COLLECTION CANDAULISME. Copains d’enfances (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Copains d’enfances (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION CANDAULISME. Copains d’enfances (1/1)
Guy nous a quittés il y a deux ans pour aller se former sur les fleurs des tropiques à Tahiti.
Il vient de rentrer et je l’ai invité ce soir à la maison, Guy va connaître Guenaelle, je l’ai rencontré trois mois après son départ et je l’ai épousé, il y a un an.

Quand il est parti, j’ignorais que je tomberais amoureux, mais quand Cupidon vous tombe dessus, c’est difficile de lui résister.

• Alors Ludo où est cette merveille que tu m’as montrée en photo pendant mon séjour loin de toi ?
J’ai vu qu’elle était belle et elle doit avoir de sérieux mérites pour que tu te sois dépêché de l’épouser alors que je devais être ton témoin comme nous nous l’étions toujours promis.
• Si tu connaissais ma belle-mère, tu comprendrais pourquoi nous avons accéléré nos noces.
Avec elle, être libre d’avoir des rapports, il était inutile de penser baiser sans la bague.
• Au moins es-tu sûr d’avoir fait le bon choix, avant que je parte, il fallait que je t’aide pour trouver des filles.
• Tu es sûr, je pense plutôt que tu te servais de ma jolie gueule pour appâter les filles et chaque fois tu finissais par les baisers à ma place.
• Dis-moi que tu t’y opposais, préférant regarder baisers ces filles et en faire des salopes !
Souvient toi d’Isabelle, nous l’avions draguée au chat noir la boîte à la mode et nous l’avons amenée dans notre chambre d’étudiant.
Au début, elle rechignait et à la fin elle mangeait dans ma main.
• Elle était bien obligée, tu l’avais ligotée et pendant plusieurs jours comme nous étions en vacances, tu as refusé que je la détache.
• Et à la fin.
• C’est vrai, elle en redemandait, tu la baisais m’obligeant à vous regarder.
• Et !
• J’adorais, je te vois venir, inutile de penser que je vais te partager ma femme.
De toute manière, tu vas voir, son éducation puritaine la fera refuser tous tes jeux pervers.

Moins d’une heure après, Guenaelle arrive de son travail et de sa leçon de yoga, sa passion.
Comme l’a dit Guy, elle est magnifique dans son tailleur bon chic bon genre d’employée de banque.
Sa crinière rousse et ses talons hauts illumine son visage et galbe ses longues jambes, m’ayant fait craquer.

• Mon chéri, voici donc ce fameux Guy dont tu me rebâches les oreilles depuis que, je t’ai rencontré !
À croire que nous vivons en trio, bien qu’il soit resté très prude sur ses explications.
Ludo sert un whisky à ton ami, je vais me mettre en tenue plus décontracté, j’aime être à l’aise à la maison.
• C’est simple si tu as l’habitude d’être nue, ça me va.

Guenaelle se dirige vers la chambre et notre salle de bain en haussant les épaules.
Droite gauche, droite gauche, ses rondeurs en se balançant dans cette jupe très serrée sont à la limite de me faire bander.
Ce sont elles qui m’ont fasciné quand je suis allé à ma banque et que venant me chercher sur la banquette à l’accueil, elle a traversé tout le hall jusqu’à son bureau.
Droite gauche, quand elle s’est effacée pour me laisser passer, la discrétion de son parfum et ses seins m’ayant sauté aux yeux m’avait séduit.
Son décolleté m’a fait voir qu’elle soutenait ses seins dans un soutien-gorge pigeonnant les mettant en valeur.
Dès le soir ayant vu que son doigt était libre de toute alliance et bague de fiançailles, je l’attendais avec une rose.
Langage des fleurs une, « je vous aime » offert à une jeune fille pouvais se traduire en « j’ai eu un coup de foudre pour vous. »Coup de foudre que nous avons concrétisé le soir de nos noces alors que la belle-maman avait papillonné entre nous tout le temps de la cérémonie et de la fête.
Guenaelle revient, ouf elle a oublié de mettre son pyjama en pilou et se présente à nous en jean et chemisier attaché sous ses seins.
Sobre surtout avec ses mules aux pieds, mais excitant car deux boutons sont détachés.


• Un bon bain, ça détend après une journée de boulot, passons à table et mangeons pendant que les pizzas sont chaudes.
Ludo, raconte-nous comment était Tahiti ?
• Que dire, soleil, pluie tropicale, soleil, pluie tropicale, soleil...
• J’ai compris pluie tropicale, c’est pour ça que les fleurs sont magnifiques, et les filles sont-elles aussi belles qu’on le dit !
• Je savais que j’allais te rencontrer, alors depuis deux ans, je suis dans ton attente, j’ai les couilles comme des melons.
• Guy m’avait dit que tu aimais parler avec des mots gros.
Il était loin du compte.
• Gros mots et non mots gros, sinon ils seraient comme tes seins, juste à bonnes grosseurs comme je les aime !
• C’est de l’humour où tu es sérieux, j’aimerais bien le savoir.
Si je comprends bien nous resterons ignorant sur la gent féminine de l’île.
• Dis-toi que comme me l’a dit ton mari, il t’a dépucelé, de mon côté, je suis revenu de ces îles ayant bien profité.

J’en doute, mais j’évite de surenchérir.

