COLLECTION BLACK. Un an après (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Un an après (1/1)
J’ai écrit le 6-6-2016 dans la « COLLECTION BLACK » « Je craque », pendant de longs mois, j’ai eu des soucis avec les commentaires, je n’étais pas prévenu quand dans mes textes, il y en avait des tardifs, un lecteur m’avait demandé la suite de ce texte, je viens lui faire plaisir, bonne lecture.
Il y a un an que j’ai cédé à mon fantasme d’être prise par des verges noires.
Un an que j’ai changé mes parcours de jogging pour éviter de rencontrer Ludo celui qui m’a fait réaliser ce fantasme, mais à qui je refuse de pardonner de m’avoir jeté nue sur le trottoir m’obligeant à retourner dans notre pavillon la chatte à l’air, même si en pleine nuit, j’ai eu la chance qu’aucun de mes voisins ne me voit.
Un an avec un signe du destin, quand Adrien me dit qu’il part pour son travail.
• Caroline, je pars trois jours en séminaire à Annecy notre patron va nous faire faire du parapente.
• J’aimerais en faire, un de ces jours, j’espère que nous en ferons en amoureux, il y a longtemps que nous avons arrêté nos petits week-ends érotiques.
• C’est la vie, mon amour, ta petite fille chérie vit depuis quatre mois avec son beau black et ton fils est parti en rando avec son groupe d’écolo, excusez-moi de te laisser seule, mais ces trois jours sont aussi une source de travail.
• Part tranquille, je viens d’acheter 50 nuances de Grey, le tome 2, il est épais.
Eh, oui, il y a un an, je craquais sur la bite de Ludo allant même faire la pute dans son bar alors que signe du destin ma choupinette sans le savoir en a une à sa disposition tous les soirs depuis qu’ils ont emménagé.
Le vendredi, je suis seule lascivement allongée sur notre canapé, je viens d’attaquer le premier chapitre de mon bouquin du week-end.
J’ai dû m’endormir, car je rêve et je rêve surtout de la verge de mon futur gendre que j’ai vu malencontreusement un matin il y a six mois ou me rendant dans la salle de bain, il était dans ma cuisine se croyant seul, buvant un café.
• Caroline, excusez-moi d’être nu devant toi, mais avec Manon nous sommes naturiste, nous nous sommes connues au cap l’an dernier.
Au cap, j’ai cru rêver, elle m’avait dit qu’elle partait en randonnée montagne avec des copines, mais elle est majeure et fait bien ce qu’elle veut.
• Je te sens surprise, c’est vrai ce doit être la première fois que tu en vois une aussi longue et surtout toute noire, ta fille l’apprécie.
Un peu mufle ou macho le garçon, mais je me suis bien gardé de lui répondre et quand je me réveille ma main posée sur ma chatte est toute mouillée.
Je résiste encore quelques minutes, finissant par me lever m’habiller et quitter la maison.
J’arrive rapidement au café où je trouve une place pour me garer, avant de rentrer, j’ai un moment de lucidité, je devrais repartir, mais c’est simplement mon string que j’enlève et que je place sur le siège à mon côté.
Ce sera toujours cela de sauver, car la première fois où je suis venue me faire éclater, c’est un string qu’Adrien m’avait offert avec l’ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles qui m’a été arraché et que j’ai dû laisser à la façon dont j’ai été éjectée.
Je m’en suis sortie grâce à mon esprit vif en m’excusant de l’avoir mis avec du linge blanc à 60° par inadvertance et qu’il avait été réduit comme un timbre-poste.
Il a regretté que je l’aie mis à la poubelle ayant bien voulu me voir le porter s’il était devenu aussi petit que cela.
• Bonsoir madame, nous allons fermer.
C’est une magnifique plante des îles, qui pose cette question, environ l’âge de ma fille avec des yeux de biche et une noirceur de peau plus sombre que celle de Ludo.
• J’ai fini ma journée, Ludo est absent, ils sont tous allés chez Bamboula pour regarder le 1er match France – Roumanie de l’euro 96 en France.
Avec les packs de bière qu’ils ont emmenée, je suis tranquille jusqu’à demain matin, tu connais Ludo.
• Oui, j’ai passé une soirée avec lui et ses amis.
