COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (3/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2409 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 031 520 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 354 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (3/8)
Accepté de suivre un client de Stephan et ainsi devenir « volontairement la pute de mon patron, c’est ce que j’accepte pour sortir notre couple à Steve et moi Natacha de la panade où nous sommes mis à trop dépenser.
Je dis bien « volontairement » car à plusieurs reprises, j’aurais pu reprendre le chemin bien tracé de femme mariée que je quitte après la proposition de Stephan notre patron.
Je suis avec Igor, l’un de nos clients qui m’a fait jouer le rôle d’une chienne en me forçant à aller jusqu’aux ascenseurs à quatre pattes, avec simplement un collier de chien alors qu’avec lui, il me tenait en laisse.
De retour à la chambre, je dois reprendre sa verge perdant de la rigidité dans ma bouche, pourtant il y a peu, comme je l’ai dit, j’étais une femme mariée de bonne famille ayant deux filles en bas âge.
Igor m’interpelle et j’essaye de lui répondre, mais un borborite sort de ma bouche obstruée par le sexe massif d’Igor.
• Je vois que tu es d’accord, je vais te baiser sur la moquette, reste en levrette.
Heureusement qu’il dit « reste » car la levrette m’est inconnue.
Steve un jour a voulu me faire voir un film porno qu’il avait loué, je me suis mise en colère et il a eu droit au cul tourné pendant une semaine.
J’aurais mieux fait de le regarder, j’aurai certainement retenu quelques scènes qui m’auraient appris ma nouvelle fonction au sein de l’entreprise, du moins, c’est ce que croit Igor qui souhaite que je sois aussi sa chienne à Moscou.
J’ignore s’il remarque que ce sont les premiers mots qui sortent de ma bouche depuis le début où nous sommes entrés dans la chambre ou ma vie a basculé.
Jusqu’à maintenant il m’a surtout humilié comme s’il voulait me casser ce qu’il sait si bien faire, car j’aime de plus en plus la situation.
Ces jeux m’amusent et je commence à prendre plaisir à cocufier Steve qui vous le reconnaitrez l’a bien cherché.
Igor s’agenouille derrière moi et me met deux doigts dans la chatte.
• Je vois que tu aimes, tu es toute mouillée, regarde ta cyprine couler le long de tes jambes.
C’est impossible, la situation est tellement ambiguë que je veux contrôler, je passe une de mes mains entre mes jambes et j’entre un doigt, Igor à raison, ma mouille glisse le loin de mes jambes en passant je touche mon clitoris au moment où je dis un Oh ! car il me pénètre.
Clito stimulé et verge en moi, il y a des semaines que mon corps est resté endormi et en quelques coups de verge au fond de mon vagin je sens un frisson monter le long de ma colonne vertébrale.
Je dois penser à Steve pour que mon plaisir soit celui de la professionnelle du sexe qu’il a fait de moi en prétendant qu’il était possible de faire venir un homme par Internet pour gagner bêtement 1 000 €.
J’ai beau faire, mais la nature me dépasse et je rends les armes en hurlant de plaisir quand un orgasme me ravage.
Igor se place sur le côté et me fait tomber devant lui, il me soulève la jambe et entre de nouveau en moi, il me sexe plus vite qu’en levrette et en baissant un peu la tête pour la première fois de ma vie je vois un sexe d’homme entrer en moi.
Steve me pénètre toujours quand je suis sur le dos et c’est pour cela que je découvre cette grosse bite qui m’écarte la chatte.
• Je peux te sodomiser...
Sodomiser, quelle horreur, j’ai vu le film « le dernier tango à Paris » ou Brando demande à la petite et mignonne Maria Schneider de lui passer le beurre.
J’ai puérilement demandé à Steve pourquoi avaient-ils besoin de beurre ?
À la suite de cette scène et de sa réponse, je sais ce que le mot « sodomisé » veut dire.
