COLLECTION BLONDE. Dix ans de service auprès de mes clients (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLONDE. Dix ans de service auprès de mes clients (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLONDE. Dix ans de service auprès de mes clients (1/1)
• Alors BB il y a si longtemps que j’espérais de tes nouvelles, tu m’as manqué !
• Agathe si je n’ai pas fait appel à toi, c’est par ce que ma femme surveille mes comptes et qu’il m’est difficile de dégager du cash pour te payer tes prestations.
• Je comprends, je connais ta situation depuis combien de temps déjà, es-tu l’un de mes plus fidèles clients ?
• Huit ans, le lendemain de mon mariage, j’ai été déçu par ma nuit de noce et un copain m’ayant parlé de tes services, je t’ai rencontré.

Huit ans, cela faisait deux ans que j’avais franchi le pas et que j’avais cédé à l’appel du sexe et de l’argent facile.
Dix ans donc, que je me prostitue malgré l’évolution de ma vie.
Ne suis-je pas mariée avec un enfant.
Un garçon de deux ans, même lorsque j’étais enceinte, j’ai continué à satisfaire mes clients.
Au téléphone, lorsqu’ils me contactaient, je leur disais que j’avais le ventre rond et je trouvais assez de volontaires pour continuer à me baiser et à surtout me payer.
Le temps d’accoucher et de remettre mon sexe en état de marche et je rejoignais Luc, lui aussi un client de longue date que j’ai recommencée à sucer avant qu’il me prenne en levrette.
Luc, la levrette c’est son truc, il me prend par la chatte ou par l’anus.
La sodomie, c’est la première situation sexuelle qu’un de mes clients s’est payée lors de l’une de mes premières passes après mes dix-huit ans.
J’ai commencé à me prostituer lors de mes débuts à la fac que j’ai fréquenté afin d’obtenir les diplômes permettant ma couverture, même maintenant, où je pourrais arrêter le métier du sexe.
Lorsque je rejoins un client, j’ai toujours sous mon bras un ordi et des cahiers justifiant mon soi-disant métier d’architecte.
J’ai et j’ai eu tellement de clients qu’il m’est impossible de me souvenir de tous leurs noms.
Mais Charles, ce vieux salopard qui m’a dépucelé pour 500 € me mettant le pied à l’étrier, lui je me souviens de son nom.
Lorsqu’il a eu la preuve qu’il venait bien de sauter une vierge, il m’a même donné 100 € de pourboire lorsque sa queue est sortie de mon sexe rouge de mon sang.
Le lendemain, je remettais le couvert avec Paul un autre vieux salopard à qui il avait donné mon 06.
Depuis je n’ai eu nul besoin de pub sur aucun site d’escorte.
Je travaille trois à quatre fois par semaine alors que Jean-Antoine mon mari garde Vianney notre fils à la maison.
Nous nous sommes rencontrés, c’est le cas de le dire, à la sortie d’un immeuble d’un de mes clients.
Je venais de lui faire une magnifique pipe suivie d’une nouvelle sodomie.
400 € de plus dans ma besace après impôts, je déclare mon argent comme profession libérale et l’État me laisse une paix royale.
Nous nous sommes bousculés, ça a entraîné une foulure de ma cheville et mon ordi en piteux état.
J’habitais à l’autre bout de Paris et Jean-Antoine m’a raccompagné jusqu’à Vincennes ou j’avais mon pied-à-terre.
C’est le seul homme qui m’ait baisé sans ouvrir sa bourse.
Quatre mois et il m’a fait sa demande aux pieds des tigres du zoo qui venait de rouvrir.
Il est huissier de justice, mais issu d’une famille riche.
Par chance Gaston, mon beau-papa n’était pas parmi mes clients, il aurait pu, il correspond à la plupart de ceux se payant mes services.
J’aurais pu arrêter de vendre mon corps, mais j’avais ça dans le sang, bien que maman soit plus bigote que suceuse de bites.
Pourtant maman, un coup, un soir et une fille que l’on élève sans aucun homme à la maison.