• Par hasard serais-tu la bourge qu’il se vante d’avoir sautés tous ensemble, il y a presque un an.
Je deviens cramoisie, j’ignorais que j’étais la vedette de ce bar depuis une année.
• Tu sais, reste-toi, il n’y a aucune honte à aimer les verges noires, regarde-moi, je recherche le plus possible les mêmes en blanc, cherche à savoir pourquoi, Ludo m’a engagé comme serveuse, je suis devenue sa petite amie bien qu’il en ait une noire.
• Quel est ton prénom ?
• Alexina, je suis d’origine guadeloupéenne, mais je suis née en France.
• Tu y retournes souvent.
• Jamais, je pense faire le voyage l’an prochain.
Je t’offre un verre à l’étage, je crois que tu connais !
Je me revois montant l'escalier, il y a un an, la main de celui qui allait m’offrir à ses copains sur mon postérieur, je suis étonné d’arriver au palier sans reconnaître la pièce où je suis entré avec son matelas pourri.
• J’ai tout refait moi-même, j’adore bricoler et j’aime vivre dans un cadre propre.
Tu t’es laissé baiser sur le matelas dans l’état où il était ?
• J’étais dans un tel état de honte et d’excitations que seule la verge de ces hommes me fascinait, j’ai passé le meilleur moment de ma vie.
• Et tu espérais recommencer ce soir.
• J’ai un peu honte, mais oui, je dois le reconnaître.
• Et une chatte noire, tu aimerais.
• Tu sais les filles et moi.
• Les filles et toi, tu as déjà essayé et tu regrettes de l’avoir fait où les amours lesbiens te sont inconnus.
• Je dois encore reconnaître que la deuxième situation est la bonne.
Avant que j’aie eu le temps de réaliser, la langue d’Alexina me plaque un baiser sur ma bouche, sa main vient se plaquer sous ma mini sur ma vulve trempée.
• Ben ma salope tu as tout prévu, tu es venue sans ta culotte.
Aimes-tu, je continue ?
• Oh oui, déshabille-moi, je sens que j’ai autant envie de toi que des bites des hommes l’an passé.
• Mets-moi ta main où cela va me faire du bien, prends l’initiative, j’adore que l’on me caresse.
Je suis surprise que cette jeune fille me demande de la caresser en même temps qu’elle me caresse.
Dès qu’elle est nue, je vois que ses seins sont percés et que chacun est orné par un objet intime.
Tout naturellement, je trouve sa petite excroissance, j’ai le plaisir de la voir ployer ses genoux au moment où le plaisir la rattrape.
Je suis peu fière de faire jouir cette jeune femme, avant d’aller plus loin, je l’embrasse à pleine bouche lui caressant les cheveux de ma main libre.
Elle m’offre une deuxième surprise, car sa langue s’orne elle aussi d’un piercing en forme de boule.
• Viens t’allonger dans ma chambre, j’adore sentir la langue des filles dans mon vagin.
• Tu as eu beaucoup d’amour féminin.
• Ni oui ni non, simplement chaque fois qu’une jolie fille comme toi me tombe dans les bras, je craque.
• Tu as raison, c’est bon de craquer, regarde-moi.
• Oui, tu as bien fait de vivre ton fantasme de verge noire, car sinon tu aurais été frustré toute ta vie.
J’ai souvent fait l’amour avec Adrien en 69, lui me bouffant la chatte, moi le pompant, aussi dès qu’elle est allongée, c’est naturellement que je viens au-dessus d’elle.
Pour la première fois de ma vie, j’ai la vision d’une chatte de femme adulte surtout quand j’écarte sa vulve de deux doigts et que ma bouche peut prendre son excroissance dans ma bouche.
Je suis à la limite de défaillir surtout que pour la première fois, là aussi, une bouche féminine se plaque sur ma bouche intime et que ses doigts m’ouvrent pour profiter profondément de moi.
J’ai aimé devenir une cochonne l’an passé et je bénis le ciel que ce soir soit le premier match de l’équipe de France et que les hommes aient laissé place à cette jolie fille m’apprenant à franchir une nouvelle étape dans ma vie amoureuse ou plutôt érotique.
• Aimes-tu ?
