COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Choix cornélien (11/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Choix cornélien (11/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Une nouvelle fois, ces trois mots « Oui, Maître Christian » scelle nos destins, après qu’Océane, follement amoureuse de mon maître, lui eut fait une fellation montrant une grande habitude, elle qui se dit vierge.
Une photo de sa famille m’apprend qu’elle a une sœur et un cousin efféminé, allant même jusqu’à se travestir et avoir les cheveux longs lui donnant l’allure d’une fille !
• Tu te trompes, c’est un enfant qui est né avec un pénis.
À la puberté, des seins se sont développés.
Ils ont fait des recherches et ont trouvé des chromosomes XX faisant de lui une fille.
Mais surtout une erreur de la nature, comme il en arrive de temps en temps, lui ayant attribué un pénis.
• J’ai vu un reportage, c’est un enfant inter-sexe.
Sur la photo, un homme blanc semble poser un problème à Océane, elle m’avoue qu’elle était sous la coupe de ce beau-père qui la forçait à lui faire des fellations.
J’ai mieux compris son expérience avec la bite de notre Maître.
Un jour le beau-père a voulu la sodomiser, elle s’est défendue en l’ébouillantant avec de l’huile qu’elle faisait chauffer, le rendant borgne par la même occasion.
Elle l’avait cru mort et a fui en France où elle est devenue cuisinière, chef d’entreprise d’une société de plats préparés bourguignons pour nos soirées de fête.
Pour compléter le tableau de la journée riche en événements, Christian, notre Maître, dans son fauteuil nous voit faire une entrée remarquée dans le salon, avec ma nouvelle amie.
Nous sommes tenues en laisse, nues avec uniquement un collier autour du cou, par Renaud mon homme.
• Pouvons-nous la voir ?
• Renaud regarde cette chienne qui se permet de me poser des questions !
Oublient-elles que lorsque l’on appelle quelqu’un Maître comme elles ont accepté de le faire, on attend qu’il vous adresse la parole.
La seule chose que j’accepte d’entendre, c’est « Oui, Maître » ou si tu as vraiment quelque chose à me dire « Puis-je vous poser une question Maître ».
Suivant mon humeur, je t’accorderais la parole.
Je manque de lui rétorquer que suis libre malgré ma soumission.
Je regarde Océane qui d’un regard me fait comprendre qu’il vaut mieux que je me taise.
• Anne, je vais tout de même répondre à ta question, mais seulement après que tu ais fait un choix !
J’ai une nouvelle fois failli dire « lequel ».
Le même regard d’Océane me fait une nouvelle fois fermer ma bouche.
• Si je te réponds, tu acceptes de m’offrir Océane, ou tu acceptes que mon maître-chien te tanne le cuir de la peau de tes fesses avec sa cravache.
Le salaud où je lui livre Océane où je reçois des coups de cravache.
J’aime jouer, je le regarde dans les yeux le défiant du regard.
• Puis-je vous répondre Maître ?
D’un signe de tête l’autorisation vient.
• Vous croyez me piéger Maître, je choisi les quelques coups de cravache de votre maître-chien.
• J’aime que mes chiennes prennent leur décision, je vais vous dire.
Si la cave à vin vous est accessible, le code de huit chiffres étant 19502018.
Pour la grande cave, je l’ouvrirais le samedi soir pour l’inauguration de mon gîte échangiste.
Avant que tu ne t’occupes du cul de ta femme Renaud, j’aurais besoin d’idées pour cette journée que je veux mémorable.
Demain je te ferai descendre la voir.
• Christian avant de mettre ta punition a exécution, une chose me chagrine, faudra-t-il que les clients sortent pour rejoindre ta cave et dans ce cas que feras-tu s’il pleut ?
• Tu es perspicace Renaud, tu mérites que je fasse de toi mon bras droit.
À cet effet, comme tu es à la retraite, j’aimerais qu’avec nos soumises tu sois là lorsque les invités du premier jour et les clients les autres semaines seront là. Pour vous mes soumises, j’espère que vous pourrez vous libérer les vendredis, samedis et dimanches jusqu’à leur départ.
Je manque de lui répondre « oh ! Oui » trop contente que ce soit mon Maître qui me propose ce que j’espérais, faire partie de ce que je pressens, des week-ends chauds.
Chauds par l’atmosphère et chauds par la température extérieure pendant ces trois mois d’été.
• Quant à ta question sur la pluie, je ne vous ai pas tout dit et tout montré.
Nous n’en avons pas eu le temps, c’est dans la tour carrée que tout se passe, vous verrez, je vous montrerai.
Avant que vous puissiez voir la salle construite dans la cave par grand-père Hugo, mamy Patty m’a expliqué ce qu’elle a subi avec de plus en plus de plaisir pour lui plaire.
