COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (3/3)
Marie, je m’appelle Marie, marié à Albert famille riche de la région parisienne.
Deux familles, deux familles à particule, les de ... et les de ...
Un mariage arrangé entre nos deux familles et me voilà mariée à dix-neuf ans alors que mon mari en a vingt-cinq.
L’un comme l’autre, nous avons été élevés dans ce que l’on appelle la foi catholique.
J’ai moi-même été élevée par des sœurs à une institue pour jeune fille de bonne famille.
Élevée loin du monde et de la vie réelle pour un couple, surtout sexuellement.
Par chance, alors que je devais être une poule pondeuse pour la pérennité de nos familles, je découvre que mon sexe peut jouir, que dieu nous a conçus avec cette particularité.
Dès le début, je me rends compte que mon mari est un éjaculateur précoce capable tout de même en quelques pénétrations rapides de me féconder.
Nous sommes en week-end près de Blois chez sa grand-mère impotente suite à une opération ayant mal tourné et qui s’est retiré du monde dans son manoir.
Est-ce l’atmosphère ou de retrouver la chambre de sa jeunesse, pour la première fois nous faisons une sieste qui se finit en apothéose, mon mari me fait jouir.
Pardon, nous avons un orgasme simultané.
Il s’est endormi lorsque je rejoins sa grand-mère et nous mangeons en tête à tête mamy étant en mal de confidences.
Et quelle confidence, alors qu’Albert croit que sa grand-mère est pure, Agathe a été fille de joie dans sa jeunesse pour preuve, la carte de femme de petite vertu qu’elle me demande de récupérer à sa mort dans son armoire.
• Simone est une perle, elle habite près d’ici et s’occupe de moi malgré ses quatre enfants.
Je lui ai dit que tu m’aiderais à me coucher, j’espère que tu es d’accord, j’aurais pu te consulter avant.
• Agathe, ce que je découvre grâce à vous, c’est passionnant, c’est avec plaisir que je vous aiderais même si je dois vous faire votre toilette.
• La toilette, c’est le matin, Simone a plus de temps ses enfants étant à l’école et elle me donne mon bain.
Je te parlais de quoi lorsqu’elle m’a interrompu.
• De votre mari Adolphe !
• Oui, il m’a épousé et malgré sa petite queue, je suis passée de ma situation précédente à celle de femme du monde.
Il était juif et riche, toute sa famille ayant été décimée dans les camps.
• Tu as eu de la chance d’avoir un fils, j’espère que vous l’avez eu rapidement !
• Quelle horreur, même en 54, alors que tous voulaient repeupler la France, j’ai pris mon temps.
Mais je te dis ça, j’espère que ton mari et ta belle-mère te laisse ta libre action pour disposer de ton corps, à dix-neuf ans, tu as tout ton temps pour avoir une enfant !
• Vous avez raison, ils veulent que je perpétue leur nom espérant en plus que ce soit un fils.
• Je vais parler à mon petit-fils et lui apprendre que le temps des maris macho est terminé, demain tu vas me faire le plaisir d’aller voir mon docteur.
Je l’appèlerais afin qu’il te conseille un moyen de contraception.
À, pars ce problème que nous allons régler, comment vont les choses avec Sylvie, ta belle-mère ?
• Curé, curé, curé, ça en est fatigant !
• Je vois qu’elle t’a caché une grande partie de sa vie et un peu de la tienne.
• Comment ça ?
• Par où commencer, oui, elle te connaissait bien avant que tu lui sois présentée par tes parents !
• Vous m’intriguez !
• Sœur Marie des Anges, ça te dit quelque chose !
• Attendez, oui, une des sœurs nous faisant les cours de français et qui un jour a disparu portait ce nom.
C’est vrai quand vous me le dites, son visage, avec le voile lui cachant les cheveux, ça pourrait être elle.
• Cette école, c’est à notre famille qu’elle appartient, un jour mon mari est allé là-bas avec notre fils et l’a rencontrée.
Elle avait juré fidélité au fils de Dieu, mais rapidement la verge de mon fils, lui est apparu plus intéressant.
Sa queue et celle de bien d’autres, Robert a des cormes l’empêchant de franchir certaines portes lorsqu’elle vient ici sans se baisser.
Ma belle-mère, une salope, je tombe des nues, je lui aurais donné le bon dieu sans confession.
• Marie, le temps t’apprendra que la vie apparente est quelquefois bien différente que celle que les gens vivent en se cachant.
