Il approche de John qui me fait passer derrière lui pour me protéger.
J’ignore comment les choses tournent, je le vois tomber sur ses genoux.
Un coup à l’arrière de son corps lui est porté le terrassant.
- On la baise, on lui fait voir ce que c’est qu’une bite blanche.
Je suis au-dessus de John espérant le protéger, il a reçu assez de coups.
- Aspergeons là de notre sperme, je refuse à mettre ma bite dans une bouche ayant sucé un chocolat.
Trois, trois verges qui se masturbent sur moi m’arrosant de ce liquide poisseux.
Qui hurle quand j’entends la voiture démarrer emportant ces trois racistes qui m’ont abattu l’amour de ma vie.
C’est moi qui hurle avant qu’une sirène de police nous rejoigne.
Suivie de celle d’une ambulance.
John est vivant, nous nous retrouvons à l’hôpital le plus proche avant le centre de rééducation où il apprend à vivre dans son fauteuil roulant.
Un coup a touché sa colonne et a épargné ses bras, il peut peindre et commence ce qui s’appellera sa période noire.
Matin et soir une infirmière vient le lever et le coucher ainsi que lui faire sa toilette.
Mes parents me soutiennent et me sont d’un grand secours surtout quand j’accouche de John Junior neuf mois plus tard.
Mon mari ne peut plus m’honorer ou seulement avec ses doigts mais cela me fruste de plus en plus.
John junior est chez mes parents, son père ayant du mal à l’accepter même si nous n’en parlons jamais, son regard est assez explicite.
Un soir lorsqu’il est couché, sachant qu’il est dans l’impossibilité de bouger seul, il faut que je sorte.
Je sais c’est indigne de la femme qui l’a aimé, mais en me faisant femme, il a ouvert mes envies et j’ai besoin d’un peu plus de trois doigts en moi pour être satisfaite.
À 25 ans, même s’il m’est impossible de le quitter, je l’aime quand même, j’entre dans un bar où je sais pouvoir trouver ce que je cherche.
- Je vous offre un verre !
Il pourrait ajouter et mon lit, ce que nous faisons dès qu’il m’a mis sa main sur ma cuisse dénudée par le short que je porte, ras ma chatte épilée.
Sexe bestial, sexe sauvage, avec cet homme qui remplit à merveille son rôle de bite sur pattes.
Il me prend tout le restant de la nuit m’apportant la jouissance avec sa verge noire il va de soi.
Noir car ainsi j’ai l’impression d’être avec mon homme et de ne pas le tromper que je retrouve au matin avant l’arrivée de l’infirmière.
Combien de bites noires me défoncent dans les mois suivants, impossible de compter, mais on peut dire que je suis devenue une belle, non, une très belle salope.
Ce soir, j’ai dépassé toutes les pratiques sexuelles m’infligeant comme une punition, n’ayant pas réussi à le protéger.
Ce soir, ceux qui me lèvent sont deux et je goûte aux joies de la sodomie et la double pénétration.
Quand je rejoins l’atelier, j’ai du mal à marcher, il faut dire qu’ils étaient aussi bien montés que John.
Sans être une pute, mais pratiques sexuelles se faisant gratuitement je sens que je me détruis surtout chaque fois que je passe dans la rue où l’agression a eu lieu.
La police m’a entendu, la seule chose que j’ai pu leur donner comme signalement c’est la décapotable rouge et les trois attaquants rasés dont l’un a massacré John à vie avec sa batte de base-ball.
Ce soir, j’ai élargi mon cercle de drague, je suis place Pigalle, je sais qu’ici je vais trouver du sexe noir à ma convenance.
À un feu rouge, une décapotable rouge est arrêtée, quand je vois l’aile avant gauche, ça me revient en mémoire, elle était enfoncée, celle-là aussi.
Au volant, l’homme à la batte le crâne toujours rasé.
J’ouvre la portière et je monte à son côté.
- Te souviens-tu de moi ?
Voilà, j’arrive au bout de mon récit, je suis montée instinctivement dans cette voiture la suite s’il y en a une, vous la trouverez dans les jours prochains mais ce texte changera de « Collection ».
De la « Collection black » le chapitre II de « L’attaque » passera comme il se doit dans la « Collection Vengeance » et quelle vengeance.
Corrigé par ma muse Anne.
John mon mari y possédait un atelier de peintre.
Pas un peinte en bâtiment, mais un peintre sur toiles qu’il vend partout dans le monde.
Avec lui j’ai visité le Japon, Tokyo, Yokohama.
