COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. La famille d’Océane (9/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. La famille d’Océane (9/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
C’est maintenant ce que nous entendrons dans la bouche de Christian depuis que j’ai accepté qu’Océane, amoureuse de lui, lui taille une pipe à son réveil, après la biture qu’ils ont pris avec Renaud mon mari.
Une bouteille de marc de Bourgogne à deux, il en faudrait moins à certains pour avoir au matin la gueule de bois !
J’ai quitté le manoir près de la Roche Vineuse pour retourner chez moi travailler sur un de mes dossiers pour des clients friqués.
J’ai découvert que Renaud, avant de nous rejoindre pour passer le week-end, visionnait un film porno.
Avec moi, il se contente d’être candauliste, me regardant me faire sauter alors que lorsqu’il est seul, il semble se satisfaire tout seul.
Bande-t-il, se pignole-t-il ?
Moi, en voyant ces images, je me suis mis trois doigts dans ma fente avant de jouir seule.
Je me prépare et je pars, sortant pour rejoindre Océane dans son laboratoire, je m’arrête au sex-shop de ma ville.
Je mets du temps à entrer, je suis hésitante.
J’arrive à franchir la porte, mon arrivée semblant être remarquée par quelques clients tous des hommes qui sont dans les divers rayons.
La première chose que je remarque, ce sont les nombreux films qui sont sur les présentoirs.
Je veux éviter de m’éterniser.
Derrière un comptoir, une magnifique rousse se lime les ongles en mâchant un chewing-gum.
Magnifique par son port de tête altier, mais plus proche d’une pute par sa tenue vestimentaire.
Je m’approche, certaine que c’est elle qui va me faire gagner du temps.
Elle est assise sur un tabouret, ses jambes croisées recouvertes de bas auto fixant.
Je vois leur lisière, son semblant de mini jupe étant remontée dans la position où elle est assise.
• Que cherchez vous madame, godes, films lesbiens ?
Pourquoi me parle-t-elle de films lesbiens ?
Je sais que je vais retrouver une femme après ce mauvais moment à passer pour trouver ce que je cherche.
J’ai dû faire la moue.
• Ne vous fâchez pas, vous n’êtes pas là pour acheter un film, ou je me trompe ?
Voyons voir, sado, je pense que vous aimez être dominante, vous cherchez des fouets, des cravaches.
Je vois à votre œil que ce que je vous propose vous intéresse.
• Si vous me laissiez parler, voilà ce dont j’ai besoin.
Elle me conduit vers mon centre d’intérêt, rapidement je m’arrête sur deux objets qui feront largement l’affaire.
• Avec ça, si vous le voulez, j’ai des combinaisons genre Catwoman, mais les modèles que j’ai là, c’est pour montrer le produit.
Ils ne sont là qu'en démonstration.
J’ai une couturière qui peut vous les faire sur mesure dans les teintes que vous choisirez.
• Merci, aujourd’hui, je ne rends que ces objets.
• Revenez me voir, je vous ferai cinquante pour cent sur tout achat, je vous ferais une démonstration de gode, j’en ai un très beau, regardez.
Elle sort de sous son bureau un phallus de substitution et se caresse la chatte avec, au-dessus de sa mini.
Je me sauve en courant, mon paquet à la main, je la vois faire passer son gode sous sa jupe, je parie qu’elle est chatte à l’air.
Arrivée dans le village où je vais retrouver Océane, je m’arrête devant son laboratoire.
Elle devait m’attendre car elle sort dès que j’ai coupé mon moteur.
Nous devons être des ultras lucides, elle aussi est en jean, basket, la seule différence, c’est que son chemisier est blanc et que je vois les fraises de ses seins par transparence, l’ayant noué sous sa poitrine, ce qui le tend.
• Viens Anne, je vais te faire visiter mon monde.
Dans mon métier, la cuisine est une chose, mais la commercialisation de mes produits en est une autre, c’est primordial.
Les règles d’hygiène sont très importantes, nous entrons dans un espace qui est un sas en surpression, le système démarre quand je tourne la poignée La porte s’ouvre au bout de dix secondes, tu vas voir.
Nous entrons, elle ferme la porte.