Et si j’acceptais sans que l’on me passe une motte de beurre « Charentes Poitou, » c’est celui dont je me sers à la maison pour confectionner des fars bretons aux pruneaux avec mes filles et mon cocu de service.
• Je suis partante, mais avant, il faut que je te parle de la nouvelle chaîne de fabrication que notre société lance.
J’ai vu ton dossier et je sais que tu as besoin de ce nouveau produit que tu achètes à notre concurrent.
• Ton cul contre un contrat d’exclusivité qui va mettre en faillite votre concurrent.
Tu es redoutable en affaires Natacha, Stephan ta bien choisie, banco, ton cul vos biens la faillite d’un vieux con qui a comme cadeau m’offrent des boîtes de chocolats.
• Tu me perfores contre le contrat d’exclu et une prime de 25 000 € en liquide bien sûr.
• Je te baise et on met tout en place, ça je peux, je t’ai déjà payé.
• Rigolo, tu mets tout cela en place et tu me baises, décide-toi vite, mais pour un coup dans ma chatte, tu as raison, j’ai déjà été payé.
Dépêche-toi tout de même, mes filles m’attendent sans compter le cocu qui les gardes au moment où tu cherches à me sodomiser.
• Je ressens du ressentiment, tu m’as dit banco, demain tu te démerdes pour me rejoindre dans cette chambre, j’aurais le contrat j’achète toutes les pièces que votre nouvelle chaine pourra fabriqué et j’aurais réuni 25 000 € en liquide.
Tu as raison, te bourrer le cul alors que ta chatte je l’ai déjà acheté, ça me permettra de jouir de ma journée de demain, je vais aller manger sur les bateaux mouches avant de revenir ici pour t’attendre.
Se donner du temps, j’ai besoin de me donner du temps, tout va trop vite, surtout j’ai tellement de ressentiment envers Steve, bien que j’aie grandement participé à la faillite financière de notre famille.
Ma chatte, mon mari la baise déjà, accepter que ma bouche soit le réceptacle de la bite d’Igor, c’est déjà une grande concession à mes principes de femme.
Mais offrir mon cul, il me fallait du temps pour pouvoir l’accepter et lorsque je rentre dans mon foyer, la façon de mon mari de me recevoir, contribuera beaucoup à ma décision.
• Tu rentres bien tard, je commençais à me faire du souci, je t’ai mis des messages sur ton portable sans réponse.
• Avec Stephan et le couple de ses clients, nous sommes allés dans la vallée de Chevreuse, je l’ai coupé lorsque nous sommes passés à table et j’ai oublié de le rallumer.
Deux mensonges, « le couple », j’aurais simplement parlé d’Igor, le cocu aurait pu avoir des doutes comment la journée s’étant terminé et « la vallée de Chevreuse » ça justifie l’heure tardive de mon retour.
En réalité, l’hôtel d’Igor et la chambre où je me suis prostituée était à quelques pas du restaurant et de notre entreprise.
Les mots que mon mari me tient après sa demande de justificatif de l’heure tardive de mon retour sont à deux doigts de me faire appeler Stephan pour avoir le numéro d’Igor et lui demandé de déchier le dernier contrat.
• Stephan, tout s’est bien passé avec Igor, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour t’apporter une très bonne nouvelle.
Aujourd’hui, je vais faire quelques emplettes et ce soir je dois sceller mon destin, je prends ma journée.
J’ai aussi besoin de ma soirée, trouve un motif auprès de Steve pour qu’il continue à croire au père Noël.
• Je te fais confiance, je sens que notre petit arrangement va devenir très vite très fructueux, je te poserais bien des questions, mais le regard qu’Igor posait sur tes seins m’en dit long sur ce que tu as fait après que je t’ai laissé.
Chaussures pour les filles, si l’une a grandi, l’autre aussi, normal pour des jumelles.