• Il faudrait donc que j’aie une vie secrète pour satisfaire ce que je ressens au niveau de mon bas-ventre depuis que, j’ai découvert que cela pouvait servir à autre chose que mes besoins naturels.
• Ça c’est ton problème entre toi et ta conscience, j’ai beaucoup roulé ma bosse, sur cette terre sans jamais me poser de telles questions.
À l’aube de ma fin de vie, parfois il m’arrive de le prier pour le salut de mon âme.
Bien sûr, ça dure peu de temps, mais ça m’arrive.
Bon assez de confidences, amène-moi à ma chambre, il est temps d’aller dormir, va le rejoindre.
Je suis sûr que le temps te permettra de choisir dans quelle catégorie tu veux te retrouver.
J’aide Agathe à se coucher, c’est la première fois qu’après lui avoir ôtée sa robe, je vois une femme nue avant de la recouvrir de sa chemise de nuit et de la coucher.
Je me rends compte lorsqu’à mon tour je ressors de notre salle de bains, que ma vie vient de prendre un sérieux virage.
Je suis comme le plateau d’une balance, de quel côté va-t-il pencher entre ma fidélité ou mon infidélité !
Quelle heure est-il lorsque je sens un souffle sur ma chatte, peu importe, je les écarte afin de prolonger la sensation qui me submerge.
Je passe ma main du côté d’Albert dans notre lit, il est chaud, mais aucun doute mon mari vient de décider de me sucer la chatte.
Le peu de luminosité me permet de voir une simple forme, mais la langue qui sépare mes grandes lèvres afin de trouver mon clitoris.
Sensation nouvelle, mais douce sensation lorsque je sens ma jouissance monter progressivement.
Je serais enclin à dire merci mon dieu, mais je dis plutôt merci Internet de m’avoir montré la voie à la luxure familiale.
J’ai joui sous sa queue, je jouis sous sa langue pour mon plus grand plaisir.
• À quoi dois-je ce changement mon chéri ?
Albert vient de se lever et s’apprête à partir chasser avec ses amis.
• Moi aussi, j’ai un portable, ce que tu m’as dit m’a intrigué, j’ai regardé des films et j’ai vu que comme toi j’avais été trompé.
Je vais chasser, nous reprendrons cette conversation à mon retour, nous beaucoup de choses à découvrir.
Mon mari parti, le soleil s’est levé, je traine dans notre lit, le plateau de la balance vient de choisir de quel côté il va pencher, mais avant je veux me donner du bon temps.
Ma main caresse ma chatte, je me mets trois doigts et comme cette nuit par un autre bief dont la verge de mon mari ou sa langue, mon corps s’envole.
J’ai faim, je passe ma robe de chambre et je descends.
Agathe est là, regardant son parc.
À quoi pense-t-elle, à Dieu ou à sa vie qui a semblé bien plus riche que ce qu’elle veut bien montrer.
• Tu es là, Marie vient t’assoir près de moi, je repensais à ce que j’ai dit à Albert avant qu’il prenne son fusil et aille faire du mal à quelques perdrix ou faisans.
J’ignore, comment tu as fait, pourtant je l’ai trouvé changer, il a été très réceptif à ce que j’avais à lui dire.
Il veut que tu l’attendes c’est ensemble qu’il veut que vous alliez voir Georges, mon médecin pour qu’il vous prescrive un contraceptif.
Moi, je sais, le plateau vient définitivement de pencher vers ma vie de fidélité à mon mari.
Ensemble nous allons voir des films pour découvrir tout ce que là-haut, il ait prévu pour deux corps venant de se trouver.
La façon dont Agathe parle de Georges avec des trémolos dans la voix m’interpelle.
Je l’ai vu nu et malgré son handicap elle reste une belle femme.
Ont-ils trouvé le moyen d’avoir une sexualité du genre de celle que mon mari m’a fait découvrir en me bouffant chatte et clitoris dans cette nuit de bascule de ma vie ?
La réponse va de soi, il est impossible de vivre sans amour surtout sexuelle.
Pour ma part, je suis protégée, Georges me fait poser un stérilet.
Le reste de notre séjour est très agréable, mais nous sentons au fond de nous qu’il faut que nous nous retrouvions seuls pour vivre intensément notre amour surtout que le risque de grossesse a disparu.
Lorsque nous sommes tous les deux, nous vivons nus, les fenêtres de notre appartement donnent sur l’immeuble d’en face.
Un vieux vicieux nous matte autant que faire ce peu, mais nous nous en fichons.