Si maman a un sexe, elle le cache bien, car jamais je ne l’ai vu être approché par le moindre mâle de notre région.
Elle aurait pu être lesbienne, mais là encore à part Hortense la mémé voisine où elle habite qui vient la visiter et je les vois mal faire la bête à deux dos ensemble.
Le sexe tarifé, le sexe sans amour, mais le sexe où je prends un méga pied chaque fois que l’un d’eux est en moi.
Je jouis avec eux, mais non avec Jean-Bernard.
Pourquoi l’ai-je épousé alors que je savais déjà qu’au pieu s’était le niveau zéro du sexe entre adultes.
Certainement, car il prend pour argent comptant lorsque le soir pour donner le change sur mon ordi je construis des châteaux en Espagne.
Bien sûr aucun ne verra le jour, car la catastrophe serait totale.
Le poids des charges d’un plancher, c’était au cours d’architecture que j’avais commencée un jour à suivre, mais que j’avais abandonné au bout de quinze jours que j’aurais dû l’apprendre.
C’est à ce moment que je suis devenue une pro du sexe entre adultes consentants.
Lorsque je dis que depuis dix ans, je pratique mon art sans que personne ne sache ce que va faire cette belle femme, ses cahiers sous le bras, dans les étages de certains hôtels.
C’est faux, certains réceptionnistes ne sont pas dupes de la couverture dont je me sers et lorsque je redescends des étages, les jambes tremblotent d’avoir trop baisé, je leur glisse un petit billet.
Petit billet, c’est relatif, mais il faut savoir récompenser le petit personnel.
Il m’arrive souvent que ce soit eux qui glissent ma carte avec mon nom de pute et mon numéro de portable à des clients qui veulent passer un moment agréable avec moi.
Ça vaut bien une petite coupure, pour les remercier.
Jean-Yves, l’un d’eux, un soir ayant terminé son service a crû bon de me proposer un verre.
Il m’a fait du chantage, car sans que je ne le voie, il m’avait suivi et savait où je formais un couple avec enfants et Jean-Bernard.
J’ai été ferme et me suis refusée à lui prenant mes risques qu’il sonne chez moi et face découvrir le pot aux roses à mon mari.
Un coup de fil bien placé, il ignorait que Jules son patron me baisait régulièrement moyennant rétribution il va de soi et il a perdu les clefs de son revert de veste en même temps que son emploi.
Jules, lui a fait la misère du monde et je n’ai jamais eu à m’inquiéter de lui.
Ça s’est dit dans ce petit milieu fermé et depuis j’ai une paix royale.
Surtout lorsqu’ils attrapent discrètement le billet que je leur glisse dans la peau de leur main.
Dix ans, un monde de luxure et de grosses coupures.
Elles servent à Vianney, comme je l’ai dit, c’est mon fils.
Comme je l’ai dit, lorsque j’étais enceinte, il a vu plus de bite surtout qu’il était bien protégé au fond de mon ventre qu’aucun autre bébé n’en verra de toute sa vie.
Certains disent qu’il est un enfant pourri gâté.
Certes à son âge, il a le dernier modèle de console de jeux avec ceux de la dernière génération.
Il a même une moto, petit modèle, mais fonctionnant comme une grande et une piscine ou il peut s’ébattre, j’espère en faire un champion de natation.
Même s’il ne me fait pas jouir, j’aime que Jean-Bernard me baise alors que Vianney est couché dans sa chambre et que nous prenons le frais dans l’eau.
Attention, mes clients peuvent me sodomiser, mais pas lui, si je l’acceptais, je serais une vraie salope et cette pratique comme femme mariée je m’y refuse.
Je suis une pute, mais si la sodomie est son plaisir, qu’il cherche une péripatéticienne qui acceptera cette pratique.
Nous sommes si nombreuses sur cette terre et en France à baiser pour du fric et l’offrande de notre cul.
Ne dit-on pas que c’est le plus vieux métier au monde ?
Tout du moins, le plus vieux pour moi et leur seule que je sache faire en toujours satisfaisant mes clients.