Je trouve des brassières qui protégeront les seins de Corinne et ceux de sa sœur, c’est mieux que des soutiens-gorge à blaconnais comme je m’en paye une paire avec l’argent gagné avec mon cul.
Mon cul, non, ça c’est pour ce soir, gagner donc avec ma bouche et ma chatte.
• Entre Natacha, j’ai une surprise pour toi.
25 000 € pour t’enculer, j’ai voulu en faire profiter mon ami Stephan, une pute comme toi, il lui faut bien deux mecs pour la satisfaire.
• Bonsoir Natacha, l’agence m’avait dit que tu serais très efficace, Igor lorsqu’il m’a invité à vous rejoindre, m’a donné les contrats que tu lui as arrachés.
Steve va être content de sa femme, il vient d’avoir la carrière la plus rapide de notre société.
• Tu as réglé ce que je t’ai demandé pour venir retrouver Igor ce soir !
• Oui et ça été facile, j’ai annoncé à ton mari sa promotion, mais qu’il y avait un petit inconvénient, il est en ce moment dans un avion pour New York avec une attachée caisse vide fixée à son poignet par une menotte.
Il doit la remettre à mon correspondant local avant de reprendre un autre avion pour revenir à Paris.
Quant à tes filles un coup de fil à un organisme de baby-sitting et le tour est joué, ça te permet de nous consacrer ta soirée.
Déshabille-toi, nous allons te baiser, il y a des jours voir des années que je rêve de te sauter.
Pour être franc depuis votre mariage, j’ai embauché Steve après toi pour être sûr que tu resterais à notre service.
Vos dépenses somptuaires, me permettent de réaliser mon fantasme de baiser, la très vertueuse Natacha.
• Tout ça est bien gentil, mais si vous voulez avoir une pute à disposition ce soir, même à deux, il faut abouler le fric, 25 000 en liquide.
Je vous demanderais bien un petit supplément car vous êtes deux, mais faire cocu Steve, qui s’est endormi hier au soir pendant que je me douchais, j’ai énormément de mal à le supporter.
• Deux, c’est pour cet argent que nous sommes deux, Igor a fait tout ce qu’il a pu pour trouver le pognon que tu lui demandes pour qu’il te fasse une gâterie, du côté de ton cul.
Il a fait appel à moi pour mettre le complément, tu penses bien que je l’ai aidé trop heureux de te partager avec lui, Igor va chercher la mallette.
125 billets de 200 €, 125 billets que je compte un par un en vrai pro du sexe.
125 billets dans une mallette que je descends au coffre de l’hôtel, avant de remonter m’occuper de mes deux clients, dont Stephan mon patron.
Le jeu commence après nous être dénudé, c’est plus facile pour me faire baiser, gardant seulement mon soutien-gorge à balconnet me relevant les seins et porte jarretelle avec ses bas qui à la fin de la nuit sont bons à getter à la poubelle.
• Attends Igor, le moment est venu de défoncer le cul à notre belle salope qui nous a fait bander en nous suçant nos queues.
• Je la défonce, et après nous allons la prendre en double pénétration, la salope mouille comme rarement j’ai vu une femme mouiller.
J’ai compris que tu voulais te payer cette femme comme tu me payes des putes tout va bien dans le meilleur des mondes.
Au moment où Stephan prend en main la verge de son compagnon de jeux sexuels pour la présenter à mon anus, j’ai une pensée profonde pour mon cocu de mari qui survole l’océan dans un avion.
Croire qu’il remplit une mission importante pour celui qui me présente sa verge pour que je le suce en même temps que pour la première fois je me fais enculer est un moment rare pour une femme, il y a peu, simple femme au foyer...
Je dis bien « volontairement » car à plusieurs reprises, j’aurais pu reprendre le chemin bien tracé de femme mariée que je quitte après la proposition de Stephan notre patron.
Je suis avec Igor, l’un de nos clients qui m’a fait jouer le rôle d’une chienne en me forçant à aller jusqu’aux ascenseurs à quatre pattes, avec simplement un collier de chien alors qu’avec lui, il me tenait en laisse.
