COLLECTION COCU. Jalousie (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Jalousie (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Jalousie (3/3)
Pendant mon séjour dans le camping tenu par mes cousins Dane et Mado, j’ai fait les quatre cents coups allant même jusqu’à faire dévier du droit chemin des femmes mariées, mais qui attendaient l’occasion de tromper leur mari.
C’est le cas avec celle ayant le bungalow près des douches et qui se retrouve avec une poussière dans l’œil.

• Vous semblez avoir un problème.
• Oui, un moucheron en entrant est entré dans mon œil, je cherche à l’enlever, mais seul ça m’est impossible.
• Laisse-moi faire !

Volontairement je l’ai tutoyé, technique de drague que m’a enseignée un camarade de lycée, soit la jeune fille ou la femme vous remet à votre place soit le travail de drague est à moitié fait.

• Je veux bien, cela fait trop mal.

La dame est en Bikini, moi en maillot.
Étant plus grand qu’elle, je me baisse et avance mon bassin en avant, nos sexes se touchent, à mon âge, ma verge réagit immédiatement.
La dame reste collée à moi alors je lui ouvre l’œil avec deux doigts.
Je pourrai l’enlever en deux secondes, mais nos bassins me commandent de prendre mon temps.
Les soupirs qui sortent de la bouche de la dame me montrent que pour elle aussi l’excitation monte.
Je finis par l’enlever avec le coin de la serviette qu’elle a laissé sur son épaule.
La sentant chaude comme la braise, je la prends dans mes bras et la pousse vers une douche.
Je lui appuie doucement sur ses épaules, sans résistance de sa part.
La dame me prend en bouche et me pompe de façon que je sens que je vais partir rapidement.
Je veux la faire se redresser pour pouvoir l’enfiler en la plaquant le long de la paroi et m’insinuer en elle en passant par-derrière.

• Non, je suis mariée, je refuse de le tromper, je veux bien que tu me donnes ton sperme.

C’est à ce moment que son cerveau a dû se focaliser sur la verge qui lui déversait de longues trainées de spermes qu’elle a avalés goulûment.
Elle est sortie précipitamment en me disant.

• Ce soir vingt-deux heures.

Je suis à l’heure au rendez-vous et après qu’elle ait commencé à me prendre en bouche, j’ai voulu la relever pour lui sucer la chatte.

• Donne-moi ta chatte que je la suce, je veux que tu jouisses.
• Non, si tu me touches la chatte, ce sera la honte devant mes enfants, donne-moi mon dessert.

Je lui ai donné autant de crème fouettée que le matin.
Pendant trois jours, elle m’a pompé.
Je lui ai apporté sa gâterie du matin et du soir jusqu’au matin ou allant entrer derrière elle, j’ai saisi le regard du mari qui semblait attendre.
Regardait-il si j’allais rejoigne madame pour venir voir pourquoi elle allait souvent avec moi aux douches ?
Il avait certainement repéré notre manège.
J’ai démonté ma toile de tente et été à l’autre bout du camping m’éloignant de leur bungalow.
C’est pour cela que j’ai hésité à aller aux douches tout à l’heure, car le soir au retour de la plage après mettre doucher, j’étais en train de m’essuyer lorsque j’ai entendu.

• Dépêche-toi que je te suce.

C’était l’un des premiers de mes remplaçants qui avaient pris le relais des envies de sucettes de la dame.

C’est ainsi que se sont déroulées mes vacances avant de rejoigne Paris et que je redouble mon année dans ma petite chambre d’étudiant.

C’est à ce moment que l’amour m’est tombé quand Valentine est venue me demander de l’aider.
Nous suivions les mêmes études, ayant eu un petit problème de santé, elle est venue me demander si je pouvais lui passer le cours qu’elle avait raté.
Certainement un problème de femme, car elle me parle de migraine tenace.
Migraine, règle, mon cerveau s’est remis en chasse, car si la jeune fille si jolie venait de les avoir, sa chatte était disponible.
Je l’ai invité à manger une de mes boîtes de cassoulet remplissant mon placard.
J’avais peu d’argent et quelques cartons de ces boîtes tombées intempestivement d’un camion à la sortie de Castelnaudary.
Leur spécialité s’était les télés ou les magnétoscopes, là ça a été des boîtes de fayots avec saucisses qui ont fini dans mes placards.
On en rigole encore lorsque nous nous revoyons, même si j’en ai mangé définitivement jusqu’à la fin de ma vie.
Elles m’ont permis de devenir avocat comme Valentine et d’ouvrir notre cabinet qui fonctionne du feu de Dieu.
Il va falloir que je sasse attention, nous sommes spécialistes des divorces qui pullulent à Paris.
Un couple sur deux qui se marie divorce et chaque fois, c’est nous qui faisons banco.
Sans y prendre garde, nous sommes sur la même pente moi qui croyait avoir passé les sept ans fatidiques, chiffre critique pour bon nombre des cas que nous sommes amenés à traiter.

