COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’aux flammes de l’enfer (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’aux flammes de l’enfer (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’aux flammes de l’enfer (1/1)
• Marie-Madeleine chérie, dépêchez-vous de descendre, nous allons être en retard à la messe.
Vous savez comment le père Antoine traite ceux qui se faufilent croyant le faire sans qu’il le voie.
Notre famille vue son niveau de respectabilité depuis des lustres est toujours au premier rang de notre l’église.
Tout retard de notre part et c’est la honte et une perte d’influence surtout lorsque le père Antoine nous fera remarquer notre légèreté de venir à la messe avec du retard.

Ça c’est lorsque j’étais jeune et fatiguée de lire pendant des heures des livres de notre bibliothèque dans notre hôtel particulier se trouvant à Neuilly.
Notre famille, il y a des lustres, faisait commerce de peau en tout genre et mon père continue la tradition familiale, à ce titre il va souvent dans des pays comme le Canada.
Nous avons failli crever des écolos voulant protéger les espèces dites menacées, mais les peaux synthétiques se sont développées et nous avons su prendre le tournant.
Si vous me connaissiez à cette époque, il était fréquent que vous verriez ma veilleuse allumée, ayant lu jusqu’à point d’heure dans la nuit précédant l’heure de partir pour parler avec Dieu.
Le père Antoine, celui auprès de qui vous vous confessez régulièrement avant que l’église, en manque de prête simplifie sa liturgie et que vous vous absolviez de vos pêchers par deux Pater et trois Ave Maria.
Ave Maria, pour faire plaisir à celle qui a enfanté par l’opération du Saint-Esprit.
Toutes celles comme moi qui dans leur jeunesse ont connu ce genre de roman, risquant les flammes de l’enfer si par malheur vous transgressez les règles qui vous ont été inculquées.

• Marie-Madeleine, nos amis les Stuarts vont venir prendre le thé à 16 heures, vous descendrez vous joindre à nous, Charles-Édouard sera là et nous espérons sa mère et moi vous le faire connaitre.

J’ai oublié de vous parler de Marie-Madeleine, j’ai horreur de mon prénom, lorsque je dois le donner, maintenant c’est Marie.
Il vaut mieux être pucelle, ce qui est mon cas, que la pute de celui qui est venu nous sauver.
Parlons de Charles-Édouard, le fils à sa maman qui est le beau parti qui m’est dévolu afin de garder le fric au sein de nos foyers sans partager avec les autres cul-terreux qui peuplent notre planète.
Robe blanche et draps tachés lors de votre nuit de noces de votre sang de vierge.
Par chance, Colette la mère de Charles-Édouard m’a évité l’infamie d’une visite génécologique pour prouvé que vous avez été sage jusqu’à ce jour béni des dieux.
Mon œil, le jour béni des dieux, c’est vos jambes écartées sans ménagement et un corps vous écrasant régulièrement jusqu’à ce que votre sang menstruel s’arrête, car la graine en vous, a réussi à vous féconder.
Neuf mois plus tard, le père Antoine à raison, Ève ayant fait croquer la pomme du jardin d’Éden à Adam, vous enfantez dans la douleur et quelle douleur.
Presque quarante-huit heures avant que Léon daigne montrer son joli petit nez et surtout son sexe de mâle vous apportant avec le temps un peu de liberté.
Charles-Édouard honore encore sa femme, mais de moins en moins souvent pourquoi risquer d’avoir un autre mouflet qui viendra vous emmerder et vous mettre en retard pour vous rendre à la messe.
Je sais, l’homme a inventé la pilule, mais là encore le père Antoine a une énorme influence sur nos âmes.
L’âme encore un truc qu’il faut nous contenter d’admettre, aucun de nous l’avons encore vu.
La messe, vous aimez flémarder au lit, mais cette putain de messe, il faut toujours l’honorer dans nos beaux quartiers.
L’évêché trouve même des prêtes Asiatiques pour que vous ayez le droit à votre messe du dimanche matin.
Moins de sexes mâles, du moins dans un premier temps, puis vos doigts qui avec bien du retard, grâce à vos lectures, trouvent votre clito qui s’enflamme lorsque vous le caressez.
Je continue à lire, sur une tablette, offert à Noël par votre fils Léon à qui vous avez inculqué l’amour de la lecture.
Encore un oubli de ma part, Léon, c’est Colette ma belle-mère qui a suggéré ce nom à son fils, étant celui de son grand-père.
Sur cette tablette, je découvre des textes qui sont inexistants dans notre bibliothèque, ayant repris le manoir de la famille.
Mon père ayant seulement une fois réussi de faire enfanter maman d’une fille, malgré qu’elle ait écarté ses cuisses pendant des années.
Je le sais, ma chambre étant non loin de la leur, je l’entendais lorsqu’elle devait jouir, bien qu’entre temps j’aie appris que bon nombre de femmes simulaient pendant l’acte reproducteur.

Une tablette et une amie Solange, fille de médecin de campagne, venue à Paris elle aussi se marier avec un fils de...
Nous prenons notre thé dans nos habits de bourgeoise, tailleur Channel, bas avec porte-jarretelles et chaussures nous martyrisant les pieds, Louboutin à semelles rouges.
Au début, Solange était réservée, mais je sentais bien qu’elle avait envie de se confier.
Ça a correspondu à une certaine lassitude de mes propres caresses sur mon propre corps.