De retour à la chambre, je dois reprendre sa verge perdant de la rigidité dans ma bouche, pourtant il y a peu, comme je l’ai dit, j’étais une femme mariée de bonne famille ayant deux filles en bas âge.
Igor m’interpelle et j’essaye de lui répondre, mais un borborite sort de ma bouche obstruée par le sexe massif d’Igor.
• Je vois que tu es d’accord, je vais te baiser sur la moquette, reste en levrette.
Heureusement qu’il dit « reste » car la levrette m’est inconnue.
Steve un jour a voulu me faire voir un film porno qu’il avait loué, je me suis mise en colère et il a eu droit au cul tourné pendant une semaine.
J’aurais mieux fait de le regarder, j’aurai certainement retenu quelques scènes qui m’auraient appris ma nouvelle fonction au sein de l’entreprise, du moins, c’est ce que croit Igor qui souhaite que je sois aussi sa chienne à Moscou.
J’ignore s’il remarque que ce sont les premiers mots qui sortent de ma bouche depuis le début où nous sommes entrés dans la chambre ou ma vie a basculé.
Jusqu’à maintenant il m’a surtout humilié comme s’il voulait me casser ce qu’il sait si bien faire, car j’aime de plus en plus la situation.
Ces jeux m’amusent et je commence à prendre plaisir à cocufier Steve qui vous le reconnaitrez l’a bien cherché.
Igor s’agenouille derrière moi et me met deux doigts dans la chatte.
• Je vois que tu aimes, tu es toute mouillée, regarde ta cyprine couler le long de tes jambes.
C’est impossible, la situation est tellement ambiguë que je veux contrôler, je passe une de mes mains entre mes jambes et j’entre un doigt, Igor à raison, ma mouille glisse le loin de mes jambes en passant je touche mon clitoris au moment où je dis un Oh ! car il me pénètre.
Clito stimulé et verge en moi, il y a des semaines que mon corps est resté endormi et en quelques coups de verge au fond de mon vagin je sens un frisson monter le long de ma colonne vertébrale.
Je dois penser à Steve pour que mon plaisir soit celui de la professionnelle du sexe qu’il a fait de moi en prétendant qu’il était possible de faire venir un homme par Internet pour gagner bêtement 1 000 €.
J’ai beau faire, mais la nature me dépasse et je rends les armes en hurlant de plaisir quand un orgasme me ravage.
Igor se place sur le côté et me fait tomber devant lui, il me soulève la jambe et entre de nouveau en moi, il me sexe plus vite qu’en levrette et en baissant un peu la tête pour la première fois de ma vie je vois un sexe d’homme entrer en moi.
Steve me pénètre toujours quand je suis sur le dos et c’est pour cela que je découvre cette grosse bite qui m’écarte la chatte.
• Je peux te sodomiser...
Sodomiser, quelle horreur, j’ai vu le film « le dernier tango à Paris » ou Brando demande à la petite et mignonne Maria Schneider de lui passer le beurre.
J’ai puérilement demandé à Steve pourquoi avaient-ils besoin de beurre ?
À la suite de cette scène et de sa réponse, je sais ce que le mot « sodomisé » veut dire.
Et si j’acceptais sans que l’on me passe une motte de beurre « Charentes Poitou, » c’est celui dont je me sers à la maison pour confectionner des fars bretons aux pruneaux avec mes filles et mon cocu de service.
• Je suis partante, mais avant, il faut que je te parle de la nouvelle chaîne de fabrication que notre société lance.
J’ai vu ton dossier et je sais que tu as besoin de ce nouveau produit que tu achètes à notre concurrent.
• Ton cul contre un contrat d’exclusivité qui va mettre en faillite votre concurrent.
Tu es redoutable en affaires Natacha, Stephan ta bien choisie, banco, ton cul vos biens la faillite d’un vieux con qui a comme cadeau m’offrent des boîtes de chocolats.