• Mon mari t’a parlé de nos rapports intimes, est-ce vrai Ludo ?

Je baisse la tête, faisant aveu, il est vrai que depuis mon mariage, peu de chose de notre intimité est passée sous silence.
Par chance, notre vie amoureuse est fort classique, même si Guenaelle aime faire l’amour plusieurs fois par semaine.
C’est au moment du dessert que l’impensable me tombe sur la tête.

• Parle-moi d’Isabelle !
Dans son sommeil, Ludo parle en rêvant, dès notre nuit de noces, qui était-elle ?
• Tu en sais autant que moi, Isabelle est une jeune fille qu’il avait draguée à un bal du 14 Juillet, il adorait la ligotter avant de la baiser.
• Menteur, c’était toi qui m’avais appris à la ficeler pour que tu te la fasses, tu me forçais à regarder.
• Et ?
• C’est vrai, j’aimais vous regarder sans participer.
• Je me demandais pourquoi depuis un an, tu semblais rechigner à venir dans notre lit !
Tu étais un passif et Guy était l’actif du duo.
• Aimerais-tu qu’il t’attache, je suis sûr qu’il a toujours son tour de main ?
• Idiot, ligoter Guenaelle, en rêve, pour commencer, je suis sûr qu’elle refusera.
• J’ai mon mot à dire à ce que je sache, nous sommes au vingtième siècle. Pourquoi Isabelle aurait-elle connu des plaisirs que tu me refuserais ?
Dit moi la corde de dix mètres dans le garage, est-elle celle qui vous servait ?
• Tu l’as gardé vieux vicieux, tu m’avais pourtant dit que tu la jetterais.
Veux-tu qu’il aille la chercher ?
• Bien sûr, un peu de mouvement dans notre foyer, ça peut me plaire.
• Guenaelle, ton éducation, que dirait ta mère !
• Laisse là où elle est, je te rappelle que nous avons précipité notre mariage pour pouvoir baiser.
Sinon avec elle, j’étais sûr de coiffer sainte Catherine, l’année suivante.

Et voilà, ça recommence et surtout avec l’approbation de ma femme.
Ce que j’ai dit sur Isabelle est la stricte vérité.
Comme pour Olga, Valencia en Italie ou nous étions partis en stop.
Les autres, j’ai oublié leurs noms.

• Que dois-je faire mon chéri, je suis à toi, tu sais je l’ai dit à monsieur le maire ?
• Fait le, toi Guy, tu es plus doué que moi.
• C’est bien que c’est pour toi, Guenaelle déshabille-toi !

Sans sembler être cliché, la petite fille sage que j’ai épousée enlève ses vêtements.
Comme d’habitude, je me tais, comme elle l’a dit, je suis un passif depuis ma prime jeunesse surtout après mon adolescence avec Guy.

• Ludo, tu me dis si je me trompe.
Tu commences par faire un nœud coulant autour de son cou !

Je me tais, je me suis assis dans mon fauteuil, victime volontaire de mon copain.
Autour de son cou, puis entre ses jambes, fixant l’ensemble dans son dos.

• C’est stressant de sentir mes mouvements se limiter, mais j’aime, continu.
• Tes seins, il faut qu’ils soient mis en valeur.
Regarde, je prends en main le premier et je tourne la corde sur plusieurs tours.

Au fur et à mesure, je vois Guenaelle se retrouver saucissonnée.
Je dois reconnaître que ça me fait bander, mais je le cache.
Jusqu’à ou va-t-il aller ?

• Voilà, il me reste une chose à faire, t’isoler au sol.

L’impensable se passe faisant craquer quelque chose dans ma tête.
Avec Isabelle, il l’avait fait tomber au sol, sans qu’elle se fasse mal.
Une fois sorti sa petite queue, car un trait de son anatomie, laid et lilliputien côté verge.
Moi, beau gosse, monté normalement, inutile d’en rajouter et de passer pour un surhomme.
Il s’était placé à l’arrière d’Isabelle et l’avait pénétré jusqu’à finir par la soumettre pendant plusieurs jours.
Il en fait de même avec mon épouse à un détail près.
Comme un diable sortie de sa boîte, je me lève, je l’empoigne par son col de chemise. Je le redresse et lui balance ma main dans la gueule.
Son gros pif éclate propulsant du sang partout autour de lui.
Je le porte littéralement jusqu’à la porte de notre maison que j’ouvre et je le balance à l’extérieur.
Il va s’écraser comme une grosse merde qu’il est.
Je claque la porte et je retourne dans la salle auprès de celle qui était prête à me tromper.
Je sors ma queue, me place comme le faisait Guy qui doit pleurer sa mère et sans lui demander son avis, je l’encule et je la prends par la chatte.
Je l’encule lui tenant les hanches et je la prends dans sa chatte.
Je l’encule...
Ça dure, ça dure, ça dure, je suis dur comme jamais.
Elle jouit, elle jouit, elle jouit, comme jamais.
Je passe devant elle et je lui mets mon sexe dans la bouche, elle me suce pour la première fois, jusqu’à ce que je décharge des grands traits de sperme ayant du mal à tout avaler.

Deux mois que j’ai foutu ce conard dehors sans jamais le revoir.
La seule chose qui a changé, c’est la corde placée dans notre armoire que je sors régulièrement afin de l’attacher avant de la sexer comme nous aimons le faire et qui ferait honte à belle-maman.

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