COLLECTION BLACK. Retour de couches (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Retour de couches (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Retour de couches (1/1)
41 ans, 5 enfants, 3 de 18, 17, 16 et deux de 4 mois.
Pendant ma grossesse, Fred mon mari a refusé de me baiser.
J’espérais m’éclater dès leurs naissances, mais il persiste à m’éviter.
Depuis quelque temps, j’ai pris l’habitude de surfer sur les réseaux sociaux sur l’ordinateur que Fred a mis dans le salon.
J’ai rapidement trouvé des films de cul et j’ai pris l’habitude de tchater avec des inconnus.

Imper, nue sous l’imper, j’ai pris le métro, celui que je vais retrouver m’a monté un scénario digne des plus grands pornos des années 60.
Talons hauts, bas Dim Up, noirs bien sûrs avec de la dentelle fine pour les cuisses.

Sortir de chez moi pour le rejoindre est déjà une épreuve car j’ai toujours été une jeune femme pudique avant de devenir la femme des femmes.
Trois grossesses et un corps de jeune fille, car après chacune des naissances le travail effectué dans ma salle de sport m’ont rapidement remis en condition.
Seuls mes seins se sont développés car chaque fois que je mets mes enfants au monde, je les allaite.

C’est encore le cas pour Luc et Léon mes jumeaux qui sont la cause de l’abandon sexuelle de Franck.
Ma grossesse a été une surprise presque 20 ans après.
Dans les premiers jours de son abandon sexuel, je me contentais de mes doigts mais rapidement mon bouton en voulait plus et c’est là que j’ai rencontré Internet.

Troisième rue à droite après la sortie de la bouche de métro.
Mince, une impasse, un vrai trou à rat.
Mais j’étais prévenue et on m’a dit que rien de désagréable ne pouvait m’arriver.
Dernière maison, une porte en fer que je pousse entrant dans un espace entièrement délabré.
Je devrais me sauver en courant mais l’atmosphère créée me fait littéralement couler.
Depuis combien de temps ma chatte peut se souvenir d’avoir ressenti autant d’émotion moi qui ai laissé mes deux derniers à ma voisine avec des couches et des biberons.
J’ai encore du lait mais je commence à passer au lait maternel.
Comme dit, je monte vers l’étage un peu anxieuse.

« Tu es arrivée, entre. »
Je m’exécute avec un dernier moment de doute.
L’envie de transgression par rapport à mon éducation est forte, mais des restes de cette éducation me traverse encore.
Soit audacieuse pousse la porte, il sera encore temps de te sauver, bien qu’avec mes talons ce sera difficile.
J’entends de la musique, si celui que je rejoins est mélomane, c’est quelqu’un de bien, j’adore la musique.
Dans mon ventre, j’en faisais entendre à mes jumeaux et avants de les quitter tout à l’heure j’ai démarré les tourniquets musicaux placés au-dessus d’eux dans leur berceau.

Je prends mon courage à deux mains et j’appuie sur la clanche.
Une boule à lumière de couleur tourne dans la pièce pourrie mais propre tout de même.
C’est là sur ce matelas que je vais tromper Fred.
Je le sais quand je vois celui que je voyais à travers l’œil de la caméra de son ordi renvoyé sur le mien.

- Entre, tu es arrivée au début de la deuxième phase de ton besoin de sexe.

Mamadou, celui avec qui je converse repoussant tout le temps le moment de le rencontrer est là.
Mamadou, le nom montre tout de suite à qui j’ai affaire.
Un black de deux mètres seulement recouverts d’un caleçon où je sais trouver ce qu’il m’a montré quand il se masturbait me faisant saliver d’envie.
Cinquante, elle fait cinquante et nous avons parié qu’il serait impossible de la mettre dans ma bouche.
Sucer cette bite, c’est un de mes buts car Fred quand il me baisait comme un bon supporter de l’OM suivait leur devise « Droit au but ».

- Ouvre ton imper, fais-moi voir tes seins comme tu le faisais devant la caméra, tes aréoles grosses et noires me font saliver.

J’ouvre mon imper.
Ce geste à lui seul me coûte car c’est la première fois que je m’exhibe devant un autre homme que mon mari.
Ça me coûte, mais je suis excitée comme la demi-pucelle que je suis.
Il avance, j’ai ouvert et je tiens les pans bien écartés.
Il me caresse le sein droit d’un revers de main.
Je frissonne malgré la chaleur du mois de juillet.

- Je peux te téter ?

Il me demande, mais dans un même mouvement sa bouche se pose sur mon mamelon et il aspire un grand coup à la limite de me faire mal.

- Aspire doucement bébé, maman est là pour te satisfaire.