Jour de fête.
Parmi les invités sa sœur avait fait venir un couple originaire de leur village en Martinique que Valentine a connu dans sa jeunesse juste avant de venir ici faire sa fac.
La manière dont Noah parle avec ma femme lui prenant souvent le bras qu’elle semble oublier de lui retirer, me rend vert de jalousie.
Je sais que je l’ai eu vierge, mais son cœur a-t-il été à lui avant d’être à moi.
Moi qui ai eu une jeunesse décousue, finissant par avoir une vie de rêve, d’un coup, la jalousie me taraude.
Pourtant comme je l’ai expliqué, les cocus et surtout dans le camping de mes cousins, j’avais moins de scrupule quand je baisais leurs femmes.
Ça c’était une autre époque.
Là, c’est moi qui suis en position d’être cocu et ça change tout.

Un enfant, Valentine a trente ans.
Notre affaire est sur les rails et il me suffirait d’embaucher un ou une jeune avocate sortie de la fac pour lui donner du temps pour pouponner.
Tous sont partis, je reste seule avec Valentine, elle vient dans mes bras, nous nous embrassons pour une fois depuis longtemps avec beaucoup d’affection.
Mais le mal, celui dont je me croyais imperméable, s’est insinué en moi.
Je dois reconnaître ma jalouse.
Valentine malgré notre baiser doit le ressentir.

• Chérie, tu as semblé tendu toute la soirée, malgré qu’avec mes sœurs vous m’ayez préparé une gentille fête.
• Je sais, nous avons été un peu distants depuis quelques semaines, mais c’est dû à notre travail.
Attends, rectifions les choses.

Sans attendre, elle s’agenouille avec du mal quand on est dans une robe moulante.
Elle me sort la verge et digne de la femme des toilettes du camping elle m’avale finissant avec mes couilles sur son menton.
La fellation, c’est moi qui lui ai appris dès les premiers jours de notre liaison.
Ça fait partie des choses qui ont fait pencher le plateau de la balance pour que je lui offre une bague.

• Le mal est profond chéri, tu bandes à moitié, comment veux-tu me pénétrer sans me faire mal.
• Excuse, je suis un bon à rien, un moins que rien.

Nous nous séparons, je vais me réfugier sur le canapé près de nous et me couche en chien de fusil essayant de retrouver la position fœtale d’avant ma naissance dans le ventre de maman.
Un temps et un corps nu vient se coller au mien.
Valentine me prend dans les bras.
Je connais bien cette position et son corps le long du mien, mais en temps normal c’est dans notre lit.
Me recroqueviller sur moi-même s’est toujours comme ça depuis ma plus tendre enfance quand quelque chose me contrarie.

• Dis à maman, ce qui le tracasse, tu sais bien que lorsque tu te replis sur toi-même, c’est que quelle chose t’a déplu dans ma soirée !
Dis à maman ce que tu as sur le cœur.
• Non !
• Si !
• Je t’ai dit non !
• Si, tu sais que je suis plus têtu que toi et qu’à ce petit jeu tu as toujours perdu.

Elle a raison, je finis par céder.

• Je suis jaloux de la manière dont tu regardais et que tu prenais le bras de Noah devant Mya.
Je suis sûr que tu as eu une aventure avec lui dans votre île avant de me connaître et que tu m’as fait croire que tu étais vierge.

Elle éclate de rire et me prends la bite dans sa main.
Quand je fais ma jalouse, elle me prend toujours ma bite dans sa main, ça me calme.
Une pensée morbide me vient, maman quand je me repliais sur moi-même me prenait-elle la bite pour me calmer.
Au plus loin de ma mémoire, aucune trace de geste gênant de ce genre pour moi.
Ça me rassure.

• Gros fou, jaloux de Noah, regarde-moi, j’ai un aveu à te faire, je t’ai caché une partie de ma fille de jeune fille comme tu le dis sur mon île.

Ça y est, ce moment de mon cocufiage est là, ravivant ma jalousie.

• Chéri, la liaison que j’ai eue sur mon île, c’est avec Mya que je l’ai eu pendant plusieurs mois.
• Tu te gouinais avec ta copine d’enfance !
• Oui, chaque fois que nous étions seules, nous nous embrassions et nous nous caressions.
Attention, nos doigts restaient hors de nos chattes, car nous voulions arriver vierge à nos mariages.
• Noah le sait !
• Nous parlions de ça, car Mya aussi venait de lui avouer il y a quelques jours.
• Je lui mettais la main sur le bras pour le rassurer comme je sens que je te rassure mon amour.

C’est vrai je suis tendu comme un âne.

• Pour finir de le rassurer, je lui disais que j’allais te demander d’arrêter ma contraception afin que nous ayons un enfant mon chéri.
Je leur ai parlé d’être les parrains de notre enfant, si tu es d’accord mon amour.

Dommage, ce soir quand je roule sur elle, qu’elle écarte ses jambes et que je la pénètre, j’aurais bien voulu qu’elle ait enlevé son stérilet.
La fougue avec laquelle je la laboure et mes traits de spermes remplissant son vagin, j’aurais conçu mon fils ce soir-là.

• Aie.

Là, c’est lorsque nous tombons du canapé et que je me retrouve avec son poids et surtout ses seins sur moi sans pour autant nous dissocié.
Que la fête de ma chérie retrouvée dure pour le moment pour la nuit et certainement celle des temps.
La jalousie, quelle connerie.

Et si derrière notre dos à Noah et à moi, Mya et elle continuaient à avoir des rapports saphiques sans nous en faire part.
Jalousie quand tu nous tiens.

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