Je lève la tête ce qui me permet de prendre une goulée d’air car ses jambes sont venues me coincer la tête manquant de m’étouffer.
• Continue avec tes doigts, entre les profondément en moi, tu vas me faire jouir, c’est incroyable.
Je vole, elle est partout en moi, sur moi, nos deux corps fusionnent, car au moment où je jouis, elle éclate aussi.
J’ai dû dormir, la sensation est étrange quand je me réveille, j’ai basculé à ses côtés, mais toujours en position inversée et c’est la vue de ses grandes lèvres assez proéminente que j’ai devant mes yeux.
D’un petit coup de langue mutin, je les caresse retrouvant le goût musqué de ma première chatte féminine que j’ai fait jouir cette nuit.
Elle se réveille, nos jeux reprennent avec en plus la fougue de celles qui connaissent les plaisirs lesbiens, bien qu’Alexina me fasse découvrir une nouvelle position entre filles quand nous croisons nos jambes, qu’elle écarte nos grandes lèvres et que par un petit mouvement en avant, elle plaque nos deux clitos l’un contre l’autre.
Je me souviens qu’elle aime que je prenne l’initiative, je fais tourner mon corps ou plutôt mon bas-ventre dans un mouvement qui déclenche notre plaisir simultanément, dans un geste de tendresse, je lui prends la tête pour retrouver cette boule qui me trouble depuis que j’ai senti qu’elle était là.
• Nos hommes vont entrer, Ludo ouvre le bar à dix heures.
• Je vais te quitter, je ne veux pas de leurs verges, j’essayerais de revenir, j’ai beaucoup aimée notre nuit, j’aime mon mari, j’ignore quand il repartira, si nous ne revoyons pas, tu auras été un soleil dans ma vie.
• Normal pour une fille des îles, tu as raison, on vient de vivre un moment intense, j’espère moi aussi te revoir.
Une fois habillé, je l’embrasse, il va falloir que je demande à Adrien qu’il accepte que j’en mette un sur ma langue.
Je retrouve ma voiture et ma petite culotte, cette fois, je n’aurais pas à justifier sa perte, au moment où je passe devant le bar, Ludo pénètre par la porte de côté, dommage, il est avec deux potes plus costaux que ceux qui m’ont défoncé et fait de moi une salope, il y a un an.
Il y a un an que j’ai cédé à mon fantasme d’être prise par des verges noires.
Un an que j’ai changé mes parcours de jogging pour éviter de rencontrer Ludo celui qui m’a fait réaliser ce fantasme, mais à qui je refuse de pardonner de m’avoir jeté nue sur le trottoir m’obligeant à retourner dans notre pavillon la chatte à l’air, même si en pleine nuit, j’ai eu la chance qu’aucun de mes voisins ne me voit.
Un an avec un signe du destin, quand Adrien me dit qu’il part pour son travail.
• Caroline, je pars trois jours en séminaire à Annecy notre patron va nous faire faire du parapente.
• J’aimerais en faire, un de ces jours, j’espère que nous en ferons en amoureux, il y a longtemps que nous avons arrêté nos petits week-ends érotiques.
• C’est la vie, mon amour, ta petite fille chérie vit depuis quatre mois avec son beau black et ton fils est parti en rando avec son groupe d’écolo, excusez-moi de te laisser seule, mais ces trois jours sont aussi une source de travail.
• Part tranquille, je viens d’acheter 50 nuances de Grey, le tome 2, il est épais.
Eh, oui, il y a un an, je craquais sur la bite de Ludo allant même faire la pute dans son bar alors que signe du destin ma choupinette sans le savoir en a une à sa disposition tous les soirs depuis qu’ils ont emménagé.
Le vendredi, je suis seule lascivement allongée sur notre canapé, je viens d’attaquer le premier chapitre de mon bouquin du week-end.
J’ai dû m’endormir, car je rêve et je rêve surtout de la verge de mon futur gendre que j’ai vu malencontreusement un matin il y a six mois ou me rendant dans la salle de bain, il était dans ma cuisine se croyant seul, buvant un café.
• Caroline, excusez-moi d’être nu devant toi, mais avec Manon nous sommes naturiste, nous nous sommes connues au cap l’an dernier.