• Tu me perfores contre le contrat d’exclu et une prime de 25 000 € en liquide bien sûr.
• Je te baise et on met tout en place, ça je peux, je t’ai déjà payé.
• Rigolo, tu mets tout cela en place et tu me baises, décide-toi vite, mais pour un coup dans ma chatte, tu as raison, j’ai déjà été payé.
Dépêche-toi tout de même, mes filles m’attendent sans compter le cocu qui les gardes au moment où tu cherches à me sodomiser.
• Je ressens du ressentiment, tu m’as dit banco, demain tu te démerdes pour me rejoindre dans cette chambre, j’aurais le contrat j’achète toutes les pièces que votre nouvelle chaine pourra fabriqué et j’aurais réuni 25 000 € en liquide.
Tu as raison, te bourrer le cul alors que ta chatte je l’ai déjà acheté, ça me permettra de jouir de ma journée de demain, je vais aller manger sur les bateaux mouches avant de revenir ici pour t’attendre.
Se donner du temps, j’ai besoin de me donner du temps, tout va trop vite, surtout j’ai tellement de ressentiment envers Steve, bien que j’aie grandement participé à la faillite financière de notre famille.
Ma chatte, mon mari la baise déjà, accepter que ma bouche soit le réceptacle de la bite d’Igor, c’est déjà une grande concession à mes principes de femme.
Mais offrir mon cul, il me fallait du temps pour pouvoir l’accepter et lorsque je rentre dans mon foyer, la façon de mon mari de me recevoir, contribuera beaucoup à ma décision.
• Tu rentres bien tard, je commençais à me faire du souci, je t’ai mis des messages sur ton portable sans réponse.
• Avec Stephan et le couple de ses clients, nous sommes allés dans la vallée de Chevreuse, je l’ai coupé lorsque nous sommes passés à table et j’ai oublié de le rallumer.
Deux mensonges, « le couple », j’aurais simplement parlé d’Igor, le cocu aurait pu avoir des doutes comment la journée s’étant terminé et « la vallée de Chevreuse » ça justifie l’heure tardive de mon retour.
En réalité, l’hôtel d’Igor et la chambre où je me suis prostituée était à quelques pas du restaurant et de notre entreprise.
Les mots que mon mari me tient après sa demande de justificatif de l’heure tardive de mon retour sont à deux doigts de me faire appeler Stephan pour avoir le numéro d’Igor et lui demandé de déchier le dernier contrat.
• Stephan, tout s’est bien passé avec Igor, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour t’apporter une très bonne nouvelle.
Aujourd’hui, je vais faire quelques emplettes et ce soir je dois sceller mon destin, je prends ma journée.
J’ai aussi besoin de ma soirée, trouve un motif auprès de Steve pour qu’il continue à croire au père Noël.
• Je te fais confiance, je sens que notre petit arrangement va devenir très vite très fructueux, je te poserais bien des questions, mais le regard qu’Igor posait sur tes seins m’en dit long sur ce que tu as fait après que je t’ai laissé.
Chaussures pour les filles, si l’une a grandi, l’autre aussi, normal pour des jumelles.
Je trouve des brassières qui protégeront les seins de Corinne et ceux de sa sœur, c’est mieux que des soutiens-gorge à blaconnais comme je m’en paye une paire avec l’argent gagné avec mon cul.
Mon cul, non, ça c’est pour ce soir, gagner donc avec ma bouche et ma chatte.
• Entre Natacha, j’ai une surprise pour toi.
25 000 € pour t’enculer, j’ai voulu en faire profiter mon ami Stephan, une pute comme toi, il lui faut bien deux mecs pour la satisfaire.
• Bonsoir Natacha, l’agence m’avait dit que tu serais très efficace, Igor lorsqu’il m’a invité à vous rejoindre, m’a donné les contrats que tu lui as arrachés.
