COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Océane (6/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Océane (6/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Océane (6/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis ton Maître Anne.
• Oui, Maître Christian.

C’est sûr, Christian est mon maître, sinon pourquoi accepterais-je de lui servir de paillasson, en étant à ses pieds, repliée comme un œuf, ses orteils me reposant dessus.
Étant nue, comme eux d’ailleurs, les bûches crépitantes dans la cheminée nous réchauffant.
Dans cette position et devant lui étant vautré dans son fauteuil, je me regarde dans une glace posée sur l’un des mûrs.
C'est vrai que je ne suis plus très jeune, mais mon corps a encore des formes agréables pour ceux qui aiment les femmes mures, seins lourds et consistant, cuisses charnues.

Le plus dur, c’est qu’il me fait sentir sa domination quand j’essaye de bouger et qu’il me promet une sévère punition.
Comment à mon âge, puis-je accepter les ordres de ce garçon tout juste sorti de l’âge où moi, j’ai commencé à connaître la vie ?
Toutefois, son histoire m’intéresse avec le récit de sa grand-mère se faisant sauter par d’autres hommes, son mari ayant perdu ses couilles dans un accident et se contentant de la regarder.
Situation identique à ce que je vis depuis quelques mois.
La différence c’est que je suis ménopausée et à l’abri de toute maternité.
Alors il poursuit son récit pour mon homme alors que qui suis à son écoute, à part repose pied, je semble être quantité négligeable.

• Grand-mère Patty se faisait sauter, principalement aux moments des diverses taches nécessaires pour que la vigne donne son meilleur rendement.
Presque vingt hectares, ça oblige à employer beaucoup de journaliers commençant le matin et finissant le soir pour avoir de nombreuses pièces de vins.
Ces hommes et femmes travaillaient dur pour que grand-père récolte de belles grappes donnant du bon jus.
Grappe qui remplaçait sa grappe l’ayant quitté.
Toute la journée il regardait lequel de tout ce monde était le plus méritant, celui qui mettait le plus de cœur à l’ouvrage, le dos cassé à couper les vieux sarments pour avoir au printemps de belles pousses donnant ces belles grappes.
Grand-mère m’a dit que ces hommes se battaient presque pour que ce soit eux qui puissent la sauter et leur rendement s’en trouvait presque doublé.
• Ton marc, Christian, une merveille, j’en reprendrais bien une autre tournée.

Merci, monsieur mon mari pour cette suggestion, je vais pouvoir bouger.
Je crois que je vais rester bloquée dans cette position si je ne me détends pas.
Mes genoux me font mal, ma nuque aussi.

• Prends la bouteille, sers-toi autant que t’en veux, j’en distille quelques hectos.

Loupé, je vois la bouteille passer au-dessus de ma tête et Renaud remplir son verre avant de la reposer à deux doigts de ma tête.
Je ne bouge pas, mes mamelles comprimés commence à me faire souffrir, ont-elle encore gonflées.

• C’est dans ces conditions, faisant l'amour avec des hommes différents, que grand-mère Patty a annoncé à son mari qu’elle était enceinte.
À partir de ce jour, il a arrêté de la donner à qui était le meilleur, il a pris soin d’elle jusqu’à la naissance de papa.
Il a eu un fils, garant de la pérennité de son domaine.
Mamy Patty m’a expliqué que son retour de couches arrivé, son attitude a changé.
Pour un rien il devenait nerveux, surtout quand ça concernait son fils !
Les pleurs du bébé le rendaient irritable, il a commencé à la frapper sans qu’elle ne se rebelle.
Les claques ont succédé aux claques avant qu’un soir, il ne détache une embrasse des rideaux de velours bien épais, torsadée.
Elle était face à lui, elle a dû son salut à sa souplesse, afin de protéger ses seins et le lait de son bébé.
Se retournant la corde, vu l’épaisseur on peut parler de corde, il l'a abattue sur ses rondeurs et ce sont de vrais cris de douleur qui sont sortis de sa gorge.
Elle avait beau demander qu'il se calme, rien n’y faisait.
Elle m’a avoué que pendant trois jours, elle s’asseyait sur la pointe de ses fesses.
Grand-père Hugo était devenu comme fou.
Il a voulu se mettre au cheval, il voulait dominer les gens dans son domaine en se promenant à cheval.
Il était monté une fois et trouvait, suprême ironie, que cela lui faisait mal au cul.
Il lui restait la cravache qu’il est allé chercher.
Les coups pleuvaient tellement que le lait de son fils était doublement chaud par la température de sa maman et surtout la cravache qu’il aimait abattre dessus sans les ménagers et sans qu’elle ne puisse les protéger.
Renaud passe-moi la bouteille, le récit me donner soif.
• Elle est vide Christian, je crois qu’on est bourré, on va se coucher, demain le jour reviendra.
• T’a raison mon pote, mais comme notre belle salope travaille dès l’arrivée de ses ouvriers, impossible de vous ouvrir la cave tant que je ne vous aurai pas dit pourquoi elle est là et à quoi elle sert.
En attendant, je vais me faire tailler une pipe.
Regarde Renaud, je sais que tu prends de plus en plus de plaisir à la regarder se faire baiser.