Films et mise en pratique, fellation, levrette, cunnilingus, tout ceci fait partie de nos pratiques amoureuses.
Ce soir, j’ai choisi le film sur Internet, « vive ma sodomie ».
Albert va me sodomiser, nous voulons tout connaître des pratiques sexuelles du moment que c’est seulement entre nous.
J’ai un peu peur, mais nous nous sommes promis de tout essayer, la sodomie en fait partie.
Je pourrais arrêter là mon récit, nous avons trouvé la plénitude sexuelle, mais il y a un mais, belle maman.
• Marie, vous me décevez, j’attendais mieux de vous, bientôt un an que vous êtes mariée et aucun héritier en vue.
• Belle-maman, j’ai une seule chose à vous dire, sœur Marie des Anges, ça vous rappelle quelque chose.
• C’est ma salope de belle-mère qui t’a tout dit, oui, j’ai été bonne sœur et alors ?
• Vous pouvez aller pleurer dans la soutane du curé, il se peut que vous le faite déjà, a-t-il une que, sachant vous satisfaire.
Je sais bien des choses et si vous nous emmerdez, je mettrais sur la place publique toutes vos frasques.
Bon, belle-maman, c’est régler, elle a fini de nous emmerder.
Je pourrais mettre un mot fin et vivre ma vie avec mon mari.
Hélas, le destin m’en empêche, nous venons d’être prévenus que grand-mère Agathe avait un cœur fatigué et qu’elle s’est endormie dans son, fauteuil en contemplant son parc.
Albert prend la route et dès que j’arrive, je vais dans sa chambre, Simone est là qui la veille sur son lit de mort.
• Madame Marie soyez sans crainte, je connaissais le secret de mon amie et le carton où se trouvait la carte se trouve en lieu sûr chez moi.
Je vous donnerais tous, car il y a des photos de toute sa vie, qui vous intéresseront.
Voilà, le mot fin peut se mettre maintenant, bien qu’il me reste bien des films cochons à regarder avec mon mari.
J’ignore si je lui resterais fidèle, l’avenir nous le dirait et si je dérape, je viendrais vous raconter jusqu’à où Albert a été complice de nos jeux.
C’est là, le charme de la bourgeoisie, être libre, car nous avons le fric nous permettant bien des choses.
Deux familles, deux familles à particule, les de ... et les de ...
Un mariage arrangé entre nos deux familles et me voilà mariée à dix-neuf ans alors que mon mari en a vingt-cinq.
L’un comme l’autre, nous avons été élevés dans ce que l’on appelle la foi catholique.
J’ai moi-même été élevée par des sœurs à une institue pour jeune fille de bonne famille.
Élevée loin du monde et de la vie réelle pour un couple, surtout sexuellement.
Par chance, alors que je devais être une poule pondeuse pour la pérennité de nos familles, je découvre que mon sexe peut jouir, que dieu nous a conçus avec cette particularité.
Dès le début, je me rends compte que mon mari est un éjaculateur précoce capable tout de même en quelques pénétrations rapides de me féconder.
Nous sommes en week-end près de Blois chez sa grand-mère impotente suite à une opération ayant mal tourné et qui s’est retiré du monde dans son manoir.
Est-ce l’atmosphère ou de retrouver la chambre de sa jeunesse, pour la première fois nous faisons une sieste qui se finit en apothéose, mon mari me fait jouir.
Pardon, nous avons un orgasme simultané.
Il s’est endormi lorsque je rejoins sa grand-mère et nous mangeons en tête à tête mamy étant en mal de confidences.
Et quelle confidence, alors qu’Albert croit que sa grand-mère est pure, Agathe a été fille de joie dans sa jeunesse pour preuve, la carte de femme de petite vertu qu’elle me demande de récupérer à sa mort dans son armoire.
• Simone est une perle, elle habite près d’ici et s’occupe de moi malgré ses quatre enfants.
Je lui ai dit que tu m’aiderais à me coucher, j’espère que tu es d’accord, j’aurais pu te consulter avant.
• Agathe, ce que je découvre grâce à vous, c’est passionnant, c’est avec plaisir que je vous aiderais même si je dois vous faire votre toilette.
• La toilette, c’est le matin, Simone a plus de temps ses enfants étant à l’école et elle me donne mon bain.
Je te parlais de quoi lorsqu’elle m’a interrompu.
• De votre mari Adolphe !
• Oui, il m’a épousé et malgré sa petite queue, je suis passée de ma situation précédente à celle de femme du monde.