Je n’en dis pas plus, mais je vais vous parler de mon papa et de ma maman.
Une nouvelle fois, je me tais, alors que j’allais parler.
Je me souviens à temps de la volée de cravache qui m’a été promise et qu’il semblerait avoir oublié.
J’avais pris goût à la séance de flagellation dans mon bureau à Mâcon, mais si je pouvais éviter d’avoir mal au cul tout au long de la journée de dimanche, pourquoi s’en priver.
J’ai bien fait de me taire, il embraye dans le sens de la question que j’allais poser :
« Quand commence la prise de conscience que tes parents étaient des libertins, mieux même en premier lieu s’il savait que son père n’était pas son père et que celui-ci était un sadique qui martyrisait sa mère ? »
Alors il raconte.
• Quelque temps après la naissance de son fils, le lait dans les mamelles de sa femme est venu à manquer, certainement après le traitement qu’il lui faisait subir.
Mon père a été confié à Berthe qui venait d’avoir un fils mort-né.
Il a grandi dans sa maison, jusqu’à ce que son père soit frappé par une hémiplégie.
Il fallait le bouger, de son lit à son fauteuil, ma grand-mère a demandé à son fils de revenir chez eux.
Avant, il ne venait jamais au manoir, de toute façon le bruit que mon grand-père était brutal avait couru dans la campagne.
Berthe de son côté venait de perdre son mari et tout naturellement, ils sont venus habiter au manoir.
Lui dans la chambre bleue que tu as cassée au début des travaux et elle pour garder la distance entre maître et serviteur dans l’une des pièces qui se trouve au-dessus des garages.
Depuis son départ, je m’en suis servi de remise, au moment de la rénovation, un tas d’objets hétéroclites qui étaient dans ces pièces y ont été entassés.
Mon puzzle commence à se mettre en place, j’ai toujours en tête d’aider Océane pour ses problèmes avec Orlane et Mérédith.
Christian continue, je l’écoute religieusement. Plus le temps passe et plus la spatule de la cravache que Renaud tape dans sa main, semble s’éloigner.
• Un jour il a vu que son père tenait quelque chose dans sa main, ça l’a intrigué, il a fini par réussir à lui faire lâcher, c’était une clef.
Grand-mère m’a expliqué qu’il avait fait le tour des serrures.
Un après-midi, il est venu la chercher pour lui demander à quoi servait cette cave.
Il s’arrête semblant chercher ses mots.
Océane est suspendue aux lèvres de celui qu’elle aime, se demandant certainement quand j’allais lâcher les chevaux, faisant d’elle une femme à part entière.
Sa main commence à se poser sur sa tête, il la caresse pour descendre sur son sein, sa fraise se durcir et se granule, elle réagit à l’attouchement.
Elle frémit, ses petits tétons sont fripés.
C’est surtout leur regard qui m’interpelle, il faut que je trouve le moyen de les donner l’un à l’autre car sinon mon avantage tombera à l’eau.
Je m’aperçois que la queue de notre Maître redresse la tête.
Je décide de me redresser, de l’enfermer entre mes seins montrant que ma forte poitrine, contrairement à celle qui est devenue mon amie, est capable de lui faire une branlette espagnole.
C’était sans compter sur la laisse que j’ai toujours au cou et que tient Renaud.
Il doit la lâcher, mais Christian la capte et tire fortement me bloquant m’empêchant de bouger.
• Renaud, n’avons-nous pas promis à notre belle salope, quelques coups bien placés sur son fessier ?
• Je crois m’en souvenir, tiens là bien, son cul est bien dégagé.
Pour être bien dégagé, il est bien dégagé.
Je suis nue de nue.
Les premiers coups bien à plat de la spatule tombent bien méthodiquement, je vais passer mon dimanche avec obligation de les reposer sur un coussin.
Ça profite au Maître, je suis à moitié couchée sur lui et sa verge est en contact avec mon nombril.
Un seul problème, outre la douleur que m’apporte la cravache, mon collier est tendu et commence à m’étrangler.
• Maître Christian, regardez ce que vous faites.
• Oh ! Pardon.
Ouf, la pression se relâche, mon amie m’a sauvée.
Par chance ma bouche est à la hauteur de celle de mon maître, sa langue cherche la mienne, j’ai mal au cul, mais j’adore la salive que nous échangeons.
Un peu essoufflés, nous nous séparons.
• Au lit, venez dans ma chambre, le lit est assez grand pour nous quatre.
Ils ont été conçus pour ça.
Anne, je te promets d’être sage avec Océane.