• Porte de droite, le vestiaire, gauche, un couloir qui mène à l’escalier pour que je monte chez moi.
Ce couloir longe la cuisine complètement isolée des moindres poussières.
Elle me fait entrer, un couloir d’une dizaine de mètres de long, à ma gauche une vitre, je regarde, c'est une banale cuisine industrielle pour moi, personne ne travaille, tout est impeccable.
• Pour faire court, je vais t’expliquer mon concept.
J’élabore mes plats, j’ai fait mon apprentissage au CIFA de Mercurey.
À ma sortie, mon diplôme en poche, j’ai galéré pour avoir un prêt après avoir trouvé cet espace.
• Je connais, cela a été pareil pour moi.
Elle m’explique son concept, elle pourrait parler des heures de son travail, de son laboratoire, de ses ouvriers et ouvrières tous pris à la sortie de son école.
Pour beaucoup, c’est un premier job si dur à trouver.
Ce dont elle est le plus fière, ce sont ses plats sous vide qu’elle livre grâce à Internet. Elle m’explique qu’une société avait déjà fait du sous-vide et commercialisé dans une chaîne de restaurants.
Il y avait eu un reportage à la télé, les gens avaient boudé ces restaurants.
Elle avait simplement mis des barquettes en alu avant de mettre sous-vide, les gens n’ont plus qu’à mettre au four ou au micro-ondes, ça marche de mieux en mieux et tout un chacun peu disposer de plat élaboré par de futur grand chef.
• J’ai deux projets.
Agrandir par l’arrière, je pourrais doubler ma surface de fabrication et pouvoir embaucher une personne de plus, dès que la jeune fille que j’ai contactée au CIFA aura reçue ses diplômes.
Elle pourra me seconder, c’est une future grande.
Mais en attendant, je voudrais que tu me fasses une proposition pour la façade de mon labo, elle est terne et je voudrais qu’elle brille.
• C’est nouveau pour moi, mais je connais un jeune homme qui peint sur des murs, il fait des trompes l'œil plus vrai que nature.
• Parfait, je vais m’offrir ça, je te dois bien ça, quand on est les soumises du même Maître.
• Monte à l’étage, je vais te préparer un café, j’ai aussi des viennoiseries toutes chaudes, je les ai faites spécialement pour toi.
Sa cuisine est nickel, elle a dû les cuire chez elle.
Une porte palière, elle vit dans une grande pièce faisant la surface de la cuisine, de simples cloisons délimitent certains espaces.
Je l’aurais décoré, je n’aurais pas fait mieux, chaque chose a sa place très bien pensée.
J’aurais à embaucher quelqu’un pour me seconder, je la prendrais sans aucun problème.
De toute façon, je n’ai ni besoin, ni moyen d’embaucher une assistante, de toute façon elle a choisi une autre voie toute aussi intéressante pour elle.
• Assieds-toi, je fais le café, j’ai une machine broyant les grains, je suis de Marie-Galante, au large de la Guadeloupe, chez nous le petit noir, c’est aussi prisé qu’à Paris dans les brasseries.
Elle va dans la sphère cuisine et j’entends le broyeur à grains démarrer, elle revient avec deux tasses.
• Dis-moi, c’est ta famille sur cette photo dans ce cadre sur la table ?
• Oui, Anne, elle est là pour me rappeler qu’ils existent, certains en bien, certains en mal.
Je sens que cette grande fille a du vague à l’âme.
• En bien, ma maman, ma jeune sœur que tu vois là et aussi en bien, mais me posant un problème, mon cousin.
• À part ta maman, je ne vois que des jeunes filles en plus de l’homme blanc sur ta photo.
• Non, en bien, car c’est un gentil garçon et en mal car c’est quelqu’un ni femme ni homme, il est né avec une bite, mais il a eu aussi des seins qui lui sont poussés.
Après consultation, il s’est avéré qu’il avait des chromosomes XX donc féminins, mais aussi un magnifique pénis.
Ses parents quand ils l’ont appris l’ont rejeté et il aurait fini dans les quartiers louches de Basse-Terre ou de Fort-de-France, maman l’a recueilli au grand dam de mon beau-père, pour lui c'était un P.D.
• Quelle honte, je comprends mieux que tu dises « certains en mal, » c’est homme en fait partie.