C’est la voix un peu cassée que mon homme répond.

• Tu arrives encore à bander mon salopard malgré ce que l’on a bu, blanc, rouge et puis ton si bon marc ?

Moi si j’avais bu le quart ce n’est pas sous les pieds que je serais mais dans les chiottes en train de dégueuler.
Renaud en disant ça se renverse dans son fauteuil et prend la bouteille vide se place le goulot dans la bouche pour récupérer la dernière goutte.
Mon maître, de façon incertaine lui aussi, m’aide à me relever, je suis tellement ankylosée que je manque de tomber quand je me mets sur mes pieds, pour d’autres raisons qu’eux.
Je me remets à genoux.
Face à lui, ma poitrine pend, mes seins en forme de poire se sont allongés.
Je prends la verge de mon Maître dans ma main, je la masturbe un peu, avant de la placer dans ma bouche.
Ça fait presque vingt minutes que je le pompe, le léchant consciencieusement et, incroyable, j’entends un léger ronflement.
Au début il commençait à bander.
Mais maintenant, ils dorment, lui et mon voyeur de mari.
Ces deux "pourris" me laissent tomber, même si je les aime bien, la chatte en feu, ma bouche en manque de sperme.
Je les plante là, inutile de les faire bouger, la seule chose que je fais ce sont deux bûches que je mets dans la cheminée.
Je veux la suite de l’histoire et éviter un rhume pour ces messieurs, ils auront déjà assez mal à la tête demain matin.
Je me souviens d’une cuite prise le jour de mes vingt ans, j’avais mis trois jours pour que les carillons qui sonnaient dans ma tête s’arrêtent.
Je me lève, la circulation s'est rétablie malgré ma demi-heure agenouillée.

Je vais aux petits coins, ils sont propres, pardon, propres c’est normal, mais présentables côté décor.
Il va falloir tout de même que je fasse changer le papier peint.
Cette impression que j’ai d’un voyeur regardant ma chatte se soulager soit remplacée par des petits oiseaux ou autres cela m’est égale.
Le papier peint actuel représente un homme avec son Borsalino la tête un peu baissée, avec un œil qui regarde dans ma direction et mon entrejambe.
Il serait seul, cela pourrait passer mais ils sont multipliés par dix et comme je suis nue, on comprend l’impression de voyeurisme que je ressens.
Est-ce le grand-père qui est revenu ?

Je rejoins la chambre encore habitable.
Les rideaux de velours rouge ont des embrasses, je suis à deux doigts d’en prendre une et de me flageller, comme le faisaient les pénitents.
Je préfère m’écrouler sur ce lit où j’ai l’impression d’être perdue vu sa taille.
J’ai un instant l’impression que je prends goût à ce que mon maitre me flagelle.
Comme mamy Patty, deviendrais-je, accro à la douleur !

