COLLECTION COCU. Le cocu magnifique. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Le cocu magnifique. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Le cocu magnifique. (1/1)
Nous avions six ans la première fois où nous nous sommes vues, nous venions d’entrer à la grande école dans nos belles robes achetées spécialement pour ce grand jour.
Elle venait d’emménager avec ses parents dans notre ville et le sort a voulu que l’institutrice nous place côte à côte.
Nous avons grandi jusqu’à l’âge de vingt ans ou nous avons rencontré Vivian et Claude jumeaux.
J’ai épousé Vivian et Jennifer Claude le même jour nos parents et les leurs s’étant partagé les frais.
Nous sommes devenues toutes les deux professeurs, elle de français moi de mathématique, alors qu’elle voulait devenir pâtissière, hélas, métier loin des ambitions de ses parents.
Il y a cinq ans que je suis mariée alors que Jennifer a divorcé l’an dernier, contrairement à moi elle a la cuisse légère et son mari a su qu’il était cocu.
Vivian peut être tranquille de ce côté-là, je lui suis fidèle trouvant mon plaisir dans notre lit conjugal chaque fois qu’il a besoin de moi de jour et de nuit ma chatte lui appartient comme je l’ai promis chez le maire et chez le curé.
Depuis un an, Vivian a eu un nouveau fantasme que je me suis empressé de satisfaire, il a souhaité me sodomiser et c’est moi qui les fesses en l’air et l’anus en attente l’ai aidé à me pénétrer, alors pourquoi l’un ou l’autre aller chercher ailleurs ce que l’on a chez soi.
Mes jouissances et ses éjaculations peuvent s’entendre dans tout l’appartement que nous avons acheté avec nos deux salaires.

Les frères tous les dimanches après-midi depuis l’âge où nous nous sommes connues avec Jennifer font du sport, le mien comme gardien de but et le sien même après leur séparation comme arrière gauche seul façon de les différencier droitier pour l’un gauché pour l’autre.
Le football, les journées de championnat sans oublier les matches amicaux de début de saison et vélo le reste de l’année, bref nos hommes puis mon homme, tous les dimanches ils nous quittent.

• Véronique, tu viens chez moi cet après-midi, je t'ai fait des petites mignardises avec surtout des mille feuilles dont tu raffoles.
• Bien sûr, comme tous les dimanches nous regarderont Drucker, il reçoit Sardou tu sais que c’est mon chanteur favori.

Jennifer après son divorce a gardé son appartement et elle aime me faire plaisir en revenant à son premier amour qu’était la pâtisserie.

• Entre, enlève ton chemisier et ta jupe, on va se faire bronzer sur la terrasse les premiers beaux jours sont là, j’ai mis les transats.

Nous avons toujours été très libre de nos corps toutes les deux depuis notre plus jeune âge, il nous arrivait de dormir ensemble chez l’une et chez l’autre et nous prenions nos bains en jouant comme les adolescentes que nous étions devenues.
Nous avons découvert l’évolution de nos anatomies à mesure que la nature les faisait se transformer sans pour autant avoir des envies l’une pour l’autre.
Nous avons regardé nos grandes lèvres apparaître, plus grand pour elle, plus ronde pour moi.
Nos poils, blond pour moi, roux pour elle que nous contions chaque fois que nous le pouvions et où systématiquement elle trichait, voulant toujours être la première afin de se venger que je sois plus forte dans nos études.
Nous avons perdu nos pucelages ensemble nous tenant la main grâce à ceux qui devaient nous épouser.
C’est dans la chambre de leurs parents seule pièce où il y avait un grand lit susceptible de nous accueillir tous que cela s’est passé, là encore sans nous tromper de qui était avec qui jusqu’à notre mariage.

Ce dimanche, une fois entrée, à sa demande, j’enlève une à une, mes affaires gardant mes bas porte-jarretelles et je m’installe sur un des deux canapés identiques se faisant face autour de la table du salon.

• Un café ?
• Un café, mais dans deux minutes je vais aux toilettes.

Une envie présente me fait quitter la pièce et quand je reviens, je mange une figue aimant beaucoup la pâte d’amande et un petit mille-feuilles en buvant du café, c’est à ce moment que la sonnette retentis.

• Attends-tu quelqu’un, tu as fait deux fois plus de mignardises que les autres dimanches ?
• Suis-je bête, j’avais oublié, ce sont deux potes que j’ai rencontrés en boîte et à qui j’ai proposé de passer, je croyais qu’ils ne viendraient pas ?

Elle se lève, se dirige vers le couloir magnifique dans sa nudité, je cherche mes vêtements, mais ils ont disparu de la chaise où je les avais déposées, seul un plaide servant à Jennifer se trouve plié sur l’un des canapés.
Je le prends et je le mets sur moi, me dirigeant vers la chambre persuadée que mes affaires sont là, ce faisant je passe à deux mètres de ma copine qui fait entrer deux garçons fort beaux, je dois le reconnaître.

• Véronique vient, je vais te présenter Benoît et Cyprien, reste ici, ils vont nous faire du bien.
• Parle pour toi, je pars, j’aime Vivian, je n’ai nulle envie de le tromper.

J’entre dans la chambre sans voir mes vêtements, la garce ou la salope comme on veut, elle a tout prémédité et elle a profité de mon absence pour les cacher.

• Venez les garçons, ma copine est trop conne, je vais m’occuper de vous comme je vous l’avais promis.