Il était juif et riche, toute sa famille ayant été décimée dans les camps.
• Tu as eu de la chance d’avoir un fils, j’espère que vous l’avez eu rapidement !
• Quelle horreur, même en 54, alors que tous voulaient repeupler la France, j’ai pris mon temps.
Mais je te dis ça, j’espère que ton mari et ta belle-mère te laisse ta libre action pour disposer de ton corps, à dix-neuf ans, tu as tout ton temps pour avoir une enfant !
• Vous avez raison, ils veulent que je perpétue leur nom espérant en plus que ce soit un fils.
• Je vais parler à mon petit-fils et lui apprendre que le temps des maris macho est terminé, demain tu vas me faire le plaisir d’aller voir mon docteur.
Je l’appèlerais afin qu’il te conseille un moyen de contraception.
À, pars ce problème que nous allons régler, comment vont les choses avec Sylvie, ta belle-mère ?
• Curé, curé, curé, ça en est fatigant !
• Je vois qu’elle t’a caché une grande partie de sa vie et un peu de la tienne.
• Comment ça ?
• Par où commencer, oui, elle te connaissait bien avant que tu lui sois présentée par tes parents !
• Vous m’intriguez !
• Sœur Marie des Anges, ça te dit quelque chose !
• Attendez, oui, une des sœurs nous faisant les cours de français et qui un jour a disparu portait ce nom.
C’est vrai quand vous me le dites, son visage, avec le voile lui cachant les cheveux, ça pourrait être elle.
• Cette école, c’est à notre famille qu’elle appartient, un jour mon mari est allé là-bas avec notre fils et l’a rencontrée.
Elle avait juré fidélité au fils de Dieu, mais rapidement la verge de mon fils, lui est apparu plus intéressant.
Sa queue et celle de bien d’autres, Robert a des cormes l’empêchant de franchir certaines portes lorsqu’elle vient ici sans se baisser.
Ma belle-mère, une salope, je tombe des nues, je lui aurais donné le bon dieu sans confession.
• Marie, le temps t’apprendra que la vie apparente est quelquefois bien différente que celle que les gens vivent en se cachant.
• Il faudrait donc que j’aie une vie secrète pour satisfaire ce que je ressens au niveau de mon bas-ventre depuis que, j’ai découvert que cela pouvait servir à autre chose que mes besoins naturels.
• Ça c’est ton problème entre toi et ta conscience, j’ai beaucoup roulé ma bosse, sur cette terre sans jamais me poser de telles questions.
À l’aube de ma fin de vie, parfois il m’arrive de le prier pour le salut de mon âme.
Bien sûr, ça dure peu de temps, mais ça m’arrive.
Bon assez de confidences, amène-moi à ma chambre, il est temps d’aller dormir, va le rejoindre.
Je suis sûr que le temps te permettra de choisir dans quelle catégorie tu veux te retrouver.
J’aide Agathe à se coucher, c’est la première fois qu’après lui avoir ôtée sa robe, je vois une femme nue avant de la recouvrir de sa chemise de nuit et de la coucher.
Je me rends compte lorsqu’à mon tour je ressors de notre salle de bains, que ma vie vient de prendre un sérieux virage.
Je suis comme le plateau d’une balance, de quel côté va-t-il pencher entre ma fidélité ou mon infidélité !
Quelle heure est-il lorsque je sens un souffle sur ma chatte, peu importe, je les écarte afin de prolonger la sensation qui me submerge.
Je passe ma main du côté d’Albert dans notre lit, il est chaud, mais aucun doute mon mari vient de décider de me sucer la chatte.
Le peu de luminosité me permet de voir une simple forme, mais la langue qui sépare mes grandes lèvres afin de trouver mon clitoris.
Sensation nouvelle, mais douce sensation lorsque je sens ma jouissance monter progressivement.
Je serais enclin à dire merci mon dieu, mais je dis plutôt merci Internet de m’avoir montré la voie à la luxure familiale.
J’ai joui sous sa queue, je jouis sous sa langue pour mon plus grand plaisir.
• À quoi dois-je ce changement mon chéri ?
Albert vient de se lever et s’apprête à partir chasser avec ses amis.
• Moi aussi, j’ai un portable, ce que tu m’as dit m’a intrigué, j’ai regardé des films et j’ai vu que comme toi j’avais été trompé.
Je vais chasser, nous reprendrons cette conversation à mon retour, nous beaucoup de choses à découvrir.
