COLLECTION BOURGEOISE. Rencontre inattendue (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. Rencontre inattendue (1/1)
Je vais être classique en commençant l’écriture de mes aventures.
Pardon, de mon aventure plutôt inattendue.
Je vais faire de moi, un portait le plus exhaustif possible de qui je suis et ce qui va faire que cette rencontre a été inattendue.
Tout est parti d’une réflexion de Josepha, une amie très chère, parmi celles avec qui j’aime flâner dans nos grands moments de solitude.
Mes parents m’ont appelé Jennifer et je peux dire que je suis née avec une petite cuillère en argent dans la bouche.
Papa est député après avoir été maire de la ville où nous résidions jusqu’à mon mariage.
Il va de soi qu’après le bal des débutantes, je suis devenue comme ma mère une parfaite bourgeoise, mais parisienne, car mon mari Jean de la Fermoir est haut fonctionnaire après avoir fait l’ENA.
Entre le gros pécule que m’a laissé ma grand-mère à son décès, déshéritant son gendre et indirectement sa fille dans la limite de ce qui lui était possible de léguer à sa petite fille.
Ajoutez à ce pécule le salaire de haut fonctionnaire de celui qui a demandé ma main à mon père et ainsi nous vivons grandement payant simplement l’ISF sur les biens immobiliers.
Principalement notre appartement dans le seizième en bordure du bois de Boulogne.
Avant de vous dire la réflexion que m’a faite Josepha, elle même mariée à un sénateur ventripotent, vu l’âge moyen de ceux qui siègent dans cette illustre institution, je vais compléter mon portais.
Blonde, 1 mètre 72 pour 58 kilos, nous sommes loin du nombre de kilos au-dessus d’un mètre.
Des seins en forme de poires que j’aime mettre en valeur, car je les considère comme mon atout principal même si je sais ne rien avoir à craindre de Jean, bichon dans notre intimité.
Sexuellement à ce moment de mon histoire, je pense être entièrement satisfaite, un petit coup de temps en temps, mais pour lui comme pour moi, le sexe apparait comme secondaire.
Notre niveau social ayant tendance à se dégrader à cause des conjonctures et des politiques suivis nous importe plus que de faire des galipettes dans notre lit.
Notre appartement de six pièces, ce qui entraîne ISF vu son emplacement c’est là que se trouve notre chambre ou si c’était possible nous pourrions garer un Airbus.
Même si j’exagère un peu, nous avons un lit en nombre de mètres incalculable, les maths et moi ça fait deux.
Le seul moment où les chiffres m’importent c’est lorsque je vais à la banque Rothschild où nous avons notre compte et notre coffre-fort au cas où.
Dans ce coffre, je sais qu’il y a quelques lingots d’or facilement transportable si certains prennent le pouvoir, leur leader n’a-t-il pas dit qu’au-dessus d’une certaine somme, il nous prendrait tout.
Banque Rothschild, aucune méprise, la Fermoir a encore son petit bout de peau sur sa verge, bien que je respect ceux qui se le font enlever.
Parmi mes amies, il y en a quelques-unes qui font « shabbat » tous les vendredis.
Je sais que mon père a été opéré de cette partie-là, mais s’était nécessaire, il se déchirait à chaque fois qu’il sautait une petite de ses administrées, papa est un obsédé du sexe.
Maman me direz-vous, elle adore se faire appeler madame la mairesse, même si papa a choisi la députation au profit de ce poste, restant adjoint avec un regard sur tout ce qui bouge dans mon ancienne commune, aussi ferme-t-elle les yeux sur ses turpitudes.
Après avoir éclairci certains points de détail, même si ce mot, je le sais mal vu dans notre pays, que me dit Josepha qui va entrainer cette rencontre inattendue ?
• Jennifer tu dois prendre du poids, tu es passée du 38 au 40 dans tes jupes ou autres vêtements se trouvant autour de ta taille lors de tes derniers achats.
J’aurais pu dire inutile pour ces achats, en bonne bourgeoise, je possède un dressing regorgeant de vêtements ou autres accessoires, dont la plupart j’ignore même les avoir achetés.
Aussitôt cette réflexion faite, elle m’aide à me rendre chez Christina la boutique où nous nous habillons pour être bon chic bon gendre sans avoir à taper dans les réserves financières de nos maris.
Attentions sa boutique est elle aussi rue Foch, je crois même que c’est une avenue, mais pour les taxis qui nous amènent, ils savent tous très bien où se trouve Christina dans Paris.