Incroyable, Jennifer veut s’occuper des deux garçons, rien ne la rebute, mais bizarrement je l’envie d’être libre alors que je suis pleine de préjugés.
J’attends qu’il parte pour quitter Jennifer et ainsi casser vingt ans d’amitié.
Le temps me dure, j’ai entrebâillé la porte et je l’entends gémir de plus en plus fort, je m’avance sur la pointe des pieds jusqu’au salon, regardant d'un œil afin de voir sans être vue, ce que je découvre me fait frissonner.
Jennifer est empalée sur la bite d’un des garçons, ce qui peut paraître normal, mais son copain est, lui aussi dans son intimité et plus spécifiquement dans son anus la sodomisant.
Je savais que des femmes se faisaient prendre en double pénétration mais de là à le voir de mes yeux et pratiqués par ma copine, il y a un gouffre que j’étais dans l’impossibilité d’imaginer.
Elle semble aimer, elle tend son cou comme pourrait le faire une louve dans les histoires de loups-garous hurlant son plaisir à la lune.
Qui est dans sa rosette Benoît ou Cyprien avant que j’aie le temps de me retirer le brun qui est dans son cul a dû entendre le craquement du parquet et tourne sa tête vers moi.

• Viens vers nous sans peur ma belle, on ne va pas te manger, regarde Jennifer, ta copine elle s'amuse beaucoup, il ne tient qu’à toi de ressentir ce qu’elle ressent, pour commencer vient asseoir.
• Benoit a raison Véronique, je viens de jouir comme je suis certaine que ton mari ne réussira jamais à le faire, tu passes à côté de la vie alors que tu pourrais la croquer à pleines dents.
• Jennifer à raison, tu vas te retrouver sèche comme un pruneau vidé de son jus, approche et assieds-toi à mon côté.

Benoit me tend la main que je saisis et comme un zombi je le suis jusqu’au canapé opposé à celui où l’autre couple est encore soudé par leurs sexes.

• Enlève cette couverture, on dirait une petite vieille frileuse, fais-moi voir ces seins qui semblent magnifiques.

La couverture quitte mes épaules montrant ma nudité certainement tirée sans que je sois en état de résister par la main qui m’a fait asseoir.

• Donne ta main, pose là sur mon sexe, regarde, je bande d’envie de te faire l’amour.

Un film au ralenti, je vis un film au ralenti au lieu de me lever et de retourner me réfugier dans la chambre en fermant la porte à double tour attendant que ce sexe que j’ai dans ma main et qui me diffuse sa chaleur dans tout mon être s’en aille.
Ce n’est pas moi, c’est une autre qui se penche pour le prendre dans sa bouche, moi qui jusqu’à ce jour le ne l’aie fait qu’à mon homme.
Sans savoir le nom du garçon qui pivote sur le canapé s’allongeant me permettant de l’enfourcher me plaçant moi-même sa verge à l’orée de mon vagin où je m’empale sans plus me pauser de question.
Quand je le suçais, je réfléchissais si sucer s'était trompé comme je l’ai entendu dire plusieurs fois, mais s’empaler sur cette bite, je suis bien obligé de le reconnaître Vivian est cocu.
J’adore quand je monte et que je descends sur ce pieu qui me pourfend et quand je sens une bite se présenter à mon anus, j’ai à peine le temps de comprendre que le deuxième garçon vient comme il l’on fait avec Jennifer me prendre en double pénétration.
Toute l’après-midi ils nous baisent et j’adore tellement que, lorsque ma copine me rappelle le dimanche suivant, plus question de Drucker surtout qu’il reçoit un chanteur loin de mes goûts musicaux.
Ce dimanche, elle en a dragué plusieurs, ils sont trois, j’ignorais les possibilités que nous allions avoir, avant la fin de l’après-midi je suis prise en triple pénétration deux bites dans la chatte la troisième dans l’anus.
Jennifer de son côté se fait prendre en double avec le troisième membre lui remplissant la bouche allant même jusqu’à lui faire une gorge profonde, bref nous sommes devenues des chiennes et Vivian un cocu magnifique.

Rapidement toujours plus avide de sensation forte, j’impose à mon mari de pouvoir sortir officiellement au restaurant avec Jennifer entre filles pendant qu’il regarde le foot sur Canal avec son frère venant, voir les matchs.
Il m’arrive de me faire tringler dans les W.C de la boîte voire la voiture de la queue que je viens de draguer, mais surtout nous prenons des rendez-vous pour la dégustation des petits gâteaux le dimanche après-midi.
Cela fait plus d’un an que j’ai accepté de trahir mon serment de fidélité, un jour j’essaye de compter combien de verge ont cocufier Vivian, 52 dimanches sans compter les vendredis soir.
Je suis dans l’impossibilité de le dire surtout si j’ajoute la fois où Jennifer répondant à un mec sur Internet m’a emmené dans un hangar où j’ai participé à un gang bang où une trentaine de garçons étaient là, je suis rentrée vannée et couverte de sperme, le hangar étant dénué de douche.
Par chance Vivian avait disputé un match ce soir-là et était rentré vanné après la troisième mi-temps, le matin à notre réveil il a eu une petite femme aimante bien que ma chatte et mon cul me fassent mal de m’être fait enfiler pendant plus de deux heures.
Dimanche avec Jennifer nous avons franchi un palier, alors qu’une nouvelle fois je me faisais baiser en double pénétration se sentant certainement seule, elle est venue s’asseoir sur l’accoudoir du canapé, ma bouche a trouvé son clitoris.
Dans les jours suivants nous avons appris à nous donner du plaisir, nous sommes devenues de vraies gouines, entre chez elle et chez nous notre seul plaisir s’est d’attraper tout ce qui bouge.

Vivian est vraiment un cocu magnifique.

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