Il a même exposé à Hiroshima mais là j’ai moins aimé.
L’Australie, principalement Sydney.
Nous sommes allés voir les kangourous et la faune australienne.
Chaque fois, ces étapes où nous sommes restés plusieurs semaines, m’ont permis d’apprendre les mœurs locales et les différences entre pays.
Volontairement, je n’ai pas parlé de New York, c’est là où j’ai connu John, il est américain principalement de Houston au Texas.
Il descend des esclaves noirs de ce pays, eh oui, John est un magnifique noir américain.
C’est lors de mes études que la petite Frenchie a fait la connaissance de ce colosse aux mains longues et effilées qui m’ont séduite en premier.
C’est dans une galerie de New York que je les ai vus et que j’en suis tombée amoureuse.
La petite Française venait de trouver l’homme de sa vie.
La galerie fermée, il m’a reconduit jusque chez moi, plutôt sur mon campus, au FIT université d’État qui enseigne les arts, la technologie, l’illustration.
Mais nous ne sommes pas là pour parler de la Fashion Institute of Technology qui m’a permis d’aller voir les œuvres de ce peintre à la cote montante.
Parfait gentleman il m’a déposé, mais m’invitant en fin de semaine à dîner avec lui.
Je dois reconnaître que j’ai accepté à ce que nous nous embrassions sur les joues.
Le samedi suivant, j’étais dans mes petits souliers.
J’avais mis mes dessous les plus sexy, à 22 ans, je dois reconnaître que j’espérais que ce grand black me proposerait d’aller dans son hôtel, étant encore vierge.
Dans les milieux parisiens et américains où j’avais vécu, les filles qui couchent, sont légions.
Je n’ai pas été déçue, un peu apeurée quand j’ai senti dans ma main celle qui allait faire de moi une femme.
Je savais que parmi ces hommes venus du Sud, ils y en avaient beaucoup qui avaient des engins que certaines pouvaient trouver démesurés, mais en saisir un pour la vierge que je fus aurait pu me faire fuir.
Je n’en ai rien fait, il faut dire qu’il a été d’une douceur telle que la peur qui un instant a failli s’emparer de moi a vite été dissipée.
Après ce premier contact, sachant où j’allais, j’avais assez fantasmé sur ce qui allait se passer et quand il m’a couché sur son lit, mes jambes tout naturellement se sont ouvertes.
John savait qu’il avait affaire à une vierge malgré mon âge et a été d’une douceur toute relative vu la taille de l’engin qui m’a transpercé.
J’ai eu mal quelques jours où il a su attendre que tout soit rentré dans l’ordre et la semaine suivante à quelques heures de repartir pour Houston, ce sont mes jambes qui ont entouré sa taille afin qu’il me fouille le plus profondément possible.
La séparation fut rude le lendemain, mais je savais enfin ce qu’être pleinement femme voulait dire.
Mon temps aux USA se terminait, je devais reprendre l’avion pour la France le lendemain.
Avec John nous avions échangé nos portables et les quelques jours qui avaient suivi, nous nous étions appelés restant des heures à parler en français ou en anglais.
Hélas la distance entre nous était telle que les liens se sont distendus avant de s’arrêter.
Je venais de m’installer dans l’avion, j’avais un peu d’appréhension aussi j’avais sorti de mon sac, le catalogue des œuvres de John que j’avais trouvées dans Manhattan il y a deux jours.
- Aimez-vous ce peintre mademoiselle ?
Je lève la tête John est là, toujours aussi beau.
Que fait-il dans cet avion ?
Il met un genou à terre, ouvre un écrin qu’il me présente.
- Isabelle, veux-tu m’épouser ?
Puisqu’au début de mon récit, je parle qu’il y a deux ans qu’il m’a épousé, naturellement sous les applaudissements de tous les passagers et de l’équipage, la bague est venue orner mon doigt.
Il a fait les choses dans les règles en allant voir mes parents dans le 16ème avant de me faire emménager dans l’atelier du Marais qu’il possédait depuis sa première venue en France.
Ce soir, nous fêtons notre deuxième année de mariage, ses toiles se vendent très bien mais nous avons préféré l’intimité d’un petit bouchon des bords de Seine pour entre nous, nous rappeler ce jour merveilleux.
Nous rentrons en longeant la rivière admirant les bateaux-mouches passant devant Notre-Dame toujours aussi majestueuse et finissons par emprunter une petite rue que nous savons nous rapprocher de l’atelier et la nuit d’amour que je vais lui offrir.
Un bruit de moteur nous fait monter, enlacés, sur le petit trottoir.