Parole d’ivrogne, mais je vais faire ce qu’il faut pour qu’il ne profite pas de la situation…
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Une nouvelle fois, ces trois mots « Oui, Maître Christian » scelle nos destins, après qu’Océane, follement amoureuse de mon maître, lui eut fait une fellation montrant une grande habitude, elle qui se dit vierge.
Une photo de sa famille m’apprend qu’elle a une sœur et un cousin efféminé, allant même jusqu’à se travestir et avoir les cheveux longs lui donnant l’allure d’une fille !
• Tu te trompes, c’est un enfant qui est né avec un pénis.
À la puberté, des seins se sont développés.
Ils ont fait des recherches et ont trouvé des chromosomes XX faisant de lui une fille.
Mais surtout une erreur de la nature, comme il en arrive de temps en temps, lui ayant attribué un pénis.
• J’ai vu un reportage, c’est un enfant inter-sexe.
Sur la photo, un homme blanc semble poser un problème à Océane, elle m’avoue qu’elle était sous la coupe de ce beau-père qui la forçait à lui faire des fellations.
J’ai mieux compris son expérience avec la bite de notre Maître.
Un jour le beau-père a voulu la sodomiser, elle s’est défendue en l’ébouillantant avec de l’huile qu’elle faisait chauffer, le rendant borgne par la même occasion.
Elle l’avait cru mort et a fui en France où elle est devenue cuisinière, chef d’entreprise d’une société de plats préparés bourguignons pour nos soirées de fête.
Pour compléter le tableau de la journée riche en événements, Christian, notre Maître, dans son fauteuil nous voit faire une entrée remarquée dans le salon, avec ma nouvelle amie.
Nous sommes tenues en laisse, nues avec uniquement un collier autour du cou, par Renaud mon homme.
• Pouvons-nous la voir ?
• Renaud regarde cette chienne qui se permet de me poser des questions !
Oublient-elles que lorsque l’on appelle quelqu’un Maître comme elles ont accepté de le faire, on attend qu’il vous adresse la parole.
La seule chose que j’accepte d’entendre, c’est « Oui, Maître » ou si tu as vraiment quelque chose à me dire « Puis-je vous poser une question Maître ».
Suivant mon humeur, je t’accorderais la parole.
Je manque de lui rétorquer que suis libre malgré ma soumission.
Je regarde Océane qui d’un regard me fait comprendre qu’il vaut mieux que je me taise.
• Anne, je vais tout de même répondre à ta question, mais seulement après que tu ais fait un choix !
J’ai une nouvelle fois failli dire « lequel ».
Le même regard d’Océane me fait une nouvelle fois fermer ma bouche.
• Si je te réponds, tu acceptes de m’offrir Océane, ou tu acceptes que mon maître-chien te tanne le cuir de la peau de tes fesses avec sa cravache.
Le salaud où je lui livre Océane où je reçois des coups de cravache.
J’aime jouer, je le regarde dans les yeux le défiant du regard.
• Puis-je vous répondre Maître ?
D’un signe de tête l’autorisation vient.
• Vous croyez me piéger Maître, je choisi les quelques coups de cravache de votre maître-chien.
• J’aime que mes chiennes prennent leur décision, je vais vous dire.
Si la cave à vin vous est accessible, le code de huit chiffres étant 19502018.
Pour la grande cave, je l’ouvrirais le samedi soir pour l’inauguration de mon gîte échangiste.
Avant que tu ne t’occupes du cul de ta femme Renaud, j’aurais besoin d’idées pour cette journée que je veux mémorable.
Demain je te ferai descendre la voir.
• Christian avant de mettre ta punition a exécution, une chose me chagrine, faudra-t-il que les clients sortent pour rejoindre ta cave et dans ce cas que feras-tu s’il pleut ?
• Tu es perspicace Renaud, tu mérites que je fasse de toi mon bras droit.
À cet effet, comme tu es à la retraite, j’aimerais qu’avec nos soumises tu sois là lorsque les invités du premier jour et les clients les autres semaines seront là. Pour vous mes soumises, j’espère que vous pourrez vous libérer les vendredis, samedis et dimanches jusqu’à leur départ.
Je manque de lui répondre « oh ! Oui » trop contente que ce soit mon Maître qui me propose ce que j’espérais, faire partie de ce que je pressens, des week-ends chauds.
Chauds par l’atmosphère et chauds par la température extérieure pendant ces trois mois d’été.
• Quant à ta question sur la pluie, je ne vous ai pas tout dit et tout montré.
Nous n’en avons pas eu le temps, c’est dans la tour carrée que tout se passe, vous verrez, je vous montrerai.
Avant que vous puissiez voir la salle construite dans la cave par grand-père Hugo, mamy Patty m’a expliqué ce qu’elle a subi avec de plus en plus de plaisir pour lui plaire.