• Plus que tu ne le crois, hormis qu’il est blanc, il a connu maman alors que nous étions deux filles sans père. Père que je ne l’ai jamais connu et j’ignore réellement qui il est.
La seule chose que je pense avoir comprise c’est que nous serions le fruit d’amour entre une paroissienne et le curé du village où nous habitions.
Pour preuve, le nombre de fois où maman allait à confesse.
Les deux filles que nous sommes étant de véritables lianes comparées à elle et bizarrement le curé était une force de la nature et faisait presque deux mètres.
• Et ton beau-père ?
• Après la mutation du curé pour Fort-de-France, maman a rencontré ce salopard que tu vois là.
J’avais dix-sept ans, quand un jour il m’a coincé dans la cuisine alors que maman était à son travail à l’hôpital, elle est femme de service.
• T’a-t-il violé ?
• Non, car il est vrai que ce que je t’ai dit sur ma virginité est exact, il savait que je n’avais pas de contraception.
Il lui était difficile de demander à maman de me donner la pilule, il se servait d'un autre endroit de mon corps pour se satisfaire.
• Te sodomisait-il, t'enculait-il ?
• Non, pas au début, seule ma bouche l’intéressait, il me faisait lui tailler des pipes.
• Je comprends mieux, la célérité que tu as eu à prendre en gorge profonde celle de Christian notre Maître.
• C’était son principal plaisir au début, il me pinçait le nez pour que j’essaye de faire entrer de l’air, pour que je l’ouvre plus grande.
À force, je le faisais entrer jusqu’à ses couilles.
Il me prenait par les oreilles alors qu’il m’avait fait mettre à genoux et finissait par me faire boire son sperme.
• Comment t'en es-tu sortie et comment es-tu venue en France ?
• Tu parlais de sodomie, le jour où l’idée lui en est venue, il m’a relevé ma jupe, a descendu ma culotte, j’étais à deux doigts de le sentir arriver à ses fins.
Son gland était à l’orée de mon anus.
J’avais ma poitrine pliée sur le plan de travail à côté de la cuisinière où je préparais le manger pour le retour de maman.
Ce fut sa perte…
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
C’est maintenant ce que nous entendrons dans la bouche de Christian depuis que j’ai accepté qu’Océane, amoureuse de lui, lui taille une pipe à son réveil, après la biture qu’ils ont pris avec Renaud mon mari.
Une bouteille de marc de Bourgogne à deux, il en faudrait moins à certains pour avoir au matin la gueule de bois !
J’ai quitté le manoir près de la Roche Vineuse pour retourner chez moi travailler sur un de mes dossiers pour des clients friqués.
J’ai découvert que Renaud, avant de nous rejoindre pour passer le week-end, visionnait un film porno.
Avec moi, il se contente d’être candauliste, me regardant me faire sauter alors que lorsqu’il est seul, il semble se satisfaire tout seul.
Bande-t-il, se pignole-t-il ?
Moi, en voyant ces images, je me suis mis trois doigts dans ma fente avant de jouir seule.
Je me prépare et je pars, sortant pour rejoindre Océane dans son laboratoire, je m’arrête au sex-shop de ma ville.
Je mets du temps à entrer, je suis hésitante.
J’arrive à franchir la porte, mon arrivée semblant être remarquée par quelques clients tous des hommes qui sont dans les divers rayons.
La première chose que je remarque, ce sont les nombreux films qui sont sur les présentoirs.
Je veux éviter de m’éterniser.
Derrière un comptoir, une magnifique rousse se lime les ongles en mâchant un chewing-gum.
Magnifique par son port de tête altier, mais plus proche d’une pute par sa tenue vestimentaire.
Je m’approche, certaine que c’est elle qui va me faire gagner du temps.
Elle est assise sur un tabouret, ses jambes croisées recouvertes de bas auto fixant.
Je vois leur lisière, son semblant de mini jupe étant remontée dans la position où elle est assise.
• Que cherchez vous madame, godes, films lesbiens ?
Pourquoi me parle-t-elle de films lesbiens ?
Je sais que je vais retrouver une femme après ce mauvais moment à passer pour trouver ce que je cherche.
J’ai dû faire la moue.