Au cap, j’ai cru rêver, elle m’avait dit qu’elle partait en randonnée montagne avec des copines, mais elle est majeure et fait bien ce qu’elle veut.
• Je te sens surprise, c’est vrai ce doit être la première fois que tu en vois une aussi longue et surtout toute noire, ta fille l’apprécie.
Un peu mufle ou macho le garçon, mais je me suis bien gardé de lui répondre et quand je me réveille ma main posée sur ma chatte est toute mouillée.
Je résiste encore quelques minutes, finissant par me lever m’habiller et quitter la maison.
J’arrive rapidement au café où je trouve une place pour me garer, avant de rentrer, j’ai un moment de lucidité, je devrais repartir, mais c’est simplement mon string que j’enlève et que je place sur le siège à mon côté.
Ce sera toujours cela de sauver, car la première fois où je suis venue me faire éclater, c’est un string qu’Adrien m’avait offert avec l’ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles qui m’a été arraché et que j’ai dû laisser à la façon dont j’ai été éjectée.
Je m’en suis sortie grâce à mon esprit vif en m’excusant de l’avoir mis avec du linge blanc à 60° par inadvertance et qu’il avait été réduit comme un timbre-poste.
Il a regretté que je l’aie mis à la poubelle ayant bien voulu me voir le porter s’il était devenu aussi petit que cela.
• Bonsoir madame, nous allons fermer.
C’est une magnifique plante des îles, qui pose cette question, environ l’âge de ma fille avec des yeux de biche et une noirceur de peau plus sombre que celle de Ludo.
• J’ai fini ma journée, Ludo est absent, ils sont tous allés chez Bamboula pour regarder le 1er match France – Roumanie de l’euro 96 en France.
Avec les packs de bière qu’ils ont emmenée, je suis tranquille jusqu’à demain matin, tu connais Ludo.
• Oui, j’ai passé une soirée avec lui et ses amis.
• Par hasard serais-tu la bourge qu’il se vante d’avoir sautés tous ensemble, il y a presque un an.
Je deviens cramoisie, j’ignorais que j’étais la vedette de ce bar depuis une année.
• Tu sais, reste-toi, il n’y a aucune honte à aimer les verges noires, regarde-moi, je recherche le plus possible les mêmes en blanc, cherche à savoir pourquoi, Ludo m’a engagé comme serveuse, je suis devenue sa petite amie bien qu’il en ait une noire.
• Quel est ton prénom ?
• Alexina, je suis d’origine guadeloupéenne, mais je suis née en France.
• Tu y retournes souvent.
• Jamais, je pense faire le voyage l’an prochain.
Je t’offre un verre à l’étage, je crois que tu connais !
Je me revois montant l'escalier, il y a un an, la main de celui qui allait m’offrir à ses copains sur mon postérieur, je suis étonné d’arriver au palier sans reconnaître la pièce où je suis entré avec son matelas pourri.
• J’ai tout refait moi-même, j’adore bricoler et j’aime vivre dans un cadre propre.
Tu t’es laissé baiser sur le matelas dans l’état où il était ?
• J’étais dans un tel état de honte et d’excitations que seule la verge de ces hommes me fascinait, j’ai passé le meilleur moment de ma vie.
• Et tu espérais recommencer ce soir.
• J’ai un peu honte, mais oui, je dois le reconnaître.
• Et une chatte noire, tu aimerais.
• Tu sais les filles et moi.
• Les filles et toi, tu as déjà essayé et tu regrettes de l’avoir fait où les amours lesbiens te sont inconnus.
• Je dois encore reconnaître que la deuxième situation est la bonne.
Avant que j’aie eu le temps de réaliser, la langue d’Alexina me plaque un baiser sur ma bouche, sa main vient se plaquer sous ma mini sur ma vulve trempée.
• Ben ma salope tu as tout prévu, tu es venue sans ta culotte.
Aimes-tu, je continue ?
• Oh oui, déshabille-moi, je sens que j’ai autant envie de toi que des bites des hommes l’an passé.
• Mets-moi ta main où cela va me faire du bien, prends l’initiative, j’adore que l’on me caresse.
Je suis surprise que cette jeune fille me demande de la caresser en même temps qu’elle me caresse.