Mon mari parti, le soleil s’est levé, je traine dans notre lit, le plateau de la balance vient de choisir de quel côté il va pencher, mais avant je veux me donner du bon temps.
Ma main caresse ma chatte, je me mets trois doigts et comme cette nuit par un autre bief dont la verge de mon mari ou sa langue, mon corps s’envole.
J’ai faim, je passe ma robe de chambre et je descends.
Agathe est là, regardant son parc.
À quoi pense-t-elle, à Dieu ou à sa vie qui a semblé bien plus riche que ce qu’elle veut bien montrer.
• Tu es là, Marie vient t’assoir près de moi, je repensais à ce que j’ai dit à Albert avant qu’il prenne son fusil et aille faire du mal à quelques perdrix ou faisans.
J’ignore, comment tu as fait, pourtant je l’ai trouvé changer, il a été très réceptif à ce que j’avais à lui dire.
Il veut que tu l’attendes c’est ensemble qu’il veut que vous alliez voir Georges, mon médecin pour qu’il vous prescrive un contraceptif.
Moi, je sais, le plateau vient définitivement de pencher vers ma vie de fidélité à mon mari.
Ensemble nous allons voir des films pour découvrir tout ce que là-haut, il ait prévu pour deux corps venant de se trouver.
La façon dont Agathe parle de Georges avec des trémolos dans la voix m’interpelle.
Je l’ai vu nu et malgré son handicap elle reste une belle femme.
Ont-ils trouvé le moyen d’avoir une sexualité du genre de celle que mon mari m’a fait découvrir en me bouffant chatte et clitoris dans cette nuit de bascule de ma vie ?
La réponse va de soi, il est impossible de vivre sans amour surtout sexuelle.
Pour ma part, je suis protégée, Georges me fait poser un stérilet.
Le reste de notre séjour est très agréable, mais nous sentons au fond de nous qu’il faut que nous nous retrouvions seuls pour vivre intensément notre amour surtout que le risque de grossesse a disparu.
Lorsque nous sommes tous les deux, nous vivons nus, les fenêtres de notre appartement donnent sur l’immeuble d’en face.
Un vieux vicieux nous matte autant que faire ce peu, mais nous nous en fichons.
Films et mise en pratique, fellation, levrette, cunnilingus, tout ceci fait partie de nos pratiques amoureuses.
Ce soir, j’ai choisi le film sur Internet, « vive ma sodomie ».
Albert va me sodomiser, nous voulons tout connaître des pratiques sexuelles du moment que c’est seulement entre nous.
J’ai un peu peur, mais nous nous sommes promis de tout essayer, la sodomie en fait partie.
Je pourrais arrêter là mon récit, nous avons trouvé la plénitude sexuelle, mais il y a un mais, belle maman.
• Marie, vous me décevez, j’attendais mieux de vous, bientôt un an que vous êtes mariée et aucun héritier en vue.
• Belle-maman, j’ai une seule chose à vous dire, sœur Marie des Anges, ça vous rappelle quelque chose.
• C’est ma salope de belle-mère qui t’a tout dit, oui, j’ai été bonne sœur et alors ?
• Vous pouvez aller pleurer dans la soutane du curé, il se peut que vous le faite déjà, a-t-il une que, sachant vous satisfaire.
Je sais bien des choses et si vous nous emmerdez, je mettrais sur la place publique toutes vos frasques.
Bon, belle-maman, c’est régler, elle a fini de nous emmerder.
Je pourrais mettre un mot fin et vivre ma vie avec mon mari.
Hélas, le destin m’en empêche, nous venons d’être prévenus que grand-mère Agathe avait un cœur fatigué et qu’elle s’est endormie dans son, fauteuil en contemplant son parc.
Albert prend la route et dès que j’arrive, je vais dans sa chambre, Simone est là qui la veille sur son lit de mort.
• Madame Marie soyez sans crainte, je connaissais le secret de mon amie et le carton où se trouvait la carte se trouve en lieu sûr chez moi.
Je vous donnerais tous, car il y a des photos de toute sa vie, qui vous intéresseront.
Voilà, le mot fin peut se mettre maintenant, bien qu’il me reste bien des films cochons à regarder avec mon mari.
J’ignore si je lui resterais fidèle, l’avenir nous le dirait et si je dérape, je viendrais vous raconter jusqu’à où Albert a été complice de nos jeux.
C’est là, le charme de la bourgeoisie, être libre, car nous avons le fric nous permettant bien des choses.
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