Steve va être content de sa femme, il vient d’avoir la carrière la plus rapide de notre société.
• Tu as réglé ce que je t’ai demandé pour venir retrouver Igor ce soir !
• Oui et ça été facile, j’ai annoncé à ton mari sa promotion, mais qu’il y avait un petit inconvénient, il est en ce moment dans un avion pour New York avec une attachée caisse vide fixée à son poignet par une menotte.
Il doit la remettre à mon correspondant local avant de reprendre un autre avion pour revenir à Paris.
Quant à tes filles un coup de fil à un organisme de baby-sitting et le tour est joué, ça te permet de nous consacrer ta soirée.
Déshabille-toi, nous allons te baiser, il y a des jours voir des années que je rêve de te sauter.
Pour être franc depuis votre mariage, j’ai embauché Steve après toi pour être sûr que tu resterais à notre service.
Vos dépenses somptuaires, me permettent de réaliser mon fantasme de baiser, la très vertueuse Natacha.
• Tout ça est bien gentil, mais si vous voulez avoir une pute à disposition ce soir, même à deux, il faut abouler le fric, 25 000 en liquide.
Je vous demanderais bien un petit supplément car vous êtes deux, mais faire cocu Steve, qui s’est endormi hier au soir pendant que je me douchais, j’ai énormément de mal à le supporter.
• Deux, c’est pour cet argent que nous sommes deux, Igor a fait tout ce qu’il a pu pour trouver le pognon que tu lui demandes pour qu’il te fasse une gâterie, du côté de ton cul.
Il a fait appel à moi pour mettre le complément, tu penses bien que je l’ai aidé trop heureux de te partager avec lui, Igor va chercher la mallette.
125 billets de 200 €, 125 billets que je compte un par un en vrai pro du sexe.
125 billets dans une mallette que je descends au coffre de l’hôtel, avant de remonter m’occuper de mes deux clients, dont Stephan mon patron.
Le jeu commence après nous être dénudé, c’est plus facile pour me faire baiser, gardant seulement mon soutien-gorge à balconnet me relevant les seins et porte jarretelle avec ses bas qui à la fin de la nuit sont bons à getter à la poubelle.
• Attends Igor, le moment est venu de défoncer le cul à notre belle salope qui nous a fait bander en nous suçant nos queues.
• Je la défonce, et après nous allons la prendre en double pénétration, la salope mouille comme rarement j’ai vu une femme mouiller.
J’ai compris que tu voulais te payer cette femme comme tu me payes des putes tout va bien dans le meilleur des mondes.
Au moment où Stephan prend en main la verge de son compagnon de jeux sexuels pour la présenter à mon anus, j’ai une pensée profonde pour mon cocu de mari qui survole l’océan dans un avion.
Croire qu’il remplit une mission importante pour celui qui me présente sa verge pour que je le suce en même temps que pour la première fois je me fais enculer est un moment rare pour une femme, il y a peu, simple femme au foyer...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais comme elle est hyper excitante cette histoire mon cher Chris...
Cyrille
Cyrille
Tant qu’elle se protège. Une fois le pognon mis de côté elle part avec les enfants et laisse le mari !!! 😈
Oui je suis méchante !!!!! 😂🤣
Après tout si elle aime baiser pourquoi se priver du metier d’escorte. 🤷♀️
La chipie
Oui je suis méchante !!!!! 😂🤣
Après tout si elle aime baiser pourquoi se priver du metier d’escorte. 🤷♀️
La chipie
Quelle belle salope: non seulement elle se fait troncher mais elle pousse jusqu'à insulter son mari. Sauf erreur, s'ils sont dans la merde, elle n'y est pas pour rien.
J'espère que le mari va se rendre compte de la situation et reprendre les commandes de l'affaire. Une petite vengeance s'impose
J'espère que le mari va se rendre compte de la situation et reprendre les commandes de l'affaire. Une petite vengeance s'impose