Il fait encore nuit quand j’émerge, je suis toujours seule, j’ai un peu froid.
J’ouvre ma valise pour prendre mon nécessaire de toilette et je vais dans la salle de bain.
Je prends une douche, il va falloir que je signale à Christian que si elle a été rénovée, celui qui a fait le travail est loin d’être à la hauteur de mon chef de chantier et du plombier qu’il emploi, chaud, froid, froid chaud, difficile à régler.
Je me sèche et je passe un peignoir, le prenant sur la pile, Christian a fait le plein, ils seront tous dans chaque salle d’eau jouxtant chaque chambre les travaux à l’étage terminés.
Le peignoir est court et épais, je le sers sur mes seins qui sont reposé ce matin.
Il ferme avec une ceinture.

Mes deux hommes dorment encore, renversés sur les fauteuils, leur bouche ouverte. L’un comme l’autre ronfle.
J’entends du bruit dans la cuisine, je franchis la distance, mes mules effaçant les bruits.
La porte atteinte, une jeune femme est en train de sortir des boîtes d’un carton, elle sent ma présence et sursaute.

• Vous m’avez fait peur, j’ai cru que c’était l’un des alcooliques qui cuve à côté qui s’était réveillé, ça m’a fait peur.
• Ce n’est que moi, contrairement à eux, hier au soir je suis allée dormir dans un bon lit.
Vous êtes la cuisinière qui prépare les bons plats et qui allez approvisionner Christian ?
• Vous êtes perspicace !
Une femme dans une cuisine ayant une tenue de cuisinière s’occupant de plat préparé, je suis son associée dans son projet, je l’aide, il m’aide.
• Je m’appelle Anne, je suis la décoratrice qui rénove les pièces à l’étage, chambres et salles de bains.
• Christian a eu du courage de reprendre cette grande bâtisse et d'en faire un gîte.

Aux mots qu'elle prononce et à la façon dont elle les dit, je sens que cette jolie black n’est pas insensible au charme de Christian.
Elle mesure un mètre quatre-vingts alors que lui mesure presque deux mètres, elle est fine comme une liane.
Je serais lesbienne, je crois que je la prendrais dans mes bras pour lui caresser la chatte par-dessus son tablier.
Mais je ne le suis pas et je boirais bien un café.

• Je sais qui vous êtes, Christian est passé par mon laboratoire au retour de Mâcon l’autre jour et il m’a parlé de vous.
Il m’a dit qu’il avait signé avec vous, j’ignore pourquoi, mais il était très guilleret.

Si c’est au retour de Mâcon, il venait de faire de moi sa soumise, pour la première fois, j’avais trouvé mon Maître.
Je comprends pourquoi il était si satisfait !
Deux attitudes à avoir, être son amie ou son ennemi.
Convoitant le même homme, depuis que j’ai repris mes plans culs avec lui, je me vois mal abandonner sa verge pour qu’elle se l’approprie.
Si encore Renaud reprenait des forces !
Mais même mon Maître, malgré son jeune âge, n’a pas pu me baiser et encore moins se faire faire une fellation hier au soir.
Je suis à deux doigts de lui proposer de sucer nos hommes pour les réveiller, mais j’ai peur que cette grande féline ne prenne peur et se sauve en courant.
Pas d’imper, mon chantier est loin d’être fini.
Je me rends compte que mon peignoir baille et que le haut de mes seins est dénudé. Son regard se porte aussi sur ma poitrine un peu visible.
Je décide de me reprendre, la reprise de mes activités sexuelles grâce à mon Maître ne doit pas me faire oublier mon âge, la colère, non la jalousie inutile retombée, je pense que je peux partager.

• J’aimerais te tutoyer, j’ignore pourquoi, c'est la première femme qui me fait l’effet que tu me fais.
J’aimerais que nous soyons amies, en tout bien tout honneur bien sûr.
• Je te dis « oui » immédiatement, moi aussi je sens un élan de sympathie pour toi.
• Notre différence d’âge ne te choque pas ?
• Pourquoi, je suis une jeune fille de 22 ans, tu es une femme ayant certainement la cinquantaine, ou est le problème ?

Seul le cœur est important.
Qui l’eut cru, je sens que je vais tout faire pour que mon Maître devienne l’amant de cette jolie fille des îles…

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