Dès qu’elle est nue, je vois que ses seins sont percés et que chacun est orné par un objet intime.
Tout naturellement, je trouve sa petite excroissance, j’ai le plaisir de la voir ployer ses genoux au moment où le plaisir la rattrape.
Je suis peu fière de faire jouir cette jeune femme, avant d’aller plus loin, je l’embrasse à pleine bouche lui caressant les cheveux de ma main libre.
Elle m’offre une deuxième surprise, car sa langue s’orne elle aussi d’un piercing en forme de boule.
• Viens t’allonger dans ma chambre, j’adore sentir la langue des filles dans mon vagin.
• Tu as eu beaucoup d’amour féminin.
• Ni oui ni non, simplement chaque fois qu’une jolie fille comme toi me tombe dans les bras, je craque.
• Tu as raison, c’est bon de craquer, regarde-moi.
• Oui, tu as bien fait de vivre ton fantasme de verge noire, car sinon tu aurais été frustré toute ta vie.
J’ai souvent fait l’amour avec Adrien en 69, lui me bouffant la chatte, moi le pompant, aussi dès qu’elle est allongée, c’est naturellement que je viens au-dessus d’elle.
Pour la première fois de ma vie, j’ai la vision d’une chatte de femme adulte surtout quand j’écarte sa vulve de deux doigts et que ma bouche peut prendre son excroissance dans ma bouche.
Je suis à la limite de défaillir surtout que pour la première fois, là aussi, une bouche féminine se plaque sur ma bouche intime et que ses doigts m’ouvrent pour profiter profondément de moi.
J’ai aimé devenir une cochonne l’an passé et je bénis le ciel que ce soir soit le premier match de l’équipe de France et que les hommes aient laissé place à cette jolie fille m’apprenant à franchir une nouvelle étape dans ma vie amoureuse ou plutôt érotique.
• Aimes-tu ?
Je lève la tête ce qui me permet de prendre une goulée d’air car ses jambes sont venues me coincer la tête manquant de m’étouffer.
• Continue avec tes doigts, entre les profondément en moi, tu vas me faire jouir, c’est incroyable.
Je vole, elle est partout en moi, sur moi, nos deux corps fusionnent, car au moment où je jouis, elle éclate aussi.
J’ai dû dormir, la sensation est étrange quand je me réveille, j’ai basculé à ses côtés, mais toujours en position inversée et c’est la vue de ses grandes lèvres assez proéminente que j’ai devant mes yeux.
D’un petit coup de langue mutin, je les caresse retrouvant le goût musqué de ma première chatte féminine que j’ai fait jouir cette nuit.
Elle se réveille, nos jeux reprennent avec en plus la fougue de celles qui connaissent les plaisirs lesbiens, bien qu’Alexina me fasse découvrir une nouvelle position entre filles quand nous croisons nos jambes, qu’elle écarte nos grandes lèvres et que par un petit mouvement en avant, elle plaque nos deux clitos l’un contre l’autre.
Je me souviens qu’elle aime que je prenne l’initiative, je fais tourner mon corps ou plutôt mon bas-ventre dans un mouvement qui déclenche notre plaisir simultanément, dans un geste de tendresse, je lui prends la tête pour retrouver cette boule qui me trouble depuis que j’ai senti qu’elle était là.
• Nos hommes vont entrer, Ludo ouvre le bar à dix heures.
• Je vais te quitter, je ne veux pas de leurs verges, j’essayerais de revenir, j’ai beaucoup aimée notre nuit, j’aime mon mari, j’ignore quand il repartira, si nous ne revoyons pas, tu auras été un soleil dans ma vie.
• Normal pour une fille des îles, tu as raison, on vient de vivre un moment intense, j’espère moi aussi te revoir.
Une fois habillé, je l’embrasse, il va falloir que je demande à Adrien qu’il accepte que j’en mette un sur ma langue.
Je retrouve ma voiture et ma petite culotte, cette fois, je n’aurais pas à justifier sa perte, au moment où je passe devant le bar, Ludo pénètre par la porte de côté, dommage, il est avec deux potes plus costaux que ceux qui m’ont défoncé et fait de moi une salope, il y a un an.
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