• Ne vous fâchez pas, vous n’êtes pas là pour acheter un film, ou je me trompe ?
Voyons voir, sado, je pense que vous aimez être dominante, vous cherchez des fouets, des cravaches.
Je vois à votre œil que ce que je vous propose vous intéresse.
• Si vous me laissiez parler, voilà ce dont j’ai besoin.
Elle me conduit vers mon centre d’intérêt, rapidement je m’arrête sur deux objets qui feront largement l’affaire.
• Avec ça, si vous le voulez, j’ai des combinaisons genre Catwoman, mais les modèles que j’ai là, c’est pour montrer le produit.
Ils ne sont là qu'en démonstration.
J’ai une couturière qui peut vous les faire sur mesure dans les teintes que vous choisirez.
• Merci, aujourd’hui, je ne rends que ces objets.
• Revenez me voir, je vous ferai cinquante pour cent sur tout achat, je vous ferais une démonstration de gode, j’en ai un très beau, regardez.
Elle sort de sous son bureau un phallus de substitution et se caresse la chatte avec, au-dessus de sa mini.
Je me sauve en courant, mon paquet à la main, je la vois faire passer son gode sous sa jupe, je parie qu’elle est chatte à l’air.
Arrivée dans le village où je vais retrouver Océane, je m’arrête devant son laboratoire.
Elle devait m’attendre car elle sort dès que j’ai coupé mon moteur.
Nous devons être des ultras lucides, elle aussi est en jean, basket, la seule différence, c’est que son chemisier est blanc et que je vois les fraises de ses seins par transparence, l’ayant noué sous sa poitrine, ce qui le tend.
• Viens Anne, je vais te faire visiter mon monde.
Dans mon métier, la cuisine est une chose, mais la commercialisation de mes produits en est une autre, c’est primordial.
Les règles d’hygiène sont très importantes, nous entrons dans un espace qui est un sas en surpression, le système démarre quand je tourne la poignée La porte s’ouvre au bout de dix secondes, tu vas voir.
Nous entrons, elle ferme la porte.
• Porte de droite, le vestiaire, gauche, un couloir qui mène à l’escalier pour que je monte chez moi.
Ce couloir longe la cuisine complètement isolée des moindres poussières.
Elle me fait entrer, un couloir d’une dizaine de mètres de long, à ma gauche une vitre, je regarde, c'est une banale cuisine industrielle pour moi, personne ne travaille, tout est impeccable.
• Pour faire court, je vais t’expliquer mon concept.
J’élabore mes plats, j’ai fait mon apprentissage au CIFA de Mercurey.
À ma sortie, mon diplôme en poche, j’ai galéré pour avoir un prêt après avoir trouvé cet espace.
• Je connais, cela a été pareil pour moi.
Elle m’explique son concept, elle pourrait parler des heures de son travail, de son laboratoire, de ses ouvriers et ouvrières tous pris à la sortie de son école.
Pour beaucoup, c’est un premier job si dur à trouver.
Ce dont elle est le plus fière, ce sont ses plats sous vide qu’elle livre grâce à Internet. Elle m’explique qu’une société avait déjà fait du sous-vide et commercialisé dans une chaîne de restaurants.
Il y avait eu un reportage à la télé, les gens avaient boudé ces restaurants.
Elle avait simplement mis des barquettes en alu avant de mettre sous-vide, les gens n’ont plus qu’à mettre au four ou au micro-ondes, ça marche de mieux en mieux et tout un chacun peu disposer de plat élaboré par de futur grand chef.
• J’ai deux projets.
Agrandir par l’arrière, je pourrais doubler ma surface de fabrication et pouvoir embaucher une personne de plus, dès que la jeune fille que j’ai contactée au CIFA aura reçue ses diplômes.
Elle pourra me seconder, c’est une future grande.
Mais en attendant, je voudrais que tu me fasses une proposition pour la façade de mon labo, elle est terne et je voudrais qu’elle brille.
• C’est nouveau pour moi, mais je connais un jeune homme qui peint sur des murs, il fait des trompes l'œil plus vrai que nature.
• Parfait, je vais m’offrir ça, je te dois bien ça, quand on est les soumises du même Maître.