J’achète, une tenue de jogging, aller chez Dior et demander leur un jogging et une paire de baskets, ils vous enverront paitre.
Mais chez elle, l’une de ses serveuses vous emmènera au rayon « sport et loisir » et vous trouverez de quoi courir tous les dimanches matin dans le bois de Boulogne autour du lac ou dans des allers ombragés.
Un des avantages chez Christina, c’est que ça m’évite de me rendre dans ces centres comment s’appellent-ils déjà ?
À oui, Décathlon, ou je risque de croiser des personnes sentant la crasse et la sueur, une odeur m’horrifiant par-dessus tout, moi c’est Channel numéro 5 ou celui à la mode chez nous les bourgeoises du seizième, « Peau de pêche flamboyante de Coco Ritchy » le nouveau parfumeur que toutes nous l’arrachons.
Debout 8 heures, pas trop tôt tout de même, jus de fruit frais, Solange notre femme de service venant tous les jours de la semaine et même ce jour-là, nous préparer notre petit déjeuner et faire notre lit, j’ai horreur de ces tâches subalternes.
Tenue pour jogging et suppression du pain au chocolat tout chaud, qu’elle amène de la boulangerie où elle se sert, tient, c’est drôle, je signe des chèques pour qu’elle paye chaque fin de mois, sans savoir où toutes ces boutiques se trouvent.
En ce qui concerne, les pains au chocolat, Jocelyne l’une de nos amies alors que nous prenions le thé chez Le Nôtre dans les jardins près de L'Élysée nous a appris qu’il y avait un grave litige en France dans les régions.
Doit-on dire, pains au chocolat ou chocolatine, que les gens sont futiles, j’éviterais de parler de certaines différences en France qui vous ferait comprendre pourquoi, depuis que papa est député, je vais à la pêche à ligne les jours d’élection.
Mon Dieu, la pêche à la ligne, accrocher un ver de terre à un hameçon, l’un comme l’autre me font gerber.
Harnachée comme une jument courant à Longchamp ou Chantilly, seuls champs de courses ou je vais payer plus d’impôt pour la race chevaline, remontée à fond, je m’élance sur les chemins en face de chez moi pour une première course. Régénérescence de ma jeunesse foutant le camp du haut de mes trente-cinq ans et surtout toutes mes dents, je lone le lac d’une foulée alerte lorsqu’un instant je croise un beau mâle, l’incarnation exacte de John Love.
Ce magnifique black est le sexe sur pied ayant sa photo sur tous les abris de bus de Paris pour un parfum pour hommes de Patou Laine.
Il y a quelques jours je me suis rendue en taxi il va de soi, une bourge comme moi évite d’enlever ses hauts talons pour conduire ce que ces chauffeurs font si bien.
Ils ont l’avantage d’être prioritaire, comme les bus dans leurs couloirs, les bus là encore pour les manants et les taxis ayant l’autorisation de les emprunter.
Tout juste après notre mariage, mon homme à particule, croyant me faire plaisir m’a offert une voiture, anglaise, Bentley je crois, avec un chauffeur.
Je l’ai fait virer et nous avons la voiture dans notre garage, car un jour sans en avoir l’ère, Ferdinand m’a mis sa main sur la partie charnue de mon être.
Jade, la femme d’un autre député fille venant de ce milieu, vous aurez dit, qu’il avait mis sa main sur mon cul, quelle vulgarité, mais c’est, Jade et ça reste notre amie.
Une nouvelle fois je m’égare, je me suis donc rendu dans une grande boutique de parfums de Paris, ou j’ai payé une blinde un flacon taille moyenne, si une de mes amies se rend dans notre salle de bains, le flacon de petite taille, ça ferait pouilleux.
Je me retourne, l’homme se retourne, nos regards se croisent, mais je reprends mon chemin, pensant que ce n’était qu’un mirage
• J’ai cru croiser John Love lorsque je faisais mon jogging dimanche matin, il était en sueur, j’ai eu des doutes que ce soit lui, sinon je crois que j’aurais été capable de lui sauter dessus en pleine allée du bois de Boulogne.
• Ce devait être lui, il habite dans mon immeuble, mais il est rarement là, un mannequin de sa classe, le roi des tablettes de chocolat, va par monts et par vaux pour ventre sa plastique.
Jade a raison, le dimanche suivant, je le croise de nouveau, nos regards se croisent lorsque je me retourne, je vais vous avouer une chose bien étrange pour moi.
Pour la première fois je sens mon pantalon de jogging, se mouiller à mon entrejambe.