C’est là que tout dérape.
- Regarde la pute, elle aime sucer des bites noires.
Je me retourne, trois mecs le crâne rasé viennent de sortir d’une décapotable rouge.
L’un d’eux a une batte de base-ball dans la main.
Il approche de John qui me fait passer derrière lui pour me protéger.
J’ignore comment les choses tournent, je le vois tomber sur ses genoux.
Un coup à l’arrière de son corps lui est porté le terrassant.
- On la baise, on lui fait voir ce que c’est qu’une bite blanche.
Je suis au-dessus de John espérant le protéger, il a reçu assez de coups.
- Aspergeons là de notre sperme, je refuse à mettre ma bite dans une bouche ayant sucé un chocolat.
Trois, trois verges qui se masturbent sur moi m’arrosant de ce liquide poisseux.
Qui hurle quand j’entends la voiture démarrer emportant ces trois racistes qui m’ont abattu l’amour de ma vie.
C’est moi qui hurle avant qu’une sirène de police nous rejoigne.
Suivie de celle d’une ambulance.
John est vivant, nous nous retrouvons à l’hôpital le plus proche avant le centre de rééducation où il apprend à vivre dans son fauteuil roulant.
Un coup a touché sa colonne et a épargné ses bras, il peut peindre et commence ce qui s’appellera sa période noire.
Matin et soir une infirmière vient le lever et le coucher ainsi que lui faire sa toilette.
Mes parents me soutiennent et me sont d’un grand secours surtout quand j’accouche de John Junior neuf mois plus tard.
Mon mari ne peut plus m’honorer ou seulement avec ses doigts mais cela me fruste de plus en plus.
John junior est chez mes parents, son père ayant du mal à l’accepter même si nous n’en parlons jamais, son regard est assez explicite.
Un soir lorsqu’il est couché, sachant qu’il est dans l’impossibilité de bouger seul, il faut que je sorte.
Je sais c’est indigne de la femme qui l’a aimé, mais en me faisant femme, il a ouvert mes envies et j’ai besoin d’un peu plus de trois doigts en moi pour être satisfaite.
À 25 ans, même s’il m’est impossible de le quitter, je l’aime quand même, j’entre dans un bar où je sais pouvoir trouver ce que je cherche.
- Je vous offre un verre !
Il pourrait ajouter et mon lit, ce que nous faisons dès qu’il m’a mis sa main sur ma cuisse dénudée par le short que je porte, ras ma chatte épilée.
Sexe bestial, sexe sauvage, avec cet homme qui remplit à merveille son rôle de bite sur pattes.
Il me prend tout le restant de la nuit m’apportant la jouissance avec sa verge noire il va de soi.
Noir car ainsi j’ai l’impression d’être avec mon homme et de ne pas le tromper que je retrouve au matin avant l’arrivée de l’infirmière.
Combien de bites noires me défoncent dans les mois suivants, impossible de compter, mais on peut dire que je suis devenue une belle, non, une très belle salope.
Ce soir, j’ai dépassé toutes les pratiques sexuelles m’infligeant comme une punition, n’ayant pas réussi à le protéger.
Ce soir, ceux qui me lèvent sont deux et je goûte aux joies de la sodomie et la double pénétration.
Quand je rejoins l’atelier, j’ai du mal à marcher, il faut dire qu’ils étaient aussi bien montés que John.
Sans être une pute, mais pratiques sexuelles se faisant gratuitement je sens que je me détruis surtout chaque fois que je passe dans la rue où l’agression a eu lieu.
La police m’a entendu, la seule chose que j’ai pu leur donner comme signalement c’est la décapotable rouge et les trois attaquants rasés dont l’un a massacré John à vie avec sa batte de base-ball.
Ce soir, j’ai élargi mon cercle de drague, je suis place Pigalle, je sais qu’ici je vais trouver du sexe noir à ma convenance.
À un feu rouge, une décapotable rouge est arrêtée, quand je vois l’aile avant gauche, ça me revient en mémoire, elle était enfoncée, celle-là aussi.
Au volant, l’homme à la batte le crâne toujours rasé.
J’ouvre la portière et je monte à son côté.
- Te souviens-tu de moi ?
Voilà, j’arrive au bout de mon récit, je suis montée instinctivement dans cette voiture la suite s’il y en a une, vous la trouverez dans les jours prochains mais ce texte changera de « Collection ».
De la « Collection black » le chapitre II de « L’attaque » passera comme il se doit dans la « Collection Vengeance » et quelle vengeance.
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