Ma bouche prononce ces mots, mais sans mon cerveau.
Je lâche les pans de mon imper le faisant tomber de mes épaules et quand il a rejoint le sol, mes mains entourent sa tête.

- Mamadou, tu vas trop vite, présente-moi à ton amie bien que je la connaisse déjà sans qu’elle le sache.

La bouche sur mon sein me tétant, commençait à faire monter le plaisir en moi mais quand j’entends parler dans mon dos, je me glace.
Ça y est, le traquenard se referme sur moi qui ai été inconsciente de venir jusqu’ici sans plus de précaution.

- J’ai senti que ton corps se crispait, reste cool, c’est Akim mon frère jumeau comme toi tu viens d’en avoir deux.
Chacun notre tour nous conversions avec toi.
Nous voulions te le dire, mais nous avons eu peur que tu ne te sauves en courant sachant que nous étions deux.

Quand je vois la deuxième bête s’approcher et se mettre à son tour à me téter le sein gauche, je me laisse faire.
Je suis un peu embarrassée, j’avais prévu un amant black avec une queue hors du commun mais deux dans deux corps identiques ça peut paraître beaucoup, pourtant je me laisse faire.
Ils aspirent tous les deux à un bon rythme me vidant les seins plus vite que mes petits gloutons.

Quand ils relèvent la tête, je m’agenouille sur le matelas et je descends un à un leur caleçon découvrant les deux morceaux qui commencent à se développer.
J’ai perdu, je suis dans l’impossibilité de les mettre au fond de ma bouche.
Je les masturbe et je les lèche du gland aux couilles qui même elles sont trop grosses pour entrer.
Je voudrais que ma chatte soit caressée aussi je me relève prend la première main que je rencontre et la pose pour que mon besoin soit réalisé.
Une bouche de grosses lèvres de noirs, une autre bouche, les mêmes grosses lèvres noires, je vois en double et j’adore.

- On va te baiser Christel, tu es venue pour ça.

Ils sont tendus comme jamais aucune bite ne m’ayant été présentée.
Il faut rappeler que seul Franck m’a présenté la sienne.
Laquelle des deux veut me prendre en premier aucune importance, mais elle a du mal à entrer alors que mes deux garçons en sont sortis.
Je croise mes jambes dans le dos de mon amant car même s’il n’entre qu’à moitié, c’est mon amant.
L’autre sexe se présente à mes lèvres et alors qu’un frisson de plaisir traverse mon corps, je recommence à sucer.
Une giclée au fond de ma vulve, une giclée sur ma figure, je perds pied car la lame de fond qui ponctue cette véritable sailli me laisse à moitié dans les vapes.

On pourrait croire qu’ils ont leur compte, mais ce sont deux bêtes de sexes que je rencontre.
Comment je me retrouve en levrette, là encore il faudrait que l’on me montre le ralenti ?
Je suis prise de nouveau des deux côtés avec simplement une inversion des bites me pénétrant et se faisant sucer.

Nouvelle lame de fond, deuxième giclée de sperme dans ma bouche et mon vagin avant que je m’aperçoive que l’heure est avancée et que si je reste, c’est le divorce assuré.

- Veux-tu prendre une douche ?
- Non, je file merci pour tout, on se contactent par Internet.
- Toujours à ta disposition.
Bonjour à tes jumeaux, tu les remercieras pour le lait que nous leur avons pris.

Un mouchoir, je m’essuie la figure et je refais le chemin inverse après un dernier baisé à mes amants d’exception.
Dans le métro la foule est plus nombreuse.
Je sens une main se glisser dans mon imper et des doigts entrer dans ma chatte.
J’ai là encore un frisson de plaisir alors que j’aurais dû m’offusquer.
Je ris en moi-même.
Ces doigts farfouillent dans le sperme de Mamadou et Akim.
Dommage, le métro ralenti, la main se retire et je rentre chez moi.

- Ont-ils été sage ?
- Comme des images, quand ils se sont réveillés, je leur ai donné leur biberon, un rototo et depuis ils dormaient.
Mais entre, je vais nous faire du café.
- Impossible, j’attends un coup de fil de ma sœur pour finaliser nos vacances.

Je me vois mal ouvrir mon imper le temps de boire un café, montrant à Sophie mon corps repu mais dénudé.

Mes jumeaux ont sept mois, ils commencent à s’asseoir.
Pas de retour de couches, je prends rendez-vous chez mon médecin.

- Vous êtes enceinte madame, félicitation.

Il marque un temps.

- Des faux jumeaux, un garçon et une fille.

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Texte coquin : COLLECTION BLACK. Retour de couches (1/1)
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