• Monte à l’étage, je vais te préparer un café, j’ai aussi des viennoiseries toutes chaudes, je les ai faites spécialement pour toi.
Sa cuisine est nickel, elle a dû les cuire chez elle.
Une porte palière, elle vit dans une grande pièce faisant la surface de la cuisine, de simples cloisons délimitent certains espaces.
Je l’aurais décoré, je n’aurais pas fait mieux, chaque chose a sa place très bien pensée.
J’aurais à embaucher quelqu’un pour me seconder, je la prendrais sans aucun problème.
De toute façon, je n’ai ni besoin, ni moyen d’embaucher une assistante, de toute façon elle a choisi une autre voie toute aussi intéressante pour elle.
• Assieds-toi, je fais le café, j’ai une machine broyant les grains, je suis de Marie-Galante, au large de la Guadeloupe, chez nous le petit noir, c’est aussi prisé qu’à Paris dans les brasseries.
Elle va dans la sphère cuisine et j’entends le broyeur à grains démarrer, elle revient avec deux tasses.
• Dis-moi, c’est ta famille sur cette photo dans ce cadre sur la table ?
• Oui, Anne, elle est là pour me rappeler qu’ils existent, certains en bien, certains en mal.
Je sens que cette grande fille a du vague à l’âme.
• En bien, ma maman, ma jeune sœur que tu vois là et aussi en bien, mais me posant un problème, mon cousin.
• À part ta maman, je ne vois que des jeunes filles en plus de l’homme blanc sur ta photo.
• Non, en bien, car c’est un gentil garçon et en mal car c’est quelqu’un ni femme ni homme, il est né avec une bite, mais il a eu aussi des seins qui lui sont poussés.
Après consultation, il s’est avéré qu’il avait des chromosomes XX donc féminins, mais aussi un magnifique pénis.
Ses parents quand ils l’ont appris l’ont rejeté et il aurait fini dans les quartiers louches de Basse-Terre ou de Fort-de-France, maman l’a recueilli au grand dam de mon beau-père, pour lui c'était un P.D.
• Quelle honte, je comprends mieux que tu dises « certains en mal, » c’est homme en fait partie.
• Plus que tu ne le crois, hormis qu’il est blanc, il a connu maman alors que nous étions deux filles sans père. Père que je ne l’ai jamais connu et j’ignore réellement qui il est.
La seule chose que je pense avoir comprise c’est que nous serions le fruit d’amour entre une paroissienne et le curé du village où nous habitions.
Pour preuve, le nombre de fois où maman allait à confesse.
Les deux filles que nous sommes étant de véritables lianes comparées à elle et bizarrement le curé était une force de la nature et faisait presque deux mètres.
• Et ton beau-père ?
• Après la mutation du curé pour Fort-de-France, maman a rencontré ce salopard que tu vois là.
J’avais dix-sept ans, quand un jour il m’a coincé dans la cuisine alors que maman était à son travail à l’hôpital, elle est femme de service.
• T’a-t-il violé ?
• Non, car il est vrai que ce que je t’ai dit sur ma virginité est exact, il savait que je n’avais pas de contraception.
Il lui était difficile de demander à maman de me donner la pilule, il se servait d'un autre endroit de mon corps pour se satisfaire.
• Te sodomisait-il, t'enculait-il ?
• Non, pas au début, seule ma bouche l’intéressait, il me faisait lui tailler des pipes.
• Je comprends mieux, la célérité que tu as eu à prendre en gorge profonde celle de Christian notre Maître.
• C’était son principal plaisir au début, il me pinçait le nez pour que j’essaye de faire entrer de l’air, pour que je l’ouvre plus grande.
À force, je le faisais entrer jusqu’à ses couilles.
Il me prenait par les oreilles alors qu’il m’avait fait mettre à genoux et finissait par me faire boire son sperme.
• Comment t'en es-tu sortie et comment es-tu venue en France ?
• Tu parlais de sodomie, le jour où l’idée lui en est venue, il m’a relevé ma jupe, a descendu ma culotte, j’étais à deux doigts de le sentir arriver à ses fins.
Son gland était à l’orée de mon anus.
J’avais ma poitrine pliée sur le plan de travail à côté de la cuisinière où je préparais le manger pour le retour de maman.
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