Entre ce moment et la semaine suivante, je me surprends à trouver des motifs d’aller chez Jade espérant encontrer cet homme dont je n’ai que la vision de son corps sans avoir entendu le son de sa voix.
• Vous courrez tous les dimanches matin, je vous ai croisé deux fois, je suis même revenu le lendemain sans, hélas, vous rencontrer.
Ce dimanche j’ai couru dans le sens inverse, j’ai la chance de vous avoir rattrapé.
Sa voix, ce magnifique black a une voix dans les graves lorsqu’il s’adresse à moi.
Je fonds littéralement, à ses intonations, il a tout vrai dans son personnage, la beauté et la voix allant avec.
• Écarte bien tes cuisses, j’adore te bouffer ta chatte, Dis-moi que tu es une salope !
• Oui, je suis même la plus grande salope que la terre puisse porter, donne-moi ta bite que je te la suce, surtout si tu pars demain pour des défilés à Turin.
Oui, vous avez bien lu, ça fait trois mois que Jean de la Fermoir a des cornes qui lui poussent sur la tête.
En courant un dimanche, nous sommes passés près de chez John et il m’a invité de nous rafraîchir la chaleur étant étouffante.
C’est sous sa douche, qu’il m’a prise comme une bête après m’avoir enlevée ma tenue de course à pied.
Je suis revenue à la taille d’avant mes joggings du dimanche matin, mais c’est par la queue gigantesque de mon amant qui ce jour-là m’a prise debout dans cette douche me faisant hurler de plaisir.
Ce que le commun des mortels appels l’orgasme ou la petite mort, je la pratique chaque fois que mon amant noir fait de moi la chienne que j’avais certainement caché au fond de moi.
Mes amies savent que j’appartiens à ce garçon beau comme la lune, elles sont vertes de rage que ce soit moi l’élue.
Certains diront que je pourrais quitter La Fermoir pour venir vivre dans les bras de mon très bel amant, mais pourquoi se priver du plaisir de l’adultère, ce qui pimente ma vie.
Vous m’excuserez de vous quitter, je vois l’œil d’une bite noire s’approcher de ma jolie bouche, je sais qu’il est impossible de la faire entrer au fond de ma bouche, mais ma langue va le sucer habilement de son méat à ses grosses couilles.
Oui, cette rencontre inattendue aura fait ressortir les meilleurs de la salope qu’il a su faire de moi, bourgeoise du seizième arrondissement.
Pardon, de mon aventure plutôt inattendue.
Je vais faire de moi, un portait le plus exhaustif possible de qui je suis et ce qui va faire que cette rencontre a été inattendue.
Tout est parti d’une réflexion de Josepha, une amie très chère, parmi celles avec qui j’aime flâner dans nos grands moments de solitude.
Mes parents m’ont appelé Jennifer et je peux dire que je suis née avec une petite cuillère en argent dans la bouche.
Papa est député après avoir été maire de la ville où nous résidions jusqu’à mon mariage.
Il va de soi qu’après le bal des débutantes, je suis devenue comme ma mère une parfaite bourgeoise, mais parisienne, car mon mari Jean de la Fermoir est haut fonctionnaire après avoir fait l’ENA.
Entre le gros pécule que m’a laissé ma grand-mère à son décès, déshéritant son gendre et indirectement sa fille dans la limite de ce qui lui était possible de léguer à sa petite fille.
Ajoutez à ce pécule le salaire de haut fonctionnaire de celui qui a demandé ma main à mon père et ainsi nous vivons grandement payant simplement l’ISF sur les biens immobiliers.
Principalement notre appartement dans le seizième en bordure du bois de Boulogne.
Avant de vous dire la réflexion que m’a faite Josepha, elle même mariée à un sénateur ventripotent, vu l’âge moyen de ceux qui siègent dans cette illustre institution, je vais compléter mon portais.
Blonde, 1 mètre 72 pour 58 kilos, nous sommes loin du nombre de kilos au-dessus d’un mètre.
Des seins en forme de poires que j’aime mettre en valeur, car je les considère comme mon atout principal même si je sais ne rien avoir à craindre de Jean, bichon dans notre intimité.
Sexuellement à ce moment de mon histoire, je pense être entièrement satisfaite, un petit coup de temps en temps, mais pour lui comme pour moi, le sexe apparait comme secondaire.
Notre niveau social ayant tendance à se dégrader à cause des conjonctures et des politiques suivis nous importe plus que de faire des galipettes dans notre lit.
Notre appartement de six pièces, ce qui entraîne ISF vu son emplacement c’est là que se trouve notre chambre ou si c’était possible nous pourrions garer un Airbus.