• Marie, j’ai une confidence à te faire, j’ai pris un amant.
• Tu as pris un amant !
Tu as franchi la ligne rouge que notre éducation nous a été inculquée, tu risques les flammes de l’enfer !
Je me souviens très bien de ce que nous disait le père Antoine, du péché de chair.
• Ce sont des conneries, regarde, je commençais à me dessécher, je suis en pleine forme.
• Oui, mais dans l’au-delà ?
• Ce sera dans l’au-delà, en attendant je m’éclate, Pierre m’a fait découvrir mon corps et le sexe qui va avec.
As-tu régulièrement des orgasmes ?
• C’est vrai que j’ai souvent lu ce mot, mais que pour ma part, à part un petit frisson de temps en temps, je dois reconnaître que j’ignore ce que c’est !
• Avec Pierre, chaque fois qu’il me baise, j’ai des orgasmes à répétition qui calme tous les fantasmes que je pouvais avoir.
• Tu vois, entre Charles-Édouard et moi c’est pas top, mais rôtir dans les flammes de l’enfer je suis loin d’être prête.
• Regarde ce beau mec qui arrive vers nous, il me fait sérieusement envie et toi ?
• Je dois reconnaitre que c’est un peu mon type, à l’opposé de Charles-Édouard, mais il serait inconvenant que je l’interpelle lorsqu’il va passer près de nous.
• Monsieur, monsieur, oriez-vous une cigarette.

Solange interpelle le beau gosse, qui s’approche de la terrasse où nous buvons notre thé.

• Une cigarette, non, ça donne le cancer.
• Vous avez raison, mais c’est pour tout autre chose que je vous ai interpelé.
Marie ma copine vous trouve beau et elle aimerait passer un moment avec vous si vous êtes libre !
J’habite à deux pas et je peux vous fournir une chambre, le temps que vous voudrez.
Elle comme moi, nous sommes mariées, mais insatisfaites par nos maris.
• Parle pour toi Solange, évite de prendre tes rêves pour des réalités.
• Bon et bien, je suis sûr que tu vas le regretter, si tu es d’accord que ce soit seulement moi, suis-moi.
Je te laisse payer Marie, bon retour chez toi et tes fantasmes que tu refuses d’assouvir.

Je les vois partir, rigolant comme des malades, dès qu’ils ont tourné le coin, je m’en veux d’avoir dit non.
Tout le reste de l’après-midi, je fulmine à deux doigts de quitter mon domicile et rejoindre celui de Solange.
C’est trois jours plus tard que je retrouve Solange, c’est éloge sur éloge qu’elle formule envers Gilbert le nom du garçon qui la fait jouir plusieurs fois dans leur rapport.
Environ quinze jours, Solange me téléphone comme elle le fait de temps en temps pour que je lui serve de caution lors d’un plan cul.
Je trouve qu’elle se sert de moi de plus en plus souvent, elle semble avoir le feu au cul.
Sortir, c’est la meilleure solution que je trouve pour en cas de besoin mentir le moins possible, si Charles-Édouard me demande où j’étais lui parler d’un lieu public me permettant de limiter mes mensonges.
Dommage, il va par passer sans me reconnaître !

• Avez-vous une cigarette ?
• Une cigarette, non, ça donne le cancer.
Mais je vous reconnais, vous êtes la copine de Solange, qui avez refusé de venir avec nous chez elle, nous envoyer en l’air ?
• Oui et je le regrette, auriez-vous un moment à me consacrer ?
Un problème, ou aller, chez moi c’est impossible et chez Solange aussi, il y a bien les hôtels, mais c’est un risque de nous faire prendre dans un tel endroit, avez-vous une solution Gilbert, ma copine m’a dit que c’était votre nom.
• Il y aurait bien une solution, car lors de notre première rencontre, c’était avec vous que j’aurais voulu me retrouver seul.
Élodie ma femme est chez sa mère, car nous allons avoir un enfant et notre appartement est libre, elle est à Bordeaux à des centaines de kilomètres.

En levrette, je savais que le kamasutra existait suite à certaines lectures, mais Gilbert m’apprend le plus possible à en feuilleter les pages.
La levrette, mais aussi la brouette à travers son salon, sa queue plantée dans mon vagin, ma chatte si vous le voulez.
J’aime bien aussi me faire prendre dans la position du missionnaire me faisant hurler d’orgasmes en orgasmes.
J’aime aussi lorsqu’il me prend cloué à la porte de leur chambre, là où il a dû mettre ma principale concurrente enceinte.
Pour ma part aucun risque de grossesse, je me suis fait prescrire la pilule m’enfonçant de plus en plus dans le stup et la luxure.
Sucer sa queue, à deux doigts de me faire enculer, mais l’arr^étant je suis encore un peu hésitante.
Nul doute que dans les jours prochains je franchirais cette étape, Solange m’a dit qu’elle se laissait perforer l’anis et qu’elle en tirait une autre forme de plaisir que de se faire défoncer la chatte.

• As-tu passé une agréable journée la chérie ?
• Oui, Charles-édouard, nous avons fait du lèche-vitrine avec Solange, nous avons dépensé quelques billets que tu gagnes pour moi mon chéri !
• Il est fait pour ça, mon cœur, j’ai fait de bonnes affaires aujourd’hui.

Moi aussi, j’ai fait de bonnes affaires et si possible dès demain, je vais trouver le moyen de lui faire pousser des cornes encore plus grandes.
Maintenant que j’ai franchi le pas, quitte à brûler dans les flammes de l’enfer, autant en profiter de plus en plus.
Moi aussi, comme Solange j’ai découvert qu’il était facile d’avoir le feu au cul, il suffit de réaliser ses fantasmes et des fantasmes j’en ai à revendre.

Les avis des lecteurs

Toujours ) fond cyrille

Histoire Erotique
Ahhh les bourges bien coincées, comme elles aiment les bonnes queues..

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’aux flammes de l’enfer (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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