Je n’en dis pas plus, mais je vais vous parler de mon papa et de ma maman.
Une nouvelle fois, je me tais, alors que j’allais parler.
Je me souviens à temps de la volée de cravache qui m’a été promise et qu’il semblerait avoir oublié.
J’avais pris goût à la séance de flagellation dans mon bureau à Mâcon, mais si je pouvais éviter d’avoir mal au cul tout au long de la journée de dimanche, pourquoi s’en priver.
J’ai bien fait de me taire, il embraye dans le sens de la question que j’allais poser :
« Quand commence la prise de conscience que tes parents étaient des libertins, mieux même en premier lieu s’il savait que son père n’était pas son père et que celui-ci était un sadique qui martyrisait sa mère ? »
Alors il raconte.
• Quelque temps après la naissance de son fils, le lait dans les mamelles de sa femme est venu à manquer, certainement après le traitement qu’il lui faisait subir.
Mon père a été confié à Berthe qui venait d’avoir un fils mort-né.
Il a grandi dans sa maison, jusqu’à ce que son père soit frappé par une hémiplégie.
Il fallait le bouger, de son lit à son fauteuil, ma grand-mère a demandé à son fils de revenir chez eux.
Avant, il ne venait jamais au manoir, de toute façon le bruit que mon grand-père était brutal avait couru dans la campagne.
Berthe de son côté venait de perdre son mari et tout naturellement, ils sont venus habiter au manoir.
Lui dans la chambre bleue que tu as cassée au début des travaux et elle pour garder la distance entre maître et serviteur dans l’une des pièces qui se trouve au-dessus des garages.
Depuis son départ, je m’en suis servi de remise, au moment de la rénovation, un tas d’objets hétéroclites qui étaient dans ces pièces y ont été entassés.
Mon puzzle commence à se mettre en place, j’ai toujours en tête d’aider Océane pour ses problèmes avec Orlane et Mérédith.
Christian continue, je l’écoute religieusement. Plus le temps passe et plus la spatule de la cravache que Renaud tape dans sa main, semble s’éloigner.
• Un jour il a vu que son père tenait quelque chose dans sa main, ça l’a intrigué, il a fini par réussir à lui faire lâcher, c’était une clef.
Grand-mère m’a expliqué qu’il avait fait le tour des serrures.
Un après-midi, il est venu la chercher pour lui demander à quoi servait cette cave.
Il s’arrête semblant chercher ses mots.
Océane est suspendue aux lèvres de celui qu’elle aime, se demandant certainement quand j’allais lâcher les chevaux, faisant d’elle une femme à part entière.
Sa main commence à se poser sur sa tête, il la caresse pour descendre sur son sein, sa fraise se durcir et se granule, elle réagit à l’attouchement.
Elle frémit, ses petits tétons sont fripés.
C’est surtout leur regard qui m’interpelle, il faut que je trouve le moyen de les donner l’un à l’autre car sinon mon avantage tombera à l’eau.
Je m’aperçois que la queue de notre Maître redresse la tête.
Je décide de me redresser, de l’enfermer entre mes seins montrant que ma forte poitrine, contrairement à celle qui est devenue mon amie, est capable de lui faire une branlette espagnole.
C’était sans compter sur la laisse que j’ai toujours au cou et que tient Renaud.
Il doit la lâcher, mais Christian la capte et tire fortement me bloquant m’empêchant de bouger.
• Renaud, n’avons-nous pas promis à notre belle salope, quelques coups bien placés sur son fessier ?
• Je crois m’en souvenir, tiens là bien, son cul est bien dégagé.
Pour être bien dégagé, il est bien dégagé.
Je suis nue de nue.
Les premiers coups bien à plat de la spatule tombent bien méthodiquement, je vais passer mon dimanche avec obligation de les reposer sur un coussin.
Ça profite au Maître, je suis à moitié couchée sur lui et sa verge est en contact avec mon nombril.
Un seul problème, outre la douleur que m’apporte la cravache, mon collier est tendu et commence à m’étrangler.
• Maître Christian, regardez ce que vous faites.
• Oh ! Pardon.
Ouf, la pression se relâche, mon amie m’a sauvée.
Par chance ma bouche est à la hauteur de celle de mon maître, sa langue cherche la mienne, j’ai mal au cul, mais j’adore la salive que nous échangeons.
Un peu essoufflés, nous nous séparons.
• Au lit, venez dans ma chambre, le lit est assez grand pour nous quatre.
Ils ont été conçus pour ça.
Anne, je te promets d’être sage avec Océane.
Parole d’ivrogne, mais je vais faire ce qu’il faut pour qu’il ne profite pas de la situation…
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