Même si j’exagère un peu, nous avons un lit en nombre de mètres incalculable, les maths et moi ça fait deux.
Le seul moment où les chiffres m’importent c’est lorsque je vais à la banque Rothschild où nous avons notre compte et notre coffre-fort au cas où.
Dans ce coffre, je sais qu’il y a quelques lingots d’or facilement transportable si certains prennent le pouvoir, leur leader n’a-t-il pas dit qu’au-dessus d’une certaine somme, il nous prendrait tout.
Banque Rothschild, aucune méprise, la Fermoir a encore son petit bout de peau sur sa verge, bien que je respect ceux qui se le font enlever.
Parmi mes amies, il y en a quelques-unes qui font « shabbat » tous les vendredis.
Je sais que mon père a été opéré de cette partie-là, mais s’était nécessaire, il se déchirait à chaque fois qu’il sautait une petite de ses administrées, papa est un obsédé du sexe.
Maman me direz-vous, elle adore se faire appeler madame la mairesse, même si papa a choisi la députation au profit de ce poste, restant adjoint avec un regard sur tout ce qui bouge dans mon ancienne commune, aussi ferme-t-elle les yeux sur ses turpitudes.
Après avoir éclairci certains points de détail, même si ce mot, je le sais mal vu dans notre pays, que me dit Josepha qui va entrainer cette rencontre inattendue ?
• Jennifer tu dois prendre du poids, tu es passée du 38 au 40 dans tes jupes ou autres vêtements se trouvant autour de ta taille lors de tes derniers achats.
J’aurais pu dire inutile pour ces achats, en bonne bourgeoise, je possède un dressing regorgeant de vêtements ou autres accessoires, dont la plupart j’ignore même les avoir achetés.
Aussitôt cette réflexion faite, elle m’aide à me rendre chez Christina la boutique où nous nous habillons pour être bon chic bon gendre sans avoir à taper dans les réserves financières de nos maris.
Attentions sa boutique est elle aussi rue Foch, je crois même que c’est une avenue, mais pour les taxis qui nous amènent, ils savent tous très bien où se trouve Christina dans Paris.
J’achète, une tenue de jogging, aller chez Dior et demander leur un jogging et une paire de baskets, ils vous enverront paitre.
Mais chez elle, l’une de ses serveuses vous emmènera au rayon « sport et loisir » et vous trouverez de quoi courir tous les dimanches matin dans le bois de Boulogne autour du lac ou dans des allers ombragés.
Un des avantages chez Christina, c’est que ça m’évite de me rendre dans ces centres comment s’appellent-ils déjà ?
À oui, Décathlon, ou je risque de croiser des personnes sentant la crasse et la sueur, une odeur m’horrifiant par-dessus tout, moi c’est Channel numéro 5 ou celui à la mode chez nous les bourgeoises du seizième, « Peau de pêche flamboyante de Coco Ritchy » le nouveau parfumeur que toutes nous l’arrachons.
Debout 8 heures, pas trop tôt tout de même, jus de fruit frais, Solange notre femme de service venant tous les jours de la semaine et même ce jour-là, nous préparer notre petit déjeuner et faire notre lit, j’ai horreur de ces tâches subalternes.
Tenue pour jogging et suppression du pain au chocolat tout chaud, qu’elle amène de la boulangerie où elle se sert, tient, c’est drôle, je signe des chèques pour qu’elle paye chaque fin de mois, sans savoir où toutes ces boutiques se trouvent.
En ce qui concerne, les pains au chocolat, Jocelyne l’une de nos amies alors que nous prenions le thé chez Le Nôtre dans les jardins près de L'Élysée nous a appris qu’il y avait un grave litige en France dans les régions.
Doit-on dire, pains au chocolat ou chocolatine, que les gens sont futiles, j’éviterais de parler de certaines différences en France qui vous ferait comprendre pourquoi, depuis que papa est député, je vais à la pêche à ligne les jours d’élection.
Mon Dieu, la pêche à la ligne, accrocher un ver de terre à un hameçon, l’un comme l’autre me font gerber.
Harnachée comme une jument courant à Longchamp ou Chantilly, seuls champs de courses ou je vais payer plus d’impôt pour la race chevaline, remontée à fond, je m’élance sur les chemins en face de chez moi pour une première course. Régénérescence de ma jeunesse foutant le camp du haut de mes trente-cinq ans et surtout toutes mes dents, je lone le lac d’une foulée alerte lorsqu’un instant je croise un beau mâle, l’incarnation exacte de John Love.
