COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la Saison III (9/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la Saison III (9/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la Saison III (9/12)
Saison III, je me suis remis au travail pour mettre sur le papier des chapitres de mon histoire sur le poulain que mon beau-père et comme je le dis souvent dans la saison II, amant mort hélas d’une maladie.
Nous l’avons fait incinérer et comme ses volontés me le demandaient j’ai eu l’idée d’enterrer son urne au centre de son haras plus précisément au centre du manège.
Il m’arrive d’aider les palefreniers à faire travailler les chevaux soit dont mon fils est le propriétaire soit des chevaux placés chez nous pour les entraîner.
Quant au long de leur longue longe, je pivote sur moi même chaque fois je pense que je piétine les restes du Duc bien protégé par dans sa boîte.

Ce matin dimanche, je me suis mis au fourneau pour faire des crêpes pour mon fils Jules et Duchesse sa sœur.
Je devrais dire demi-sœur car Jules est le fils de Louis mon mari parti avec Lucretia dont j’hésite à parler de mâle ou de femelle faire le tour du monde sur le voilier offert par le Duc.
Duchesse est la fille de son père le Duc à qui j’ai appartenu quand j’ai compris que mon mari avait des mœurs dites spéciales.
Je vous ai laissé dans la forêt qui longe notre domaine quand Jules un peu plus de huit ans sur son poney a voulu faire la course que j’ai perdue lamentablement à cause d’un jeune con.
Pardon, de Tanguy un jeune handicapé ayant environ mon âge se promenant sur son fauteuil à moteur avec ses deux jambes coupées.

- Mère, il faudrait que vous perdiez plus souvent, vos crêpes sont excellentes.
Vous auriez dû faire acheter de la pâte à tartiner ça aurait été meilleur.
- Jules, ces pâtes à tartiner resteront chez les marchands, nous qui vivons au milieu de la nature il faut savoir la préserver, ces produits la ravagent.
La maîtresse te l’apprendra quand tu seras plus grand.

Jules en reste là, j’en ai assez de voir mon fils se prendre pour plus grand que son âge mais je sais que je dois l’élever sans un père pour lui montrer l’exemple.
Je les couche pour faire la sieste, avec du mal une nouvelle fois mon fils se dit trop grand pour ces moments de repos.
Il reste des crêpes, j’ai une idée.

- Sonia, peux-tu venir garder mes enfants, je dois aller voir quelqu’un ?
- Marie, je suis avec Poupette, tu peux te douter que j’aurais du mal à venir, dommage je t’aurais bien rendu service.
- Je vais appeler Ashley, je sais que c’est son jour de congé mais elle peut avoir envie de me rendre service.
- Euh…
Je comprends ce que veux dire ce « Euh » connaissant nos deux petites perverses.
J’ai formé un trio avec elles et aujourd’hui c’est Ashley qui si colle.
Il fait beau, je sors sur le perron.
Wanda fait travailler Jupiter sur le manège à la longe.
Palefrenier c’est un travail qui est une vraie abnégation les chevaux ignorent le jour du seigneur.
Je m’approche et je la regarde travailler.
Elle raccourcit la longe et vient me saluer.

- Vous avez l’air soucieuse Marie ?
- J’avais une visite à faire, ma belle-mère est chez des amis et Sonia chez…- Sa maîtresse tout se sait.
- Oui avec Ashley, mais enfants sont couchés.
- Je viens de finir de faire travailler Jupiter le cheval de Jules votre fils, le temps de me changer et je viens les garder.
- Vous êtes gentille, je vous revaudrais ça.

Une demi-heure, elle arrive et je lui fais voir la télé mais elle a amené un livre.
Mes crêpes d’une main et mes clefs de voiture de l’autre, je prends la route me faisant contourner la forêt.
À sa sortie, une maison.
J’entre dans la cour.
Comme de nombreuses maisons en Normandie, les barrières blanches sans portail sont légion.
Je descends et je sonne.

- Vous venez m’engueuler jusque chez moi ?
- Non, vous avez été charmant dans la forêt alors que j’ai été exécrable.
J’ai fait des crêpes pour mes enfants et j’en ai fait quelqu'une pour vous pour me faire pardonner.
- Entrez Duchesse, je faisais ma culture physique.

Dans la forêt !
C’est vrai que j’ai été une véritable peste avec ce garçon amputé de ses jambes.
C'est le fait d'être tombée qui m'a vexé surtout que mes affaires étaient salies et aussi parce que j'étais sûr de perdre mon pari qui me permet tout de même de venir m’excuser.
Je m’étais calmée et j’ai su qu’il habitait à la sortie de la forêt opposée à notre haras.
Voyant que je regardais ses jambes, il m’a expliqué qu’à ses 18 ans, c’était un chien fou qui avait voulu épater une jeune pucelle et qu’il avait loupé un virage.
Elle s’en était sortie et lui avait eu les jambes coincées par la tôle obligeant à être amputé.
Son immobilisation lui avait permis de vivre de sa passion, l’écriture.
Il est auteur de polars qui marchent du feu de Dieu.
C’est quand j’ai voulu repartir que j’ai vu le problème que j’avais et il l’a vu aussi.
Au haras, il y a un banc pour monter sur les chevaux.
Ici, impossible aucune possibilité la marche est trop haute.
C’est là qu’il a été charmant.
« Mettez votre genou dans ma main, je vais vous hisser pour que vous puissiez remonter sur votre monture. »C’est ce qu’il a fait me montrant que si ses jambes étaient inexistantes, ses bras et son torse étaient surdimensionnés.
Ça s’était dans la forêt lors de notre rencontre.
Revenons au moment présent.