• Bonjour, monsieur, je crois que c’est la première fois que je vais baiser avec vous !
• Oui, j’ai eu votre numéro par quelqu’un qui vous connaît, mais qui n’a jamais été avec vous !
• Vous m’intriguez, ce n’est pas banal, qui a pu vous dire qui je suis sans que je sache qui il est ?
• Je vais vous le dire, mais vous allez être surprise, Gaston votre beau-père, mais ce n’est pas pour moi que je vous ai fait venir !
Combien vous faudrait-il pour dépuceler mon fils en situation de handicap ?

Il m’arrive d’aller chez des clients en situation de handicap.
Je fais toujours attention à leur confort et à leur dignité, car chacun mérite respect et plaisir, peu importe leurs différences.
Ce métier m’a appris que le désir ne connaît pas de frontière, et que l’écoute et la délicatesse sont essentielles dans chaque rencontre.
C’est le cas avec Serge, né avec son handicap et qui je le conçois a le droit à sa part de bonheur et là de plaisir.
Je reste une heure avec lui, j’aime comme il découvre mes seins qu’il tête comme s’il le faisait avec ceux de sa maman.
Maman qui a fichu le camp lorsqu’elle a vu ce fils qu’elle avait mise au monde.
Chaque handicap à son contraire, c’est le cas de Serge qui est monté comme un taureau qui m’apporte dix, cent, mille fois plus de plaisir que tous mes autres clients réunis.

• Bonjour, Grégoire, toi aussi tu aspires à ce que je t’apprenne à faire l’amour !
• Oh ! oui madame, montrez-moi votre chatte, est-ce que vous vous épilez ?
J’adore regarder des films pornographiques où les femmes le sont, mais sans la possibilité de me masturber.
• Oui mon chéri, tu peux même y mettre tes doigts, regarde comme je suis ta salope, simplement de savoir que je vais te donner du plaisir, je mouille.

Merci à Gaston, j’ignore comment il a su pour moi que je me prostituais, mais il faut reconnaitre qu’après Serge et Grégoire, les deux premiers étant devenus les clients de cette assistante sexuelle que je suis devenue.
Les travailleuses du sexe qui accompagnent des personnes en situation de handicap comme je viens de le dire sont parfois appelées « assistantes sexuelles ».
Ce terme désigne des professionnelles qui proposent un accompagnement intime ou sexuel adapté aux besoins spécifiques de leurs clients, dans le respect de leur dignité et de leur bien-être.
En Europe, la reconnaissance et l’acceptation des assistantes sexuelles pour personnes en situation de handicap varient fortement selon les pays.
La Suisse est l’un des rares pays à officiellement reconnaître et encadrer la pratique de l’assistance sexuelle.
Aux Pays-Bas, en Allemagne et en Belgique, la législation sur la prostitution rend possible l’intervention d’assistantes sexuelles, même si le métier n’est pas toujours explicitement reconnu ou encadré sous ce terme.
En France, pays dans lequel j’exerce maintenant sous le manteau, le débat existe.
Mais la pratique reste non reconnue légalement et peut-être assimilée à de la prostitution, ce qui rend l’accompagnement complexe et juridiquement risqué.
Mais ne me prostituais-je pas déjà avant d’embrasser l’aide apportée à ceux ou celles qui en ont besoin ?
D’autres pays, comme l’Italie ou l’Espagne, n’ont pas de cadre légal spécifique pour l’assistance sexuelle, ce qui laisse la question dans une zone grise.
Ainsi, il est important de se renseigner sur la législation en vigueur dans chaque pays avant d’envisager ce type d’accompagnement.
Mais moi, c’est fait, peu importe les conséquences que je risque de subir, je leur donne du plaisir autant que je leur en donne, ce qui maintient mon équilibre.
Hélas, si un jour le destin frappe Vianney, j’aimerais qu’une autre femme, même une épouse lui apporte ce que j’apporte à ceux frappé par le destin.
Eux aussi ont le droit à une part de bonheur, surtout qu’au passage je continue à être celle à qui ils apportent la jouissance dont j’ai expressément besoin.

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