Ce magnifique black est le sexe sur pied ayant sa photo sur tous les abris de bus de Paris pour un parfum pour hommes de Patou Laine.
Il y a quelques jours je me suis rendue en taxi il va de soi, une bourge comme moi évite d’enlever ses hauts talons pour conduire ce que ces chauffeurs font si bien.
Ils ont l’avantage d’être prioritaire, comme les bus dans leurs couloirs, les bus là encore pour les manants et les taxis ayant l’autorisation de les emprunter.
Tout juste après notre mariage, mon homme à particule, croyant me faire plaisir m’a offert une voiture, anglaise, Bentley je crois, avec un chauffeur.
Je l’ai fait virer et nous avons la voiture dans notre garage, car un jour sans en avoir l’ère, Ferdinand m’a mis sa main sur la partie charnue de mon être.
Jade, la femme d’un autre député fille venant de ce milieu, vous aurez dit, qu’il avait mis sa main sur mon cul, quelle vulgarité, mais c’est, Jade et ça reste notre amie.
Une nouvelle fois je m’égare, je me suis donc rendu dans une grande boutique de parfums de Paris, ou j’ai payé une blinde un flacon taille moyenne, si une de mes amies se rend dans notre salle de bains, le flacon de petite taille, ça ferait pouilleux.
Je me retourne, l’homme se retourne, nos regards se croisent, mais je reprends mon chemin, pensant que ce n’était qu’un mirage
• J’ai cru croiser John Love lorsque je faisais mon jogging dimanche matin, il était en sueur, j’ai eu des doutes que ce soit lui, sinon je crois que j’aurais été capable de lui sauter dessus en pleine allée du bois de Boulogne.
• Ce devait être lui, il habite dans mon immeuble, mais il est rarement là, un mannequin de sa classe, le roi des tablettes de chocolat, va par monts et par vaux pour ventre sa plastique.
Jade a raison, le dimanche suivant, je le croise de nouveau, nos regards se croisent lorsque je me retourne, je vais vous avouer une chose bien étrange pour moi.
Pour la première fois je sens mon pantalon de jogging, se mouiller à mon entrejambe.
Entre ce moment et la semaine suivante, je me surprends à trouver des motifs d’aller chez Jade espérant encontrer cet homme dont je n’ai que la vision de son corps sans avoir entendu le son de sa voix.
• Vous courrez tous les dimanches matin, je vous ai croisé deux fois, je suis même revenu le lendemain sans, hélas, vous rencontrer.
Ce dimanche j’ai couru dans le sens inverse, j’ai la chance de vous avoir rattrapé.
Sa voix, ce magnifique black a une voix dans les graves lorsqu’il s’adresse à moi.
Je fonds littéralement, à ses intonations, il a tout vrai dans son personnage, la beauté et la voix allant avec.
• Écarte bien tes cuisses, j’adore te bouffer ta chatte, Dis-moi que tu es une salope !
• Oui, je suis même la plus grande salope que la terre puisse porter, donne-moi ta bite que je te la suce, surtout si tu pars demain pour des défilés à Turin.
Oui, vous avez bien lu, ça fait trois mois que Jean de la Fermoir a des cornes qui lui poussent sur la tête.
En courant un dimanche, nous sommes passés près de chez John et il m’a invité de nous rafraîchir la chaleur étant étouffante.
C’est sous sa douche, qu’il m’a prise comme une bête après m’avoir enlevée ma tenue de course à pied.
Je suis revenue à la taille d’avant mes joggings du dimanche matin, mais c’est par la queue gigantesque de mon amant qui ce jour-là m’a prise debout dans cette douche me faisant hurler de plaisir.
Ce que le commun des mortels appels l’orgasme ou la petite mort, je la pratique chaque fois que mon amant noir fait de moi la chienne que j’avais certainement caché au fond de moi.
Mes amies savent que j’appartiens à ce garçon beau comme la lune, elles sont vertes de rage que ce soit moi l’élue.
Certains diront que je pourrais quitter La Fermoir pour venir vivre dans les bras de mon très bel amant, mais pourquoi se priver du plaisir de l’adultère, ce qui pimente ma vie.
Vous m’excuserez de vous quitter, je vois l’œil d’une bite noire s’approcher de ma jolie bouche, je sais qu’il est impossible de la faire entrer au fond de ma bouche, mais ma langue va le sucer habilement de son méat à ses grosses couilles.
Oui, cette rencontre inattendue aura fait ressortir les meilleurs de la salope qu’il a su faire de moi, bourgeoise du seizième arrondissement.
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