Je suis avec mon plat de crêpes à la main.
Lui est dans un fauteuil manuel et après que j'entre, il me suit.
Dans la salle, une véritable salle de musculation.

- Je peux vous poser une question ?
- Bien sûr !
- Vous vous êtes trompé, Duchesse c’est ma fille, moi c’est Marie.
- Je sais, pour commencer nous avons le même âge je te tutoie, fait de même ça enterrera la hache de guerre.
Duchesse, c’est le nom que les gens te donnent dans le village.
Ma cousine travaille à la mairie et est une véritable pipelette.
C’est elle qui a reçu le Duc juste avant sa mort et qui a enregistré ta fille.
Elle a su qu’il la reconnaissait comme sa fille tu avais donc cocufié ce phoque de Louis.
- Ce phoque ?
- Un PD, un homme, les gens du village depuis qu’il était adolescent savaient qu’il préférait les verges au sexe féminin.
La seule chose que le village ignore, c’est si ton fils est aussi celui de Duc qui tirait toutes les gonzesses même celle à cause de qui je me suis retrouvé dans cette chaise roulante.
- Tanguy permet que je garde ça pour moi, bien que depuis notre séparation, Louis m’est complètement indifférent.
- Tu as raison, c’est ma devise, « toujours regarder devant ».
Assieds-toi, voyons si ces crêpes sont aussi bonnes que celles de ma maman.
J’ai du cidre, ça va faire le complément.

Il tourne ses roues, va dans son frigo et revient avec deux verres.
Je me rends compte qu’il bande dans son short.

- Excuse, c’est une suite de mon accident, à tout moment j’ai l’impression de sentir mes jambes et ça entraîne une érection.
- Mes toubibs cherchent et à ce jour impossible de comprendre ce phénomène.
Ça m’oblige à rester chez moi ou de sortir comme l’autre fois sur mon fauteuil électrique.
Tu as vu, j’avais une couverture sur mes genoux.
Je pense que si tu avais regardé dessous j’étais dans la même situation.
- Comment fais-tu dans ces cas-là ?
- Je vais être franc, je me masturbe.
Quelle femme accepterait de vivre avec un infirme.
- Tu es infirme par tes jambes, mais pas avec ce que je vois.
Veux-tu que je t’aide, mais il y a un mais !
- Lequel ?
- Je veux vivre ma vie sans aucune attache à ce jour.
- Je te comprends.

Je passe main sur le short de Tanguy.
Sans la voir je sais que c'est la plus belle qui va m’être donné de voir.
Il me la sort, j’avance ma main puis ma bouche et je le pompe du mieux que je peux.
Plus de cinq minutes, il est résistant.

- Marie, viens dans ma chambre, depuis mon accident tu es la première qui s’occupe de ma verge.

Je me lève et je pousse son fauteuil vers le couloir.
Depuis John, aucun homme.
Devant mes yeux, la bite qui va venir en moi doit au bas mot.

- 25 sur 6.
Je sens que tu la regardes, si tu savais depuis l’hôpital si je souhaite avoir le regard de femmes sur ce morceau de roi.
- Garde ton souffle, je vais essayer de te satisfaire.
- Merci a ton cheval d’avoir fait une embardée Duchesse.

On entre dans sa chambre.
Il semble vouloir garder Duchesse comme mon nom.
Pourquoi le contredire surtout quand on a devant soi une bite…Pardon, j’allais dire « sur pied ».
Là encore, la chambre est aménagée pour y mettre son fauteuil et une corde pend du plafond jusqu’au lit.
Il se soulève ôte son slip et son tee-shirt me montrant sa musculature irréprochable.
Je comprends le banc dans la salle avec ces haltères reposant sur des trépieds.
Voulant m’impressionner pendant que je me déshabille, il empoigne la corde se hisse sur le lit avant de monter jusqu’au plafond avant de redescendre.
À mon tour je viens sur le lit, j’avance ma chatte et je la pose sur sa bouche.
S’il lui manque des jambes coupées quelques centimètres sous les genoux, il a des mains qui écartent ma chatte et trouve mon bouton.
Pour la première fois de l’après-midi avançant, je jouis.
Mon Dieu que les femmes sont connes d’avoir des regards déplacés pour ceux que la vie a frappés…

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